Le 12 août 2008, mort du climatologue dissident Marcel Leroux.

Pour se souvenir que la climatologie, n’est pas une affaire de projection par des robots programmés avec des données qui arrangent ceux qui commandent des rapports biaisés. On oublie facilement que, les perspectives apocalyptiques servies par les médias avec moult « spécialistes » de plateaux, tout comme pour le covid, ne souffrent d’aucune controverse et, celui ou celle qui contesterait le narratif officiel, se voit exclu du cercle, étiqueté et banni . Et pourtant, depuis 4,543 milliards d’années la Terre a supporté un nombre incalculable de changements climatiques. Si nous sommes à même d’en parler, c’est que nous avons la capacité de nous adapter. Nous sommes soumis à des changements climatiques, sont-ils si exceptionnels ? Doit-on lutter contre ou au contraire, faire en sorte que ces changements soient pris en compte, pour revoir notre mode de vie à l’heure où, de plus en plus de voix s’élèvent, contre cette politique de peur ?

Source Le blog de Francis Richard

Avez-vous entendu parler de Marcel Leroux ? Il y a peu de chances. Savez-vous qu’il est mort il y a tout juste une semaine, le 12 août, à Marseille ? Il y a encore moins de chances que vous le sachiez. Pourquoi ? Parce qu’il était un véritable climatologue, parce qu’il ne s’en laissait pas conter et parce qu’il ne fallait surtout pas lui donner la parole dans les media. Sa mort est pour eux une bénédiction. Elle leur permet, croient-ils, de l’ensevelir dans un  silence absolu et définitif. 

Pourquoi donc ce silence à son propos, davantage encore maintenant qu’il est mort que quand il était vivant ? Parce qu’il n’était pas climatologiquement correct. En effet il s’opposait, arguments scientifiques à l’appui, aux fantasmagories du GIEC et de son fabuleux réchauffement climatique, menace brandie par tous ceux qui veulent asservir l’humanité et la priver de libertés, au nom d’une culpabilité parfaitement et opportunément inventée, à la faveur d’une peur parfaitement et médiatiquement organisée.

Marcel Leroux n’était pas n’importe qui et c’est bien ce qui gênait les pseudo-scientifiques du GIEC stipendiés par leurs gouvernements, les vrais scientifiques l’ayant quitté les uns après les autres. Il était professeur émérite de climatologie de l’Université Jean Moulin (Lyon III), directeur du LCRE (Laboratoire de climatologie, risques et environnement) du CNRS, membre de l’American Meteorological Society et de la Société Météorologique de France. Une petite pointure…comme vous pouvez le constater, qui a écrit notamment (voir photo) ce pavé qu’est Global Warming – Myth or reality ?

En scientifique digne de ce nom il s’en tenait aux observations du réel et non pas à des projections purement virtuelles produites par des ordinateurs, nourris humainement de paramètres limités et insuffisants pour rendre compte de la réalité. Ces observations lui permettaient de contredire les articles du credo climatique actuel dont tous les gouvernements de la planète, à quelques exceptions près, se sont fait les chantres, car il leur permet d’imposer leur volonté et d’asseoir leur pouvoir sur les dindons de cette farce coûteuse.

Ainsi pour Marcel Leroux (j’emploie le présent à dessein) il n’y a pas de réchauffement global – la température du globe augmente à certains endroits du globe et diminue à d’autres -; le CO2 est une conséquence de l’augmentation de température et non pas l’inverse (l’activité humaine n’est responsable que d’une infime partie : voir mon article La note discordante de Jacques Lévy sur le réchauffement  ); de plus la concentration de CO2 est favorable à la végétation; l’effet de serre est dû essentiellement à la vapeur d’eau; la glace se renforce en Antarctique etc.

Marcel Leroux disait qu’il n’y avait pas d’autre choix pour l’humanité que de s’adapter quand le climat change, ce qui n’a jamais cessé de se produire. Les pseudo-scientifiques du GIEC et leurs émules proposent eux de taxer ou d’inciter, de manier la carotte ou le bâton, pour atteindre des buts qu’ils se sont fixés arbitrairement. Il y a quelque chose d’inquiétant et d’affligeant à la fois à voir l’orgueil de ceux qui prétendent tout savoir et en tirer argument pour diriger et contraindre les autres.

Les travaux de Marcel Leroux ne seront pas ensevelis. Il y a de plus en plus de scientifiques qui se rebellent contre le totalitarisme climatique. Comme celle de tous les dissidents leur voix, étouffée dans un premier temps, finira par être entendue dans un second. Le 5 mars 2007 l’exposé de Marcel Leroux à l’Académie des Sciences ( ici ) avait ébranlé plus d’un académicien, englué jusqu’alors dans des préjugés. Quoiqu’on fasse la vérité sort finalement un jour de son puits et c’est elle qui rend libre comme le rappelle Saint Jean l’évangéliste.

Francis Richard