Cette fausse révolution féministe qui a lieu depuis quelques jours en Iran, est en réalité, et par le truchement des réseaux sociaux, téléguidée par la franc maçonnerie occidentale, qui après avoir déchristianisé l’occident, veut maintenant dé-islamiser l’Iran. C’est qu’au-delà de sa religion initiale, il faut faire de l’être humain postmoderne, un individu soumis au nouveau normatif athée satanique.
Dans une certaine mesure, c’est aussi pour cela que l’occident veut détruire la Russie, pays qui, à ses yeux, est encore trop influencé par le christianisme. Il faut faire de l’Iranien ou du Russe, un veau du politiquement correct occidental «comme les autres» (eh oui, les « autres » c’est nous, hein…). C’est ici que se trouve le fond du problème. Tout le reste n’est que diversion pour rebelles de panurge.
In fine, les influences maçonniques (dont les mouvements féministo-LGBT sont les avatars modernes), qu’elles frappent en Iran où ailleurs dans le monde, ne font que s’inscrire dans ce désir d’imposer cette tabula rasa culturelle « pour tous », condition sine qua non à l’avènement de l’homme nouveau (c’est-à-dire à l’avènement de cet illettré arrogant à qui l’on pourra faire croire n’importe quoi). La religion, (certes, surtout le catholicisme mais bien que dans une moindre mesure, aussi l’islam) étant le seul vrai frein sérieux à l’expansion du nouveau normatif, il est logique que les dictatures, qu’elles soient de gauche (Staline) ou nationalistes (Hitler), ont toujours fait du développement de l’athéisme (ou d’une forme de déisme qui n’est qu’une variante cachée de l’athéisme) une priorité absolue.
Si nous devons inviter les Iraniens à quitter l’islam pour se convertir au catholicisme (seule vraie religion), en revanche nous ne devons pas les inviter à quitter l’islam pour devenir des pantins sataniques de la culture de mort antichrétienne, comme le sont (presque) tous les occidentaux.
Après tout, entre le port du voile d’un côté et les lois d’infamie que nous avons en occident déchristianisé, de l’autre (meurtre des enfants-à-naître, gender « pour tous » etc…), qui sait, il vaut peut-être mieux le port du voile.
Jean-Pierre Aussant
Une chose est sûre : ils veulent faire l’Homme à leur image. Pour y arriver, tout détruire et reconstruire en mieux. Dans leur orgueil astronomique, ils s’imaginent faire mieux que toutes les générations passées, ils sont persuadés de détenir la solution universelle et ils croient que rien ni personne ne pourra les arrêter dans leur projet de mégalomanes. Ils se trompent lourdement, tout cela prendra fin… mais pas tout de suite. Accrochez-vous à vos valeurs car nous allons entrer dans une zone de turbulences.
Il existe, effectivement un féminisme contemporain frelaté, qui trouve en grande partie son origine dans la Maçonnerie moderne dites spéculative (à ne pas confondre avec l’Opérative), née au XVIIIème siècle, dans laquelle nous trouvons l’existence d’une « Maçonnerie mixte », ou « Co-Masonry », comme elle est appelée dans les pays de langue anglaise.
Il va de soi que ce féminisme n’a rien à voir avec le vrai Féminisme historique et surtout proto-historique et inconnu.
Il est donc nécessaire d’apporter un peu de Lumière sur l’histoire de la Femme en Perse. Aussi, nous allons trouver bien des surprises, c’est-à-dire des explications qui renversent totalement les vieux mensonges historiques auxquels on s’était habitué.
Le Livre sacré des anciens Iraniens est l’Avesta, un ouvrage d’une importance capitale.
Il était totalement inconnu de l’Europe pendant le Moyen Âge.
C’est Anquetil-Duperron qui le fit connaître à la France. Il partit de Paris en 1755 et, après toutes sortes d’aventures, y revint en 1762 avec les manuscrits.
Anquetil avait traduit l’expression « Zend-Avesta », qui sert de titre au Livre, par « Parole vivante », « Parole de vie ». Il croyait que « Zend » signifiait vivant », et Avesta parole ».
D’après Burnouf, « zend » désigne non une langue, mais un livre. Il dérive de « zan » (connaître) et veut dire « explication, commentaire, paraphrase ». Il sert à désigner la traduction pehlvi de l’Avesta : Avistah va zend, qui signifie « la loi et son commentaire », la loi et sa traduction, pourrait-on dire.
Quant au mot « Avesta », les Parsis le remplacent par Dîn (loi), en zend « daîna » d’après Burnouf. Le mot « parole » est Mathra. On dit « la parole d’Ormuzd ».
Les Parsis disent de la parole primitive « langue de Mathra », langue de l’Avesta, langue céleste, c’est-à-dire langue créée et parlée par la primitive Divinité.
Notre explication à nous est différente.
Nous remontons plus haut que les traducteurs et les interprètes pehlvis, et nous trouvons ce qu’ils ont ignoré ou ce qu’ils n’ont pas voulu dire. C’est que A-Vesta, d’abord, doit s’écrire en deux mots : A, article, Vesta, nom de la grande Déesse, qui représente l’Esprit symbolisé par le feu.
C’est parce que le titre du livre a cette signification que les prêtres parsis l’ont supprimé et remplacé par le mot Dîn.
Zend A-Vesta voudrait donc dire : Livre de la connaissance de l’Esprit de la Déesse Vesta ou de la Parole Divine.
La Perse fut appelée au début Airiana, dont on a fait Eran, puis Iran, l’ancien nom du pays.
Déjà le nom d’Aryana signifiait jour, lumière ; si on le décompose, on trouve que la terminaison « ana » signifie ancien et que c’est pour cela qu’elle représente la « lumière ancienne », la science primitive.
Souvent le mot Aryane (Ariane) est remplacé par le mot Ariadné.
Pourquoi ?
Nous avons dit que cette histoire allait nous réserver des surprises et que nous allions voir la lumière descendre du Nord. En effet, Ariadné est une corruption du nom de la Déesse celtique Arduina qui donna son nom aux Ardennes.
Sa statue retrouvée nous la représente avec sa biche et son chien, comme la Diane des bords du Tibre. Arduina était la patronne des chasseurs chez les Eburons (pays de Liège). Elle avait dans le voisinage du Hélion (la Meuse) une chapelle où chacun des affiliés apportait le tribut marqué pour chaque pièce de venaison.
Ajoutons que les Bouddhistes ont dans la pagode de Jikâdzé (Petit Thibet) sept statues qui toutes s’appellent Erdeni (traduction de Arduina).
NB : « Dans l’Orient, il y a une sagesse profonde que l’Occident ne sait pas apercevoir… l’Orient possède une vérité qui peut s’accorder avec la vérité des plus hautes traditions occidentales » (R. Guénon cité par Paul Chacornac dans « La vie simple de René Guénon »)
Lien : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/perseethindous.html
« quitter l’islam pour se convertir au catholicisme (seule vraie religion) »
Misère de misère…
Mais respectez le culte de chacun, en premier lieu, avant de commenter ou de porter un quelconque jugement de valeur.
Votre « vraie » religion dont je suis issu ne vous a pas appris la tolérance?
D’autant que le catholicisme (sic) n’est qu’une hérésie : la seule lignée directe, comme son nom l’indique d’ailleurs, est l’orthodoxie.
Je le dis, en étant parfaitement neutre là-dedans….
Je partage presque totalement ce point de vue.
Nous divergeons sur la primauté du Christianisme, seule vraie religion.
Toutes sont vraies, et toutes se trompent également.
Aucune religion ne peut placer l’être humain et l’humanité au centre du monde et leurs donner la primauté sur tout ce qui vit ainsi que tous les droits à commencer par celui de se poser en législateur et en maître.
Les dérives et les ennemis du genre humain que vous dénoncez ont précisément cette idéologie suprémaciste et bouffie d’arrogance.
Elle nous vient de loin, de très loin dans l’Histoire.
Les religions monothéiste ont suivis ce mouvement et se sont toutes fourvoyées de ce fait. Elles sont nés mêmes du suprémacisme et d’elles sont issues les religions athées, matérialistes qui, allant plus loin, mettent en réalité l’homme à la place du Dieu, avant de pouvoir mettre l’hybride transgénique, voir transhumain, à la place de l’homme.
Le christianisme romain ou les orthodoxies, portent un message de paix, de non violence, de respect de la vie et d’amour qui rejette toutes les autres conduites et ce message n’est pas réservé à certain, il est universel.
Ceci est une avancée considérable dans la compréhension des choses, mais ce message est loin d’être entièrement compris et intégré par tous les humains, chrétiens ou non. Il exerce une énorme influence.
Malheureusement l’influence du suprémacisme est bien plus ancienne, bien plus assimilé et est considérable.
Et aucune religion monothéiste ne combat cette pensée, bien au contraire.
La grande évolution qu’il faut souhaiter d’après moi, n’est pas la primauté d’une religion sur l’autre, mais une assimilation plus profonde par tous les êtres humains des principes qui gouvernent ces religions et l’expulsion de ces croyances de toutes les notions suprémacistes qu’elles contiennent et qui sont pour moi, manifestement incompatibles avec les valeurs fondamentales que ces religions invitent ou commandent de respecter.
Parmi elles, figure aussi à mon avis la liberté et l’esprit critique sincères, ou devrait y figurer.
Cette expurgation et cet effort de conscience est le principal moyen de passer la barrière qui empêche les êtres humains de mettre bien davantage en accord, leurs valeurs, leur conscience, leur âme, leur coeur, avec leurs actes.
La réalité et sa dureté ne sont pas autant un frein. il faut être conscient que la réalité est avant tout modelée par nos comportements, et qu’elle est durcie très grandement par nos actes et nos pensées suprémacistes.
Les peuples ultra minoritaires aujourd’hui qui ont eu ou ont une approche non suprémacistes ont été capables de créer un lien beaucoup moins dur et beaucoup plus harmonieux et pérenne avec la nature, les autres formes de vie et le milieu.
Ayons ceci à l’esprit, lorsque nous cherchons à construire notre avenir.
Nous sommes d’accord: en principe la religion doit aider l’homme et non lui créer davantage d’ennuis. Jésus a lavé les pieds de ses apôtres avant de mourir, cela n’a pas encore été intégré dans le cœur de l’homme. Quelle que soit la religion, le système politique, c’est avant tout la conscience qui doit changer dans l’amour, sinon on ne fera jamais que reporter nos mauvais penchants dans ce qu’on fait et ce sera l’échec. Ce qui manque le plus à nos dirigeants est l’humilité, chère au Christ et antidote parfait de la suprématie que vous dénoncez à juste titre. Pour moi, nous n’avons pas évolué d’un pouce spirituellement parlant depuis 2000 ans. Je garde néanmoins espoir car d’un grand mal peut ressortir un grand bien et que nous ne sommes pas seuls à décider du sort de l’humanité.
les religions = sectes obsolètes 😇😇😇.
Avec une telle affirmation, on peut facilement écrire :
n’importe quel groupe de pensée = secte obsolète et donc
athées = secte obsolète
C’est très réducteur et cela ne porte pas à la réflexion.
Mon cher, être athée ne peut pas être obsolète : a privatif, donc c’est seulement une tabula rasa, et l’athéisme n’est PAS un groupe de pensée, mais seulement l’état de ceux qui n’ont pas pris en compte le facteur dieu dans leur vie.
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Certains fanatiques se disent athées, pour eux effectivement ils ont seulement changé de religion. Mais l’athéisme, ce n’est pas ça. Relire la loi de décembre 1905. Pour eux, il faudrait sans doute inventer le terme “antithéiste”.
On est donc d’accord: on ne peut réduire un groupe d’individus qui partagent une caractéristique commune à une secte obsolète. Pour moi, ne pas croire en Dieu est une croyance de plus. Il en découle d’autres valeurs, variables selon les personnes. Ces valeurs pilotent les pensées et les actions de gens, à petite ou grande échelle, qu’ils en soient conscients ou non. Être athée n’est pas neutre, être chrétien non plus. Chacun est libre de choisir ses valeurs.