Voici un petit parcours des conséquences écologiques de l’utilisation de la technologie nucléaire et plus précisément des essais militaires de bombes atomiques.
Au passage, on commentera les exemples de possibles tentatives de manipulations syntaxico-médiatiques que l’on trouvera sur le chemin.
PIECES DU DOSSIER
1. la durée de vie des déchets de l’industrie nucléaire
Voici un texte tiré du site internet de l’université de Genève :
« Les atomes radioactifs, produits par les réacteurs nucléaires ou les bombes atomiques et dispersés dans la nature, ne vont pas disparaître aussi vite qu’ils sont apparus. Les isotopes exotiques de plutonium, d’américium, de césium ou encore de cobalt (la liste n’est pas exhaustive), transportés au gré des vents et des rivières, se sont déposés sur les sols et au fond des lacs. Ils y resteront le temps de se désintégrer ce qui, pour certains d’entre eux, peut prendre des dizaines de millénaires. Et que dire des volumes sans cesse grandissants de déchets radioactifs stockés dans des lieux diversement sécurisés et dont on ne connaît pas le destin (confinement efficace ou accident, fuite, etc.)? Ceux-là comprennent des éléments plus coriaces encore – l’uranium 235 par exemple ayant une demi-vie de 700 millions d’années, ce qui est le temps nécessaire pour que la moitié des atomes présents se désintègrent. » (https://www.unige.ch/campus/numeros/125/dossier5/)
Sur cet autre site, il est fait mention d’atomes radio-actifs différents c’est pourquoi les durées sont différentes, mais tout de même gigantesques :
« Les trois plus importantes contributions à la dose efficace engagée pour la population mondiale sont dues au carbone-14 (70 %), au césium-137 (13 %) et au strontium-90 (3 %). Il faut remarquer que l’exposition au carbone-14 sera répartie sur une très longue période : 5 % sur les 100 premières années suivant les rejets et 71 % sur les 10 000 ans suivants. Les populations vivant près des sites où les essais ont été conduits ont été exposées à des retombées locales et ont reçu des doses plus élevées. » https://www.laradioactivite.com/site/pages/Retombees_Essais_Nucleaires.htm
Par ailleurs, la page d’accueil de ce site mentionne « les combustibles usés des centrales nucléaires entreposés dans des piscines sont retraités. » Au sujet de ces « piscines de refroidissement » où reposent provisoirement les déchets nucléaires, je vais pas me lancer là-dessus aujourd’hui mais je me souviens du commentaire d’un internaute qui en parlait de façon limite apocalyptique en cas de panne électrique du dispositif. C’est la première fois que je vois mentionnée officiellement cette histoire de piscines c’est pour ça que j’en parle.
2. l’article de wikipedia au sujet des essais de bombes nucléaires
On trouve un tas de bons articles sur wikipedia, mais vous allez voir que celui-ci, précisément, est un modèle d’ambivalence manipulatrice frôlant l’irrespect.
On peut y lire : « La masse de produit n’est pas très élevée car si la puissance thermique est considérable le temps durant lequel elle est émise est très court. (…) En revanche, l’activité de ces produits de fission est de plusieurs ordres de grandeur supérieure à celle d’un cœur de réacteur (…) L’évolution en fonction du temps décroît sensiblement jusqu’à 180 jours après l’essai ; au-delà la décroissance s’accélère. (…) Des pluies ou des orages peuvent ramener les particules au sol beaucoup plus rapidement, si le nuage radioactif est lavé par des gouttes d’eau. »
Jusque-là ça va, je veux dire que c’est pas ambigu, pourtant juste à la suite ils vont affirmer bien autre chose de façon très discrète, le tout dans une syntaxe brouillonne ne facilitant pas du tout la compréhension :
« L’impact sanitaire à long terme des retombées radioactives correspond essentiellement d’une part de l’exposition directe à la radioactivité ambiante dans les zones polluées, et d’autre part de l’accumulation de radionucléides à durée de vie relativement longue (comme le strontium 90 ou le césium 137) dans le corps à la suite de l’ingestion de nourriture contaminée. »
Des radio-particules qui ne décroissent pas du tout « sensiblement jusqu’à 180 jours » comme il était d’abord affirmé plus haut : on parle ici d’une demi-vie de 7 ans pour le premier et de 30 ans pour le second (sachant que plus d’un millier d’essais d’explosions d’armes nucléaires ont eu lieu en 30 ans), mais ça, il faut aller le chercher ailleurs, car ça ne nous est pas précisé. Puis encore juste après ils nous sortent d’un coup, sans prévenir :
« En ce qui concerne l’irradiation, il est certain que la somme des effets est moindre que l’effet de la somme. »
Sans plus de précisions, comme ça comme une fleur au milieu des données techniques entremêlées. Aucune explication de cette phrase monstrueuse avant de reprendre l’énumération étourdissante de ces données. Excusez-moi mais : Whats ze FUCK !
Ensuite, attendez un peu ça en devient carrément comique :
« La bioconcentration des radionucléides dans les zones polluées peut rendre les produits végétaux ou animaux impropres à la consommation. Le contrôle sanitaire de ces zones doit donc être maintenu très au-delà du point où le séjour n’y est plus dangereux. »
Oui d’accord. Et immédiatement à la suite, qu’est-ce qu’ils citent comme passage tiré d’un livre ?
« Du point de vue des écosystèmes, un accident de centrale est une excellente nouvelle, car cela crée instantanément une réserve naturelle parfaite ! La vie sauvage ne s’est jamais aussi bien portée dans les environs de Tchernobyl que depuis que les hommes ont été évacués (la colonisation soviétique, à l’inverse, a été une vraie catastrophe pour la flore et la faune). Le niveau de radioactivité est désormais sans effet sur les écosystèmes environnants, et le fait d’avoir évacué le prédateur (l’être humain) a permis le retour des castors, loups, faucons, etc. On a même profité de cette création inattendue de réserve naturelle pour réintroduire des bisons et des chevaux de Przewalski, qui vont très bien merci. La hantise de la radioactivité vient de la crainte que nous avons tous quand nous ne comprenons pas ce qui se passe. Mais ce que nous ne comprenons pas n’est pas nécessairement dangereux pour autant… » (Jean-Marc Jancovici)
Passer comme ça immédiatement des dangers pour la santé humaine, aux avantages d’un écosystème privé d’humains, ça nous plonge comme dans un univers surréaliste où l’eugénisme sinistre coutoie le romantisme lyrique dans une danse endiablée au son d’une chorale païenne. Et je suppose que le fait qu’il s’agisse de l’article portant sur les explosions de bombes atomiques n’arrange pas l’affaire.
3. les conséquences sur la couche d’ozone des explosions nucléaires
Je vous ai déniché un texte que je trouve assez original, c’est la première fois que je vois mentionné une étude portant sur ces paramètres :
« N’espérez pas sortir indemne d’un lointain, régional et «mini» conflit nucléaire. Parmi ses conséquences, la perte massive d’ozone stratosphérique exposerait tous les êtres vivants des pays tempérés aux UV solaires, casseurs d’ADN et autres molécules de la vie. Cibles : la santé humaine et animale, la production végétale terrestre et le plancton marin. Démonstration, hier, par des spécialistes des sciences de l’atmosphère dans PNAS (la revue de l’Académie des sciences américaine).
Ils se sont inspirés d’un scénario de wargame : Inde et Pakistan entrent en conflit nucléaire. Détail technique : l’échange de missiles correspondrait à environ 100 fois Hiroshima. L’article d’hier poursuit le travail en étudiant les conséquences sur la chimie atmosphérique d’un tel échange de missiles. Lorsque les bombes explosent, expliquent les auteurs de l’article, elles injectent jusque dans la stratosphère d’énormes quantités de poussières, de suies, d’aérosols. Ces particules participent à d’intenses réactions chimiques et photochimiques. Très complexes, certaines vont détruire l’ozone ; d’autres, par rétroactions, vont en produire.
Au final, l’une des conséquences serait la destruction rapide d’environ 20 % du total de l’ozone atmosphérique, proportion comprise entre 25 et 45 % aux moyennes latitudes et portée jusqu’à 75 % dans les hautes latitudes nord. Cette «déplétion», écrivent-ils, persisterait au moins cinq années. Et la reconstitution de la couche d’ozone prendrait au moins dix ans. » [Laissez-moi vous dire que le tout petit peu de lectures que j’ai à mon actif sur ce sujet laissent présager que la toute dernière phrase renvoie à tout sauf une garantie quelconque, certains travaux annonçant plutôt une cinquantaine d’années pour que se comble le trou actuel dans la couche d’ozone.] source : https://www.liberation.fr/sciences/2008/04/08/conflit-nucleaire-local-trou-d-ozone-global_69099/ Le lien vers l’étude scientifique en question est dans l’article vers le début.
Histoire de bien me faire comprendre : « l’échange de missiles correspondrait à environ 100 fois Hiroshima » est-il écrit ; donc 100 bombes, et ça correspondrait à une perte de 20% de l’ozone. Certes si l’on les pète quasiment d’un coup. Mais combien de bombes pétés en 70 ans ? De mémoire, deux-mille et quelques, deux-mille deux cent je crois. Et bien plus puissantes que les premières, mais alors rien à voir : tapez « Tzar bomba » sur internet vous allez voir (je sais plus si elle a été testée celle-là en concret mais bon c’est pour dire).
« Les différentes données collectées permettent de dire que plus de 2 050 essais nucléaires atmosphériques et souterrains (sans compter les deux tirs nucléaires sur Hiroshima et Nagasaki) ont été réalisés par les États-Unis, l’Union soviétique, le Royaume-Uni, la France, la république populaire de Chine, l’Inde, le Pakistan, la Corée du Nord et, selon toute vraisemblance, conjointement l’Afrique du Sud et Israël. Le nombre d’essais fait l’objet de multiples discussions : 2 054, 2 059, ou encore 2 419, selon un rapport de l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques. Le chiffre exact ne sera certainement jamais connu. » source : https://www.cairn.info/la-bombe–9782746712560-page-31.htm
Or une partie de ces bombes ont été pétées en hauteur, ce qui change tout au niveau de leur influence sur la couche d’ozone et le climat : « les essais atmosphériques d’armement nucléaire ont constitué, de fort loin, la principale cause de pollution radioactive de la biosphère. »(https://www.universalis.fr/encyclopedie/pollution/8-pollution-nucleaire/) Mais les essais nucléaires sous-terrain n’ont pas l’air beaucoup plus joyeux :
« Des gaz radioactifs sont libérés dans l’atmosphère, après s’être échappés de petits interstices rocheux, par exemple. Contrairement aux idées reçues, les essais nucléaires souterrains portent donc atteinte à l’environnement. Même faible et localisée, ils entraînent une pollution radioactive. […] S’agissant de la France, l’incident le plus grave se déroula le 1er mai 1962 à In Eker lors du tir Beryl. L’explosion de la bombe devait être contenue au cœur de la montagne du Tan Affela, mais la puissance de l’explosion détruisit le bouchon de confinement et libéra des éléments radioactifs dans l’atmosphère. Un nuage radioactif culminant à près de 2600 m d’altitude se forma alors rapidement et plusieurs centaines de personnes assistant à cet essai furent gravement contaminées. » source : https://www.irenees.net/bdf_fiche-notions-236_fr.html
4. une campagne publicitaire et scientifique pour minimiser les risques
Après tout ce qui viens d’être dit, comment juger des articles comme celui-ci : https://www.lemonde.fr/blog/huet/2018/04/11/nucleaire-et-climat-la-grande-tromperie/
du journal Le Monde, qui martèle pendant deux pages que le nucléaire c’est propre parce que son bilan carbone (émissions de CO2) est très positif ? Et que le peuple abrutit et vaniteux au cerveau lavé par un pseudo-écologisme intégriste et narcissique ne veut rien savoir et s’obstine à hurler comme des gueux « Ha caca le nucléaire caca » ? Je vous laisse avec ce passage évocateur, perdu dans l’article :
« Dans les scénarios énergétiques examinés par le GIEC (le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, le nucléaire fait partie des mix électriques envisagés pour atténuer la menace climatique . » (des « mix » ? Des messieurs aussi bien qualifiés et payés ne peuvent-ils pas parler correctement ?) Du coup leur tout dernier ensemble de rapports au sujet des facteurs anthropiques influençant le climat, ne contient absolument rien de ce dont nous venons de parler.
En guise de complément je me permets de renvoyer à une brève notice portant sur ces sujets que j’avais rédigé il y a quelque temps : https://lesmoutonsenrages.fr/2021/08/04/nucleaire-un-etat-des-lieux-partial-et-partiel/
Xelnaga
L’humanité a actuellement la connaissance et les moyens de résoudre tous les problèmes rencontré
Deja en devenant végétariens l’immense pollution des animaux industriels cesserait
Etc
Le problème est bien au niveau individuel, l’incapacité de changer son mode de vie, surconsommation, pollution etc
Je montre a un collègue une rue, remplie de poubelle transparente vide
A 14h elle sont remplies de nourriture, parfois de menu intact et même des pizzas entiere…
Il me répond, ceux qui gâchent en ont les moyens financier
C’est donc l’égocentrisme et l’absence de valeur qui est le vrai problème
Les gens savent mais s’en fiche
L’edlt m’a dit que le probleme est le manque d’education et de connaissance
Cette nourriture n’est pas gâchée pour tout le monde . Après 14h ces poubelles sont « visitées » par les SDF, les RSistes et certains retraités indigents qui n’ont pas d’argent pour acheter de la nourriture après avoir payé le loyer et les charges . Pendant les « trente glorieuses » , on n’aurait jamais vu des personnes faire les poubelles pour se nourrir . Les centres de distribution d’aliments de la banque alimentaire sont envahis par des clans étrangers souvent agressifs qui ne laissent que peu ou pas de place à nos autochtones qui sont contraints de « faire les poubelles » , surtout en dehors de la période d’ouverture des restos du coeur . La période de confinement fut dramatique .
Ouais, mais…
« Pendant les « trente glorieuses »
c’était surtout les anciens ayant connu la guerre qui consommaient majoritairement.
Et pour ces gens là, le gâchis était « un crime » qu’ils ne pratiquaient pas.
…Par contre pour leurs enfants, ce fut un signe d’opulence et de réussite sociale.
…Au delà de la romance d’un temps idéalisé, là est la vérité historique :
https://www.youtube.com/watch?v=3C8f2FeKsnM (images d’archive)
» surtout en dehors de la période d’ouverture des restos du coeur . La période de confinement fut dramatique . » mianne
Je ne le savais pas…
Mais je peux t’assurer que personne ne fouille ces poubelles (sauf exception), uniquement celles des immeubles et par des communautés issuent de l’immigration
Quand on s’intéresse au bit coin tu t’aperçois il n’y a jamais eu autant d’argent sur terre qui coule a flot avec des prises de bénéfices hors normes
Le 7/9 prise de bénéfice a la hauteur de 600 millaird$ c’est jamais arrivé
ça a fait chuter la crypto
Ou va cette argent ?
Je connais un gars dans els dom tom il s’occupe des maisons et des bateau de millionnaires ils ne viennent presque jamais
Il lui disent remplit le frigo on arrive et ils ne viennent pas…
Difficile d’occuper des dizaine de villa dans l’annee ^^
En France on trouve normal les restos du cœur alors que c’est une aberration quand un pays croule sous l’argent
Nous sommes dans une société d’égoïste, quand ont vois que les grandes surfaces achète des produits pour rendre in consommable ce qu’ils jete pour être sûr que personne ne viendra fouillé leurs poubelle pour manger s’est tout bonnement criminelle.
davidnovit
Il y a quelque jours j’ai vu l’inimaginable
Je passe régulièrement près d’une très grande université super géniale d’ailleurs
Une douzaine de conteneurs étaient remplis de boites en carton tout neuf qui débordaient
ça m’intrigue, curieux comme je suis ^^
Le paquet est glacé
J’en ouvre un
Des sachets de nourritures surgelés encore gelé, tout est neuf intact
Je regarde la date juin mais 2022
Plus de 2 tonnes de nourriture intacte jeté a la poubelle sans raison
En plus des marques, pas des masterfood de cantine mais du daucy, paysan breton, Bonduelle etc
J’en ai ramené un (10kg) et j’ai découvert les butternuts un pur délice
C’est tout jaune
https://fr.wikipedia.org/wiki/Doubeurre
Salut tu a eu raison j’aurais fait pareil et j’aurais même fait plusieurs chemin pour en prendre plus, je l’aurai dit même a ceux que je rencontre bien que il faut ce méfié des collabos car ils auraient été capable d’appeler les chiens de l’état.
A Liège quand je prends le bus en descendant a mon arrêt je demande toujours ci quelq’un veux mon tiquet pour éviter de payer, ont serait plus solidaire l’état ferait moins le malin.
davidnovit
« je demande toujours ci quelq’un veux mon tiquet pour éviter de payer, ont serait plus solidaire l’état ferait moins le malin. »
Pas mal, tu fais ce que tu peux, excellent état d’esprit
Mais n’attend rien de l’etat, ni des dieux mais tout de toi même en 1er
Sinon tu vas souffrir dans l’attente, c’est destructeur l’attente..
– Mais puisse qu’on vous dit que c’est la cigarette !!!
Cigarette qui tuait très peu avant les années 50, mais qui subitement se mise à provoquer une multitude de cancers et autres merdes après.
…Bien sûr, cette arnaque ne fut possible que par la main mise sur le milieu scientifique et surtout, avec la complicité du corps médical.
La cigarette fut le covid du siècle dernier !
– Sans jamais voir les évidences, le stupide aime répéter bêtement son lavage de cerveau bien bien appris.
…Et c’est pas prêt de changer, n’est-ce pas ?
Bonjour,
Avant les années 5O il n’y avait pas l’épidémie postérieure de maladies chroniques causées par une alimentation horrible, et le niveau de pollution n’avait rien à voir avec celui d’aujourd’hui : ces deux facteurs (pollution de l’air, de l’eau et de la terre+malbouffe) rendent le tabac beaucoup plus dangereux. L’article ci-dessus parle justement à ce sujet de la pollution radio-active (à laquelle il faut ajouter la radio-activité des engrais utilisés pour cultiver le tabac industriel).
Par ailleurs : on peut parrier qu’avant les années 50 ce dernier n’était pas du tout cultivé pareil (pas la même dose de pesticides et engrais chimiques employée) et ne comportait surement pas la quantité aberrante d’additifs hautement cancérigènes que l’industrie a peu à peu ajouté par la suite.
Aussi, avant les années 50, la première génération à fumer toute la journée du tabac industriel était encore quasiment dans sa jeunesse. Il est donc logique que les effets sur leur santé aient commencé à se faire sentir à ce moment-là.
Pour finir, tout gros fumeur qui arrette de fumer d’un coup ressent immédiatement, à part le stress psychologique, un grand bien-être physique. La consomation chronique et quotidienne de tabac est forcément très mauvaise. Après, on peut dire que les pouvoirs publics n’arrettent pas de parler du tabac alors qu’ils n’arrettent pas de se taire au sujet de la pollution ; ça c’est autre chose. Mais les grosses campagnes anti-tabac ne doivent pas être bien plus anciennes que les années 90, à mon avis. Avant ça on minimisait les risques.
xelnaga
La question est qu’est ce qui va faire qu’une personne renonce a ses addictions ou même ses croyances non fondées ?
Tu peux mettre des photos de cancers sur les paquets, ca ne leur fait rien ^^
ou
prouver qu’une croyance est fausse , ca ne leur fait rien ^^
Qu’est ce qui va faire que la personne change ?
Bonjour les questions que tu poses sont d’après moi les plus importantes qui soient.
Malheureusement, je n’ai pas de réponse. Je ne sais même pas si l’on peut donner une réponse avec des mots.
xelnaga
« Malheureusement, je n’ai pas de réponse. Je ne sais même pas si l’on peut donner une réponse avec des mots. » xelnaga
Je répondrais avec les paroles d’une ancienne chanson
https://www.youtube.com/watch?v=LYAvhujK4nA
certains être ont mis du temps a comprendre ^^
Dommage que tu ne vois pas l’évidence te permettant de dissoudre ta certitude bien inoculée.
– Explique moi donc les corrélations régionales évidentes entre les courbes de pollution atmosphérique par isotopes radioactifs, avec celle des cancers du poumon ou de la thyroïde(entres autres).
Elles sont quasi parfaites.
– On peut y voir une fantastique accélération, puis une baisse suite à l’arrêt des essais aériens, puis des relances à chaque gros accidents nucléaires ayant émaillées notre actualité.
Pourtant le pourcentage de cancer poumon/thyroïde aurait du que décroitre progressivement tout en suivant parfaitement la régression du tabagisme.
…Et B’hien non ! …elle suis celle de la pollution nucléaire.
PS: Le matraquage anti-tabac à commençait dans les années 70 en Amérique et dans les années 80 en Europe.
– » les corrélations régionales évidentes entre les courbes de pollution atmosphérique par isotopes radioactifs, avec celle des cancers du poumon ou de la thyroïde » oui là-dessus pas de souci pour moi je vous crois sur parole.
Mais :
L’inhalation constante de fumée de tabac industriel est corrélée moyennement ou fortement à TOUS les types de cancers. Les cancers le plus fortement corrélés sont ceux de la bouche, le cou et les poumons, soit les endroits directement exposés à la fumée. Autres corrélations très fortes : parodontite et tabac ; infections et tabac ; carences en certaines vitamines et tabac ; accidents de la circulation sanguine et tabac ; fausses-couches/maladies à naissances et tabac ; dépression et tabac etc etc et une recherche google pourrait nous surprendre à ce niveau.
Sans compter par exemple que la nicotine montre in vitro des propriétés neurotoxiques évidentes.
Et que, comme je vous avait répondu ci-dessus, le tabac que l’on nous vend est radio-actif car les engrais minéraux utilisés pour le cultiver sont radio-actifs : https://lesmoutonsenrages.fr/2021/08/04/nucleaire-un-etat-des-lieux-partial-et-partiel/
Je vous en conjure, ne me dites pas qu’en 2021 je dois monter un dossier pour montrer l’évidence des raisons de considérer que la consommation constante de tabac commercial est extrêmement mauvaise pour le corps humain…
Autre chose serait de parler de l’usage chamanique et médicinal que font certaines cultures de certaines variétés de cette plante ; ou de l’art derrière la confections des cigares traditionnels ; etc mais vous ne me ferez pas voir dans le tabac commercial autre chose que le mal (sans parler des conséquences écologiques de tous ces champs de tabac très gourmands en eau alors qu’ailleurs les gens ont soif).
» les corrélations régionales évidentes entre les courbes de pollution atmosphérique par isotopes radioactifs, avec celle des cancers du poumon* ou de la thyroïde » oui là-dessus pas de souci pour moi je vous crois sur parole. »
*) …Aussi appelé: « cancer du fumeur »
Et bien voilà on est d’accord.
Pour le reste, je n’en disconviendrai pas. Mais cela reste secondaire. certes important, mais secondaire malgré tout.
Pour rappel, une seule particule de plutonium qui penettre dans les poumons suffit pour provoquer un invisible « point chaud ».
…Qui dégénérera en un cancer.
Un seule particule !
NB: Pour rappel, le NOX en est plein !
« Qui dégénérera en un cancer. Un seule particule ! » engel
Il ne doit pas y avoir beaucoup de particules de plutonium dans l’air :
« En France, environ 4 000 nouveaux cas de cancer de la thyroïde sont diagnostiqués chaque année, dont 75 % chez des femmes. »
De plus « Aujourd’hui, les scientifiques pensent donc que l’augmentation de la fréquence des cancers de la thyroïde est plutôt liée à un meilleur diagnostic »
« Certains facteurs de risque de cancer de la thyroïde ont été identifiés : »
https://www.vidal.fr/maladies/cancers/cancer-thyroide/frequence-risque.html
Le bien-heureux,
Passe ton chemin, tu ne m’intéresses point.
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Faut-il être complètement fou pour semer la mort et la désolation plus de 2000x et après nous demander de faire des efforts pour l’écologie ! Et nous a-t-on jamais demandé notre avis pour procéder à ces essais nucléaires ? L’histoire future nous décrira comme l’ère des inconscients destructeurs.
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