Source France-Soir
ENTRETIEN ESSENTIEL – Alors que le gouvernement vient de lancer une campagne pour briser le silence entourant l’inceste, et pour encourager toute personne « ayant le moindre soupçon » à appeler le 119, la justice continue à retirer la garde des enfants, à de nombreux parents déposant plainte pour violences sexuelles sur ces derniers. C’est une avocate, Vanessa Frasson, qui témoigne cette semaine du transfert de garde de sa fille âgée de 4 ans et demi, à son père soupçonné de violences conjugales et d’inceste. Une information judiciaire est ouverte pour ces faits.
Ce transfert de garde va à l’encontre des préconisations de la Commission indépendante sur l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants (CIIVISE), qui vient de rendre son rapport final, et préconise notamment la suspension de plein droit de l’autorité parentale durant le temps de l’enquête, en cas de suspicion d’inceste. Le père de l’enfant clame son innocence et accuse son ex-compagne de mensonges et de manipulation.
Que le père de la petite soit coupable ou pas, le témoignage de Vanessa Frasson est effarant. On ne peut que penser à celui de Sarah Kadi, publié cet été sur notre site, et qui a expliqué à nouveau les dramatiques conséquences du déni judiciaire dans le documentaire réalisé par Emmanuelle Béart et Anastasia Mikova, diffusé hier dimanche 24 septembre sur M6. …/…
Source France-Soir
Voir aussi :
Le nom des juge doit etre publié.
Dans ce domaine la justice est publique et transparente. Les noms ne sont pas secrets !
Ce ne sont que les protagonistes qui manquent de courage pour les publier.
Quand à l’école on apprend aux gamins que le touche-touche est normal et aux adultes que la sexualité des enfants est tout aussi normale, et qui plus est, qu’ils peuvent être les éducateurs sexuels de leurs enfants, comment faire comprendre à un père qu’il n’a pas à agir comme cela, qu’il doit respecter le corps de sa fille ou de son fils !
« Il paraît que ça se fait dans d’autres tribus ! » ai-je entendu.
Il serait temps que la morale revienne à l’école et que oui, comme le dit Thierry, que le nom des juges, et même des avocats pervers, soit publié. Mais aussi qu’il y ait des manifs devant les tribunaux.
Cette mère a raison de témoigner. Il en faut beaucoup d’autres.
Ca devient gonflant qu’on essaye d’imposer a des civilisation evoluées les pratiques barbares de sous developpés… Et j’applique a dessein ces mots…
A chaque fois que notre civilisation essaye de s’elever on remet le couvert:
– Impossible d’interdire les corridas – barbarie vs confort de vie animal
– impossible d’interdir les abattages communautaristes – Laicité vs ideologies religiieuses mpuenageuses et barbares
– impossible de proteger les enfants – protection des enfants vs pedophilie d’etat et religieuse
Marrede ces civilisations obscurantistes qui deprecient notre civilisation, avec la complicité des dirigeants et des francais collabios!
Titre absolument ambigu !
Dixit : « …de sa fille, suite à sa plainte pour inceste. »
En français le pronom se rapporte au dernier nom le précédent.
Dans ce cas, cela suggère que c’est l’enfant qui a porté plainte contre sa mère.
——
– Suggestion de titre sans équivoque :
« Nouveau témoignage d’une mère à qui on a retiré la garde de sa fille, pour avoir porter plainte contre son mari incestieux. »
Ca c’est juste de la rethorique grammaticale… C’est peanuts par rapport au fond de l’affaire!!!
Bonjour Mr Rigolo,
– Ecrire c’est communiquer, le titre est une accroche.
Il se doit d’être efficace et surtout, sans contre sens !
– Plus de 80%, pour ne pas dire 100% des lecteurs s’arrêtent au titre pour juger du fond de l’article et décider, si oui ou non, ils vont le lire.
Et encore, ça c’est pour les plus courageux, tandis que l’immense majorité en tirera une conclusion(fausse) sans lire le dit article.
– Il est vrai qu’un tel constat est « peanuts » pour celui qui ne sait y voir qu’une simple « rhétorique grammaticale »,…sous-entendant un simple et inutile moyen de se faire mousser(de ma pomme, bien sûr).
Pour ma part, j’y vois une société de plus en plus foireuse où l’individu considère que c’est à l’autre de faire l’effort.
Le titre aurait pu être » j’ai vécu avec un homme pendant 9 ans avec des violences conjugales, et nous décidons d’avoir un enfant » !!!
Bref je me suis arrêté à la première minute.
Aucun jugement sur l’affaire qui est tout simplement horrible, comme toutes les affaires traitant d’abus sur les enfants, lorsque les faits sont avérés.
j’ai un enfant (une fille), et le meilleur enseignement que je puisse lui donner, c’est d’apprendre au quotidien à identifier des situations de merde.
Sinon le bonjour aux moutons enragés que je suis depuis assez longtemps pour avoir l’impression de vous connaître