On ingère et on vomit.. Par Lediazec

Source Lediazec

Un citoyen normal, qu’est-ce que c’est ? C’est vous. C’est moi. C’est nous tous. C’est un ensemble cherchant à vivre de la manière la plus paisible, dans ce « monde idéal » qu’on nous apprend à bichonner depuis la naissance. Du moins, c’était ainsi, malgré des écarts frappants, jusqu’à ce que la politique vende définitivement son âme au diable.

Nous sommes des crédules conditionnés à croire en des choses insignifiantes, sauf en la vérité, quand celle-ci vient à nous frotter le nez. Tout, mais pas ça ! Apprendre, en effet, que le ciment de notre édifice mental n’est que mirage est proprement insupportable pour toute personne « normale » !

Un citoyen – vous, moi, nous tous – c’est quelqu’un qui ne veut pas de la guerre, même si parfois, il s’en réjouit quand on la fait chez le voisin pour des motifs grossièrement mis en scène par ceux qui l’ont fomentée. Parfois, parce qu’on la dit juste, elle procure ce frisson de plaisir qu’on éprouve entendant l’orage s’abattre pendant qu’on est à l’abri sous les couvertures.

Le citoyen a horreur de l’injustice, mais trouvera toujours des explications « logiques » au crime perpétré, pour peu que l’État, jamais avare de mensonges, lui fournisse les éléments de langage qui le rassureront. Il rêve de mondes merveilleux, le sien en particulier, chaque fois qu’il allume la télé ou déplie les pages de son journal « préféré », pour consulter la météo, les faits divers ou la rubrique nécrologique.

Ce journal, soumis aux ordres, qui ne vit que grâce aux subsides ponctionnés sur nos impôts et à la manne publicitaire de ceux qui veulent nous faire vacciner de force, manger des insectes à tous les repas et nous faire charcuter les parties génitales, parce que la nature a commis une erreur biologique en faisant de nous des hommes et des femmes.

Il croit vivre en liberté parce qu’il a remis son destin entre les mains d’un gang qui ne veut pas de ce dont il rêve, aime la guerre et fait tout pour la déclencher, accélérant simultanément le processus d’avènement du modèle URSS 2.0 dans sa version nazie.

Faire confiance aux élites, c’est s’adonner au plaisir masochiste à se faire hara-kiri, au point d’être convaincu d’avoir atteint honneur et plénitude. Un concept que l’on vend dans les fictions, accentuant par le fait la domination par la servitude.

Accepter la vérité telle qu’elle est, telle qu’on la dérobe à notre connaissance, c’est admettre que nous avons tout faux depuis notre naissance. Nous affranchir a un prix, si nous ne voulons pas devenir des choses entre les mains des esprits maléfiques qui dirigent et manipulent nos vies.

Ils font – ou veulent en généraliser la pratique – avec l’humain ce que celui-ci pratique avec les élevages de poulets : on prélève, selon la demande, un cœur, un pilon, un rein, les abats… Bref, on fait de la fricassée d’humains à tous les menus !

Et pour leurs loisirs, on arrachera les enfants aux parents, sous n’importe quel prétexte, on les éduquera selon un enseignement dit « neutre » pour en faire des objets sexuels de consommation courante et les offrit aux réseaux pédocriminels. Ceci n’est pas de la dystopie, c’est la terrible réalité.

La guerre n’est jamais faite pour défendre tel ou tel droit, son origine est toujours la même : rapine et pouvoir. Les bonnes intentions dont la propagande entoure cela, c’est le mensonge dont notre crédulité est le moteur.

Ainsi de la guerre que les Américains ont poussé la Russie à faire en Ukraine, prenant le continent européen pour le sac de frappe des boxeurs.

En réalité, l’objectif américain dans ce désastre, qui préfigure la destruction de l’Europe, n’est pas la Russie. Cette guerre est faite pour lui causer les plus grands dommages.

L’objectif américain de cette énorme manipulation stratégique c’est la Chine. Or, pour attaquer l’Empire du milieu, il faut empêcher la Russie de venir prêter main forte à la cible du jour en l’affaiblissant militairement.

Les experts n’étant pas dupes sur les véritables intentions des faucons américains dans le merdier ukrainien. Ils savent que l’objectif, c’est la Chine, et donc, le clou du spectacle !

Mais cela, les « grands spécialistes de plateau » ne le diront jamais !

Le monde d’avant ? J’aurais volontiers questionné ma grand-mère, mais elle n’est plus de ce monde.

Sous l’Casque d’Erby

Volti

2 Commentaires

  1. Bounjour. Merci Lediazec pour récapituler ou nous en sommes. Mon point de vu rejoint le tien. Je nous souhaite bien du courage et de la persévérance. Continuer à prendre soin de soi et de son entourage. Bonne journée.

    • Merci de votre commentaire. Que faire d’autre sinon redire, encore et encore. J’avoue une certaine lassitude, d’autant que j’ai horreur des redites. Comme l’écrivait Kundera : « Un jour, on sait et on comprend beaucoup de choses, mais il est trop tard, car toute la vie aura été décidée à une époque où on ne savait rien. »
      Le bon dimanche.

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