L’OPPORTUNITE DIVINE par Phil BROQ

Par Phil BROQ pour le Blog de l’Éveillé

 Chers lecteurs et amis, 

Cette année, plus que jamais, le Carême s’impose comme une nécessité absolue. C’est un appel, un cri du cœur dans un monde qui semble avoir perdu la boussole. Une époque où, chaque jour, les Français se débattent dans la marée de troubles sociaux, politiques et spirituels. Où l’on cherche des solutions à tout prix, mais où l’on oublie souvent l’essentiel : la pureté de l’âme. Oui, le Carême est cette bouée de sauvetage que nous ne pouvons pas ignorer. C’est un véritable acte de salut personnel, avant même de vouloir sauver le monde. Et, étonnamment, c’est gratuit, simple, et d’une puissance insoupçonnée.

Il est facile de tomber dans la tentation de se dire qu’il n’y a plus de place pour la religion dans un monde moderne, qu’il est plus « raisonnable » de se concentrer sur des solutions plus « pragmatiques ». Mais voilà, ce « pragmatisme » a bien montré ses limites, et le monde dans lequel nous vivons est aujourd’hui bien loin de l’idéal que nous souhaiterions. Alors pourquoi ne pas reprendre les rênes, non seulement de notre existence personnelle, mais aussi de notre histoire collective, en renouant avec les rites du Christ, en renouant avec les traditions séculaires qui ont bâti la grandeur de notre nation ?

La vérité, c’est que si nous voulons un monde plus pur, plus juste, plus sain, il faut commencer par nous-mêmes. Le Carême est un chemin de purification spirituelle. C’est un moment où l’on cesse de regarder seulement vers l’extérieur, vers ce qui nous déçoit ou nous fait peur, et où l’on commence à regarder à l’intérieur de nous-mêmes. Le Carême, c’est d’abord un retour à soi, un retour aux bases, un retour à cette pratique des vertus qui, bien que parfois délaissées, sont au fond de ce que l’on appelle une âme véritablement française. Si vous êtes véritablement Français, c’est-à-dire non seulement par la nationalité mais par l’âme, vous ne pouvez pas ignorer ce devoir. Non, il ne s’agit pas d’un simple « choix personnel », mais d’une responsabilité sacrée envers vos ancêtres, envers les terres qui vous ont vu naître, terres qui, depuis Jeanne d’Arc, appartiennent au Christ et à la Vierge Marie.

Rappelez-vous que la France, cette nation que vous aimez tant, a été consacrée à la Vierge Marie depuis Louis XIII, une consécration qui demeure, une promesse spirituelle inscrite dans l’Histoire. Cette terre, que l’on qualifie volontiers de « Fille aînée de l’Église », a été nourrie et protégée par la foi chrétienne au fil des siècles. Vos ancêtres, les ancêtres des Français, ont fait des sacrifices incommensurables pour que cette nation, malgré ses faiblesses et ses péchés, demeure un phare de lumière au cœur de l’Europe. Aujourd’hui, le Carême vous invite à honorer ce legs, à renouer avec cette tradition profonde et à préserver ce lien spirituel qui, à travers les siècles, nous relie à notre destinée chrétienne.

Et n’oublions pas Saint Michel, ce saint patron de la France, ce défenseur céleste qui veille toujours sur nous. Oui, malgré toutes les épreuves, malgré l’obscurité qui semble parfois tout engloutir, Saint Michel est toujours là. Il protège encore cette nation, même si nous avons parfois tendance à l’oublier. En pratiquant le Carême, vous ne vous contentez pas de vous sauver vous-même : vous honorez aussi cette protection divine et ce pacte mystique entre la France et le Ciel. Ce n’est pas là une simple cérémonie, c’est un acte profond, un engagement envers l’Histoire et la pérennité de notre nation.

Alors, pourquoi attendre ? Le Carême ne coûte rien, si ce n’est un peu d’effort et de sincérité. Pourquoi ne pas tenter l’expérience ? Qu’est-ce que vous risquez ? Une purification de l’âme, une élévation spirituelle, un rapprochement avec le Divin… et tout ça, gratuitement, simplement, sans aucune forme d’ostracisme ni d’entrave. Pourquoi ne pas revenir à ce qui a fait la grandeur de la France, ce qui a façonné son âme et sa place parmi les nations ?

Si vous vous considérez comme un vrai Français, un fils ou une fille des terres consacrées au Christ, un héritier ou une héritière de Jeanne d’Arc et de Louis XIII, vous avez un devoir envers vos ancêtres et envers ce pays qui vous a vu naître. Ce devoir, c’est de préserver votre âme et de continuer à marcher sur le chemin de la foi. Le Carême est ce chemin. Un chemin simple, pur, et immensément puissant, dont l’issue, loin de vous décevoir, pourrait bien être la plus grande des révélations.

Alors, faites ce premier pas. Demain, à l’église, offrez-vous ce luxe de renouer avec la tradition, d’honorer vos ancêtres, de restaurer l’équilibre en vous-même et dans le monde qui vous entoure. Le Carême n’est pas un fardeau. C’est une chance. Une chance de redécouvrir ce qui est fondamental et de retrouver ce qui a été perdu. Et si l’on n’y croit pas tout de suite, qu’importe. Il ne s’agit que de commencer. Ce premier dimanche du Carême pourrait être celui où tout change.

Alors, vivement demain et le premier dimanche du Carême… Cette journée que les satanistes qui nous gouvernent attendent avec autant d’enthousiasme qu’une bonne pluie d’hiver sur le moral déjà bien assiégé. 

Ce dimanche 9 mars 2025, c’est donc l’occasion rêvée de rejoindre vos frères et sœurs à l’église pour célébrer la « Quadragésime », ou plus justement l’Invocabit. Un mot qui sonne déjà presque comme une incantation divine, comme si en l’invoquant, tout ce qui cloche dans notre belle France allait se résoudre d’un coup. 

Mais qui sait ? À force d’invoquer, peut-être qu’on finira par être exaucés.

Vous ne connaissez peut-être pas non plus, vous tous, l’histoire de ce premier dimanche du Carême, qui est l’initiation à la grande aventure de la pénitence. Prière, aumône, jeûne. Rien que ça. Il est associé à une alternance de jours de jeûne complet et de jours d’abstinence (jours maigres). Lorsqu’on parle de jeûne, il ne s’agit pas seulement de nourriture, mais également de faire abstinence du mauvais qui passe par la tête, la bouche et le cœur. C’est à dire, jeûner pour l’esprit en s’abstenant des réseaux sociaux et en profitant de ce temps disponible pour prier et méditer sur soi et nos actions véritables dans ce monde ; jeûner pour la parole en s’abstenant de dire quoi que ce soit de médisant et négatif ; et jeûner pour le cœur en faisant des actions charitables tout autour de soi sans en attendre le moindre retour. Déjà, en faisant cela, vous participerez au bonheur du monde et à votre propre élévation.

Mais ce n’est pas non plus un marathon de souffrance gratuite, non, c’est surtout pour nous l’occasion d’un grand nettoyage intérieur avant de fêter Pâques dans toute sa splendeur. Si vous vous sentez un peu comme un vieux canapé poussiéreux, le cœur encombré de mille mauvaises habitudes, d’une indignation qui vous colle à la peau, c’est l’heure de commencer à passer l’aspirateur spirituel. 

Le Carême se termine par une période de jeûne et de célébrations plus intenses, la Semaine Sainte, qui précède la fête de Pâques. Le Carême doit être, pour les fidèles, une période d’approfondissement, de prière et de détachement des biens matériels en préparation de la fête de Pâques ; l’alimentation doit être plus frugale, avec en particulier une diminution des aliments d’origine animale.

Pourquoi ? Parce qu’il est grand temps de remettre de l’ordre dans ce chaos ambiant. Et commencer par celui qui est autant dans votre corps que dans votre esprit. Parce que ce sera l’esprit qui vaincra la matière. Et aussi, parce qu’il n’y a pas que le gouvernement et les mondialistes qui méritent de faire une grosse confession…

Invoquer le Seigneur, c’est un peu comme invoquer la Lumière dans cette obscurité où nous avons malheureusement pris l’habitude de nous vautrer. Et je vous promets que Dieu n’est pas du genre à faire attendre ceux qui ont réellement soif de pureté. « Il m’invoquera, et moi je l’exaucerai », a dit Notre Père. Vous avez donc la garantie qu’Il répondra… Sauf si, bien entendu, vous êtes trop occupés à geindre sur Twitter, à vous afficher sur Tik-Tok en perdant votre temps d’humanité sur internet !

Alors, à part cela, je ne vois vraiment pas ce qui vous retient de tenter cette opportunité Divine qui nous est offerte et remercier le créateur de toute vie – car si vous lisez ceci, c’est que déjà vous êtes en vie et rien que cela c’est merveilleux, n’est-ce-pas ? 

Alors, ce dimanche de la Quadragésime, c’est un premier pas essentiel vers ce que vous avez toujours rêvé d’avoir au fond de vous ! Imaginez une France libérée des parasites qui l’étouffent, une société où les vieux démons du passé laissent place à un renouveau lumineux, un moment de grâce et de partage avec des gens qui comme vous ne souhaitent que la paix et la possibilité de suivre une vie pleine et riche, faite de rencontres et de joie. Un moment Divin de communion avec des individus sains comme vous.  

Aux vues de ce qu’il se passe dans ce pays, ce n’est pas une simple question de foi, c’est devenu une question de survie. Vous voulez que ce pays se réveille ? Eh bien, commencez déjà par réveiller votre âme. Ce n’est pas un luxe, c’est une urgence ! Et si après ça vous n’êtes toujours pas convaincus, peut-être qu’il est temps de revoir votre définition de « priorités ».

Demain, mes amis, à l’église la plus proche de chez vous, on ne vous demandera pas de faire le premier pas vers la perfection – on sait que ce serait un peu trop ambitieux pour un dimanche matin. Mais faites au moins un premier pas vers vous-même. Faites au moins un pas vers un peu plus de pureté dans ce monde devenu fou. 

Parce que, qu’on le veuille ou non, à la fin de tout cela, la seule chose qui nous sauvera, c’est d’avoir su nous lever et chercher la Lumière. 

Alors, je vous souhaite un bon Carême !

Phil BROQ.

Blog de l’éveillé

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3 Commentaires

  1. Bonjour Phil, ton billet m’inspire de nombreuses réflexions, que je vais tenter de mettre en ordre…
    – l’Ange des Dialogues (Gita Mallaz) dit: « la cloche appelle à l’ancien office ». Point n’est besoin d’aller à la messe pour chercher en soi le Divin et la Nature permet aussi cette connexion.

    – Je préfère fréquenter l’église de mon village quand il n’y a personne.

    – Les messes sont souvent d’une nullité incroyable, où le prêtre débite d’un ton monotone ce qu’il lit, ce qui est contre-productif en matière d’élévation de l’âme. En fait, tu sors de là avec le sentiment du devoir accompli ! Aucun intérêt …

    – Ledit prêtre qui voudrait te confesser alors que les affaires de pédophilies empoisonnent l’Eglise.

    – Laquelle Eglise est une secte ! J’ai raconté une histoire ici, récemment, propre à prouver ce que je dis là.

    Je déplore tout cela alors que je suis tout à fait d’accord avec toi sur nos origines chrétiennes !
    Donc, personnellement, j’en reviens à l’origine qui est le Christ dans la mesure où « il vaut mieux parler à Dieu qu’à ses saints ». Surtout quand les « saints » en question ne jurent que par les « canons » de leur Eglise, occultant les paroles du Christ.

    Un exemple: dans le credo, il est dit: je reconnais un seul baptême. OK, mais lequel ? Celui du Christ ? Eh bien non, pour cette Eglise, c’est LE baptême de l’Eglise catholique romaine, qui est pour elle la seule et l’unique Eglise. Alors que pour une autre, orthodoxe celle-là: « tous les baptisés en Christ peuvent venir communier ! »
    (Je ne dis pas pour autant qu’il en est de même dans toutes les Eglises orthodoxes, bien sûr).

    • Bonjour Biquette,
      Et merci encore pour tes commentaires. Je comprends parfaitement tes réflexions et ton ressenti, et je voudrais te partager aussi une pensée qui me semble essentielle. En effet, le Christ nous invite à regarder au-delà des faiblesses humaines et des défaillances institutionnelles. de plus, il n’a jamais promis que les hommes qui dirigent l’Église seraient exempts d’erreurs, bien au contraire, il vient pour guérir les pécheurs avant tout.. Dans les Évangiles, nous voyons aussi Jésus réprimander sévèrement ceux qui utilisent la religion pour des fins personnelles, les hébreux notamment, et il est très clair sur le fait que ce n’est pas l’institution elle-même qui doit être le centre de notre foi, mais bien Lui, le Christ dont l’église doit être dans nos cœurs. Il nous montre que ce qui compte avant tout, c’est notre relation personnelle avec Dieu et la manière dont nous essayons de vivre selon l’exemple qu’Il nous a donné en souscrivant avant tout à l’amour, la compassion, le pardon, et la recherche de la vérité.
      Oui, il y a de nombreuses failles et des dérives dans l’Église, et surement moins que dans les synagogues orthodoxes, mais il est trop facile de se focaliser sur ces imperfections comme si elles étaient représentatives de la foi chrétienne elle-même. Il suffit de regarder la société en dehors de l’Église pour se rendre compte que des comportements pédophiles ou au moins répréhensibles existent partout, en masse et surtout chez des personnes qui ne sont pas liées à une institution religieuse, comme les francs-maçons, par exemple ou chez nos chers élus…
      Quant à la messe ou à la pratique religieuse, je comprends que l’expérience puisse être décevante dans certains cas, mais l’important réside dans la communion et la paix qui est sur nous à ce moment là, plus que dans le sermon, là aussi !
      Donc, la véritable question est de savoir comment vivons-nous notre foi au quotidien ? Le Christ ne cherchait pas à nous imposer une religion, mais à nous inviter à vivre selon l’amour de Dieu et à suivre ses enseignements. L’essentiel est là ! Il demande seulement de croire en Dieu et de se tourner vers l’exemple du Christ, peu importe où et comment nous choisissons de le faire. Il faut juste le faire en son âme et conscience, c’est à dire avec notre libre-arbitre.
      En ce qui concerne le baptême et d’autres pratiques, il faut se rappeler que l’Église, quelle qu’elle soit, n’est qu’un instrument au service de la foi et non un but en soi. Le baptême que nous recevons dans le Christ nous unit tous, bien au-delà des divisions humaines, puisqu’il nous lave et nous permet de renaître à la vie et à la vérité. Le plus important, à mon sens, est de vivre cette foi avec sincérité, intégrité, humilité et d’agir toujours selon ce que notre cœur, purifié par le baptême et renforcé par la communion, nous dicte grâce à l’esprit saint.
      Ainsi, même si l’Église a ses défauts, ce n’est pas cela qui doit être notre point de référence. Le carême nous appelle à dépasser ces imperfections humaines, à nous purifier, à réfléchir sur nous-même et à tester l’abstinence du superflus pour aller vers l’essentiel.
      L’exemple de Jésus est celui d’une vie entièrement donnée, sans compromis, pour le bien des autres, et c’est dans cette voie que nous devons chercher à le suivre en pratiquant cette période de 40 jours de recentrage et de purification du corps, de l’âme et de l’esprit.
      Et je souhaite sincèrement que Dieu nous guide tous sur ce chemin, au-delà des institutions et des apparences, pour vivre une foi authentique et centrée sur l’amour du Christ. Bien à toi.

  2. Bon Carême à tout le monde https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_heart.gif

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