Pierre Jovanovic :“Nous sommes dirigés par des crétins qui veulent détruire le peuple !” | GPTV

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Le 19 décembre à 9h, Pierre Jovanovic et Raphaël Besliu sont les invités de Nicolas Stoquer et Lara Stam dans le Libre Journal de Géopolitique Profonde !

Pierre Jovanovic est un journaliste économique, éditeur et éditorialiste français, auteur d’essais historiques, théologiques, financiers et politiques. Il anime sa chaîne Youtube Pierre Jovanovic – La revue de presse et vient également de publier 888 : « L’humour noir et les pouvoirs surnaturels du Christ ». Grand défenseur de l’or et l’argent métal comme valeur refuge, il nous aidera à y voir plus clair dans ce sombre avenir économique qui nous tend les bras.

Les ZFE et passoires thermiques : un système contre les classes populaires

Les zones à faibles émissions (ZFE) et les interdictions sur les passoires thermiques classées G imposent des sacrifices disproportionnés aux classes populaires. Ces mesures, sous couvert de transition écologique, instaurent une véritable ségrégation sociale. Les habitants des zones périurbaines et rurales, déjà pénalisés par la hausse du coût de la vie, se retrouvent exclus des centres-villes et étranglés par des obligations financières inatteignables.

Les petits propriétaires doivent engager des rénovations énergétiques souvent estimées à plusieurs dizaines de milliers d’euros, sans aide suffisante de l’État. Quant aux locataires, ils subissent des loyers en hausse ou l’impossibilité de se loger décemment. Un piège économique se referme, excluant une part croissante de la population de l’accès à un habitat stable et de qualité. Ces politiques punitives rappellent les prémices de la révolte des Gilets jaunes, où l’injustice sociale face aux décisions technocratiques avait provoqué une explosion de colère.

Les gouvernements continuent de négliger ces signaux d’alerte, renforçant un sentiment d’abandon. Les ZFE, en particulier, symbolisent une fracture entre des élites urbaines privilégiées et une majorité silencieuse sacrifiée. La colère s’enracine, et les conséquences politiques de ce mépris pourraient être majeures.

Incendies en Californie : une faillite de la gouvernance démocrate

Les incendies dévastateurs en Californie révèlent les échecs cuisants de la gestion démocrate. Depuis des années, la mauvaise gestion des forêts, aggravée par des politiques de prévention insuffisantes, expose la région à des catastrophes répétées. Chaque année, des centaines de milliers d’hectares partent en fumée, des milliers de familles perdent tout, et les dommages économiques se chiffrent en milliards.

Le gouverneur californien persiste dans des politiques déconnectées des réalités du terrain. Pire encore, l’accent mis sur des critères idéologiques comme les quotas LGBT pour le recrutement des pompiers détourne l’attention des compétences techniques nécessaires pour faire face à ces crises. Ces politiques fragilisent les capacités opérationnelles des secours, alors même que les défis environnementaux s’intensifient.

Ce déclin s’inscrit dans un schéma plus large, comparable à celui de Boeing, autrefois fleuron de l’industrie américaine. À l’instar de l’aviation civile, la gestion publique californienne est minée par des priorités politisées au détriment de l’expertise. Les incendies deviennent alors le reflet d’une société où la recherche de résultats concrets est sacrifiée sur l’autel des slogans.

Nouvelles menaces sanitaires : la peur comme arme de contrôle

Une nouvelle épidémie se profile, accompagnée d’une communication alarmiste des autorités. Plutôt que d’adopter des mesures claires et anticipées, les gouvernements européens s’enlisent dans une gestion par la peur, multipliant les annonces anxiogènes et entretenant une confusion générale. Cette stratégie, déjà éprouvée lors des crises passées, vise à maintenir les populations sous contrôle et à éviter toute remise en question de l’ordre établi.

En France, les rumeurs de reconfinement s’intensifient. Les scénarios catastrophes, relayés à outrance par les médias, alimentent une paralysie collective et une méfiance croissante envers les décideurs. Les citoyens, déjà éprouvés par les crises précédentes, n’ont d’autre choix que de se préparer à l’imprévisible. La perte de confiance dans les institutions est telle que toute nouvelle mesure est perçue comme une tentative d’étouffer les libertés.

L’oligarchie, dépassée par des crises qu’elle ne maîtrise plus, s’appuie sur une rhétorique de l’urgence pour masquer son impuissance. La peur devient un outil de gouvernance, détournant l’attention des vrais problèmes structurels. Mais cette stratégie a ses limites : la résilience des citoyens, couplée à une exigence croissante de transparence, risque de faire éclater cette mécanique bien huilée.

Trump, un tournant pour l’ordre mondial

L’investiture imminente de Donald Trump, élu 47e président des États-Unis, ouvre une nouvelle ère pour la politique internationale. Avec un discours sans concession et des positions affirmées, Trump incarne une rupture totale avec le consensus mou des années précédentes. Sa vision se concentre sur les intérêts nationaux américains, quitte à bouleverser l’ordre établi et à redéfinir les alliances traditionnelles.

Trump entend imposer une Amérique plus forte et moins conciliante, capable de rivaliser avec ses adversaires stratégiques tout en exigeant davantage de ses alliés. Ce retour d’un leadership assumé, combiné à une approche pragmatique, promet de redistribuer les cartes sur l’échiquier mondial. Pour l’Europe et le reste du monde, ce mandat marque le début d’une période de réajustement face à une Amérique déterminée à regagner sa place dominante.

Pour beaucoup, cette investiture dépasse le cadre américain. Elle annonce un tournant historique où la compétition entre puissances s’intensifie. Trump, fidèle à son style, impose une vision binaire du monde : des alliés utiles ou des adversaires à contenir. L’Europe devra choisir entre l’adaptation ou la marginalisation.

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Un Commentaire

  1. Il n’est pas certain que cette analyse soit correcte complètement. Les Maîtres du Monde (ceux qui tiennent les rênes des trois ou quatre plus grands Fonds)

    Blackrock (U.S) : 9,07 billions de dollars sous actif
    Vanguard Group (U.S) : 7,9 billions de dollars sous actif
    UBS groupe (Switzerland) : 3,52 billions de dollars sous actif
    Strate street global advisors (U.S) : 3,05 billions sous actif
    Fidelity investments (U.S) : 2,92
    Allianz group (Allemagne) : 2,53
    JP morgan (U.S) 2,51
    Goldman Sachs : 2,06
    Bank of new york Mellon (U.S) : 1,96
    PIMCO (U.S) 1,92
    Morgan Stanley (U.S) : 1,9
    Amundi (France) : 1,79
    peuvent dicter leurs exigences au monde entier, donc ce sont eux qui peuvent donner l’impression d’incohérence, alors qu’il n’en est rien. Car les plus importants de ces fonds sont cornaqués par les mêmes deux ou trois « grandes familles », pas plus. Quand il s’agit de stratégie, nul doute qu’elles s’entendent. On les connaît, ce sont ceux qui n’apparaissent pas dans le classement Forbes.
    Au risque de passer pour « complotiste », il est assez facile de conjecturer que « la feuille de route » est tracée depuis longtemps, et que le but presque insensiblement est de faire disparaître tous ceux « qui ne sont pas utiles », soit plus des neuf dixièmes de la population actuelle du globe. Ne resteraient que ces familles-là, et ceux qui seraient là pour les servir, ainsi qu’un gros panel de robots. Service direct : des humains encore plus policés que des robots, plus prévenants, et puis le contact physique avec un robot, c’est tout de même un peu froid.
    Ces familles ont le temps : il y a déjà plusieurs centaines d’années qu’elles se préparent. Quelques dizaines de plus, quelle importance !
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    Et les humains ne réagissent pas, ou si peu d’entre eux ! On a le droit de se demander : pourquoi ?

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