Hommage : Alain Delon, la légende du cinéma français est mort | GPTV Actu

Par Géopolitique-Profonde

Mike Borowski rend hommage à Alain Delon, le célèbre acteur français décédé ce jour à l’âge de 88 ans, sur GPTV Actu.

La France perd sa dernière grande star mondiale

Alain Delon, cette figure emblématique du cinéma français, n’était pas seulement un acteur; il était le visage d’une France qui s’affichait fièrement dans le monde entier. Avec son charisme et son talent, il a su incarner des rôles marquants et s’imposer sur la scène internationale, en particulier en Asie, où son nom résonne encore comme une légende. Sa disparition marque la fin d’une ère, celle où la France exportait ses valeurs, sa culture et son cinéma à travers des icônes telles que Delon.

Aujourd’hui, ce même cinéma semble avoir perdu de son éclat. La France, jadis représentée par des stars mondiales, ne semble plus avoir de figures d’envergure internationale. Les acteurs d’aujourd’hui, souvent englués dans le discours du mondialisme, peinent à captiver au-delà des frontières du boulevard Saint-Germain. À l’inverse de Delon, qui finançait lui-même ses films et défendait une certaine vision de la France, les stars actuelles sont souvent dépendantes des financements publics du CNC, une institution qui encourage un cinéma formaté et politiquement correct.

Les acteurs actuels, porte-paroles d’un discours mondialiste

En observant la scène cinématographique actuelle, il est difficile de ne pas constater la dégradation du prestige et de l’indépendance qui caractérisaient autrefois les grands noms du cinéma français. Contrairement à Delon, qui était un homme libre, avec des opinions tranchées et un parcours marqué par des choix forts, les acteurs d’aujourd’hui semblent plus préoccupés par la conformité à une idéologie mondialiste que par la défense de la culture française.

Cette situation s’est encore accentuée durant la dernière plandémie. Durant cette période, nombreux sont les artistes qui ont relayé le discours officiel sans jamais remettre en question les directives, se conformant ainsi au moule de la gauche-caviar par ailleurs promue par des entités comme l’Open Society de George Soros. Peu d’entre eux ont fait preuve d’intégrité ou de résistance face à cette uniformisation des pensées.

Un cinéma dépendant des financements du CNC

Alain Delon représentait une époque où les acteurs n’étaient pas seulement des artistes, mais aussi des figures influentes et indépendantes. Il finançait lui-même ses films, choisissait ses projets avec soin, et ne dépendait pas du CNC pour exister. Aujourd’hui, rares sont ceux qui ont cette liberté. La plupart des acteurs actuels ne sont connus que dans un cercle restreint, une élite parisienne déconnectée des réalités du pays. Ils sont les produits d’une machine culturelle qui privilégie la conformité à l’audace, la subvention à l’indépendance.

Le contraste avec Delon est saisissant. Ce dernier incarnait la parole libre, l’esprit rebelle et la défense d’une France authentique, celle du terroir et des traditions. Il était ami avec Jean-Marie Lepen, affichait sans complexe ses opinions de droite, et n’hésitait pas à critiquer ceux qui, selon lui, trahissaient les valeurs de la France. À l’opposé, les acteurs comme Kad Merad ou Kev Adams, figures de proue du cinéma actuel, semblent bien loin de cette vision. Leur humour et leur jeu n’ont d’écho que dans un microcosme bien-pensant, loin des préoccupations de la vraie France.

Alain Delon : Un défenseur de la France vraie et libre

La disparition d’Alain Delon laisse un vide immense dans le cinéma français. Mais plus encore, elle symbolise la perte d’une certaine France, celle qui n’avait pas peur de se montrer telle qu’elle est, de défendre ses valeurs et de s’opposer à la pensée unique. Delon était un homme de conviction, un acteur qui conchiait ceux qui n’aiment pas la France, la vraie, celle du terroir, des traditions, de cette France qui se réveille au chant du coq et qui refuse de se plier aux diktats d’une élite déconnectée.

Avec Delon, c’est la France libre qui disparaît, celle qui parlait au cœur des gens et non à l’intellect des élites. Une époque se termine, et avec elle, une certaine idée de ce que la France représentait dans le monde.

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8 Commentaires

  1. Oui, c’est sûr, des noms comme Delon, aujourd’hui il n’y en a tout simplement plus. Il est loin le temps de “Atmosphère, atmosphère” qui apportait tout le charme de l’Hôtel du Nord, de la mémorable scène de la cuisine dans les Tontons flingueurs, mais aussi de la terrible ambiance de Deux Hommes dans la Ville ou de Week-end à Zuydcoote.
    .
    C’est bien pourquoi mes enfants avaient tant insisté pour que je couche sur le papier certains souvenirs…. ça vaut ce que ça vaut, j’avais même pris la peine de l’éditer (auto-édition via la plate-forme Lulu) et de satisfaire au dépôt légal. Ainsi, bon gré mal gré, il y aura des traces d’un passé pourtant pas si lointain, et à la fois tellement différent de ce qu’on vit aujourd’hui ! Un passé qui a disparu au début des années soixante-dix à peu près.
    Je note que le prix de l’impression a explosé
    https://www.lulu.com/shop/jean-claude-cousin/il-avait-des-lunettes-et-une-t%C3%AAte-ronde/paperback/product-1p7ye9p7.html?page=1&pageSize=4
    alors que je ne prends pas un centime de “droits d’auteur”. Mais ceux qui le veulent peuvent se contenter de la version PDF :
    https://ti1ca.com/569xsb-lunettes-et-tete-ronde-te-teronde05.pdf.html
    .
    Là-dessus il fait plus frais, et je m’en trouve bien. Il va faire beau.

  2. – Ne pas trop idéaliser cet arriviste, qui réussira même à interdire l’édition de sa propre biographie, bien trop dérangeante à son gout.

    – Par contre en tant qu’acteur, il n’y a rien à redire.
    Un dernier géant de l’ancien monde s’est éteint. Reste plus que l’insipide conformisme sans âme ni talent.

  3. Bonne réflexion de Borowski sur les conséquences liées à la génération 68 qui fut organisée déjà par les amerloques (eh oui !! encore eux !) pour briser le général de Gaulle qui était sorti de l’OTAN et ne voulait pas de l’Europe. On ne le savait pas mais c’était une révolution de couleur.
    Un homme honnête car les finances étaient au top et ils vivaient simplement à l’Elysée. C’est effectivement une partie de cette génération qui a du voté le Macron d’aujourd’hui et qui soutient un wokisme américanisé et uniformisé sans racines et acculturé. On regrette le cinéma d’un michel Audiard, grivois mais jamais vulgaire, des scénarios qui tenaient la route, le vrai cinéma à la française.https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_cry.gif

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