« Des moyens de contrôle effrayants sont mis en place par le gouvernement », Philippe Murer, économiste

Source TheEpochTimes via Aphadolie

Philippe Murer est économiste, spécialiste des questions liées à la souveraineté économique, à l’environnement et à l’énergie.

Il est l’auteur de « Comment réaliser la transition écologique : un défi passionnant » (Éditions Jean-Cyrille Godefroy, 2020) et de « La Transition énergétique : une énergie moins chère, un million d’emplois créés » (Éditions Fayard, 2014).

Il a également coécrit avec l’économiste Jacques Sapir une étude consacrée aux « scenarii de dissolution de la zone euro » pour la Fondation Res Publica en 2013.

Epoch Times France a rencontré Philippe Murer pour évoquer différents sujets en lien avec l’actualité et l’économie.

La mise en place du Pass sanitaire est-elle un premier pas vers un système de crédit social à la chinoise ? Constitue-t-il un préalable à la normalisation du port d’une identité numérique et au développement d’un « capitalisme de surveillance » ?

Les mesures de soutien de l’économie prises par le gouvernement pendant la crise ont-elles été efficaces et proportionnées ? Quel est le bilan du « quoi qu’il en coûte » ? Les prévisions de croissance de Bercy sont-elles réalistes ? Comment rembourser la dette Covid ?

La hausse des prix observée dans plusieurs secteurs de l’économie est-elle temporaire ? Quel est le rôle joué par les banques centrales dans l’inflation ? Quelles sont les causes des différentes pénuries constatées ces derniers mois ?

Faut-il s’en inquiéter ?

Source :

https://fr.theepochtimes.com/philippe-murer-des-moyens-de-controle-effrayants-sont-mis-en-place-par-le-gouvernement-1864530.html

5 Commentaires

  1. Demander à un lobotomisé de se réveiller relève de l’improbable absolu.
    Il y aura certainement des mutants– faculté que mère nature a léguée à toutes les espèces vivantes afin de leur permettre de se pérenniser en conditions de changements extrêmes de leurs conditions édaphiques de survie– qui sauront s’adapter à toutes ces tentatives de camisolage de notre espèce.
    La question qui alors mérite d’être posée est celle des survivants ayant préservé leur ADN originel ainsi que leur capacité de reproduction pour justement produire des mutants ??
    Et c’est peut-être sur ce chapitre que certains d’entre nous auront une mission à remplir.

  2. Vidéo très intéressante et instructive toute comme celle de Philippe Herlin pour Epoch Times également :

    https://www.youtube.com/watch?v=7IqfX8yK8rM&ab_channel=EpochTimesFrance

  3. Oui, une vidéo très intéressante avec un intervenant clair. Je distingue une grosse part d’incertitude au niveau économique, et une grosse part de certitude au niveau de la surveillance.
    En attendant une hypothétique réaction patriotique de nos concitoyens, notre gouver-qui-ment se prépare par tous les moyens possibles: surveillance des rues, objets connectés en tous genres, 5G, drones, engins de guerre…
    « Quand Paris se met en colère »… oh là là… il est bien loin de temps-là… et Marseille ? et Lyon ? Où êtes-vous ?? https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_unsure.gif

  4. Les moyen de contrôle sont en place depuis longtemps, et consistent, de façon machiavélique, à vous laisser vous-mêmes transformer la société et votre vie en une immense prison dont les murs se réduisent un peu plus chaque jour, au seul profit des banques et de leurs multinationales.
    Ce système pervers, appelé « démocratie », a été mis en œuvre par la caste des « prédateurs financiers sans scrupule » lorsqu’il a été décidé de renverser, une fois pour toutes l’ordre politique en vigueur dans les pays européens, c’est-à-dire au moment des Révolutions du XVIIIe siècle.
    La démocratie est le vêtement dont se pare le pouvoir sous le prétexte qu’existe une représentation populaire. Mais cette représentation est, dans les faits, c’est-à-dire concrètement, catégorielle et non pas populaire parce que contrôlée par des partis politiques sous influence des puissances d’argent.
    Les hommes dits politiques n’ont rien de « politique », ils sont des « hommes de paille », des « hommes-liges », véritables courroies de transmission des « banquiers », réels donneurs d’ordres.
    En effet, le parti qui gagne les élections, et plus généralement « les partis dits de pouvoir » détiennent en réalité les rênes du pouvoir législatif et du pouvoir exécutif. Il en résulte que la séparation des pouvoirs est, structurellement, une apparence contraire à la réalité : alors que l’apparence prévoit des pouvoirs séparés, la réalité donne tous les pouvoirs, sans aucun contrepouvoir institutionnel, aux seuls « fournisseurs de capitaux », c’est-à-dire aux entités qui financent les partis politiques lors de perpétuelles et incessantes élections. Des élections auxquelles on vous encourage toujours vivement de participer, et qui légitiment, grâce au leurre du « suffrage universel », toutes les actions à venir de ceux qui les gagnent ; actions qui vont systématiquement, et de manière assez évidente, surtout aujourd’hui, contre les intérêts du pays et donc de ceux du peuple.
    Le « suffrage universel », rappelons-le, c’est l’opinion de la majorité qui est supposée faire la loi ; mais ce dont on ne s’aperçoit pas, c’est que l’opinion est quelque chose que l’on peut très facilement diriger et modifier ; on peut toujours, à l’aide de suggestions appropriées (sondages, attentats, pandémies, etc.) y provoquer des courants allant dans tel ou tel sens déterminé. C’est ce qu’on appelle la « fabrication du consentement ». Et les médias de masses (Presse écrite, TV, radio, cinéma, jeux vidéo, publicité, affichage urbain, sites web, blogs, les « wiki », etc.), la plupart « subventionnés » à cet effet, aidant grandement à la manœuvre.
    C’est pour cela qu’on a pu dire que « l’opinion, c’est l’erreur du plus grand nombre ».
    Ceci permet aussi de comprendre pourquoi le pouvoir politique se fonde volontiers sur l’ignorance du peuple et s’accroît d’autant que les esprits sont faibles, les gens incultes.
    Il résulte de l’actuelle subversion du pouvoir politique et institutionnel une omnipotence de l’État doublée d’une centralisation abusive, deux manifestations hostiles au développement harmonieux de l’espèce humaine :
    Primo, l’excès de centralisation nuit ontologiquement à la diversité culturelle humaine ;
    Secundo, l’omnipotence étatique nuit quant à elle à la liberté, à l’intégrité et à la créativité des individus.
    Ces deux nuisances ayant pour effet direct et indirect une disparition des notions d’équité, de justice et in fine de civilisation.
    Suite : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/

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