Sociétés secrètes, Etat profond, lobbies, Covid-19

Source : Réseau- international via Observateur-Continental

Le Général français (2S) Dominique Delawarde – Ancien chef «Situation-Renseignement-Guerre électronique 19» à l’état-major interarmées de planification opérationnelle, expert de la guerre cybernétique, a écrit un texte concernant l’actualité brûlante sur les sociétés secrètes et l’Etat profond aux USA, et ailleurs dans le contexte de la communication de guerre sur la Covid-19. 

Dominique Delawarde évoque tout d’abord le témoignage de l’ancien président des Etats-Unis: John Fitzgerald Kennedy. Ce témoignage peut être entendu dans la forme d’une vidéo publié par le général, un document d’archive de 5 minutes qui paraît à l’ancien général français essentiel pour bien comprendre ce qui se passe aujourd’hui dans le monde. Il rajoute qu’ il s’agit d’un discours (sous-titré en français) du président J.F.K prononcé le 27 avril 1961, peu avant son assassinat.

L’expert français précise que «ce président disposait, pour étayer son discours, d’énormes moyens pour savoir ce qui se passait vraiment dans les coulisses de son pays et dans celles du monde» et que «s’il dénonçait avec autant de force l’influence maléfique de  »sociétés secrètes », c’est qu’il savait de quoi il parlait». «Son propos n’est donc pas anodin. Il doit être pris au sérieux aujourd’hui comme hier, aujourd’hui peut être plus qu’hier», martèle le général.

J.F.K n’est pas le seul président des Etats-Unis à avoir évoqué ces sociétés «secrètes», ces lobbies souvent transnationaux, qui influencent le cours des événements sur la planète et qu’ avant lui, le président Eisenhower avait mis en garde son pays, le 17 janvier 1961, contre l’influence potentiellement néfaste de ce qu’il appelait alors: «le complexe militaro-industriel».

Après lui, le président Donald Trump a, lui aussi, combattu ce qu’il a appelé , «l’Etat profond», contre lequel il a mené une lutte sans merci, lutte qui n’est probablement pas terminée, explique Dominique Delawarde, invitant d’écouter une émission télévisée d’enquête sur «l’Etat profond» ou «deep state» qui permet d’aller au fond des choses: Enquête spéciale complète: Donald Trump contre The Deep State. 

Bien sûr, on ne peut évoquer sereinement ces sujets sans être accusé de «complotisme» par la meute des médias mainstream occidentaux, devenue une auxiliaire fidèle et privilégiée de cet «Etat profond» qui en a pris progressivement le contrôle, et qui fait et défait aujourd’hui les présidents des grands pays occidentaux, met en garde Dominique Delawarde.

Il précise que ce sujet est d’une importance capitale et d’une actualité brûlante et qu’ «il doit constituer l’arrière plan de toute réflexion sur les grands événements qui concernent aujourd’hui la planète qu’ils relèvent de la géopolitique, de l’économie, de la crise sanitaire, de l’espionnage des grands dirigeants de ce monde».

Introduisant l’emploi du logiciel espion Pegasus, l’officier français à la retraite relate «le pouvoir des lobbies transnationaux et mondialistes, renforcé par la technologie et la corruption des élites nationales promues et «tenues» par ces même lobbies, atteint aujourd’hui un niveau inégalé, à ce jour, dans l’histoire de l’humanité». Il continue en prenant pour exemple les évènements du 11 Septembre 2001 aux Etats-Unis qui avaient permis à l’exécutif, surfant sur la peur entretenue par les média, de mettre en place des mesures liberticides au prétexte d’une meilleure «sécurité nationale» (Patriot Act).

En effet, le Patriot Act était prévu pour une durée initiale de 4 ans. Mais le nombre de ces mesures ont été prolongées et restent encore en vigueur aujourd’hui.

Vingt ans après, en France, la «pandémie de la Covid-19» constitue aujourd’hui, un prétexte pour un exécutif qui surfe également sur la peur entretenue par les média, pour imposer, en force, des mesures toujours plus liberticides allant jusqu’à l’instauration d’un pass sanitaire permettant un meilleur contrôle d’une population réputée «indocile». Nul ne connaît vraiment aujourd’hui la durée pour laquelle ce pass sera établi (En Israël, ce «green pass» a duré trois mois avant d’être abandonné), et jusqu’où iront les mesures privatives de liberté qui lui sont attachées. 

Dominique Delawarde signale que celui-ci notera que l’importance donnée à l’affaire de la Covid-19 n’est ,évidemment, pas sans lien avec la corruption, les conflits d’intérêt et l’incompétence qui caractérisent l’élite autoproclamée qui gouvernent certains pays et certaines organisations internationales et les lobbies complices qui contrôlent la meute des média mainstream dans ces mêmes pays. Cependant, l’expert annonce une bonne nouvelle: «C’est que certains pays savent encore raison garder (ou retrouver) en s’écartant résolument du mauvais exemple donné par la gouvernance française».

Israël l’a fait dès le 1er juin dernier  et le Royaume Uni a suivi le 19 juillet.

Et aux Etats-Unis, la quasi totalité des 50 Etats de l’Union s’opposnet à l’instauration d’un pass sanitaire. Ainsi, «seul l’Etat de New York a tenté l’expérience du pass sanitaire sur la base du volontariat». Il faut noter que cet Etat s’est distingué par une gestion calamiteuse de l’épidémie, gestion qui le place sur la 2ème marche du podium des Etats-Unis pour le taux de mortalité par million d’habitants. 

Cet expert impliqué dans l’analyse des faits géopolitiques depuis de nombreuses années utilisant son expertise issue de son domaine de travail dans l’armée française à un haut poste cite des grandes organisations internationales comme l’OMS et le Conseil de l’Europe qui, «se sont prononcés clairement et fermement contre toutes les mesures de coercition visant à imposer la vaccination».

Dénonçant la politique en France et ce bombardement médiatique en France, il constate que de nombreux vaccinés «sous contraintes gouvernementales» se joignent aujourd’hui aux vaccino-sceptiques dans les manifestations contre le passeport vaccinal et qu’ «ils feront probablement payer électoralement ces mesures disproportionnées, à ceux qui aimeraient bien se présenter en «sauveur de la patrie», dans leur pari fou du pass sanitaire, comme ce fut le cas en Israël pour le malheureux  Benjamin Netanyahou et son green pass, à la fin de mars dernier.

Pour Dominique Delawarde il faut attendre et voir (wait and see). 

 Dominique Delawarde

Source: https://reseauinternational.net/societes-secretes-etat-profond-lobbies-covid-19/

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