Marre d’être heureux, pas vous ? | Par Lediazec

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Les campagnes contre l’homophobie se multiplient, comme si la société était engagée dans une guerre de cent ans sur une pratique sexuelle ancestrale désormais banalisée.

On vous demande de porter des signes distinctifs, symbole de soumission aux nouvelles règles du ministère de la Vérité ! Un concept politique qu’on impose dans tous les milieux sociaux et lors des manifestations sportives où le public est nombreux, afin de généraliser la pensée unique. À l’instar de l’ex-Union soviétique et de la Chine maoïste, que les gauchistes fanatisés de la décennie 1970/80 cachaient pudiquement sous les écharpes rouges lors des campagnes de prosélytisme décomplexé.

Un moule pour chacun et tous dans le même moule, c’est la grande reconfiguration des cerveaux !

Le refus de porter un signe distinctif n’implique pas nécessairement l’homophobie, l’antisémitisme ou le racisme. Par exemple, je refuse de porter des t-shirts imprimés, parce que je ne suis pas un homme-sandwich. Mais je n’oblige personne à suivre mon exemple !

Hommes, femmes et enfants ne suffisent plus à appréhender un monde qui sombre dans la folie au nom d’une déchéance programmée ! Il faut quelque chose de nouveau, de créatif, de bien dégénéré pour se sentir quelqu’un d’important. C’est le prix à payer pour être dans l’air des nouveaux temps barbares ! 

Les regrets viendront plus tard, quand nous aurons oublié jusqu’à la notion d’espoir ! Quand nous aurons subi toutes les infamies  et accepté la dépopulation comme une forme de vaccination contre la démographie !

Le problème migratoire, orchestré par la galaxie Soros et politiquement appuyé par l’UE, sans autre règle que celle de mettre en place une politique du naufrage ! S’y interroger sur les dérives et les conséquences générées par ce flux continu, n’implique pas de l’hostilité, comme on cherche à le faire croire en crachant sur les gens du pays qu’un certain personnage du showbiz traite avec haine de « fin de race » ! Les excuses qui ont suivi ne servant qu’à souligner l’immense mépris qu’il éprouve pour le pays qui le nourrit !

Plus on désarçonne l’individu, plus on le dépouille et l’enfonce dans la boue, plus on l’entraîne vers l’indifférence, et plus docilement il intégrera la nécessité de se saborder en tant que personne. 

Rien ne fait tant frissonner l’être nourri à l’aliment consumériste que l’idée d’une agression imaginaire, comme celles que l’on regarde sur les plateformes de streaming vidéo, où Russe et Arabe, toujours vaincu à la fin, endossent le rôle de mafieux ou de terroristes, parfois les deux !

« Qu’est-ce que je n’aimerais pas être à la place d’un Palestinien ! Ou d’un Ukrainien ! Ou d’un catholique. Brrr ! »

Du coup, l’être optimiste reste à la place qu’on lui assigne devant la télé, la tête enfoncée dans le sable et le cul fouetté par les vents mauvais !

En réalité, l’optimiste n’a qu’une idée et des couleurs basiques en tête : le rose pour les femmes ; le bleu pour les hommes, binairement parlant !

Et moi, dans ce concert ? J’en ai marre d’être heureux ! 

Sous l’Casque d’Erby 

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44 Commentaires

  1. Coucou lediasek 🙂

    Lorsqu’on a atteint un certain niveau de conscience on ne peut pas être constamment heureux !

    Oui je sais il y a la conception d’éveil comme on peut l’apprendre en bouddhisme. Mais selon moi c’est bulshit. Oui on peut par la méditation identifier nos racines de souffrance appelé ignorance tout ça, d’accord… mais pour atteindre l’éveil selon leur spiritualité cela sous entend l’immobilisme et l’inaction, c’est mortifère. Car lorsqu’on remonte aux racines même de la spiritualité, on apprend que tout est mouvement perpétuel, tout vibre constamment ! (voir les 7 principes du Kybalion).

    Non pour moi on peut saisir des moments de bonheurs et vivre le moment présent pour s’en délecter jusqu’à la dernière seconde. Mais un état constant de bonheur et en plus en ayant fait le choix de vivre dans la société et non en isolement, c’est impossible !

    Maintenant rien n’interdit d’améliorer notre condition, on doit même !

    il ne s’agit nullement de se morfondre ici, non, juste d’être conscient justement.

    Akasha. (une femme semi éveillée et initiée)

  2. Quel amalgames nauséeux !

    D’abord on lit « les gauchistes fanatisés de la décennie 1970/80 cachaient pudiquement sous les écharpes rouges ». Ah bon !

    Que ces mêmes gauchistes sont ceux qui veulent « Un moule pour chacun et tous dans le même moule »

    Et que finalement ils font partis de « la galaxie Soros et politiquement appuyé par l’UE »

    Soros un gauchiste ? J’en tombe sur le cul ! Je l’aurais plutôt vu à droite, même à l’extrême droite et plus encore. Cette droite qui nous a apporté la sécurité sociale, la retraite, les congés payés, le code du travail et j’en passe. N’est-ce pas !

  3. Loin de moi l’idée d’une gauche diabolique et d’une droite merveilleuse, puisque je ne suis inféodé ni à l’une ni à l’autre. Droite et gauche ne sont que le jeu de miroir d’une bourgeoisie astucieuse, jouant tantôt le rôle du vilain et du gentil pour mieux rafler la mise. Avons-nous déjà vu un casino faire faillite ? C’est en jouant la carte de cette fausse opposition qui dure et perdure que le pouvoir bourgeois ou oligarchique décrète, via les médias qu’il contrôle, ce qui doit être blanc et ce qui doit être noir. Ajoutons à cela la dose de crédulité qu’il faut et l’affaire est dans le sac !
    Comme nous tous, je ne suis qu’une victime de plus dans un jeu de quilles !

  4. Ce pauvre minou me fait de la peine. C’est un supplice qu’on lui impose et il en est affolé !
    La recherche du bonheur est notre raison de vivre à toutes et à tous, et nous nous y prenons bien mal. Car nous voyons le bonheur comme inhérent à la nature humaine, matérielle: nous le cherchons dans l’accumulation des biens, des richesses, bien entourés, …
    Il ne peut pourtant qu’être fugace dans ces conditions et celui qui a tout n’est pas souvent le plus heureux. Regardez les Indous qui, dans la misère la plus noire, ont un tel sourire, un tel sens du partage, c’est merveilleux.

    Il y a un bonheur que l’on touche parfois fugacement là aussi, mais qui, lui, remplit tout l’être: un simple coucher de soleil, la beauté d’une fleur, une communication hors norme … Ce n’est pas de l’AVOIR, c’est de l’ETRE.

    Nous sommes des êtres spirituels et nous l’avons oublié. Retrouvons notre Origine ontologique, retrouvons là d’où nous venons, et ce bonheur que l’on ressent parfois peut exploser en nous jusqu’à ne jamais s’éteindre, où qu nous soyons, quoi que nous vivions.
    Je sais que certains comprendront ce que je veux dire, si d’autres restent indécrottablement dans le matérialisme.
    « On ne peut inventer que ce que l’on connaît déjà.  » Car Tout est déjà là.

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