Raphaël Glucksmann, ces socialistes passés de pacifistes à bellicistes et qui veulent plus de guerre et plus d’armes

Source INSOLENTIAE

Je suis ébahi.

Par un mécanisme intellectuel difficilement compréhensible, toutes nos bonnes âmes bien-pensantes de gauche, larmoyantes et pacifistes, vomissant sur le patriotisme et le drapeau depuis des décennies sont devenues subitement et depuis l’élection de Donald Trump des acharnés de la guerre.

Ils veulent prolonger un conflit qui est une véritable boucherie.

Ils veulent tout faire pour torpiller tout processus de paix.

Ils veulent augmenter les dépenses de l’armée.

Ils veulent plus d’armements, plus de dépenses militaires et enrichir les marchands de canons.

Enfin, ils veulent plus de patriotisme et de nationalisme…

Bref, ils veulent tout ce qu’un homme de gauche refusait toutes ces dernières années.

François Hollande et Raphaël Glucksmann sont les deux égéries de cette nouvelle socialisterie belliqueuse et pro-guerre.

https://twitter.com/BFMTV/status/1898786577247072468?

Je ne me lasse pas de ce spectacle indécent.

Il y a donc une question essentielle que personne n’ose poser dans les médias.

Par quel tour de magie ces pacifistes d’hier sont-ils devenus des pro guerre d’aujourd’hui ?

Par quel tour de magie (propagande et média et manipulation) réussissent-ils à vous faire aimer la guerre dans laquelle vous allez mourir ou sacrifier vos enfants au lieu d’aimer la paix dans laquelle vous pourriez vivre et vous épanouir ?

Jadis ils vous ont fait aimer la piqûre Pfizer 3 doses que 80 % des Français refusaient… avant d’être vaccinés à 80 %.

Charles SANNAT

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5 Commentaires

  1. « Le socialisme, écrit Nicolas Berdiaeff dans « Le nouveau Moyen Âge, Réflexions sur les destinées de la Russie et de l’Europe » (1927), représente le prosis de l’humanisme, la crise de l’autoaffirmation humaine, formulée dans la démocratie. Le socialisme passe déjà à une autre essence inhumaine, à une collectivité inhumaine, au nom de laquelle tout ce qui est humain est offert en sacrifice. Marx est un antihumaniste ; l’autoaffirmation humaine se transforme chez lui en la négation de l’homme. La démocratie est encore humanitaire (Le socialisme humaniste n’est pas encore le socialisme démasqué). Le socialisme est déjà au-delà de l’humanisme. Le socialisme est une réaction contre l’histoire moderne et un retour au Moyen Age, mais au nom d’un autre dieu. Le nouveau Moyen Age doit ressembler à l’ancien, il aura sa théocratie à l’envers. Mais, lorsque le règne humanitaire prend fin, le règne de l’humanisme séculier, alors se découvrent des abîmes contraires. L’État socialiste ressemble à la théocratie et il a des prétentions théocratiques, parce qu’il est une satanocratie. La société, la collectivité sociale, devient en lui un despote absolu, plus redoutable que les antiques despotes de l’Assyrie ou de la Perse. Wladimir Solovieff disait que, pour vaincre le socialisme, il fallait avoir discerné sa Vérité. On ne peut lutter contre le socialisme avec des « idées bourgeoises » et on ne peut lui opposer la société capitaliste, bourgeoise et démocratique du dix-neuvième et du vingtième siècle. C’est la société bourgeoise qui a engendré le socialisme, c’est elle qui nous y a menés. Le socialisme, c’est la chair de la chair et le sang du sang du capitalisme. Ils se trouvent sur un seul et même terrain ; c’est un seul et même esprit, ou plutôt une seule et même négation de l’esprit, qui les anime. Le socialisme a hérité l’athéisme de la société bourgeoise et capitaliste du dix-neuvième siècle, la plus athéiste, en vérité, que l’histoire ait jamais connue. La relation de l’homme avec l’homme et de l’homme avec la nature matérielle y était déjà faussée. C’est l’économisme de la civilisation du dix-neuvième siècle, qui, ayant dénaturé l’organisation hiérarchique de la société, a engendré le matérialisme économique, lequel est un reflet exact de l’état réel de la civilisation au dix-neuvième siècle. Alors en effet la vie spirituelle n’était guère qu’un épiphénomène, une adaptation idéologique aux choses d’en bas. L’adoration de Mammon à la place de Dieu est propre au capitalisme et au socialisme également. Le socialisme n’est pas une utopie ou un rêve, c’est une réelle menace et un avertissement aux peuples chrétiens, pour leur rappeler avec rigueur qu’ils n’ont pas exécuté le testament du Christ, mais ont apostasié. On prête parfois un fondement au capitalisme en se disant que la nature humaine est pécheresse, et que le péché ne peut être déraciné de force, tandis que l’essence du socialisme est de supposer que la nature est bonne. Mais on oublie que l’heure historique peut sonner, où le mal de la nature humaine, précisément le péché qu’elle traîne avec elle, prendra une forme nouvelle. C’est la nature pécheresse qui engendre le socialisme. Le capitalisme, en tant que catégorie spirituelle et éthique, a surgi parce que la nature humaine est sujette au mal. Mais le socialisme surgit pour la même raison. L’apostasie de sa foi chrétienne, l’abandon des principes spirituels et des buts spirituels de la vie doivent nécessairement aboutir, après le stade du capitalisme, au stade du socialisme. Ou bien alors il faut commencer à réaliser effectivement le christianisme et se tourner vers la vie spirituelle, rétablir l’harmonie hiérarchique et normale de la vie, subordonner l’économique au spirituel, refouler le politique dans les limites qui lui sont assignées. »
    NB : Historiquement, rappelons que le socialisme moderne trouve ses origines dans un mouvement féministe incompris à son époque, le « Saint-Simonisme », courant idéologique reposant à l’origine sur la doctrine socio-économique et politique de Claude-Henri de Rouvroy de Saint-Simon (1760-1825). C’est le Communisme des premiers Chrétiens (de Saint-Jean) que ce rénovateur moderne proposa comme un exemple à imiter. Ce magnifique mouvement de réveil féministe dût subir la persécution, comme la subissent tous les grands mouvements de la pensée. Ce mouvement fut repris par Charles Fourier (1772-1837), dans la Phalange, et se fondit dans le fouriérisme qui le modifia, le masculinisa et en fît « le socialisme ». Là encore, nous voyons l’avortement d’un mouvement féministe, et sa transformation au profit de l’homme, comme l’avait été, 50 ans avant, le grand mouvement de la Révolution française, et 1.500 ans avant celle-ci, le Christianisme.
    Christianisme et « Christiens » : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/lesoriginesethistoireduchristianisme.html
    Blog : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/

  2. Le mec il parle de guerre alors que ça cucke devant l’Algérie… ia cucke devant deux gamins qui vendent du techi sur une chaise de camping devant leur bloc…

    Et quand il se fait alpaguer en rue à 30 m par des si.onistes il marche tout bizarre comme s’il avait chié dans son calbute !

    Ce sont juste des pompes à vélo !

    Akasha.

  3. – Devoir de mémoire, car rien n’arrive par hasard en politique.

    Depuis 1900 et la 3eme ripoublique, exception faite de la Libye œuvre de Sarko-petit-zizi grandes talonnettes, toutes les guerres et opérations spéciales françaises furent pour l’immense majorité des cas, l’œuvre de notre gauche bien pensante et humaniste.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_gouvernements_de_la_France

    Nb : Ce souvenir qu’avant la 5ème république, le président de la république avait très peu d’influence sur la politique étrangère et guerrière de la France.

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