Une vérité trop longtemps dissimulée refait surface, et par un effet boule de neige, elle révèle un enchevêtrement complexe de manipulations et d’intérêts géopolitiques que dénonçaient les éveillés depuis encore plus longtemps. La fuite du virus à Wuhan, autrefois considérée et combattue par les médias de propagande comme étant une théorie du complot, est aujourd’hui prise très au sérieux par un nombre croissant d’institutions et de chercheurs reconnus.
La gestion tyrannique de la fausse pandémie, marquée par des mesures sanitaires radicales et des politiques autoritaires, se révèle être une réponse non seulement sanitaire, mais aussi politique, et géopolitique téléguidée depuis le WEF et orchestrée mondialement par McKinsey. Dans ce contexte trouble, où les acteurs principaux tels que Bill Gates ou « Wonder La hyène » tentent d’échapper à des procès, l’arrivée de Donald Trump à la présidence des États-Unis a accentué ces fractures et rallumé les charbons de la vérité. Son rejet des institutions mondiales et ses déclarations ou nominations ont contribué à exacerber les tensions internationales, rendant plus difficile encore la narration mensongère face à cette crise d’ampleur planétaire.
Tandis que la Chine et les États-Unis se livraient à une guerre économique de grande envergure, des voix comme celle du prix Nobel Luc Montagnier ou du Professeur Raoult, mises à l’écart par les médias attaquant en meute, finissent par obtenir une légitimité inattendue. Alors que la vérité sur les origines militaires et artificielles de la pseudo pandémie (montée par l’OMS) ne cesse d’éclater et menacent de redéfinir les rapports de force mondiaux.
Tout le monde se souvient que durant des années, la théorie d’une fuite de laboratoire à Wuhan a été ridiculisée, diabolisée et qualifiée de pure « théorie du complot ». Ce récit a été minutieusement rejeté, débunké, « factchéké », ridiculisé par les autorités sanitaires de l’OMS et les différents ministres de la santé, des chercheurs influents, des médecins de plateaux et des médias grand public subventionnés. Le Covid-19, affirmaient-ils, serait d’origine naturelle d’une rencontre amoureuse entre un pangolin et une chauve-souris, comme une malheureuse coïncidence issue de la faune locale.
Ceux qui osaient évoquer une manipulation artificielle, des failles dans la sécurité des laboratoires chinois ou une expérimentation militaire à haut risque étaient immédiatement rangés dans le camp des « conspirationnistes ». Mais, aujourd’hui, grâce au travail des alerteurs, dont Reiner Fuellmich (toujours emprisonné abusivement depuis plus d’un an en Allemagne pour avoir mis en lumière cette vérité), les vents ont enfin tourné. Et cette vérité, sur les pratiques immondes des agents du WEF qu’on avait étouffée depuis trop longtemps, émerge à présent avec une force implacable.
Les commentaires du nouveau directeur de la CIA, John Ratcliffe, les déclarations de Robert Kennedy Jr, l’accusation contre A.Fauci, le NIH et la DARPA, les procès contre Bill Gates et Ursula La hyène, et surtout les déclarations des nouveaux gouvernants non affiliés aux « Young Global Leader » ouvrent enfin la voie à la dénonciation et à la sortie de preuves. Ainsi, la fuite du virus de Wuhan n’a jamais été un accident de laboratoire, mais bien une opération visant à l’injection de produits ARNm provoquant de nombreux dommages corporels, allant jusqu’à la mort de ceux qui ont été naïvement se faire mettre ce produit distribué par des laboratoires véreux, dans les veines. Et ceux qui l’ont dissimulée doivent rendre des comptes.
Loin d’être une simple théorie, des preuves inquiétantes et des témoignages accablants sont en train de sortir des ténèbres où ils avaient été relégués et démontrent toute la duplicité et le cynisme des autorités eugénistes. Sauf en France, bien entendu, bastion de la corruption et de la décadence mondiale, où Veran comme Buzyn ou Salomon ont été graciés par une justice corrompue, et où le reste du dossier a été classé « secret défense » par Macron pour sauver sa tête. Le conseil scientifique bidon (n’ayant produit aucun document et où Delfrayssie recevait ses ordres directement de Fauci par mail) n’ayant fait que se coordonner avec les autres pays pour imprimer la peur de la mort à des millions de Français, voire d’européens. Or, parmi les voix qui avaient tiré la sonnette d’alarme dès le début, une se distingue particulièrement, celle du professeur Luc Montagnier, lauréat du prix Nobel de médecine, décédé depuis.
En 2020 déjà, le scientifique français avait observé des anomalies dans le génome du virus, qu’il avait jugées suspectes et potentiellement révélatrices de manipulations humaines, avec des brins de Malaria et de Sida incorporés artificiellement. À l’époque, ses avertissements avaient été balayés d’un revers de main, moqués par les responsables des autorités sanitaires et même ridiculisés par certains de ses confrères financés par les labos (Tous tenus par des Juifs ! Cherchez l’erreur… ). Pourtant, les révélations officielles récentes issues des procès aux USA donnent raison à toutes ses analyses. La théorie de la fabrication volontaire pur gain de fonction en laboratoire financé par l’armée US, que l’on pensait désuète, est aujourd’hui reprise par des institutions juridiques américaines jusque-là muettes, comme la CIA.
Ce qui semblait impossible, il y a encore quelques mois, est désormais une réalité incontestable et les services de renseignement américains, longtemps silencieux, mais dorénavant purgés d’une grande partie des éléments corrompus grâce à Trump et Kennedy Jr, ont fini par briser le tabou. Et la CIA comme le FBI ont récemment confirmé que les premières traces de l’épidémie étaient probablement liées à une dispersion volontaire et non un accident de laboratoire à Wuhan. Apportant une légitimité institutionnelle à cette hypothèse longtemps rejetée.
Ces informations, qui semblaient relever du domaine de la fiction quelques mois auparavant, ont désormais une ampleur et une déflagration internationale. Mais le plus choquant dans tout cela est l’ampleur et la coordination de la dissimulation à l’échelle mondiale. Pourquoi ce silence ? Pourquoi, alors que de nombreuses personnes averties, allant du Pr Montagnier au Pr Raoult, en passant par le Pr Peronne, le Dr Malone ou même l’ancien directeur de Pfizer, nonobstant une foule énorme de « complotistes » (dont moi-même avec mon Livre « Pandémic Circus- Génocide au Bio Virus » paru en avril 2020 et disponible ICI) qui alertaient sur la tentative de coup d’état mondialiste sous couvert de sécurité sanitaire, les autorités en place n’ont-elles pas pris ces déclarations plus au sérieux ? Qui, à l’échelle internationale, savait et a préféré se taire ? Et surtout pourquoi, sinon pour combien ont-ils gagné pour ce forfait génocidaire ?
Le monde entier a assisté à une gestion chaotique sinon tyrannique de cette « Plandémie », mais aujourd’hui, la prise de conscience qu’une caste malveillante puisse être à l’origine de ce chaos mondial fait exploser le cadre de compréhension des événements. Les pays et les institutions internationales qui, pendant quatre ans, ont réitéré leur certitude sur l’origine naturelle du virus, sont maintenant acculés à la vérité. Bien qu’en France des assassins comme le Dr Marty ou encore Karine Lacombe s’enferrent dans leurs mensonges éventés en toute impunité et sont toujours sur les plateaux télé. La vérité sur ce faux virus, mais ces vraies injections tueuses qu’ils ont évitée, qu’ils ont volontairement ignorée, et qu’ils ont activement étouffée voient le jour partout sauf dans notre pays où, je le répète, la corruption est le seul moteur de l’état et de tous ses agents ! Le rideau est tombé, mais la vérité, la justice ou les dédommagements tardent à venir. Il suffit de reprendre les déclarations de chacun des acteurs au moment des faits pour se rendre compte que tout était orchestré et pourtant, aucun d’eux n’est en prison ! Mieux ils travaillent dorénavant directement pour l’OMS comme Buzyn et Salomon…
Si la Chine est l’épicentre de ce scandale, l’implication des États-Unis dans ce drame n’est pas moins compromettante et évidente. Des documents récemment divulgués montrent que des fonds américains, via le National Institutes of Health (NIH), ont financé des recherches à haut risque dans le laboratoire inauguré en 2014 par la France à Wuhan, notamment dans le cadre de l’initiative « Gain of Function » promue par Anthony Fauci, actuellement au cœur de multiples polémiques et finançant une recherche visant à rendre des virus artificiellement plus transmissibles pour mieux servir des dessins militaires et eugéniste, sinon génocidaires à l’échelle de la planète. Cette coopération franco-sino-américaine, qui s’étendait bien au-delà de la simple aide scientifique, place la France et Washington dans une position délicate.
A.Fauci, autrefois considéré comme une icône de la santé publique et un conseiller de confiance pour les présidents américains successifs, se trouve désormais confronté à une réalité bien plus sombre au regard de ses agissement abjects sur les dernières décennies. Ses liens avec les laboratoires chinois, l’armée US et ses efforts pour minimiser les risques liés aux recherches financées, ainsi que ses choix arbitraires dans la gestion de la fausse pandémie, ayant pour seul but d’injecter de l’ARNm saturé d’ADN et de nanotechnologie de traçage à des millions d’individus, sont désormais scrutés à la loupe. Alors que de nombreuses voix, enfin audibles par la chute des médias de propagande et la montée des réseaux sociaux tels que X, remettent en question ses décisions basées sur du vent, comme la distanciation ou le port du masque, et ses déclarations guidées par la corruption visant a générer des bénéfices inouïs aux laboratoires complices tels que Pfizer-Moderna-Johnson ou Gilead. Avec l’arrivée de Trump, il semblerait que l’histoire ne rendra pas à Fauci les honneurs auxquels il s’était habitué, mais plutôt ceux qu’il mérite ! Sachant que la peine de mort est en vigueur aux USA…
Mais le rôle de Washington dans cette affaire ne se limite pas à la promotion et au financement. Des voix de plus en plus nombreuses s’élèvent pour dénoncer une politique militaire américaine qui, par sa coopération à la corruption, a contribué à mettre en place un système de recherche très risqué et potentiellement mortel avec ces Biolabs tels que ceux trouvés en Ukraine et financé par le fils Biden et des laboratoires truands moult fois condamnés comme Pfizer. Et alors que la pandémie éclatait, ces deux géants militaires et pharmaceutiques, par leurs négligences et leur aveuglement basé sur l’avidité et l’eugénisme, ont permis à une catastrophe sanitaire fabriquée de toutes pièces de se propager à une échelle mondiale en faisant de nombreux dommages corporels et installant une surveillance technologique tyrannique, tout en centralisant les pouvoirs dans les mains d’une poignée de malfrats milliardaires et bien connus.
La promotion médiatique concertée sur ce pseudo virus a pris de court la planète entière, donnant naissance à des politiques de répression extrêmes et à une mise en prison des réfractaires. Abus de force, confinements, pass sanitaires, contrôles abusifs, amendes, campagnes de vaccination massives, tout ceci faisait partie d’un plan visant à instaurer une surveillance globale sur les individus. Car la réponse au Covid-19 a été un bouleversement radical du quotidien de milliards d’individus et l’entrée dans une ère de surveillance électronique et d’abus de position de la part des gouvernants qui se perpétue encore aujourd’hui. Chacun, même le plus obtus, peut se rendre compte que ce n’était en rien une réponse sanitaire, mais bien une occasion fabriquée et orchestrée permettant de resserrer les contrôles politiques et de manipuler les masses ?
La vaccination de masse a été présentée comme étant l’unique remède, alors que le Pr Raoult donnait des solutions simples et rapides pour soigner, et les confinements (l’incarcération de tous !) comme étant la seule méthode pour éradiquer une pandémie qu’ils savaient imaginaire. Pourtant dès le premier jour, ces mesures ont fait naître des suspicions légitimes et des voix se sont élevées contre ces abus et cette violence d’un état illégitime composé d’une bande organisée de truands et de malfaisants. L’objectif était bien de tester de nouvelles formes de contrôle social et politique par la force et le mensonge. Une habitude chez les mondialistes et particulièrement chez Macron. Ainsi, le pass sanitaire est rapidement devenu un outil de surveillance numérique, un moyen de traquer les déplacements et les comportements des citoyens, alors que nos politiciens se retrouvaient dans les boites à partouzes laissées ouvertes. Les libertés individuelles ont été mises entre parenthèses au nom d’une cause supposée supérieure et cette cause c’est la corruption totale de nos Zélites.
La gestion de cette pandémie s’est rapidement transformée en une machine de destruction organisée, un véritable déni de réalité pour le peuple, dont les conséquences économiques et sociales se font sentir encore aujourd’hui. Les décisions prises en haut lieu, par des Zélites déconnectées des réalités quotidiennes, ont plongé des millions de petites entreprises et de travailleurs dans la misère. Tandis que les TPE et PME, ce tissu industriel vital de nos nations, se faisaient écraser sous le poids des fermetures imposées, des restrictions absurdes et des contraintes insoutenables, les multinationales, elles, ont prospéré, protégées par des gouvernements prêts à sacrifier leur propre population pour sauver leurs géants économiques.
Le véritable scandale, cependant, réside dans la complicité évidente de ces multinationales, en connivence avec les gouvernements et les institutions comme le Forum Économique Mondial, l’ONU et l’OMS (financée par Bill Gates) qui tirait les ficelles en coulisses. Ces grandes entreprises ont non seulement survécu, mais ont réussi à se renforcer, à s’étendre, à écraser tous leurs concurrents plus petits, grâce à un système où les règles sont faites sur mesure pour elles. Des milliards de dollars ont été injectés pour les sauver, des fonds publics ont été détournés pour favoriser ceux qui, en réalité, sont entièrement responsables de la crise économique. Pendant ce temps, les petites entreprises se sont effondrées, des secteurs entiers ont été ruinés, des millions de travailleurs ont perdu leur emploi, et l’indépendance économique de tout un peuple a été sacrifiée sur l’autel du capitalisme mondial débridé avec une mise en place d’une dette aussi fictive que le Virus.
Les multinationales, grâce à leur influence gigantesque sur les politiques gouvernementales et coordonnées par McKinsey, ont imposé leur domination sur tous les marchés, augmentant encore plus les inégalités sociales et économiques. Les chaînes d’approvisionnement ont été réorganisées pour ne plus servir que leurs intérêts, laissant les industries locales exsangues. Et le pire, dans tout cela ? Ce chaos a été orchestré des années auparavant dans l’ombre, pour un objectif bien plus vaste de maintenir un contrôle total sur les ressources mondiales, les marchés, les économies nationales et, finalement, les populations. Qui a profité de ce désastre mondial ? Ceux qui ont orchestré ce cataclysme, bien sûr. Les véritables responsables de cette tragédie ne sont pas seulement ceux qui ont mis en place ces mesures immondes, mais surtout ceux qui les ont exécutées comme les policiers, les médecins et les médias… Et aujourd’hui, à mesure que la vérité éclate, il devient impossible de ne pas voir à quel point ce chaos a été un terrain de jeu pour les puissants et les collabos, pendant que le monde, sinon la civilisation s’effondrait sous leur regard indifférent.
Au-delà de la question sanitaire, la pandémie a également déclenché une confrontation géopolitique de grande envergure. L’onde de choc ainsi provoquée a exacerbé les tensions déjà existantes entre les grandes puissances mondiales. Si les pays du Commonwealth dirigés par les Young Leaders et la Chine sont au cœur du drame, d’autres nations en revanche, comme la Russie et l’Inde, observant les événements de près, ont su ajuster leurs réponses à cette stratégie machiavélique et s’en tirer à très bon compte.
La Russie, longtemps en opposition avec l’Occident, a utilisé la pandémie comme un levier pour renforcer ses positions sur la scène internationale. Quant à l’Inde, elle a saisi l’occasion pour développer son industrie pharmaceutique à une vitesse vertigineuse, tout en consolidant son indépendance face à un Occident qui, sans le moindre scrupule, a laissé place à l’autosuffisance de ses alliés les plus encombrants. Un mouvement déterminant qui n’a échappé à personne et n’a pas laissé passer l’occasion d’élargir son influence sans ménagement. Profitant de la pandémie pour minimiser ses torts tout en continuant sa montée en puissance, Pékin a redoublé d’efforts pour se positionner en maître incontesté de la scène mondiale. Derrière son masque de gestion « efficace » de la crise, elle a poursuivi son ascension impitoyable, transformant la pandémie en une occasion en or pour se réaffirmer comme le centre de gravité économique et politique.
Pendant ce temps, les pays du Sud, délaissés comme de simples pions sur l’échiquier géopolitique, ont vu leurs intérêts écrasés sous le poids des grandes manœuvres. Mais, loin de n’être que des spectateurs passifs, ces nations jouent un rôle bien plus complexe et stratégique qu’on ne pourrait le croire, transformant leur marginalisation en une forme d’opportunisme latent. Loin d’être des victimes, elles sont peut-être plus proches des acteurs clés que l’on imagine. Dans ce jeu de pouvoir mondial où l’hypocrisie et la manipulation règnent, il est évident que tout le monde y a trouvé son compte… sauf le peuple. Et depuis cet épisode monstrueux, la scène internationale est en train de changer, et les révélations sur l’origine du virus et sur la manière dont il a été géré risquent de faire basculer l’équilibre géopolitique.
Aujourd’hui, les responsables de ce chaos mondial sont clairement identifiés. L’ampleur de la catastrophe, qu’elle soit sanitaire, économique ou sociale, est en train de se dévoiler dans toute sa cruauté. Les révélations sur les manipulations génétiques, les financements américains, les achats par SMS de la Hyène au vétérinaire Bourlat, devenu président de Pfizer, la propagande de Gates et le rôle de Fauci n’ont pas fini de faire parler puisque toute la gestion de la pandémie a été réellement motivée par des intérêts financiers et pharmaceutiques cachés. La vérité sur leurs agissements, enfin, commence à éclater et à les éclabousser. Mais à quel prix ? Certes le monde se réveille, mais il est encore trop tôt pour savoir si nous serons capables collectivement de tirer toutes les leçons de ce drame et surtout de punir les responsables à auteur de leurs crimes. Ce qui est certain, en revanche, c’est que l’ordre mondial établi pourrait en sortir profondément bouleversé.
Alors que la nouvelle présidence de Donald Trump a profondément modifié l’équilibre géopolitique mondial en imposant une méthode brutale pour nettoyer et purger « le Marais », le monde, déjà secoué par des tensions commerciales et diplomatiques, s’est retrouvé plongé dans un chaos aux répercussions incalculables. Car si Trump a exacerbé les rivalités internationales, les révélations concernant l’origine du virus et les décisions controversées prises à l’échelle mondiale ont mis en lumière l’opacité et la manipulation des grandes puissances, ainsi qu’une chaîne de commandement des mondialistes bien incrustée dans tous les rouages géopolitiques jusque là. Dans ce contexte, la crise sanitaire a révélé les failles et la corruption non seulement des institutions internationales mais aussi des politiciens des grandes nations, redéfinissant les rapports de force et renforçant la méfiance envers cet ordre mondial, basé sur le chantage et la violence, en pleine désintégration.
Et en signant plus de 200 décrets présidentiels dès la première semaine de son mandat, Trump a non seulement redéfini la politique intérieure des États-Unis, mais a aussi plongé le monde ancien, dirigé par ces êtres sans foi ni loi, dans une période de turbulences géopolitiques sans précédent. Sa politique, qu’il a imposé avec une telle véhémence, a pris forme sous une politique étrangère plus agressive et beaucoup moins complaisante envers ces Zélites où les intérêts américains passaient avant tout, en connaissance de cause, sur les conséquences. Sous sa présidence, l’Amérique a donc rejeté les grandes institutions internationales pourries qu’elle avait pourtant longtemps contribué à façonner. L’Accord de Paris sur le climat, l’OMS, et une multitude d’accords multilatéraux ont été balayés d’un coup de stylo, faisant de Trump une figure clé pour la libération des peuples sur la scène mondiale. Et à ses yeux, la priorité était clairement de protéger les intérêts américains avant tout, peu importe le prix à payer pour les autres nations.
L’Europe, ou plutôt la caste non élue qui s’en est emparée par le biais de cette structure dictatoriale et décadente nommée l’Union Européenne, traditionnellement considérée comme un partenaire stratégique des États-Unis, a enfin été mise sous pression et ses membres ont été mis à nus comme jamais auparavant. Trump a certes adopté une approche brutale, traitant ses partenaires européens comme des subordonnés, voire des vassaux, mais ce n’est qu’à ce prix que la purge pourra s’effectuer. Et il n’a pas hésité à menacer l’U.E, tenue par les multinationales du WEF et BlackRock, de tarifs douaniers dévastateurs. Chaque décision prise expose les divisions internes et les fragilités de cette U.E des mafias. Le continent, pris entre son besoin de maintenir des relations transatlantiques solides et son désir croissant de tyrannie, se retrouve contraint de faire des choix stratégiques très compliqués, si ces membres veulent sauver leur peau. Face à un Trump qui ne cessait de revendiquer l’application de règles économiques dictées par Washington, l’U.E s’est vue forcée de revoir ses priorités, tout en cherchant à éviter de devenir un simple cadavre de plus dans la guerre à l’hégémonie des États-Unis.
Mais c’est face à la Chine que Trump a vraiment frappé fort en multipliant les tarifs douaniers et en accusant Pékin de pratiques commerciales déloyales. Il a exacerbé les tensions entre ces deux plus grandes économies mondiales et la confrontation est devenue plus qu’un simple bras de fer économique, puisqu’elle a déclenché une redéfinition totale des chaînes d’approvisionnement mondiales. Les entreprises délocalisées ont dû se réajuster à cette nouvelle réalité, et la Chine, autrefois perçue comme l’atelier du monde, doit dorénavant affronter des défis inédits. Les États-Unis ont, de leur côté, tenté de renforcer leur indépendance économique, en imposant des restrictions sur les entreprises chinoises et en cherchant à rapatrier une partie de la production sur leur sol. La guerre commerciale aura elle aussi des conséquences profondes, notamment sur l’ensemble du système capitaliste mondial moribond, qui a dû se réorganiser face à cette nouvelle ère de protectionnisme et de combat économique non subventionné.
Pendant ce temps, dans l’ombre des grandes décisions de Trump, le Club de Paris, une instance discrète mais influente, a joué un rôle clé dans la gestion des créances internationales. Et en annulant des milliards de dollars de créances pour des raisons « géopolitiques », la France de Macron a pris une position diplomatique insignifiante, et perd tous ces avantages faute d’avoir un traître comme président. Cependant, ce type de diplomatie, qui semble favorable à une certaine forme de coopération internationale pour sauver les mondialistes de la débâcle, n’est pas sans dommages. Les décisions prises dans l’ombre des bureaux de Bercy, cœur atomique national de la corruption, échappent évidemment à tout contrôle démocratique. La France est devenue, en moins de 20 ans, une république bananière reléguée au 26ème rang des nations (elle était 3ème sous De Gaulle). Et un acteur majeur de cette politique mondialiste technocratique abjecte basée sur le chantage et la corruption totale, dont l’opacité soulève des questions sur la légitimité de sa gouvernance et la place des individus dans la prise de décisions qui affectent leur futur.
Mais tout n’est pas bon chez Trump, car ses actions concernant le Proche-Orient et son soutien aux sanguinaires Israélites sont les plus controversées de son début de mandat. Après avoir réussi à négocier un cessez-le-feu au génocide en cours des gazaouis par Israël (ayant violé 236 résolutions de l’ONU) et le Hamas, il n’a pas hésité à aller plus loin, en proposant une solution radicale qui aura des conséquences dévastatrices avec la relocalisation forcée des Palestiniens vers la Jordanie et l’Égypte. Cette décision, qui a naturellement choquée la communauté internationale, témoin et victime de l’impérialisme sioniste, jusqu’à susciter des critiques violentes légitimes à son encontre. Comme sa décision de ne pas condamner Netanyahou en balayant les décisions de la CPI et son mandat d’arrêt ! Mais tout n’est pas blanc ou noir dans ce bas monde, alors « wait & see ! »
En parallèle, il a renforcé les sanctions contre l’Iran, en dépit des efforts internationaux pour désamorcer les tensions. Il a aussi exploité ses alliances avec Israël et l’Arabie Saoudite pour redessiner les lignes de fractures au Moyen-Orient et s’octroyer plus de parts pétrolières – ce qui est le propre d’un dirigeant voulant sortir son pays du marasme dans lequel il était plongé depuis le début du siècle. Ce « nouvel ordre » régional, fondé sur des relations plus étroites avec certains régimes immondes comme celui d’Israël, tout en isolant d’autres pourtant démocratiques, a exacerbé les tensions, poussant la région déjà bien instable depuis des décennies au bord de la guerre totale. L’impact de cette politique et de ses prochains mouvements sur la stabilité à long terme du Moyen-Orient reste donc une question ouverte.
En revanche, si Trump a adopté une posture agressive vis-à-vis de la Chine, il a fait preuve d’une étrange ambiguïté avec la Russie de Vladimir Poutine. Entre critiques acerbes et tentatives de rapprochement, la position de Trump vis-à-vis de la Russie est restée très floue, voire contradictoire. D’un côté, il a dénoncé l’ingérence russe dans les affaires américaines, mais de l’autre, il n’a cessé de saluer les relations personnelles qu’il entretenait avec Poutine et refusait d’aider l’Ukraine pour les 90 prochains jours.
Le monde, sous l’ère Trump, est donc devenu un terrain de jeu nouveau où les institutions internationales moribondes, et inaptes à réguler les nations, vacillent. Le multilatéralisme, longtemps perçu comme la norme, est désormais en crise profonde avec l’émergence des BRICS. Les alliances traditionnelles occidentales ont toutes été mises à mal, redessinant une carte géopolitique où l’élément de renouveau prime. Les relations entre les grandes puissances sont de plus en plus marquées par des dynamiques de pouvoir plus abruptes, où chaque nation doit renforcer sa position en multipliant les prises de position stratégiques. Sauf la France qui, elle, perd absolument tout, sous l’égide des équipes de traitres réunies par Macron depuis les 7 longues dernières années.
Même le Forum de Davos, dirigé par Klaus Schwab, a tenté d’implanter une vision optimiste d’un avenir global pacifié, prônant un « optimisme constructif ». Mais face à la réalité des rapports de force internationaux et à l’agressivité de la politique extérieure de Trump, ces discours sonnent désormais comme un leurre éventé. L’optimisme est de plus en plus difficile à trouver, lorsque ce monde semblant se défaire du joug des mondialistes prêts à tout pour garder leur pouvoirs et privilèges – quitte à pratiquer la politique de la terre brûlée en déclenchant une guerre mondiale sous les coups d’une réorganisation géopolitique imposée par un dirigeant américain – et prêt à sacrifier les règles internationales surannées pour défendre des intérêts nationaux pour lesquels il a été élu.
De fait, le monde est encore plongé dans un chaos organisé, où les puissances traditionnelles, rongées par leurs égos et leurs intérêts corrompus, cherchent désespérément à redéfinir leur place, voire leur survie. L’Agenda mondial 2030 de l’élite, mené par des institutions obsolètes, vacille sous la pression de ceux qui refusent de se laisser dominer. L’ère Trump, marquée par un rejet de l’internationalisme destructeur et par un combat pour la souveraineté des peuples, a ouvert la voie à une reconfiguration de l’ordre mondial, où l’indépendance nationale et la liberté individuelle doivent désormais prendre le pas sur les accords secrets et les manipulations globales. Les tensions accumulées au cours de cette période risquent de déboucher sur un renversement total des rapports de force mondiaux et ouvrir la voie à un futur plus réjouissant pour les peuples.
L’heure est venue pour les individus, ceux qui sauront se réveiller à temps, de reconquérir leur souveraineté et de chasser les dirigeants corrompus qui ont sacrifiés leur avenir pour leurs profits à court terme. Ainsi, ceux qui auront su se tenir debout face aux fausses promesses du globalisme seront-ils les architectes de l’avenir, ou bien serons-nous condamnés à subir le joug d’un système qui cherche à détruire les valeurs de liberté, de famille, de nation dans un suicide programmé depuis Davos ?
La vérité commence donc à émerger dans ce monde où les Zélites mondiales, et les médias à leur solde, ont tenté de dissimuler la réalité. La machine de propagande, avec ses manœuvres géopolitiques calculées, a fait son temps. L’ère des certitudes diplomatiques est bel et bien révolue. À nous de décider si nous allons prendre le contrôle de notre destin ou si nous allons continuer à être les spectateurs passifs d’une mascarade internationale. Car seul le temps nous dira si les moutons français seront juste tondus, mais rasés de près, ou s’ils serviront aussi de méchoui aux immigrés illégaux entrés en masse grâce aux ONG financées avec nos impôts depuis plus de 40 ans.
Mais une chose est sûre l’ère du pacifisme est révolue et ce qui est certain, c’est bien la fin de cet ordre mondial ancien, et c’est le moment parfait pour nous libérer des chaînes invisibles tissées par cette caste malfaisante agissant depuis trop longtemps.
Phil BROQ.
Pour avoir votre exemplaire, cliquez sur le lien suivant : Pandémic Circus – Génocide au Bio-Virus
Tous les articles, la tribune libre et commentaires sont sous la responsabilité de leurs auteurs. Les Moutons Enragés ne sauraient être tenus responsables de leur contenu ou orientation.
Désolé Phil, mais je me souviens fort bien que les premiers cas se sont déclarés près du labo P4 de Fort Detrick, en Caroline du Nord ; il en a résulté que ce labo a fermé à la fin de juillet 2019, pour ne rouvrir que début 2020.
Pendant ce temps-là a éclaté une épidémie en Italie du Nord. Un autre foyer a été une réunion internationale de membres du Pentecôtisme à Mulhouse, à cette occasion-là quelqu’un que je connaissais indirectement en est d’ailleurs décédé.
.
Pendant ce temps-là encore, l’équipe US se préparant (la plupart étaient déjà malades avant d’arriver) à disputer les Jeux Militaires de….. Wuhan (tiens donc) a débarqué en Chine, et a visité copieusement la ville. L’une des plus malades (ils ont tous fait des contre-performances) était une biathlone qui a dû abandonner (je n’ai plus son nom) : elle était à la fois militaire et membre de la CIA.
.
Là-dessus la propagande US s’est déchaînée, alors que le P4 de Wuhan n’y était absolument pour rien.
.
Il est absolument clair qu’il s’agissait à nouveau d’une Grande Manœuvre pour attaquer à la fois la Chine, et les citoyens du monde, qui ont subi tous les Diktats que l’on connaît (confinement, masques, distanciation, piqûre obligatoire pour certains (ou la porte), le Grand Cirque effectivement, avec pour cerise sur le gâteau un produit pas du tout testé officiellement, « casseur » d’immunité, mais extrêmement efficace pour produire des maux (subtilité) très différents, avec des délais allant de quelques minutes à quelques mois. Ces produits devaient être prêts depuis DES ANNÉES….
Tu te souviens de cette « épidémie » de maladie pulmonaire d’origine incertaine aux USA, où ils ont accusé la vapoteuse ? Guère après (ou en même temps) il y a eut tout ce que tu listes. Donc on peut se poser des questions sur l’origine réelle de cette « bestiole ». D’autant que, personne vu ce qui circulait à l’époque, n’a pris la décision de fermer les aéroports pour endiguer la propagation.. Comme si s’était le but recherché. Avec tout ce qui sort comme rapports, on doit rester vigilants puisque Kill Bill, nous a prédit une prochaine plandémie (si les gens sont assez endormis pour y croire).
Oui et je lui avais même fourni* il y a quelques temps deS lienS stipulant l’étrange similitude de cette mortelle et mystérieuse « épidémie américaine », avec celle survenue quelques mois après du Covid …en Chine.
– Un parmi tant d’autres : https://www.lemonde.fr/sciences/article/2019/10/04/etats-unis-18-morts-de-maladies-liees-au-vapotage-l-enquete-pietine_6014142_1650684.html
*) Mais je crois qu’il ne lit pas les coms en réponse.
https://search.brave.com/search?q=vaporette+2019+morts+USA&source=desktop&summary=1&conversation=f95616673221ff74b2249f
« En 2019, aux États-Unis, une épidémie de maladies PULMONAIRES liées au vapotage a causé de nombreux décès. Selon les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), 26 personnes sont mortes après avoir utilisé des cigarettes électroniques, souvent contenant des liquides infusés au cannabis. Le nombre de malades atteints de maladies pulmonaires sévères a atteint 1 299 cas. Les CAUSES exactes de cette épidémie RESTENT A CE JOUR MYSTERIEUSES, bien que 77 % des malades ayant rempli des questionnaires aient déclaré avoir utilisé des produits contenant du THC. »
..En clair, la vaporette est une possibilité non démontrée.
Dés lors, avec une telle convergence d’indice concordants, le doute raisonnable est-il encore permis ?
Bonjour Jclaude, Il est effectivement fascinant de voir comment plusieurs éléments se croisent dans l’histoire de la pandémie. Quant aux événements qui se sont enchaînés autour des épidémies en Italie, aux USA lors d’une simulation a new york en novembre 2019 ( financée par B.Gates et le centre Hopkins avec justement les militaires qui allaient ensuite aux JO a Wuhan, puis lors des Jeux Militaires et enfin dans tout le reste du monde, il est intéressant de noter que la propagation du virus a été surement influencée par un largage aéroporté pour éclater dans 18 grandes villes mondiales en moins de 48h et allant de la transmission « communautaire » à des phénomènes de superpropagation impossibles naturellement. Mais sur le sujet de la fermeture du laboratoire P4 de Fort Detrick, il est vrai qu’un incident a conduit à sa fermeture temporaire en 2019, mais cela concernait avant tout des questions de sécurité liées à des protocoles de gestion des déchets biologiques. Cette fermeture n’a pas de lien direct prouvé avec l’apparition du virus. En revanche en 2014, Pasteru avait « égaré » plus de 2300 échantillons de sars… Bon ceci dit, ce ne sont que des infos « mainstream » donc là aussi je ne connais pas vraiment la chronologie exacte puisqu’ils nous racontent n’importe quoi ! Comme quoi Il est toujours bénéfique de questionner les événements qui nous touchent, mais il est aussi crucial de baser nos analyses sur des faits vérifiables et les dernières données scientifiques. et je ne suis pas sur que ce soit la chine qui soit particulièrement visée mais plutôt tous les peuples de la part de cette caste de mondialistes débiles. mais merci des précisions quoi qu’il en soit ! bien à toi
des questions de sécurité liées à des protocoles de gestion des déchets biologiques
Bien entendu on a tenté de noyer le poisson…
Je suis bien d’accord, Philippe, c’est un peu vague, mais un peu seulement. Ne soyons pas naÏfs : si des preuves trop gênantes ont existé, elles ont disparu ou ne sont accessibles que par leurs auteurs. C’est facile.
..En langage de la rue, cela s’appelle « une putain de fuite ».
En 1995, le journaliste d’enquête Serge Monast faisait paraître un document qu’il intitulera « Protocoles de Toronto », et dans lequel il dévoilait l’activité secrète d’un groupe, les « 6.6.6. », rassemblant tous les vingt ans les puissants de ce monde en vue de l’établissement du « Nouvel Ordre Mondial » et du contrôle mental des individus.
Serge Monast fondera l’Agence Internationale de Presse libre (AIPL) où il publiera la plupart de ses « enquêtes », afin que le public soit informé de certains dangers, et notamment celles sur les vaccins et la médecine militaire expérimentale. Se disant traqué par les hautes instances policières pour avoir trempé dans des « réseaux d’informations interdites », Serge Monast décèdera subitement d’une crise cardiaque, à peine un an après la parution des « Protocoles », à l’âge de 51 ans.
Nous citons, ci-après, un extrait des « Protocoles de Toronto », issu du document des « 6.6.6. » intitulé « PANEM ET CIRCENSES », et daté de 1967. Il s’agit du paragraphe n° 23 des « Protocoles » :
Voici la manière détaillée par laquelle nous procéderons d’ici 1998 pour paver la route à la naissance de notre « Gouvernement Mondial » :
1- …
…
23- Les dernières « Etapes » se rapportent à la « Phase Omega » expérimentée à partir des expérimentations effectuées au début des années 70. Elles renferment la mise en application, à l’échelle mondiale, des « Armes Electro-Magnétiques ».
À propos du paragraphe « 23 », notons qu’actuellement le réseau 5G utilise les mêmes ondes électromagnétiques – EMF – que le « système de contrôle de foule » du Pentagone, c’est-à-dire le système d’armes non létales à énergie dirigée – Active Denial System – développé pour l’armée américaine, mais pas que : en 2012, un centre de recherche en Russie indiquait travailler sur cette technologie ; en novembre 2014, une entreprise chinoise a présenté un système utilisant cette technologie. Concernant la Chine, précisons en passant que la position qu’elle occupe à l’heure actuelle en matière de technoscience est le fruit d’une volonté politique internationale. Des partenariats d’ampleur unissent l’Europe et la Chine. Ils sont si conséquents que le narratif d’une Chine, ennemie ou concurrente mortelle de l’Occident, est une fake news. À propos des relations France-Chine qui ont débouché sur la construction du labo P4 de Wuhan, avec transfert de compétences à travers l’Institut Pasteur, elles font suite à un partenariat UE-Chine qui remonte à 1998. C’est au cours de cette même année que fut fondée une institution qui a joué un rôle-clé dans la crise du « Covid-19 ». Cette institution est le « Center for health security ». Il est située à l’Université Johns Hopkins, dans l’État du Maryland (USA). C’est dans cette institution que, dès le début de la « pandémie », ont été collectées, compilées et diffusées toutes les informations « Covid » de la planète.
À toutes fins utiles, précisons que c’est dans cette même Université « Johns Hopkins » qu’une simulation de pandémie (« Event 201 ») avait été organisée en octobre 2019, c’est-à-dire 1 mois avant « l’apparition » du Covid-19 à Wuhan, et 3 mois avant l’officialisation d’une « pandémie » mondiale par l’Organisation mondiale de la Santé – OMS.
Précisons encore que cette simulation était financée par Microsoft, l’entreprise de Bill Gates, qui contrôle l’OMS ainsi que l’association GAVI – l’alliance du vaccin. Aussi, est-ce une coïncidence si, en juillet 2014, parmi les 298 passagers qui trouvèrent la mort dans le crash du Boeing 777 de la Malaysia Airlines en Ukraine – abattu par un missile de longue portée lancé par des « séparatistes » selon les médias de masse – se trouvaient 108 virologues qui se rendaient au Japon pour participer au Forum de la Santé organisé par… Bill Gates ? D’aucuns pourraient encore y voir un énième complot relatif au « coup d’envoi » qui aurait été donné pour la mise en œuvre d’un projet concernant une pandémie fictive, désormais débarrassé des virologues sérieux et intègres, c’est-à-dire des « obstacles » qui auraient pu gêner ledit projet.
NB : Kary Bank Mullis, ce scientifique et « père » du procédé « PCR » a toujours été clair sur le fait que sa découverte n’était pas destinée au diagnostic. Néanmoins, récupéré par l’institut de virologie de la Charité de Berlin par le professeur Christian Drosten (fervent promoteur du masque obligatoire), ce procédé « test PCR », mis en place pour diagnostiquer le Covid, est devenu l’argument principal de l’augmentation artificielle des chiffres du Covid. Rappelons enfin que Kary Bank Mullis est décédé le 7 août 2019 de complications de… pneumonie, la veille de l’Evènement qui simulait une pandémie de coronavirus. Il faut dire que Kary Bank Mullis avait eu cette phrase terrible : « Les scientifiques font énormément de tort au monde au nom de l’aide qu’ils pensent lui apporter. Cela ne me dérange pas d’attaquer ma propre fraternité parce que j’en ai honte. ».
Quelle aurait été la réaction de Kary Bank Mullis si, lui aussi, avait été encore en vie en janvier 2020 ?
Lien : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/introduction-livres-de-femmes.html
en effet, et tout ceci est dans mon livre aussi » Pandémic Circus – génocide au biovirus ! disponible ici : https://www.thebookedition.com/fr/pandemic-circus-genocide-au-bio-virus-p-374555.html
Bonjour et merci. Tout cela est fort bien relaté par Philippe Aimar dans Covid – 19 – Enquête sur un virus. Les manipulations, les vols, les meurtres et la Guerre médiatique. Un livre absolument complet, paru en 2021, édité par Le jardin des Livres. Enquête sur un virus
oui, très bon livre en effet ! je vous conseille aussi celui de Claude janvier et Jean loup Izambert : Le virus et le président !
Morts et victimes du vaccin : la vérité par les chiffres !
« Les preuves sont désormais officielles et irréfutables ! »
https://www.youtube.com/watch?v=fAAJPEzueWA
Séquence extraite de la matinale de Tocsin ce matin, avec Pierre Chaillot
durée: 51:50