Le 18 décembre à 12h30, Nicolas Stoquer analyse l’assassinat d’Igor Kirilov, un acte terroriste revendiqué par l’Ukraine et orchestré par l’OTAN pour déstabiliser la Russie, effacer les révélations sur les biolabs américains et intensifier un conflit total en Europe
L’assassinat d’Igor Kirilov déclenche une guerre ouverte
L’élimination brutale du général Igor Kirilov, chef des forces russes de défense radiologique, chimique et biologique (RKhBZ), est un acte de guerre directe contre la Russie. Une bombe placée dans une trottinette, déclenchée à distance dans un quartier résidentiel de Moscou, a ciblé un haut responsable clé du dispositif de défense russe. Cette opération, revendiquée par les services ukrainiens (SBU), a été orchestrée par l’OTAN et ses alliés.
Cet attentat ne vise pas uniquement une figure militaire. En assassinant Kirilov, l’Occident cherche à déstabiliser la Russie en frappant ses symboles stratégiques, à la fois militaires et politiques. La Russie, ciblée sur son propre territoire, ne laissera pas cet acte impuni.
Une attaque planifiée par les proxies de l’OTAN
L’opération ayant mené à la mort de Kirilov est une preuve claire de l’implication occidentale dans la guerre contre la Russie. Planifier et exécuter un tel attentat au cœur de Moscou exige des moyens considérables, qu’aucune organisation ukrainienne seule ne pourrait mobiliser. C’est l’OTAN qui fournit les renseignements, la technologie et le soutien logistique permettant de frapper directement des cibles de haut rang en Russie.
Kirillov n’était pas une cible ordinaire. Il était à la tête du département RKhBZ, un pilier de la défense russe face aux menaces biologiques et chimiques, et une figure respectée pour son rôle dans la dénonciation des manipulations occidentales, notamment l’existence de biolabs américains en Ukraine. En le tuant, l’Occident cherche non seulement à affaiblir les capacités russes, mais aussi à faire taire une voix gênante qui exposait ses mensonges.
Kirilov assassiné pour avoir dévoilé les secrets de l’Occident
Kirillov avait mis à nu les activités clandestines des États-Unis et de l’Ukraine dans le développement d’armes biologiques. Il avait également accusé Kiev de préparer une bombe nucléaire et dénoncé le rôle de figures comme Anthony Fauci dans la gestion de la pandémie de COVID-19. Ces vérités, que Kirilov portait avec courage, sont la raison même de son assassinat.
L’Occident cherche par tous les moyens à dissimuler ses crimes. Les biolabs ukrainiens, financés par Washington, et l’utilisation de technologies interdites par les forces ukrainiennes sont des faits que Kirilov a révélés au monde. Son élimination vise à effacer les traces de ces exactions et à affaiblir la Russie par la terreur.
Une riposte russe inévitable
Cet attentat, loin d’affaiblir la Russie, ne fait que renforcer la détermination de Moscou à défendre son territoire et ses intérêts. Les provocations de l’OTAN ne resteront pas sans réponse. La Russie, fidèle à sa souveraineté, répondra avec fermeté à ces actes de terreur déguisés en opérations militaires. La mort de Kirilov ne marque pas une victoire pour l’Occident, mais un point de rupture dans l’affrontement avec la Russie.
Les élites politiques et militaires russes sont désormais sur le pied de guerre, prêtes à intensifier les opérations contre les proxies de l’OTAN en Ukraine. Les mesures de sécurité autour des hauts responsables russes ont déjà été renforcées, mais Moscou montre également qu’elle ne se laissera pas intimider par ces manœuvres. Les dirigeants russes savent que ce conflit dépasse l’Ukraine et concerne la survie de leur nation face à une coalition occidentale agressive.
L’OTAN pousse l’Europe vers un conflit total
En soutenant ces attaques terroristes, l’Occident démontre son mépris des règles internationales et sa volonté de pousser l’Europe vers une guerre totale. Les actions ukrainiennes, encouragées par Washington et Bruxelles, visent à affaiblir la Russie, mais elles entraînent également des conséquences graves pour la stabilité mondiale. En attaquant la Russie sur son propre sol, l’OTAN franchit une ligne rouge qui ne restera pas sans réponse.
Cet attentat confirme que l’Occident, incapable de vaincre la Russie sur le plan militaire en Ukraine, s’abaisse à des actes terroristes pour tenter de ralentir son adversaire. Cette stratégie est vouée à l’échec. La Russie continuera à défendre ses intérêts, son territoire et ses valeurs contre une coalition qui révèle chaque jour un peu plus sa nature destructrice.
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