Source Insolentiae
En EUrope et en particulier en France il est de bon ton de tirer sur Donald Trump, qui, je le répète encore une fois est un président américain, élu par les Américains pour défendre les intérêts américains.
Il était assez évident ces derniers temps que la dynamique était du côté de Trump.
Pourtant la presse française était totalement anti-Trump.
A ce stade, la question qu’il faut se poser, c’est pourquoi le système médiatique se donne autant de peine à tacler Trump, à le présenter de façon totalement outrancière et bien souvent mensongère ?
Simple.
Il défend une approche qui est nationaliste et souverainiste et qui vient heurter de plein fouet les “valeurs” européennes actuelles (elles varient beaucoup avec le temps nos “valeurs) à savoir la mondialisation et l’Europe Fédérale.
Trump parle de la puissance de l’Etat et d’un pays. En Europe, on parle et on organise l’impuissance de nos Etats.
Il parle de fermer les frontières et de moins de migrants.
Nous on nous en met chaque jour plus sans demander l’avis aux déjà-là.
Bref, la politique de Trump est la négation des politiques que nous subissons en Europe et qui sont imposées aux peuples.
Il faut empêcher la naissance d’une alternative politique à l’ordre actuel.
Ce qui se passe est tout simplement une immense bataille pour les idées.
Ce qui se passe et ce que font nos médias, c’est une immense entreprise de propagande.
D’un point de vue analytique, il était parfaitement possible de prévoir l’élection de Trump en raison de cette dynamique qui était visible.
Pour analyser et anticiper il faut donc être conscient de ce qui se joue dans la bataille informationnelle (dont nous sommes aussi les victimes) pour écrêter le “bruit” et le biais “propagande”, pour mieux voir les véritables dynamiques et donc les conséquences.
Je suis un analyste pragmatique. Mon avis sur Trump n’a aucun importance, en revanche, je peux vous dire ce qu’il va se passer dans les prochains mois et vous modéliser les conséquences des décisions qui seront prises par le nouveau président américain et c’est ce je ferais dans les lettres et dossiers Stratégies.
Charles SANNAT
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Avec Kennedy dans l’équipe « Trump », c’est la Von der leyen qui doit se sentir mal. 😉
Trump veut tenter de jouer son rôle de président : c’est l’inverse de ce qu’on a connu pendant 4 ans. C’est aussi l’inverse de ce qu’on connaît en France depuis bien trop longtemps.
On peut se demander quels intérêts est-ce que les médias protègent. Vu le coup de karcher qui devra être envoyé, on comprend que beaucoup aient besoin de couches-culottes. Sans compter ceux qui se sont barrés à l’étranger !
Le mot par excellence de la communauté des gogol(e)s hystériques.
« Fascisme » voilà bien un mot qui a perdu toute signification réelle.
Bizarre les fascistes c’est toujours les autres. Pourtant qui a fait voter des lois encadrant les conversations sur les réseaux sociaux ?, qui parle d’encadrer internet pour contrer une soi disant « désinformation » ? qui a obligé les gens à se cloitrer chez eux au nom d’une pandémie ?, qui a quasi obligé les gens à se faire injecter un produit dangereux dont on voit les effets à l’heure actuelle ? qui parle de fascisme lorsqu’on n’est pas d’accord avec la propagande actuelle ? qui parle de museler la liberté d’expression ? et j’en passe et des meilleures. Ceux qui se croient dans le camp du bien feraient mieux de balayer devant leur porte avant de critiquer les autres……
+ 1
La gauche renvoie toujours ses adversaires au fascisme et plus précisément à la collaboration. C’ est ce qui lui donne son ascendant moral pour traiter de fascistes ceux qui lui déplaisent.
Sur ce sujet deux articles dont les titres sont parlants :
1) Quand la gauche collaborait.
Le lien : TV – « Quand la gauche collaborait, 1939-1945 »
2 ) Quand l’extrême-droite résistait.
Le lien : TV – « Quand l’extrême droite résistait »
Il est à noter de plus que le journal collaborateur » La France socialiste » est publié à partir du 10 novembre 1941 sous la direction politique de René Château et de Georges Daudet, proche de l’ambassade d’Allemagne.
Le journal……. accueille alors essentiellement des hommes de gauche ralliés à la collaboration comme Eugène Frot, Gabriel Lafaye, Paul Rives, René de Marmande, Hubert Lagardelle, Claude Jamet, Pierre Hamp, Georges Daudet et René Saive.
L’équipe animatrice est formée de socialistes tentés par le Rassemblement national populaire (RNP) de Marcel Déat mais hostiles à Eugène Deloncle qui formeront le mouvement France-Europe : Francis Desphelippon, Roland Silly, Charles Pivert, Michel Brille, Jean Garchery et Louis Sellier.
On y trouve aussi les députés socialistes amis de Paul Faure : Roger Lefèvre, Alexandre Rauzy ou Fernand Roucayrol ou des intellectuels comme Félicien Challaye ou Claude Jamet.
source : La France socialiste — Wikipédia
Bonjour. Voilà ce qu’il ne faut pas cesser de répéter pour arrêter le délire de la culpabilité, dont on use et en abuse à gauche, quand on cherche à cacher la merde sous le tapis. Les israéliens aussi font ça très bien ! Pour l’avoir lu et relu, je conseille de Xavier Moreau,
Le livre noir de la gauche française Une mine de renseignements et de détails historiques très édifiants.
Tout cela pour confirmer que dans les faits socialisme égale fascisme.
…égal Guerre !!!
Un grand classique de ces gens là.