Mensonges et corruption covid : Autopsie d’un désastre volontaire ! | Jean-Dominique Michel | GPTV

Le 25 juin à 18h30, Jean-Dominique Michel, Jean-Maxime Corneille, Marc Daoud et Stéphanie Reynaud sont les invités de la Grande Émission animée par Mike Borowski, en direct sur Géopolitique Profonde.

Jean-Dominique Michel est un anthropologue et expert en santé publique suisse, connu pour ses analyses critiques des politiques sanitaires. Auteur de plusieurs ouvrages, dont Autopsie d’un désastre et plus récemment La fabrication du désastre – Qui ? Pourquoi ? Comment ?, Jean-Dominique Michel explore les interactions complexes entre santé publique, politiques et société, mettant souvent en lumière les dysfonctionnements systémiques.

Marc Daoud est le directeur de publication de Nexus, un magazine bimestriel français qui traite de sujets variés tels que la médecine non conventionnelle, l’écologie, la spiritualité et les théories du complot. Nexus se présente comme un média offrant une information libre, quitte à être inquiétante, et s’efforce de documenter des révélations et des innovations qui dérangent.

Stéphanie Reynaud est comédienne. Elle est également passionnée par les médias et la communication, et anime la chaîne YouTube nommée Tribune Libre , où elle interviewe des personnalités diverses sur des sujets d’actualité.

Jean-Maxime Corneille est un juriste et écrivain, spécialisé dans les questions de géopolitique, de terrorisme et de renseignement. Il a notamment traduit l’ouvrage Le charme discret du djihad: L’instrumentalisation géopolitique de l’islam radical. Il vient de publier son dernier ouvrage État Profond et Guerre Civile Fabriquée.

La pandémie de COVID-19 a été l’un des événements les plus marquants et perturbateurs du XXIe siècle. Depuis son apparition, elle a transformé les sociétés, affecté les économies et mis à l’épreuve les systèmes de santé publique à travers le monde. Les mesures prises pour contenir la propagation du virus, telles que les confinements, les restrictions de voyage et les campagnes de vaccination massives, ont été à la fois saluées et critiquées.

Au cœur de cette crise, des voix se sont élevées pour questionner la gestion de la pandémie. Des accusations de mauvaise gestion, de corruption et de désinformation ont émergé, soulevant des questions sur la transparence et l’efficacité des politiques de santé publique. Cette situation a mis en lumière les tensions entre les impératifs sanitaires, les libertés individuelles et les intérêts économiques.

L’impact de la pandémie a également été amplifié par le rôle des médias et la diffusion d’informations parfois contradictoires. La manière dont les informations ont été communiquées au public a joué un rôle crucial dans la perception et la réaction des populations face aux mesures sanitaires. Cette dynamique a engendré une guerre de l’information où vérités, demi-vérités et fausses informations se sont entremêlées.

Les critiques se sont concentrées sur plusieurs aspects : la rapidité et la nature des décisions politiques, la gestion des ressources médicales, la transparence des données et l’influence des lobbies pharmaceutiques. Des questions éthiques et morales ont été soulevées, concernant notamment les priorités et les choix faits par les gouvernements et les institutions internationales.

Lors de cet entretien, nos invités vont explorer plusieurs questions fondamentales :

  • Quel a été l’impact des politiques de confinement et des mesures de distanciation sociale sur la gestion de la pandémie ?
  • Comment la transparence et la communication des données ont-elles influencé la confiance du public dans les autorités sanitaires ?
  • Quelles preuves existent concernant la corruption et la mauvaise gestion pendant la crise du COVID-19 ?
  • Comment les médias ont-ils contribué à la guerre de l’information et quelles en ont été les conséquences ?

Un entretien passionnant et important, à ne pas manquer, sur GPTV.

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Un Commentaire

  1. Voici la version, vas y abrège frère :

    Le c-19 était une opération de prise de contrôle total par les corporations privées et de la haute finance qui au final à merdé, point !

    Akasha.

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