PAS DE PAIX POSSIBLE AU MOYEN-ORIENT

Jusqu’où iront-ils ?

La récente escalade des tensions entre Israël et le Hamas soulève de graves préoccupations sur le fragile équilibre du pouvoir au Moyen-Orient. La montée des hostilités entre ces deux acteurs clés a non seulement exacerbé les tensions régionales, mais a également attiré l’attention internationale sur la possibilité d’une escalade majeure.

La situation actuelle est le résultat d’une série d’événements complexes. D’une part, Israël continue d’affirmer sa position en matière de défense, justifiant ses actions comme nécessaires pour sa sécurité. D’autre part, le Hamas, considéré par de nombreux pays comme une organisation terroriste, défie ouvertement l’autorité israélienne, entraînant une série d’affrontements violents.

Cette dynamique est devenue un point focal pour les puissances mondiales, chacune cherchant à influencer l’issue de cette confrontation. Les États-Unis, traditionnellement alliés d’Israël, se trouvent dans une position délicate, tentant de maintenir un équilibre entre la dissuasion et le soutien à leur partenaire stratégique.

En outre, la réaction de la communauté internationale, partagée entre condamnation et soutien, ajoute une couche supplémentaire de complexité à la situation.

Les implications de cette confrontation dépassent largement les frontières du conflit israélo-palestinien. Elles touchent à des questions plus larges telles que l’équilibre des pouvoirs au Moyen-Orient, l’influence des grandes puissances dans la région, et les principes du droit international.

L’issue de cette situation pourrait redéfinir les alliances régionales et avoir un impact significatif sur la stabilité globale.

Dans notre revue mensuelle Géopolitique Profonde, nous examinons ces questions en profondeur.

Notre objectif est de vous fournir des analyses perspicaces et éclairées sur la manière dont ces événements façonnent le paysage géopolitique mondial.

Nous abordons également les implications pour les individus et les entreprises, et offrons des stratégies pour naviguer dans ce monde complexe et interconnecté.

Pour une compréhension plus approfondie de ces enjeux et pour rester à jour sur les développements géopolitiques et économiques mondiaux, je vous invite à consulter notre dernière publication.

Franck Pengam | Fondateur de Géopolitique Profonde

Géopolitique-Profonde

Franck Pengam (Géopolitique Profonde)

14 Commentaires

  1. “ajoute une couche supplémentaire de complexité à la situation.”

    En général, j’aime pas les choses simples (simplistes) quand il s’agit de sujets compliqués. Mais pour une fois, le sujet n’a rien de compliqué.

    Les israéliens disent que cette terre leur appartient, et ils n’en démordront pas.
    Les palestiniens disent que cette terre leur appartient, et ils n’en démordront pas.
    Chaque camp considère, plus ou moins officiellement, qu’il doit chasser l’autre de sa terre ou massacrer ceux qui refusent de partir.

    On peut tergiverser, inventer tous les plans de paix, chercher toutes les solutions à 2 états qu’on veut, ça fait 75 ans qu’ils se mettent sur la gueule, et ça sera toujours le cas dans 75 autres années, parce que chaque camp s’estime dans son bon droit et n’acceptera aucune paix tant qu’il n’aura pas totalement chassé l’autre camp.

    • Bonjour Radagast,

      Mettre tout le monde dans le même sac est moralement inacceptable.

      – Dans les faits, depuis 75 ans ce sont les israéliens qui s’accaparent, au nom de dieu et au prix du sang et de souffrances sans nom, TOUTES les terres de Palestine.
      – Tandis que l’immense majorité des autochtones palestiniens, souhaitent que les israéliens arrêtent de les “chasser telles des bêtes*”et que conformément aux traités internationaux toujours en cours, on en revienne aux frontières qui existaient avant l’invasion israélienne (guerre des 6 jours 1967).

      *) Dixit le 1er ministre Netanyahou

      • Je ne prend aucun parti dans ce message, je ne cherche pas à dire qui a tort ou qui a raison, je ne cherche ni pourquoi ni comment, je ne cherche pas ce qui serait juste ou ne le serait pas.

        Je constate simplement qu’une bonne partie des palestiniens ne veulent pas des juifs sur ce qu’ils considèrent être leur terre, qu’une bonne partie des juifs ne veulent pas des palestiniens sur ce qu’ils considèrent être leur terre, et que les uns comme les autres sont tout a fait disposés à s’entretuer pour atteindre cet objectif.

        Et par “bonne partie”, j’entends “en nombre suffisant pour alimenter une guerre”.

        Après, le mal, le bien, les jugements de valeur, c’est juste une question de point de vue.

    • J’ai a peine commencé a lire que je me suis arrêté.
      Il n’y a rien de compliqué dans ce conflit, comme le dit engel, les israéliens grignotent les territoires depuis qu’ils ont posé le pied en Palestine.
      Le plan de partage de la société des nations était déjà une monstruosité qui a créé des réfugiés déracinés de leur terre par milliers, mais depuis lors les sionistes s’accaparent la parti qui devait être palestinienne.
      Complexifié la situation, chercher d’autres arguments que la colonisation des terres palestiniennes, c’est tenté de noyer le poisson pour ne pas condamner le sionisme.

      • “la colonisation des terres palestiniennes”

        Ca c’est le point de vue palestinien. C’est leur terre, et les juifs sont des occupants. C’est vrai.

        Le point de vue israélien, c’est que leur nation est née sur ces terres environ 11 ou 12 siècles avant J-C, soit 17 ou 18 siècles avant la naissance de l’Islam. Ca a été leur terre, ils en ont été chassés, mais c’est quand même leur terre d’origine, et les palestiniens sont maintenant les occupants actuels. C’est vrai aussi.

        • En remontant les siècles, tu peux dire cela de la plupart des pays ! 😉

        • Tu sais très bien — ou tu devrais le savoir — que cette terre n’était justement pas celle des Hébreux, qui habitaient — fouilles archéologiques à l’appui — au Yemen.
          Quant aux Palestiniens, ce sont les descendants de ceux qui, descendants des Hébreux, s’étaient installés plus tard en Palestine : ces Palestiniens sont de confession jui ve, chrétienne de différentes obédiences, ou musulmans.

        • – “Le point de vue israélien, c’est que leur nation est née sur ces terres environ 11 ou 12 siècles avant J-C.” (Dis-tu)

          -Très juste, mais déjà en ces temps de “primo-installation” cette terre n’était pas vierge. Loin s’en faut !
          Bien au contraire, la vie y grouillait, on les appelait les cananéens.

          – Une belle civilisation peuplée ces terres, où de magnifiques villes modernes s’épanouissaient. La population multiséculaire y avait fondé un royaume riche où “coulaient le lait et le miel » comme il est écrit dans la bible.
          Ils furent chassés au nom de Yahvé, est-il encore dit dans la bible.
          …Evidemment, par la violence et le massacre.https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_cool.gif

    • Les Palestiniens sont plus ouverts au dialogue que ceux d’en face qui n’en veulent aucun, seule la force ! https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_scratch.gif

  2. Il faut être autiste pour ne pas entendre.https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wacko.gif

    “Des cafards”, disent-ils.
    Le gouvernement israélien l’a dit haut et fort, ils iront jusqu’à l’extermination des palestiniens s’il le faut.

    Le reste, n’est que fureur et sang, que de vaines polémiques s’acharnent à masquer.

  3. Au niveau ethnique, probablement 95% des occupants israéliens ne sont pas de souche “hébraïque” (ADN). Reste l’aspect religion. Peut-on légitimement déclarer la terre sainte, “Terre promise, terre due” et éradiquer les autochtones de religions différentes, ou qui ne se plient pas aux dictats?
    U.S/Israël, même colonisation génocidaire a un siècle d’intervalle. Mêmes financiers à la manœuvre.

  4. Le sionisme serait’il en train de “bruler ses vaisseaux” ? 😉

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