Hadith : La vérité cachée derrière l’Islam et le Coran. Ayham Hakki Alexander

Ayham Hakki-Alexander est notre invité sur Géopolitique Profonde.

Ayham Hakki-Alexander est doctorant chercheur en droit et science politique à l’université de Grenoble, pilote de ligne et passionné d’islamologie qu’il étudie depuis 2008.

Il présente son travail réalisé à travers un ouvrage sur les hadiths qui sont un ensemble d’outils de gestion des propos attribués à Mahomet, ses compagnons et leurs disciples.

Un livre transgressif qui bouscule l’approche traditionnel de l’Islam.

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Géopolitique-Profonde

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Franck Pengam (Géopolitique Profonde)

4 Commentaires

  1. De toute manière quelque soit la religion monothéiste, la même source est à l’oeuvre, c’est toujours le/la/les mêmes divinités qui sont les racines de celles-ci et qui ont été soigneusement cachées.

    http://mysterybabylon-watch.blogspot.com/2011/07/who-is-allah.html

  2. J’en suis à la minute 40. Ce gars est passionnant. Il a une délicatesse de parole, vu le sujet épineux je suppose, et on apprend en même temps beaucoup sur le sujet.
    L’histoire de la brosse à dents est vraiment caractéristique, dans toutes les religions et doctrines, des deux comportements principaux: on suit à la lettre, sans chercher à comprendre, ou bien on va tenter de saisir l’esprit. Le premier enferme, le second ouvre.
    Vraiment à visionner. Merci Volti !! https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_rose.gif

  3. Excellent positionnement, celui qui me paraît en aller de la survie des religions, pas seulement de l’Islam. La réflexion de ce musulman éclairé rejoint ma réflexion personnel, pourtant tout à fait éloignée et qui est passée par un tout autre chemin de réflexion, celui de ce qui a conduit l’humanité depuis des millénaires pour la faire aboutir à la situation où nous sommes. Sommairement présenté, il m’est apparu que l’humanité a fait fausse route qu’elle le dénie ou non, ni change guère sauf pour son avenir, et le maître mot de sa conduite à été et est encore le suprémacisme dans tous ses rapports internes ou non. C’est ce modèle qui la conduit au bord de l’abîme et les religions sans exceptions sont fortement inspirées et empreintes de cette croyance et de cette doctrine exprimée de manière très semblable d’ailleurs. Je parle évidemment des religions monothéistes qui mettent l’être humain au-dessus dans le monde du vivant et même au-delà et lui confère tous les pouvoirs et tous les droits au nom de Dieu, ou la volonté humaine au dessus de toute autre considération pour les agnostiques, ce qui revient à sacraliser l’être humain en lui donnant la toute-puissance et les pleins pouvoirs pour atteindre ses fins, les moyens n’étant hiérarchisés qu’en fonction de leur efficacité.

    Le présent le plus avancé et plus encore le fera l’avenir , nous apprennent que ces conceptions sont toutes ethnocentrées, fausses et calamiteuses pour le devenir de l’humanité et pour le monde.

    Soit les religions ( avec ou sans Dieu, puisque l’être humain a même pu fonder une religion sans dieu) modifient cette partie de leur doctrine soient elles perdront toute crédibilité et vérité.

    La proposition de l’intervenant de garder la tradition, les textes fondamentaux, (en Islam, au premier titre, le Coran) mais de lui donner une application respectueuse du texte mais conforme à l’état de la connaissance du temps présent, sans chercher une réformation qui reviendrait à abandonner ou dénaturer les fondements spirituels me paraît parfaitement respectable et intelligent, et comme l’explique très bien ce brillant esprit, ne fait que donner toute sa force et sa vigueur aux textes, à l’inverse des réformes comme il y en a eu dans la religion catholique qui ont eu pour effet de faire perdre grandement la force et la lisibilité de la parole du Christ, où de fonder d’autres religions cousines pour des raisons théologiques parfaitement recevables et respectables mais sans vraiment apporter rien de meilleur sur le plan spirituel tout en introduisant la division, là où il faut rechercher la communion et sans apporter durablement, tout au moins cette dimension de mise à jour constante, qui aurait sinon conduit les protestants à reconsidérer eux même le suprémacisme par rapport aux évangiles.

    Ce travail n’a, à ma connaissance jamais été fait au sein d’aucune église chrétienne. Or il me paraît essentiel dans les religions comme dans la philosophie, les sciences et dans bien d’autres domaines.

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