Source Insolentiae
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
« L’effondrement climatique a commencé », alerte le chef de l’ONU Antonio Guterres… Que nous dit-il ?
« L’effondrement climatique a commencé », « Notre climat implose plus vite que nous ne pouvons y faire face, avec des phénomènes météorologiques extrêmes qui frappent tous les coins de la planète », a-t-il poursuivi. Le chef de l’ONU a également rappelé comment les « scientifiques ont depuis longtemps mis en garde contre les conséquences de notre dépendance aux énergies fossiles ».
« Les mois les plus chauds depuis le début de l’histoire de l’humanité ».
Et donc ?
Que propose-t-il ?
Quelle stratégie d’adaptation ?
Quelles politiques faut-il mettre en œuvre ?
Les conséquences aussi bien économiques que sociales seront énormes.
Faut-il cesser de construire des immeubles en hauteur pour occuper nos sous-sols ?
Faut-il construire d’immenses réserves d’eau souterraines en récupérant les eaux de pluie et celles des rivières pendant l’hiver ?
Faut-il déménager déjà des centaines de millions d’habitants de pays où l’on ne peut déjà plus vivre ?
Imaginons que tout cela soit vrai, et que notre climat s’effondre.
S’il s’effondre c’est trop tard. Impossible de le reconstruire à l’échelle humaine, il faut donc s’y adapter ou périr.
Le sujet est-il d’ailleurs de réduire nos émissions de CO2 qui est persistant dans l’atmosphère ou au contraire de polluer encore plus pour nous protéger de ces conséquences avant de moins polluer ? La question doit être posée, car ce n’est pas avec des éoliennes que nous changerons nos habitats, mais avec du béton bien polluant et plein de camions de transport fonctionnant au diesel peu ragoutant.
Le problème, c’est que la seule chose que l’on nous proposera c’est toujours plus d’emballage, de publicité, de marketing et de consommation.
Nous continuons à faire des pailles même si elles ne sont plus en plastique et nous continuons nos ventes à emporter et nos emballages jetables avec des poubelles jaunes qui débordent. Je ne juge personne, je constate juste le décalage effrayant entre la réalité de nos consommations quotidiennes et les messages alarmistes tenus par les autorités.
Je constate que ces messages ne changent rien, jamais rien à nos réalités quotidiennes ou de façon tellement ridicule. C’est le cas avec les pailles ou encore avec cette ânerie d’impression des tickets de caisse, le problème n’étant pas le ticket mais tout ce que contient notre caddie de supermarché !
Je constate aussi, que plus les messages sont alarmistes, plus les impôts et taxes augmentent au nom de la protection de la planète sans que cela ne serve à améliorer la situation.
Il est donc très difficile d’entendre ces messages « terrifiants » et de les prendre au sérieux alors que tout, tout dans notre quotidien montre que chaque année nous faisons la même chose que l’année d’avant en… pire.
Plus d’avion, plus de déplacements, plus de numérique, plus d’énergie, plus de pollution, plus de chiffre d’affaires, plus de production, plus d’importation, bref, tout en plus.
Vous remarquerez également utilement l’instrumentalisation de la météo quand ça les arrange.
Quand il pleut en août et que tout le monde se plaint du mauvais temps, on vous explique qu’il ne faut pas confondre climat et météo, le climat étant sur le long terme et la météo sur le court terme .
Vous remarquerez qu’à chaque fois qu’il fait chaud, là c’est la preuve du réchauffement climatique et dans ce cas, il faut confondre climat et météo.
« L’effondrement climatique a commencé », ce qui me fait une belle jambe puisque je ne peux rien y faire, et non, trier mes poubelles envoyées à l’incinérateur, et casser mes bouteilles de verre pour qu’elles soient transportées par camion jusqu’en Pologne ou en Biélorussie pour être fondues à nouveau avec du gaz russe et refabriquées de A à Z ne changera strictement rien.
Alors monsieur le secrétaire général de l’ONU, on fait quoi ? A part augmenter les impôts et me faire manger de la poudre d’insectes ?
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT
Darkness ou l’Empire des Ténèbres : OMS mais aussi UNESCO, ONU, FMI, etc. sont, en réalité, des organismes internationaux à l’origine d’une dégradation constante de la vie politique, de l’économie, de la santé et de la culture des nations.
Jamais il n’y a eu plus de haine et de conflits entre les pays que depuis que l’ONU existe. L’OMS empoisonne et vaccine les masses pour, au mieux, les abrutir. L’UNESCO nivelle les cultures par le bas. Le FMI endette les pays riches et dépossède les plus pauvres. La science détruit l’environnement sous l’œil complice des organismes mondiaux chargés de le protéger, etc.
Le saviez-vous ? : Le Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM) est l’un des mécanismes clés dans le cadre du financement de la future monnaie mondiale que les élites bancaires globalistes contrôleront, et qui débouchera, par la force des choses, sur un gouvernement mondial ploutocratique désigné du doux nom de « Nouvel Ordre Mondial ».
Le FEM, « validé » par le biais des Nations Unies en 1992, lors de la conférence sur l’environnement et le développement, plus connue sous le nom de « Sommet de Rio », a précisément pour objet de prêter de l’argent (préalablement donné par nos gouvernements sous forme de prêts, c’est-à-dire nos impôts) aux pays les plus pauvres afin qu’ils atteignent les objectifs fixés dans la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques, la Convention sur la diversité biologique, etc. Mais lorsqu’un pays ne peut rembourser ses emprunts au FEM, il doit céder une partie de son territoire aux banquiers : FEM, FMI, Banque Mondiale. La superficie totale des terres concernées peut atteindre 30% de la surface de la Terre. Si la terre ne peut être offerte en garantie, on fait en sorte que le pays meurt de faim : telle est la véritable origine de la pénurie alimentaire ayant eu lieu en Argentine et à Haïti, entre autres, en 2007 et 2008.
Le coup de génie des banquiers fut donc d’avoir fait passer leur FEM par le biais du système des Nations Unies, lors du « Sommet de Rio », grâce à la cooptation des hauts fonctionnaires ministériels de 179 pays, entérinant ainsi le vol du monde.
À l’origine, le FEM est issu du 4ème Congrès Mondial des Terres Sauvages (4th World Wilderness Congress) organisé en 1987 par le président de la Banque privée Edmond de Rothschild, le Baron Edmond de Rothschild lui-même, et parrainé par l’« International Wilderness Foundation ». Quelque 1 500 banquiers et dirigeants parmi les plus puissants du monde assistèrent à ce congrès.
/…modéré…/
Lien : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/cosmogonie.html
t’inquiéte , le beaujolais nouveau va bientôt arriver
Charles, arrête !! « « Les mois les plus chauds depuis le début de l’histoire de l’humanité ». »
Rien que cette phrase te montre que ça ne vaut même pas la peine de faire un sujet ! C’est complètement faux ! ne perdons pas notre temps à ces inepties…
Bah, des fins du monde, on nous en annonce tous les 2 ou 3 ans pour ne parler que des plus grosses. A force on s’habitue…
Entre l’apocalypse nucléaire de la guerre froide, l’ère glaciaire qu’on devait se prendre, la fin du pétrole, l’Afrique qui devait être tellement peuplée que la terre elle même aurait du mal à tourner.
Le truc marrant, c’est que le réchauffiste me répondra « oui mais cette fois c’est sérieux, c’est la science qui le dit ». Bah oui mais, l’ère glaciaire, la fin du pétrole, la méga-surpopulation qui s’arrête jamais, la super pandémie de covid qui devait faire des milliards de morts, c’était aussi la science qui le disait…
Alors bon, quand on est jeune et persuadé de tout savoir mieux que tout le monde, on peut se laisser prendre. Mais passé un certain âge, quand ça fait 3 ou 4 fois qu’ils te font le coup, euh, ça a plus le même impact en fait.
Moralité, c’est la fin du monde (encore), c’est peut-être vrai, ou peut-être pas, mais dans tous les cas, j’m’en bat les cacahuètes. Et puis avec un peu de chance, entre deux on va se prendre un giga astéroïde sur le coin d’la gueule, ça mettra tout le monde d’accord.
Parce que bon, si on devait paniquer pour toutes les fins du monde potentielles qu’on risque de bouffer, autant se suicider tout de suite.
Mais vivre dans un monde ou les habitants sont persuadés qu’on va sauver le monde en bouffant de la laitue ou en arrêtant de péter, j’suis pas sur que ce soit plus enviable qu’une vraie fin du monde…