L’histoire de la Russie dans la gouvernance mondiale avec Pierre Hillard

Pierre Hillard est notre invité sur Géopolitique Profonde.

Pierre Hillard vient de publier son dernier ouvrage intitulé : « Les permanences de la géopolitique et de la mystique russes des Romanov à Vladimir Poutine« .

Un livre surprenant qui étudie, selon notre invité, les grandes étapes politiques et spirituelles de la Russie avec leurs conséquences géopolitiques.

Souvent présentée comme un contre-modèle, la Russie, selon Pierre Hillard, ne déroge pourtant pas à la règle quant à la volonté de finalisation d’un modèle de gouvernance mondiale.

Un entretien passionnant, à contre-courant, en direct sur Géopolitique Profonde, lundi 28 août à 19h !

Présentation de l’ouvrage :

« Cet ouvrage aurait pu aussi s’intituler L’Histoire de la Russie dans la gouvernance mondiale. En effet, l’objectif de ce livre est de présenter les caractéristiques propres à la Russie ainsi que les contrastes flagrants animant les élites dirigeantes de ce pays cherchant à synthétiser tout et son contraire.

Les informations apportées dans cet ouvrage surprendront plus d’une fois le lecteur. Il découvrira qu’une mystique accompagne également l’histoire de la Russie (même durant sa période communiste) semblable à une mission à remplir, une vision universelle de l’humanité.

Ainsi, nous rappelons ici les grandes étapes politiques et spirituelles de la Russie avec leurs conséquences géopolitiques, de l’émergence de la Moscovie en passant par les Romanov, traversant la période soviétique, pour ensuite examiner et explorer les coulisses propres à la politique du Kremlin de Boris Eltsine à Vladimir Poutine.

Mettant à jour un messianisme d’un genre particulier associant l’Église orthodoxe et le pouvoir politique russe se manifestant au cours des siècles, nous démontrons également pourquoi cette vision universaliste, défendant apparemment des valeurs traditionnelles, attrayantes et maléfiquement séductrices, est littéralement la marque de fabrique de la Russie poutinienne.

Ce messianisme propre à la Russie entre – inévitablement – en concurrence avec le messianisme anglo-saxon mais il est saisissant de constater que ces deux mondes, apparemment opposés, élaborent pourtant des concepts communs, dignes de 1984 de George Orwell.

Des rivalités monétaires, énergétiques, politiques et géopolitiques déchirent ces milieux oligarchiques quant au type d’organisation à mettre en place pour finaliser la gouvernance mondiale sur fond de combat entre différents types de messianismes, tous nourris par la magie du chaos. Et la Russie, souvent présentée comme un contre-modèle, ne déroge pourtant pas à la règle.

La preuve donc, par son histoire et ses permanences… »

L’HISTOIRE DE LA RUSSIE DANS LA GOUVERNANCE MONDIALE AVEC PIERRE HILLARD – YouTube

Géopolitique-Profonde

Franck Pengam (Géopolitique Profonde)

10 Commentaires

  1. …U12 et Suzanna vont apprécier.https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wink.gif

  2. INCROYABLE !!!https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wacko.gif
    Le mec dérange au plus haut niveau.

    France tu es tombée bien bas :
    https://www.egaliteetreconciliation.fr/Pierre-Hillard-desormais-interdit-de-conference-73435.html

  3. Cette « gestion des contraires » si chère aux organisations secrètes globalistes…
    Commençons par remarquer que d’un point de vue économique, le Capitalisme monopolistique et le Socialisme sont tous deux les ennemis de la libre concurrence, car la concurrence et les forces du marché, lorsqu’elles ne sont pas « concentrées » dans les mêmes mains, permettent à d’autres de prospérer et, surtout, d’être indépendants. Un gouvernement communiste peut organiser le contrôle social de manière à garantir et à protéger la concentration de la richesse ; le gouvernement communiste peut donner à des cartels le contrôle des matières premières et des marchés, et leur accorder de gros contrats et s’endetter à l’infini auprès d’eux. Chaque secteur de l’économie étant, in fine, contrôlé par une poigné de cartels.
    Rappelons que, en 1905, le tsar Nicolas II refusa d’accepter la création sur le sol Russe d’une Banque centrale, comme cela arrivera en 1913 avec la « Federal Reserve » aux USA, banque qui, au moyen du contrôle du crédit, aurait permis aux « puissances d’argent » de contrôler l’économie Russe. Le premier organisme bancaire central en Russie a été créé le 12 juin 1860 sous le nom de Banque d’État de l’Empire russe, qui a été formée sur la base de la Banque commerciale d’État par l’oukaze (décret ou édit) de l’empereur Alexandre II. Il était précisé dans les statuts que cette banque était destinée au crédit à court terme du commerce et de l’industrie. Au début de 1917, la banque comptait onze succursales, 133 bureaux permanents et cinq bureaux temporaires et 42 agences. Le 7 novembre 1917, date de la « révolution d’Octobre », la Banque d’État Russe a été dissoute et remplacée par la Banque populaire de Russie ; on passera alors d’un Gouverneur de la banque nommé par Nicolas II, à un Président du Conseil d’Administration nommé par le Premier ministre de l’Union Soviétique, en l’occurrence Lénine (rappelons que la famille impériale a été massacrée en juillet 1918). La Banque populaire de Russie existera jusqu’à la création, en 1923, de la Gosbank (banque centrale de l’Union Soviétique) devenue depuis décembre 1991, la Banque centrale de la fédération de Russie.
    /….modéré…./
    Blog : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/

  4. interdit de forum parait-il

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