Je m’appelle Alain, j’ai 61 ans et j’habite sur Bordeaux. Pas content avec le Scandale Sanitaire du Siècle, le SSS : Covid-19 et vaccination et pas content aussi avec le plan : Great Reset/objectif 2030, je me suis levé il y a quelques mois pour dénoncer ce complot contre les peuples de la terre.
J’écris des articles pour éveiller et montrer la réalité et le futur en marche vers le contrôle/esclavage numérique total des citoyens du monde. Commencer a soulever le voile en montrant le « Plandémie » permet d’arriver à comprendre le plan mondial et donc de réagir et d’agir. Informons, informons…
L’ATTENTAT CONTRE KENNEDY
…Les motifs de l’attentat contre J. F. KENNEDY sont l’objet de violentes spéculations depuis novembre 1963. Nous savons que le jeune président se préparait à choisir sa propre orientation concernant des questions d’une grande importance stratégique, ce qui l’opposait fortement aux puissants intérêts politiques et financiers de l’ESTABLISHMENT. Il n’était pas un bon « partenaire » et l’une des causes de son assassinat fut qu’il renvoya, peu après sa prise de fonction en 1961, le chef tout-puissant de la CIA, ALLEN DULLES, qui venait de subir un échec dans l’ « opération de la Baie des Cochons » (il s’agissait d’exilés cubains qui ne purent pas atterrir dans la « Baie des Cochons » à Cuba en avril 1961). De plus, il envisageait le retrait de quelques conseillers américains (Advisors) du Viêt-Nam. Il leur donna l’ordre, en effet, de se retirer en octobre 1963. Ce qui gênait aussi énormément les Illuminati fut le fait que Kennedy voulait nettement diminuer les activités militaires de la CIA dans l’Asie du Sud-Est. Il fit savoir, en outre, au Congrès, le 18 juillet 1963, qu’il avait l’intention de mettre en application toute une série de dispositions pour renverser le déficit des paiements des Etats-Unis. Il voulait relancer l’exportation de marchandises industrielles et prélever des impôts sur les avoirs des citoyens américains à l’étranger. Les impôts à payer sur le capital investi à l’étranger se seraient élevés jusqu’à 15% Par an. Cela représentait, évidemment, un handicap de plus pour les banquiers internationaux. Kennedy aurait été – ô combien – l’homme qu’il fallait pour défendre les droits du peuple. (103)
Si nous voulons prendre en compte un autre motif beaucoup plus important, quittons, une fois encore, mais brièvement, le secteur de la politique. Cela se rapporte à la découverte de la soucoupe volante qui s’était écrasée le 2 juillet 1947 à ROSWELL, au Nouveau Mexique. On découvrit dans cette soucoupe quatre petits humanoïdes. Il y eut 92 témoins, 35 témoignages de première main (du personnel de l’Air Force). Le 13 février, on trouva un autre vaisseau spatial dans les environs d’Aztec, au Nouveau Mexique. La deuxième chute d’un autre vaisseau dans cette même région eut lieu le 25 mars 1948 dans le Heart Canyon. Le disque avait 33m de diamètre, il était fabriqué avec un métal qu’on n’avait jamais vu et l’on y trouva seize morts qui mesuraient environ 1.20m. En 1949, une autre soucoupe fut trouvée à Roswell, et l’un des passagers survécut.
Un officier d’aviation reçut l’ordre de l’emmener à Los Alamos où se trouvaient, à cette époque, les installations les plus sûres des forces armées des Etats-Unis. On décrivit le passager comme un humanoïde reptiloïde avec certaines caractéristiques propres aux insectes. On le nomma simplement « EBE » (Extraterrestrial Biological Entity). EBE relata que ceux de sa race rendaient visite à la Terre depuis 25.000 ans, qu’il venait d’un système d’une étoile double, que leur planète était désertique et que leur soleil menaçait de disparaître. Il dit aussi qu’ils disposaient de bases souterraines dans différents pays de la Terre. EBE enseigna au jeune colonel qui lui tenait compagnie l’existence de la réincarnation et la survie de l’âme qui correspondent aux lois de l’Univers. Tout fut noté et rassemblé sous le code « Yellow Book ». On essaya de prendre contact avec la race d’EBE mais sans succès. Ce projet portait le nom de SIGMA. Fin 1951, EBE tomba gravement malade. Comme les fonctions biologiques de son corps dépendaient de l’apport de chlorophylle, on fit appel à un botaniste, le Dr Guillermo Mendoza, pour le traiter. EBE resta à Los Alamos jusqu’à ce qu’il y mourut le 18 juin 1952 « pour un motif inconnu ». Le colonel qui s’occupait de lui aurait pleuré à sa mort. il l’aurait aimé comme un enfant. Plus tard, sous le projet ROBERTSON-PANEL, on adapta cet événement à l’écran ; le film porta le titre « E.T. ». Ce film de science-fiction avait pour but de familiariser le public avec cette réalité-là.
Le 6 décembre 1950, une autre soucoupe (de 30m) tomba près de Laredo, au Texas. On trouva dans les débris un passager calciné d’1m30 avec une tête extrêmement grosse. Cet incident suscita une vive émotion lors de la parution des photos. Le 20 mai 1953, on récupéra à Kingman, en Arizona, une autre soucoupe qui ne mesurait, cette fois, que 10m de diamètre. Il y avait quatre morts qui, eux aussi, furent emmenés, comme les autres, à la « Wright Patterson Air Force Base » (Hangar 18) (Comme le disent si justement les Américains : « Reality is sometime stranger then fiction ! » = La réalité dépasse parfois la fiction).
Dès la première chute, plusieurs organisations secrètes furent créées, elles s’occupaient de tout ce qui concernait les OVNIs : La plus importante fut l’opération MAJESTIC 12, fondée le 12 septembre 1947 par le président Truman et dont dépendaient tous les autres projets (MAJESTY est le nom de code pour le président). Parmi les membres, il y avait le Dr Vannevar Bush, conseiller scientifique du président ; le ministre de la Défense Forrestal et aussi, plus tard, Nelson Rockefeller, Allen Dulles, chef de la CIA et J. Edgar Hoover, chef du FBI. Les autres faisaient partie du CFR. Tous les douze étaient aussi membres de la « JASON SOCIETY » ou JASON-SCHOLARS, de l’élite de l’ordre « SKULL & BONES ». Le siège du groupe situé à Maryland, accessible seulement par les airs, est connu sous le nom de « Country Club » par les cercles d’initiés.
Les projets conçus sous la direction du Majestic 12 étaient, entre autres, les suivants :
le projet MAJI, c.-à-d. « Majority Agency for Joint Intelligence ». Ce service réunit toutes les informations concernant les services secrets. MAJIC signifie contrôlé par Maji. Toutes les informations et désinformations à propos des OVNIs et des extra-terrestres sont exploitées par MAJI, en collaboration avec la CIA, la NSA, le DiA (service de renseignements de la défense du pays) et le Naval Intelligence (service secret de la marine) :
le projet SIGN : concerne l’étude des phénomènes OVNIs. Plus tard, ce projet prit le nom de :
projet GRUDGE (peut-être à cause des nombreuses parties de corps humains qui furent trouvées dans deux des vaisseaux) ;
le projet BLUE BOOK : se rapporte au sauvetage d’objets volants tombés à terre, et, de concert avec le projet ROBERTSON-PANEL, il vise à désinformer intentionnellement le public ;
le projet SIGMA : concerne la communication avec la race d’EBE
le projet SNOWBIRD : se rapporte à la technologie d’objets volants extra-terrestres pour tenter de piloter un de ces objets ;
le projet AOUARIUS : sert de couverture pour coordonner les programmes de recherche et de contacts avec les extra-terrestres ;
le projct GARNET : étudie l’influence des extra-terrestres sur l’évolution humaine ;
le projet POUNCE : concerne le dépouillement des vaisseaux spatiaux qui ont chuté et les examens biologiques faits sur les corps des passagers ;
le projet REDLIGHT : décide des essais à faire en vol avec des vaisseaux spatiaux qui ont été trouvés ou été mis à disposition par des extra-terrestres. Ce projet est mené, en ce moment, dans le domaine de AREA 51/GROOM LAKE, au Nevada ;
le projet LUNA : nom de code pour la base extra-terrestre sur la lune qui fut observée et filmée par les astronautes d’Apollo. On y exploite une mine, et on y gare des grands astronefs en forme de cigare ;
les DELTA FORCES : ce sont des unités spécialement formées pour ces projets.
Selon le rapport de William Cooper et George Segal, la CIA aurait été créé spécialement pour dissimuler l’existence des extra-terrestres. D’après W. Cooper et G. Segal, le groupe d’élite secret international « Die Bilderberger », que nous étudierons de plus près au cours de ce livre, a été créé aussi pour cacher les contacts établis avec les extra-terrestres. Je ne traiterai, cependant, des Bilderberger que d’un point de vue politique.
Qu’attendent-ils donc, de nous, les extra-terrestres ?
Pourquoi ne s’adressent-ils pas aux dirigeants ou au président d’un pays ? Ils l’ont fait ! Et ils ont été plusieurs à le faire !
Il n’y a pas que George Washington et Abraham Lincoln qui ont affirmé avoir été contactés par des extra-terrestres. Le président Roosevelt aurai eut, en 1934, lors d’une croisière sur le Pennsylvania dans le Pacifique, une rencontre arrangée par Nikola Tesla avec les passagers d’une soucoupe. Le président Truman, lui aussi, aurait eu une entrevue personnelle avec des extra-terrestres le 4 juillet 1945.
Quelques enfants Rothschild prétendirent au début de ce siècle que leurs parents auraient rencontré les passagers d’un OVNI. Mais les rapports que nous avons n’émanent que de personnes isolées qui ont bien voulu les raconter ou les mettre par écrit.
Il y a, cependant, des preuves concrètes des rencontres du président DWIGHT D. EISENHOWER. Michael Hesemann écrit à ce sujet (« UFOs – Die Kontakte », p.55 et suivantes) :
« Ainsi qu’il ressort des rapports établis par les personnes en contact avec les extra-terrestres, ceux-ci, depuis leur apparition massive au-dessus de Washington l’été 1952, ont pris contact avec le gouvernement américain. (…) De plus, ils chargèrent différentes personnes, entre autres George van Tassel, d’envoyer des messages au président. Après les présidentielles de l’automne 1952, ce fut le général Dwight D. Eisenhower qui occupa le poste de président. Auparavant, pendant sa carrière militaire, il avait déjà été informé des chutes d’OVNI à Roswell, Aztec et Laredo qui se produisirent entre 1947 el 1950. Après son élection le 18 novembre 1952, il reçut un rapport sur la situation de la commission gouvernementale « Majestic 12 » qui avait été chargée par son prédécesseur Truman d’examiner les épaves d’OVNIs récupérées. La commission recommanda au président le secret absolu pour raison « de sûreté nationale ». (…)
Le lieu choisi pour qu’Eisenhoiver établisse son contact fut la base de l’armée de l’air Edwards (MUROC) en Californie. Des démonstrations d’OVNIs s’étaient déjà déroulées à cet endroit-là depuis des mois, voire même des années :
le 8 juillet 1947 : quatre différents objets non identifiés en forme de disque sont aperçus au-dessus de MUROC AFB et du terrain d’essais secret de Rogers Dry Lake ;
le 31 août 1948 : un grand objet avec une traînée de flammes bleues, longue de plus d’1 km ; passe au dessus de MUROC à 17.000m d’altitude ;
le 14 juin 1950 : un pilote de la marine et différents pilotes civils observent un astronef en forme de cigare à 40m à l’est de MUROC ;
le 10 août 1950 : Robert C. Wykoff, physicien dans la marine, observe dans son télescope un grand objet en forme de disque qui manoeuvre près d’Edwards ;
le 30 septembre 1952 : le photographe spécialisé Dick Beemer et deux autres témoins observent deux objets en forme de boule, légèrement aplatis, manœuvrant au-dessus d’Edwards ».
Le 20 février 1954 fut le jour J. cet événement est confirmé par des prises de vues cinématographiques et par différents témoins, dont Geralt Light du puissant groupe médiatique CBS, comte de Clancerty, membre de la Chambre haute des lords en Angleterre, William Cooper, ex-agent secret, Paul Salomon, membre du personnel de l’armée de l’air et beaucoup d’autres qui étaient stationnés, à cette époque-là, à MUROC/Edwards.
Ce jour-là, tous les officiers, y compris le commandant, accoururent à la tour de contrôle pour y observer un grand disque de 60m à 100m de diamètre qui planait au-dessus de la piste de décollage. Ils l’observèrent pendant des heures jusqu’à ce que tous ceux de la base, jusqu’au dernier, soient au courant. Le disque faisait des manœuvres en vol défiant toutes les règles de la physique. Il se déplaçait de bas en haut, d’un côté à l’autre, en angle droit, etc.
Un peu plus tard, il y eut, au total, cinq objet volants, trois en forme de disque et deux en forme de cigare. Eisenhower arriva en avion à base, il faisait, à ce moment-là, une cure à côté de Palm Springs. Lui-même ainsi que tout le personnel de la base furent témoins de la descente d’un petit groupe d’occupants qui s’approchèrent d’eux. Ils avaient un aspect humanoïde, leur taille était à peu près celle des êtres humains, ils étaient blonds et parlaient anglais. Ils proposèrent leur aide pour le développement spirituel de l’humanité à la condition, dirent-ils, que nous acceptions de détruire nos armes atomiques. Ils n’étaient pas prêts à mettre à notre disposition leur technologie puisque nous n’étions pas capables d’utiliser la notre en humains responsables. Ils pensaient que n’importe quelle technologie nouvelle ne servait qu’à nous entre-tuer.
Cette race expliqua que nous étions sur une voie d’autodestruction, que nous devions cesser de nous détruire, de polluer la Terre, d’en exploiter les richesses minières. Nous avions été mis pour vivre en harmonie avec la création. Il était capital pour nous d’apprendre à nous considérer comme les citoyens d’une famille planétaire et nous avions le devoir de nous comporter comme tels. Nous devions abandonner au plus vite notre croyance de pouvoir agir à notre guise. Nous ne pouvions entrer en contact avec eux que si nous commencions à nous conduire comme citoyens d’un système planétaire. ILS étaient, eux aussi, une partie de cette famille planétaire, et nous devions les traiter ainsi, eux et tous nos semblables sur cette Terre. Dès que nous aurions appris à avoir des rapports de paix avec les autres nations nous pourrions accéder à des rapports interplanétaires.
Toutes les personnes présentes étais des plus sceptiques face à ce langage surtout en ce qui concernait l’exigence impérative du démantèlement nucléaire. Personne ne pouvait imaginer qu’un désarmement pût être dans l’intérêt des Etats-Unis. Tous craignaient de se trouver sans défense face aux extra-terrestres. L’offre fut refusée ! Les étrangers déclarèrent alors qu’ils continueraient à avoir des contacts seulement avec des individus tant que les humains ne les accepteraient pas. C’est alors que les extra-terrestres firent une démonstration de leurs possibilités techniques qui imposèrent le respect au président, qui se tenait là, paralysé, et à son entourage. Ils montrèrent leurs vaisseaux spatiaux au président et prouvèrent même leur capacité à se rendre invisibles. Eisenhower en éprouva un malaise ! Personne ne pouvait les voir mais tous savaient qu’ils étaient là. Les étrangers montèrent ensuite dans leurs vaisseaux et décollèrent.
L’astronaute américain Gorden Cooper confirme cet événement en racontant qu’il vit un film pendant son service montrant un atterrissage d’OVNIs dans une base de l’armée de l’air en Californie dans les années cinquante.
(Vous trouverez dans les livres de Michael Hesemann « UFOs – Die Beweise » (OVNIs – Les preuves) et « UFOs – Die Kontakte » (OVNIs – Les contacts) toute l’histoire dans les moindres détails ainsi que les réponses à tous les comment et pourquoi. Il s’est donné la peine de faire un condensé de plus de 50 livres et spécialement de livres américains et de les documenter avec de nombreuses et excellentes photos. « UFOs – Die Beweise » contient les documents secrets de la CIA qui ont été rendus accessibles au public grâce au « Freedom of Information Act » au bout de trente ans de secret. Il y eut d’autres contacts avec des gouvernements mais il faudrait prendre connaissance de tous ces contacts pour avoir un aperçu de la diversité des thèmes touchant aux OVNIs. Il y a, en outre, des vidéos qui contiennent en particulier l’atterrissage d’une soucoupe en 1964, dans la base de l’armée de l’air Holloman. Ces vidéos sont consignées dans la littérature complémentaire).
Revenons-en maintenant à KENNEDY. Après avoir été élu président et avoir été informé des OVNIs récupérés et des projets secrets qui incluaient l’étude des survivants, il voulut rendre ces informations publiques. Forestal, le ministre de la Défense et membre de Majestic 12, avait déjà essayé d’en faire autant, il fut jeté par la fenêtre de ]’hôpital avec un drap de lit autour du cou le 22 mai 1949.
Kennedy eut droit à un traitement similaire. Il fut assassiné le 22 novembre 1963 à Dallas. (103 A)
Le premier coup de fusil vint effectivement du toit de l’entrepôt mais il n’était pas mortel. Le coup mortel fut donné par le conducteur de sa propre voiture, l’agent de la CIA William Greer qui visa la tête de Kennedy avec une arme propre à la CIA. Quand on regarde au ralenti le film original de l’attentat et qu’on prête attention au chauffeur, il est clair que celui-ci se retourne, l’arme à la main, tire et c’est alors que l’arrière de la tête de Kennedy éclate.
Dans les films projetés dans la plupart des pays occidentaux, le chauffeur n’apparaît pas. Dans une émission de l’ARD (première chaîne de télévision allemande), le « Spiegel TV », on essaya, le 21 novembre 93, de convaincre les spectateurs que l’attentat n’avait rien à voir avec la CIA alors que la RTL diffusait, presqu’au même moment, un avis contraire. Sans parler des commentaires, on ne montra sur les deux chaînes qu’une seule fois le film en entier ; dans les films suivants, il n’y avait pas le chauffeur. Mais celui qui savait où il devait porter son attention pouvait dans le film original reconnaître le chauffeur tirant avec son arme.
John Lear, fils de Lear Aircraft (aujourd’hui propriétaire) et autrefois désigné comme le meilleur pilote de l’US Air Force (avec 17 records du monde), trouva trois films originaux, entre autres au Japon. Il les fit analyser par un ordinateur pour prouver leur véracité. Lui-même et William Cooper, ex-membre de la Navan Intelligence (service secret de la NAVY) et auteur de « Behold a Pale Horse », font, de nos jours, des conférences aux Etats-Unis où l’on peut obtenir les films originaux par leur intermédiaire (voir adresse dans la bibliographie). William Cooper perdit sa jambe droite à cause de ce film : il fut victime d’un attentat en 1973. La télévision japonaise a, par la suite, diffusé plusieurs fois ces films originaux dans les actualités télévisées aux heures de grande écoute. L’analyse par ordinateur permit d’identifier l’arme et la décrivit comme étant d’un calibre spécial employé par la CIA. Quant à la balle, il s’agissait également d’un projectile spécialement conçu par la CIA qui explosa dans le cerveau de Kennedy et provoqua sa désintégration.
Avaient participé à la préparation de l’attentat les membres de la Orlando Bosch, E. Howard Hunt, Frank Sturgis et Jack Rubenstein (alias Jack Ruby). La CIA épongea, en remerciement, les énormes dettes de jeu de Ruby.
Lee Harvey Oswald, qui avait aussi été membre de la CIA, travaillait au moment de l’attentat pour Jack Ruby. Sa mort fut programmée. Jack Ruby le tua avant qu’il ne pût prouver son innocence. Le coupable était trouvé ; il ne pouvait plus prouver le contraire. (104)
La CIA haïssait Kennedy. Il était, d’après elle, responsable de la mauvaise tournure que prenaient leurs projets concernant le Viêt-nam, Cuba et les OVNIs. Un collaborateur de la CIA, qui avait participé à l’opération de la « Baie des Cochons », dit que toutes les personnes travaillant dans son secteur se levèrent et applaudirent lorsqu’ils apprirent la nouvelle de la mort de Kennedy. Aux auditions devant le comité spécial pour attentats, nombre de ces faits furent dévoilés mais selon la loi de sûreté de l’Etat américain, les archives sont closes jusqu’en 2029. Après ces auditions, la CIA se vit défendre toute opération secrète à l’intérieur des Etats-Unis. (Qui peut croire qu’elle s’y est tenue ?)
Tous les témoins de la conspiration furent tués ou moururent d’un cancer foudroyant qui leur avait été injecté (le chauffeur qui avait tiré, mourut, par ex., trois semaines après l’attentat).
D’après le « Warren-Commission-Report », rapport officiel de l’attentat contre Kennedy, LEE HARVEY OSWALD aurait été l’unique tueur. C’est ce qu’on pouvait lire déjà neuf heures plus tard dans tous les journaux américains. La conspiration de la CIA et du Comité des 300 fut passée sous silence. Pour une bonne raison : Les Illuminati avaient été très efficaces en contrôlant les agences de presse.
Ceci est un exemple parmi d’autres qui prouve que des nations entières reçoivent pendant des décennies des informations erronées, jusqu au jour ou un chercheur courageux se donne la peine de faire des investigations.
ROBERT F. KENNEDY, le frère de J. F. KENNEDY, qui faisait aussi obstacle aux Illuminati dut mourir le 5 juin 1968, juste avant de gagner les élections présidentielles. Dans ce cas-là, le tueur unique était SIRHAN SIRHAN. Celui-ci était sous l’effet d’une drogue préparée par la CIA pour cette circonstance spéciale. Pour être sûr que Sirhan Sirhan ne manquerait pas sa cible, le garde du corps de Howard Hughes avait tiré avec la « balle supplémentaire » que l’on trouva, plus tard, dans la tête de Kennedy. Selon les dires du juge d’instruction s’appuyant sur les preuves balistiques, la bouche de l’arme a dû être éloignée de 5 à 8 cm de la tête de Kennedy ; quant à l’arme de Sirhan, elle était éloignée d’au moins 30 cm. Ceci fut aussi dissimulé au public. Les publications internes du CFR et de l’ordre « Skull & Bones » contiennent, cependant, ces informations. D’après le § 12 des « Protocoles », il faut supprimer les personnes qui sont une entrave au « plan ». (105)
(Vous trouverez en particulier dans le livre de William Cooper « Behold a Pale Horse » l’histoire complète de l’attentat avec les noms, les données et des faits concrets ainsi que les relations entretenues par les Etats-Unis avec les extra-terrestres).
« S’informer pour réagir et agir. »
Rien de plus vrai !
Savoir, c’est déjà se rebeller, enfreindre les limites. Penser s’avère un exercice de liberté et de désobéissance.
C’est pourquoi tous les tyrans, les inquisiteurs, les fanatiques ont réprimé le savoir, brûlé les bibliothèques et les livres ou tué les intellectuels parce que ceux-ci étaient fauteurs de liberté.
Aujourd’hui encore, et peut-être même plus que jamais, le pouvoir politique (et religieux) se fonde sur l’ignorance du peuple et s’accroît d’autant que les esprits sont faibles, les gens incultes.
Blog : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/
Dommage ! Cela commençait bien, et voilà que cela s’aventure sur des conjectures faisant intervenir « des aliens ». Ne serait-ce pas plus réaliste, de se poser la question de l’intégrité intellectuelle et affective de certains décideurs ? Rappelons que le plus souvent, ce sont ceux qui n’ont pas les bonnes capacités qui justement, par effet de manque, briguent les postes à hautes responsabilités. En caricaturant largement, « Plus tu es fou, plus tu es haut dans la hiérarchie ».
Bonjour JC,
Je rejoins ton avis mais je ne ferme pas la porte aux dires d’Alain sur les aliens. La vie m’a montré que tout est possible donc je reste ouverte sans y croire vraiment.
C’est quand même une hypothèse « très hard ».
Mais comme toi, je me garde de prendre parti.
Car, « avant que je sache, j’ignorai. »
Simple résultat d’un processus de défense psychique.
Quand un comportement en devient totalement « inhumain » et qu’il échappe à la compréhension affective normale(QE), certains préfèrent invoquer des aliens, plutôt que d’imaginer que cela puisse être le fruit du cerveau de l’un de « ses frères humains ».
Pfizer : Panique à Bord
http://echelledejacob.blogspot.com/2022/07/urgent-revelations-pfizer.html?m=1
Vrai que lorsqu’on l’écoute, c’est le « sauve qui peut » dans l’industrie pharma ! 🙁
Tout à fait OK avec JClaude.
Encore un truc revu, revu et revu de la mouvance complotiste/conspirationniste imbécile : David Icke et ses délires, Le Livre Jaune, etc.
La terre est plate mais aussi creuse et il y a des trous aux deux pôles où des aliens circulent, personne n’est allé sur la lune et les images satellitaires sont des trafics Photoshop/Gimp, etc, etc, etc.
Débile ! Mais mieux vaut en rire.
– Il y a ceux qui ignorent et cherchent et souvent se trompent.
– Et il y a ceux qui savent et ne cherchent rien, de peur de trouver qu’ils sont dans l’erreur.
Alors ris, car toi tu sais ce qui est vrai.
« Débile ! Mais mieux vaut en rire. «
Bonjour 🙂
Oui avec David il y a un hic…. Hum désolée, je ne reste pas ^^
Akasha.