Tu seras une femme, mon fils.
Analyse : » Opération intellectuelle consistant à décomposer un tout en ses éléments constituants et d’en établir les relations « .
Décomposons le couple humain tel qu ‘il est décrit par le droit.
On y trouve un homme, une femme, pour un couple hétérosexuel, et dans l ‘ actuelle société, depuis le mariage pour tous, on peut y trouver deux personnes du même sexe formant un couple homosexuel.
On peut tenter d’analyser ces différentes situations.
L’union d’un homme et d’une femme est différente de l’union entre deux hommes ou entre deux femmes. L’homosexualité en effet c’est la négation de l’altérité sexuelle alors que l’hétérosexualité fait vivre la complémentarité sexuelle. Seule l’hétérosexualité peut donner la vie, l’homosexualité est stérile. Homosexualité et hétérosexualité sont donc différentes voire contraires.
Cette analyse du couple montre une imprécision sur le sens de ce terme » couple » qui recouvre des réalités différentes.
Si l ‘on veut se lancer dans l ‘élevage de pigeons, et que l ‘on va acheter un couple de ces adorables volatiles chez le marchand, grande sera notre protestation s ‘il nous vend deux mâles ou deux femelles. Nous voulons un couple, soit un mâle et une femelle. Deux mâles ou deux femelles, pour notre projet, c ‘est une chimère, ça ne peut permettre la mise en place d’un élevage.
L ‘ analyse du terme « couple » nous montre une certaine confusion au sujet de son sens, une confusion entre les sexes. Cette confusion remet en cause la notion de relation entre les sexes, le critère de la relation étant important pour l ‘analyse d ‘une situation. ( Analyse : » Opération intellectuelle consistant à décomposer un tout en ses éléments constituants et d’en établir les relations » ).
Les zélateurs des nouvelles approches de la sexualité, ceux qui sont pour le mariage pour tous par exemple, vont jusqu’à vouloir abolir les concepts mêmes d ‘homme et de femme. L ‘ humain ne pourra bientôt plus être analysé selon ses deux composants. Ceux qui se risquent à dire que les hommes et les femmes existent et que c’est un fait biologique sont parfois presque ostracisés. On doit dire selon eux « parent numéro un » et « parent numéro deux » au lieu de père ou mère, « parent qui donne la vie » au lieu de « mère », on ne doit plus parler de « lait maternel » mais de » lait humain » ( exemple anglais ) ou encore cette longue tirade : » les règles arrivent au moment de la puberté, généralement entre 10 et 16 ans, chez les personnes qui ont un utérus » dans laquelle on ne veut pas utiliser le terme » femme ». On cherche à occulter les mots homme ou femme ( cf. sources 1, 2 et 3 ).
On change donc le vocabulaire, ce qui va déstabiliser psychologiquement la majorité des gens, ceci afin de ne pas gêner le 1 % des personnes qui ont une angoisse sur leur sexe, personnes qui méritent un accompagnement mais pour lesquelles l ‘on n ‘a pas à changer le sens des mots et de ce fait la perception de la réalité, la perception de notre vie personnelle, celle de notre vie en société.
Cette façon de voir les choses, certains dans le corps enseignant veulent la transmettre aux élèves afin de fonder la société future selon leur goût.
On peut citer la présentation d ‘ un livre qui leur est destiné :
» [Les instructions du ministère] offrent un cadre officiel et réglementaire à celles et ceux qui souhaiteraient mettre en place une pédagogie antisexiste et/ou non-hétérosexiste, fondée sur un égal traitement des enfants quel que soit leur sexe et sur le refus d’établir un lien entre celui-ci et un rôle à tenir dans la société. Ce livre porte justement sur les enseignant·e·s qui entendent se saisir de ces questions et sur leurs pratiques dans le cadre de l’école maternelle et élémentaire. Loin des polémiques, il vise à mieux cerner la spécificité de leur travail mais aussi la possibilité et les caractéristiques d’une éducation à l’égalité des sexes et des sexualités dès le premier degré d’enseignement, qui entendrait questionner aussi bien les savoirs scolaires que certains aspects du fonctionnement de l’école et de la classe au quotidien. «
Voilà le genre de philosophie diffusée par certain ouvrages destinés aux professeurs , en particulier des maternelles et primaires.
( cf.source 4 )
Puis il ne s ‘agit plus d ‘apprendre aux enfants les possibilités » des sexualités » mais de leur montrer que de changer de sexe, cela ne pose pas de graves problèmes.
Il est pourtant monstrueux d ‘apprendre aux enfants d’aujourd’hui, dès leur plus jeune âge, qu’un garçon peut facilement devenir une fille et vice versa, leur proposant des choix censés être disponibles pour tous.
Cela peut être même fait en écartant les parents, en forçant l’enfant à prendre des décisions seul, décisions qui peuvent ruiner sa vie.
Par exemple, dans nos écoles, certains préconisent de faciliter ces changements, en le cachant aux parents.
Pour les enfants transgenres, un syndicat de l ‘éducation nationale veut ainsi passer outre l’autorisation parentale pour appeler les élèves par le prénom que ces derniers souhaitent.
Selon ce syndicat, critiquant une circulaire ministérielle : » …. Pourtant en subordonnant le changement de prénom à l’accord de la famille de l’élève, le texte ministériel donne le dernier mot à la famille lorsque celui-ci est en désaccord avec le choix de l’élève. L’ école doit être un espace sécurisant pour les élèves, et les protéger des pressions familiales de tous ordres….. »
(cf. sources 5, 6 et 7. )
Ce comportement permissif de certains enseignants sur les problèmes de sexualité est suffisamment diffusé pour qu ‘aucun ne proteste devant les interventions du planning familial en milieu scolaire, interventions qui prêtent largement à contestations ( cf. source 1 ).
Dans tous les cas de la mise en place de ce système d ‘incertitudes au sujet des genres, que ce soit via la reconnaissance juridique du couple homosexuel ou la politique d ‘ influence sur les jeunes pour les inciter au changement de sexe, la même méthode est employée vis à vis des contestataires: on les insulte. Vous êtes homophobe, transphobe…. . Ce moyen est utilisé pour mettre en place un nouvel ordre moral qui disqualifie toute personne ne s’ y soumettant pas. Il ne reste plus qu ‘ à donner force de loi à cette morale pour parachever l ‘ œuvre.
Pour satisfaire une extrême minorité de la population on met en insécurité psychologique tous les autres, en particulier les adolescents.
Les folles idées de notre temps ont pour source des minorités qui, pour leur confort, changent les règles communes. L’ éducation nationale utilise la confiance que l ‘on met en elle pour apprendre aux enfants à lire, écrire, compter pour, non pas s ‘investir dans ces missions, mais pour imprégner les générations futures des idées progressistes. On peut de nouveau donner l ‘ exemple du planning familial qui bénéficie grâce à l ‘ éducation nationale d ‘ un public captif ( cf. source 1 ).
» Tout le génie du progressisme consiste à faire passer pour des bêtises réactionnaires le simple rappel des évidences éternelles » ( Mathieu Bock-Côté ).
Pour le titre de cet article » Tu seras une femme mon fils » j’ ai pris le contre-pied du titre du poème de Rudyard Kipling » Tu seras un homme mon fils « .
Les wokes ( les éveillés) ne se sont pas rendu compte du caractère, selon leurs critères, homophobe, transphobe, sexiste, et j ‘en passe, de ce poème. De ce fait, il n ‘ a pas encore été cancelled ( effacé).
Espérons qu ‘ on puisse encore l’ étudier dans les écoles.
Le voici :
Tu seras un homme, mon fils
Si tu peux voir détruit l’ouvrage de ta vie
Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir,
Ou perdre en un seul coup le gain de cent parties
Sans un geste et sans un soupir ;
Si tu peux être amant sans être fou d’amour,
Si tu peux être fort sans cesser d’être tendre,
Et, te sentant haï, sans haïr à ton tour,
Pourtant lutter et te défendre ;
Si tu peux supporter d’entendre tes paroles
Travesties par des gueux pour exciter des sots,
Et d’entendre mentir sur toi leurs bouches folles
Sans mentir toi-même d’un mot ;
Si tu peux rester digne en étant populaire,
Si tu peux rester peuple en conseillant les rois,
Et si tu peux aimer tous tes amis en frère,
Sans qu’aucun d’eux soit tout pour toi ;
Si tu sais méditer, observer et connaître,
Sans jamais devenir sceptique ou destructeur,
Rêver, mais sans laisser ton rêve être ton maître,
Penser sans n’être qu’un penseur ;
Si tu peux être dur sans jamais être en rage,
Si tu peux être brave et jamais imprudent,
Si tu sais être bon, si tu sais être sage,
Sans être moral ni pédant ;
Si tu peux rencontrer Triomphe après Défaite
Et recevoir ces deux menteurs d’un même front,
Si tu peux conserver ton courage et ta tête
Quand tous les autres les perdront,
Alors les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire
Seront à tous jamais tes esclaves soumis,
Et, ce qui vaut mieux que les Rois et la Gloire
Tu seras un homme, mon fils.
Sources :
1 https://www.marianne.net/agora/tribunes-libres/le-planning-familial-doit-renoncer-au-lexique-trans
https://www.planning-familial.org/sites/default/files/2020-10/Lexique%20trans.pdf
3 https://twitter.com/mariannelemag/status/1363867327926730752
Paulau
1. Inversion des valeurs là encore: l’éducation nationale se mêle de « protéger » les enfants des pressions familiales, tout en leur collant dans la tête des sujets auxquels ils n’ont souvent ni l’âge ni la maturité pour en être critiques. En revanche, la pédophilie n’est pas son problème, bien au contraire.
2. N’oublions pas que, pendant la royauté, les seconds de la famille royale étaient élevés par des femmes, habillés en fillettes… dans l’espoir qu’ils deviennent homosexuels et renoncent ainsi à réclamer le trône.
3. M’est avis qu’un gouvernement a tout intérêt à avoir sous la main un peuple dénué d’ambitions guerrières, revendicatrices… Et pour cela, perturber la masculinité des hommes me paraît être une bonne tactique (entre autres). D’ailleurs, demandons-nous pourquoi les soldats sont si enclins à l’obéissance…
L’apologie du transhumanisme, des utérus artificiels, du choix du sexe du futur bébé, de sa couleur d’yeux ou de cheveux. Le futur homme augmenté, vanté par les Schwab, Alexandre et consort, qui font rêver les jeunes générations avec les Spider man et autres Captain América, sont loin, très loin du futur « radieux » qui est promis, seuls des triés sur le volets pourront bénéficier des avancées technos. L’émasculation mentale qui est prônée pour les enfants, préfigure un troupeau d’êtres déracinés, ne sachant plus se situer dans la société et, fortement dépendants de ces sectes qui ont besoin de ces esclaves soumis, consentants et ne connaissant pas les revendications. Triste avenir pour ces futurs individus..
le point n°2 de Biquette m’a laissé sur le derrière ! je ne savais pas cela oO
Bonjour,
L’avantage si t’es un homme faible et déjà quelque peu efféminé à la base. Tu pourras trouver facilement du travail, même plus besoin de traverser la rue, tu arpentes le trottoir, c’est encore plus direct (rires).
Orné
« Les zélateurs des nouvelles approches de la sexualité, ceux qui sont pour le mariage pour tous par exemple, vont jusqu’à vouloir abolir les concepts mêmes d ‘homme et de femme. »
Je suis pour le mariage pour tous, si des homos veulent se marier, c’est leur problème, ça ne concerne qu’eux, ils doivent avoir le droit de le faire. Ca ne fait de mal à personne.
Pour autant, je m’oppose totalement a leur connerie d’effacement du genre. Un homme est une homme,une femme est une femme, et même opéré pour ressembler à une femme, un homme reste un homme. C’est pas un truc qu’on peut choisir.
Faut pas essayer de faire passer ton intolérance débile pour une lutte salvatrice. Si des mecs ou des gonzesses ont envie de copuler, de vivre ensemble, de se marier, c’est eux que ça regarde, ça ne fait de mal à personne, t’as rien à dire la dessus, ça ne te concerne pas. Arrête de vouloir imposer aux autres ta morale de merde.
Oui, ta morale de merde, celle qui te fait croire que tu aurais le droit de décider à leur place de comment les autres doivent vivre. Cette morale probablement teintée de religion qui te fait péter tellement plus haut que t’as les fesses qu’on fait plus la différence entre ta bouche et ton cul.
Tu n’es pas d’accord mais, ça n’est pas une raison pour insulter de la sorte.
C’est pas une question d’être d’accord ou non, c’est d’être étiqueté comme « anti-genre » sous prétexte que je ne suis pas contre le mariage pour tous. C’est de voir un type qui s’imagine détenteur de la vérité et des bonnes moeurs, qui veut imposer sa façon de vivre à tout le monde venir faire la morale aux autres.
C’est ce genre de morale qui a conduit à brûler les sorcières, c’est ce genre de morale qui a conduit à torturer les hérétiques, c’est ce genre de morale qui a déclenché plus de guerres que n’importe quoi d’autre. C’est ce genre de morale qui fait croire à certains qu’ils auraient le droit d’imposer leur façon de voir et de vivre à tout le monde.
Alors quand un chantre de ce genre d’idées malsaines et arriérées se permet de vouloir donner des leçons de moralité et mettre les gens dans des cases sur des bases complètement foireuses, ça mérite LARGEMENT ces insultes. Au pire t’as qu’a supprimer mon message, je comprendrais ta position et je ne m’en offusquerait pas, mais je maintiens chaque mot, chaque insulte, et je revendique le fait que c’est parfaitement justifié.
Personnellement je ne suis pour le mariage de personne, mais pour un réaménagement du PaCS : ceux qui l’ont INVENTÉ l’avaient conçu « plus intelligent », plus précis, plus sécurisé, mais les députés l’ont défiguré au passage. Comment je le sais ? Je m’étais documenté il y a pas loin de 20 ans, et j’ai eu une fois une conversation téléphonique très intéressante avec le véritable inventeur, Jan-Paul Pouliquen (orthographe exacte). D’ailleurs mon fils n’est pas marié mais pacsé, tout en ayant formé un couple dit « normal » (aujourd’hui c’est presque incongru si on écoute « les officiels »).
Pardonnez-moi de me mêler à vos histoires de couple, mais après avoir relu le texte initial, je n’y trouve rien à redire au niveau d’une quelconque intolérance et encore moins de haine. Que l’on soit d’accord où non, il est rédigé en termes courtois et posés.
Celà étant dit, et je me prépare à recevoir moi aussi, malheureusement, un tombereau d’insulte, l’inquisiteur borné, sectaire et insultant… Se dessine davantage, et très largement, du côté de votre personnalité à la lecture de votre prose
Je n’adhère à aucune religion mais le mariage est un acte religieux, une promesse d’union jusqu’à la mort devant Dieu et AUCUNE religion ne permet le mariage de même sexe. Alors ils ne peuvent/devraient pas utiliser le mot mariage car c’est une union de fait devant un juge et c’était reconnu civilement bien avant cette connerie de mariage gay qui ne sert qu’à détruire la religion/famille.
Tout à fait, ils avaient le PACS qui ouvrait à tous les avantages du mariage civile. Mais cela n’a pas suffit, il a fallu détruire le sacré du couple et l’innocence de l’enfance, devenue marchandise.
Le BUT était de casser toutes les structures, et le couple hétéro est celle de base, donc il fallait commencer par là, avant même de détruire chez les enfants la notion naturelle de sexe. EN MÊME TEMPS il fallait ouvrir toutes grandes les vannes de l’immigration, afin de démantibuler les communes, les solidarités de quartier et inter-quartiers. Pour rappel, c’est en 1923 que Richard Coudenhove-Kalergi avait sorti son livre Paneuropa, dont les instances de Bruxelles se sont beaucoup inspirées.
A l’heure où, du moins en France, les religions ne concernent vraiment qu’une fraction très minoritaire de la population, ce que j’ai écrit à propos du PaCS devrait suffire à ceux qui ont une vision des sexes différente. On peut donc supposer que cette fixation sur le mariage entre personnes non prévues pour ça n’a QUE pour but de détruire sa raison d’être. Ce n’est QU’une affaire politique, voire politicarde, et pas du tout un aménagement social.
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Ne nous trompons pas de combat ! Une certaine très haute oligarchie VEUT STÉRILISER la classe prolétarienne, c’est-à-dire TOUT ce qui est en-dessous d’elle selon la conception de Warren Buffett, afin d’en arriver à ce qui est annoncé dans les Georgia Tombstones (j’ai modifié le nom exprès).
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On notera que ce nombre correspond à peu près à l’Europe, qui sera sans doute la résidence idéale pour Les Grands. Le reste, très réduit, de la population, sera là pour la servir directement, ou, déportée là où il faut creuser ou fabriquer loin des Grands pour leur éviter pollution et autres nuisances. Il ne leur reste que quelques petites dizaines d’années pour y parvenir, à moins que….
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A moins que les vrais citoyens ne se lèvent, et réussissent à torpiller ce projet. Qu’on s’y penche : ce n’est peut-être pas si difficile.
le mariage des homos n’a rien à voir avec le « respect » d’une officialisation de leur union.
Les but du fameux mariage pour tous sont bien de détruire la symbolique du mariage et de « démocratiser les PMA et tout les trafics tournants autour.
Un réaménagement du PACS était amplement suffisant et peut de gens s’y serait opposé. Car cela ne touchait pas les bases culturelles.
il est aussi bon de rappeler que parmis la minorité social que sont les homos seule une infimes quantité d’entre eux revendiquaient un besoin mariage.
Et que la propagande ne tournaient qu’autour d’association identitaire
Nous sommes, et on en parle assez régulièrement tout les ans, en train de vivre une destruction des socles et fondements culturels
J’ ai souvent expliqué comme d’autre qu’un individus isolé que se soit physiquement ou psychologiquement est malléable à souhait. La destruction de la famille et l’individualisation de la société ne sont pas le fait d’un changement de comportement mais bien d’une volontés des élites. Et c’est à mettre évidemment en lien direct avec le contrôle de masse
Inclusion / divisionnisme / contrôle social
Le mieux serait qu’on nous fiche la paix avec nos données de base, mais il n’y a pas moyen.
Les cénacles de pouvoir (majoritairement masculins – religieux, maçonneries diverses, élites pluri-séculaires), c’est plus fort qu’eux, au prétexte de progressisme, sont toujours à vouloir faire 2 choses : prendre un max d’argent et corollaire, contrôler la société.
Pour cela tenir les tables de la loi est primordial (législatif), orienter/contrôler la société (exécutif/judiciaire). Ils ne sont pas près de lâcher les rênes qui nous tiennent de pleins de façons différentes selon la psyché de ces être dominateurs.
Prenons l’inclusion :
c’est déjà en 1ère intention une assignation selon la sexualité, la race, le genre « acquis » ou inné, la morphologie, les pathologies et j’en passe. Cette assignation est un diviseur calculé avec des buts pas bien visibles mais certains et générateurs de richesse et de contrôle
En 2ème intention, quelle que soit la catégorie spécifique et/ou intersectionnalité, il faut être tolérant (inclusif) avec les différences des autres,dans une sorte de mollification.
En 3ème intention, cette assignation vous relie à ces contrôleurs de manière spécifique, puis qu’ils s’adressent à nous avec les biais requis par la spécificité qu’ils ont induit.
A quoi cela sert ? à nous émanciper, à nous contrôler ? Là est l’ambivalence : les organisateurs de cette « ambiance » se disent émancipateurs – cela est plus positif pour leur égo et leur âme (s’ils en ont une), mais ces nouvelles déterminations sont un contrôle social qui ne dit pas son nom : nos fondations psychiques seraient bâties sur du sable et meubles à souhait.
Pour conclure, la névrose de l’inné est-elle pire que la quête infinie de soi, manipulée par ces « pseudos élites » ?