Nous en avons déjà parlé, c’est donc une piqûre de rappel. Les privilèges de ces anciens locataires de l’Élysée sont indécents, si l’on compare la vie d’un simple français. Dès l’élection, tout est gratuit pour eux et, à leur départ, nous continuons à financer leur train de vie. On imagine leur patrimoine à la fin, si l’on tient compte des « à coté » rémunérés, comme certaines conférences ou des jobs de conseil dans certaines sociétés. Paient-ils des impôts sur ces largesses à vie ?…. Plus ils sont jeunes à leur départ, et plus la facture est salée.. Il n’est pas dérangeant de réduire les APL, ou autres aides, en changeant le mode de calcul pour le français lambda, alors que l’argent public, ruisselle toujours vers ceux qui n’en ont pas besoin, la pilule est d’autant plus difficile à avaler. On imagine un Macron non réélu, vu son jeune âge, il va nous coûter « un pognon de dingue », selon sa propre expression.. C’est ça la France !!
Source Aphadolie
Quel est le train de vie des anciens Présidents de la République, ou des anciens Premiers Ministres ? Combien cela coûte-t-il et qui paye ?
Réponse : Ils nous coûtent 6,5 millions d’euros par an !
Ces privilèges sont régis par une loi du 3 avril 1955, enrichie par des avantages en nature détaillés le 8 janvier 1985 par le Premier ministre d’alors, Laurent Fabius, dans une lettre à l’ancien président Valéry Giscard d’Estaing.
AVANTAGES FINANCIERS
- Du point de vue financier, un ancien président touche une retraite équivalente à celle d’un conseiller d’Etat ordinaire, soit environ 6.000 euros bruts par mois, qui s’ajoute aux éventuels salaires et pensions auxquels il a droit au titre de ses activités professionnelles autres que la Présidence.
- S’il décide de siéger au Conseil constitutionnel, comme il en a le droit, il touche en plus environ 11.500 euros nets par mois.
AVANTAGES EN NATURE
- Deux fonctionnaires de la police nationale sont mis à leur disposition à titre permanent pour assurer leur protection rapprochée, sauf s’ils ne le souhaitent pas.
- Leur conjoint(e) peut bénéficier d’un collaborateur « pour leur secrétariat personnel, à leur demande ».
- Un ex-président dispose d’un appartement de fonction meublé et équipé, dont la maintenance et les charges, y compris le téléphone, sont assumées par l’Etat. Deux employé(e)s sont affecté(e)s au service de cet appartement.
- Par ailleurs, l’État prend en charge sept collaborateurs permanents (chef de cabinet, assistant(es), secrétaires, etc.). Avec le nouveau décret, le nombre des « collaborateurs permanents » passe de sept à trois au-delà de la cinquième année suivant le départ de l’Elysée.
- Les dépenses de personnel sont supportées par les ministères mettant à disposition ces collaborateurs (intérieur, défense, finances, ministères sociaux). Ces derniers peuvent en outre se voir attribuer, comme les membres des cabinets ministériels, une « indemnité de sujétion particulière » instituée par un décret du 5 décembre 2001.
Les services du Premier ministre prennent en charge le versement de cette indemnité (soit un montant total annuel de 230.000 euros), ainsi que les dépenses de fonctionnement (470.000 euros par an), répondaient les services du Premier ministre en juin 2008 à une question écrite du député de l’Aisne René Dosière (app. PS).
- Les anciens chefs de l’Etat disposent d’une voiture de fonction avec deux chauffeurs (un seul au-delà de cinq ans). Ils peuvent voyager gratuitement autant qu’ils le souhaitent sur Air France et avec la SNCF.
- Quand ils voyagent à l’étranger, ils peuvent loger dans les résidences de l’ambassadeur ou des consuls.
- Quand ils se déplacent sur le territoire national, ils peuvent bénéficier d’une aide pour faciliter leur séjour et loger en préfecture ou sous-préfecture.
Avant le départ de François Hollande, ces avantages coûtent 10,3 millions d’euros par an à l’Etat, dont l’essentiel (6,8 millions) pour les dépenses de protection, pour les trois anciens présidents encore en vie (NDTR : depuis, deux sont décédés).
J’en profite pour remettre un lien vers mon modèle de présidence : https://librevent.fr/jose-mujica-le-president-le-plus-pauvre-du-monde/
L’interview de José Mujica ancien Président de l’Uruguay, un homme exemplaire, il prône une philosophie de la vie axée sur la sobriété : apprendre à vivre avec ce qui est nécessaire, et le plus juste, une leçon que tout le monde devrait retenir.
https://www.youtube.com/watch?v=myzYPjLiieI
Imaginer pour Giscard que en plus de sa rente présidentielle tout de même près de 4 millions d’Euros en 36 ans! il touchait une rente à vie des institutions Européenne….
« Ils nous coûtent 6,5 millions d’euros par an ! »
Et paradoxalement, ces hommes dits politiques n’ont rien de « politique », ils sont des « hommes de paille », des « hommes-liges », interchangeables et, surtout, de véritables courroies de transmission des « puissances d’argent », réels donneurs d’ordres.
Quelques exemples :
– Arrivé au pouvoir suprême en 1969, après la démission de Charles de Gaulle, Georges Pompidou, ex-employé de la banque Rothschild comme Emmanuel Macron (on constate que le véritable pouvoir n’a guère évolué en 50 ans), nous pond la loi du 3 janvier 1973, également appelée « loi Pompidou-Giscard » ou encore « loi Pompidou-Giscard-Rothschild », qui modifie les statuts de la Banque de France et donne le coup d’envoi d’une dette qui n’aura de cesse d’augmenter exponentiellement, et de vampiriser toutes les richesses nationales produites.
– La France doit à Valery Giscard d’Estaing, ancien ministre de l’Économie et des Finances sous Pompidou, devenu Président de la République en 1974 (et accessoirement Co-fondateur de la « French-American Foundation » en 1976), une réforme majeure dans le domaine de l’immigration : la mise en place du « regroupement familial ». La politique d’intégration des étrangers transformera à partir de là le modèle d’assimilation culturelle et d’adoption totale de la culture française selon la République « Une et Indivisible » qui « assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion », par un multiculturalisme, libéral, forcé, diviseur et communautaire, selon le modèle anglo-saxon, et conduisant à toute une kyrielle de malheurs sociaux, culturels, économiques et politiques, individuels ou collectifs : apparition et croissance, au sein d’un peuple, de tensions et de divisions ; perte de l’identité ; éradication brutale de la mémoire et de tous ses symboles ; déracinement et errance culturels ; perte des repères linguistiques que sont la grammaire et la syntaxe, donc de la capacité de bien structurer sa pensée si l’ethnie dominante est d’une autre langue ; réduction de la capacité à s’exprimer correctement pour être bien compris et participer pleinement à la vie collective ; ghettoïsation et paupérisation de pans entiers de la population les moins souples à s’adapter, etc.,
Notons au passage que, subtilement, pour accompagner cette « marche forcée » dans l’Europe tout entière, et en faciliter l’intrusion, la seconde moitié du XXème siècle allait voir la culture américaine, notamment musicale, envahir l’Europe et ouvrir la voie à une pénétration à grande échelle et à un remplacement progressif de la culture européenne par des traditions non européennes. Elle comprenait d’abord de puissants éléments afro-américains tels que le jazz, renforcés ensuite par les traditions afro-caribéennes comme le reggae puis, grâce à l’afflux de genres afro-américains apparentés, le rap, le hip-hop, etc., faisaient leur apparition. Notons également l’irruption, dans les années 70, du « raï », genre chanté algérien, mélange d’arabe, de rock et de blues. Est-il utile de rappeler que le rock a permis l’intrusion, dans notre monde, d’influences négatives, sinistres, liées au sexe, à la violence gratuite, à la drogue, aux pulsions les plus basses, et provoquant chez les êtres et par voie de conséquence dans nos sociétés, de graves effets pathologiques aux niveaux physiologique, psychologique et social. Enfin, remarquons, à propos de ce genre musical qui entre dans le plan subversif des « puissances d’argent », le rapport existant entre les lieux « souterrains » ou de morphologie souterraine (qui sont symboliquement le domaine des influences maléfiques) et ceux où se regroupent de préférence les fidèles du pseudo-culte rock : caves, discothèques, etc.
– François Mitterrand, 2 ans après sa prise de fonction à l’Élysée, trahit tout son programme en prenant le « tournant de la rigueur ».
– Nicolas Sarkozy, en 2007, à peine élu « s’assoit » royalement sur le « NON » des français au référendum sur le Traité Constitutionnel de 2005, en validant directement lui-même (s’était plus vite fait) le Traité (scélérat) de Lisbonne, sa copie quasi-conforme.
Nos dirigeants politiques sont choisis pour leur faiblesse morale, leur capacité à mentir, à suivre les ordres, à se soumettre au chantage ou leur volonté de faire avancer le plan de l’oligarchie. Le parti auquel ils appartiennent n’a aucune importance.
Suite : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/
Quel président honnête va supprimer immédiatement les privilèges des anciens présidents et ministres qui continuent d’occuper de superbes résidences de fonction avec des dizaines d’employés de maison, cuisiniers, jardiniers, chauffeurs , voitures de fonction, gardes , payés sur l’argent public ?
La mission, ruiner la France jusqu’à leurs derniers souffles.
Un homme se fait virer d ‘ une réunion LREM pour avoir évoqué les liens de Macron et MC Kinsey, Alstom… .
à 1 minute 30.
https://mobile.twitter.com/bastien_tell/status/1509091380945362952
Comment croire encore en ces gens ?. Ils nous demandent de faire des efforts, de chauffer moins et eux ne font jamais aucun effort. Ils se gavent avec nos impôts, notre TVA que tout le monde paie à chaque fois qu’il va faire des courses. Pour rappel la facture de chauffage de l’Elysée qui s’élève à 250 000 euros par an si je me souviens bien. Macron ne risque pas de se geler les miches. Et quand on lui demande des comptes sur l’affaire Mc Kinsey (ce qui est bien normal puisque c’est de l’argent public), il envoie bouler les gens. Même aux états unis les anciens présidents une fois qu’ils ont finit leur mandat doivent retravailler. A ma connaissance il n’y qu’en france que ce système existe.
Effectivement,
si « Macron ne risque pas de se geler les miches »,
alors, « Brigitte ne risque pas plus de se geler les couilles ».
quand la tête de Robespierre a quitté le corps.. c’était déjà la fin…
et ca ne fait que continuer
..
le truc peinard avec tik , président ou pas , c’est ici depuis , bah la politik.
le sang contaminé vers 90 , si, en rapport au sida , fabius : coupable mais pas responsable ..
fabius tjrs au sénat, NON ?
Octave Mirbeau
.
Pire que cela. Laurent Fabuis est président du conseil constitutionnel depuis 2016.
C’est lui qui affirme que toutes les privations de liberté dites Covid sont bien constitutionnelles. Tandis que son propre fils est « directeur associé » section France du bureau conseil McKinsey, qui aussi parti prenante dans toutes ces décisions de merde.
Un scandale d’état de plus en son nom.
C’est quand même une information essentielle que l’on devrait donner aux candidats à la présidence : » Quand votre mandat sera terminé , vous redeviendrez un citoyen normal SANS AUCUN PRIVILEGE . Plus aucun logement de fonction, plus aucun véhicule de fonction, plus aucun serviteur, plus aucun chauffeur, plus aucun garde du corps , plus aucun voyage ni réception , payés sur l’argent public « . Accepteraient-ils cette fonction de président de manière désintéressée , rien que pour le bien de leurs concitoyens ?
C’est le régime auquel sont soumis actuellement les ministres suédois , même en fonction, qui payent tout de leur poche et qui se font rembourser ensuite , sur présentation de la facture, leurs voyages , repas et séjours officiels . Ils n’ont ni chauffeur ni véhicule de fonction, conduisent eux-mêmes leurs enfants à l’école , payent leur loyer, font eux-mêmes la cuisine et le ménage ou bien payent sur leur salaire les heures d’un employé de maison et d’un jardinier . Comme le faisait le général De Gaulle à l’Elysée, ils payent eux-mêmes leur propre facture d’électricité . Le président et les ministres français ne devraient pas coûter un centime d’argent public pour leur entretien personnel , alors que l’hôpital public est en ruine et ferme de nombreux services en province faute d’argent . Leur traitement (salaire) présidentiel et ministériel est assez élevé pour cela . Sommes-nous en république ou sous le régime du roi-soleil Louis XIV ?
Avec l’explosion de l’inflation et les revenus indignes au-dessous du SMIC de nombreux Français, les privilèges de l’équipe dirigeante française sont révoltants .