« Vite le Frexit », Charles-Henri Gallois est dans Buzz l’Info

Quel dommage que Charles-Henry Gallois ne soit pas resté auprès d’Asselineau… C’est ce qui handicape l’UPR, que des hommes de valeurs ne s’entendent pas avec le fondateur du parti. Asselineau veut bien que tous ceux qui partagent ses idées se rallient à lui, à condition qu’il reste le chef incontesté. Quand le pays est en faillite, il serait bon de mettre l’ego de côté. Le plus important est-ce la fierté d’une personne ou le devenir du pays et de ses millions d’habitants ?? Le temps passe, il faut savoir pour comprendre.. Partagez !

Source Buzz l’Info

8 Commentaires

  1. Bien sûr qu’il faut sortir de là ! Tu as raison Volti, le égos, on en a assez, ce n’est vraiment pas le moment. Je ne connaissais pas ce parti. Merci https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_rose.gif

  2. Ce n’est pas la première fois que les meilleurs quittent l’UPR. A force de vouloir à tout prix rester en tête, son chef piétine. En tête, et vissé à ses idées, toutes ses idées, rien que ses idées.

  3. Bien content que ce ne soit pas les miens ses cancerPods, à la mode.

  4. En tant que défenseur de la langue française, je déteste le mot frexit : surtout qu’il s’agit, n’en déplaise à l’UPR, de rappeler que NOUS le Peuple français, avons refusé cet ersatz de constitution dite européenne et qu’il s’agit SEULEMENT de claquer la porte en sortant.
    https://ti1ca.com/qcbt78bg-2022-02-22-2022-02-22.pdf.html
    Je me souviens encore de cette réunion publique organisée par le Pardem à Évreux le 8 juin 2017 : un groupe de l’UPR avait défendu pied à pied ses conceptions, qui n’étaient pas les nôtres, ôôô non ! Le Pardem n’utilise jamais le mot frexit, il s’agit d’une sortie unilatérale de l’union selon les conventions internationales de Vienne.

    • La France décline un peu plus chaque jour et, l’altération de la langue française en est un des signes. On ne sait plus parler que le « globish » avec des acronymes dans pratiquement tous les articles, on vit à l’américaine, on désigne un individu par les initiales de son nom, comprenne qui pourra. Ça participe à l’inculture galopante qui sévit actuellement.

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