Au sujet de l’absinthe et du covid

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AU SUJET DE L’ABSINTHE ET DU COVID

1 ) https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8098784/
Potentiels antiviraux et immunostimulants d’Artemisia et de produits à base d’Artemisia contre le SRAS-CoV-2 :
On a déjà signalé que l’Artemisia spp. contient des substances phytochimiques essentielles qui contribuent à son rôle inhibiteur contre les virus (Bora et Sharma 2010). Avant l’apparition du COVID-19, certaines études ethnopharmacologiques sur les dérivés d’Artemisia tournaient autour de leurs propriétés rétrovirales (Efferth 2018 ; Jana et al. 2017 ; Laila et al. 2019 ; Lubbe et al. 2012), de leur capacité à minimiser la réplication des herpès virus (Efferth et al. 2008 ; Milbradt et al. 2009 ; Naesens et al. 2006 ; Nagamune et al. 2007) et de l’inhibition des virus de l’hépatite B et C (Dai et al. 2016 ; Paeshuyse et al. 2006 ; Qi et al. 2013 ; Romero et al. 2005), etc.

À noter que les constituants bioactifs présents dans A. annua ont démontré une activité contre plusieurs virus tels que la diarrhée virale bovine (Romero et al. 2006), le virus d’Epstein-Barr et le virus de l’hépatite B (Haq et al. 2020). Auparavant, certains auteurs ont rapporté l’utilisation de A. annua contre le coronavirus du SRAS apparu en 2002 Lin et al. (2003). (…) Du point de vue de la sécurité, des centaines de composés phytochimiques présents dans Artemisia annua se sont révélés être en dessous des limites de toxicité recommandées (Duke 1992 ; Lutgen 2019 ; Yang et al. 2010). Certains agents antiviraux, y compris des médicaments hors AMM réadaptés tels que CQ, HCQ, Redmesivir, etc. ont été mis en avant comme traitements de première ligne pour le COVID-19 (Bolarin et al. 2020). Cependant, certains d’entre eux ont montré des problèmes de cardiotoxicité parmi de nombreux autres effets secondaires après administration (Yang et al. 2010).

 

2 ) https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34479848/
Les articles qui démontraient le rôle de l’herbe dans l’inhibition des protéines coronavirus-hôte ont été privilégiés. Dix-neuf études ont été récupérées. Parmi celles-ci, quatorze études de docking moléculaire in silico ont démontré les propriétés inhibitrices potentielles des artémisinines contre les protéines hôtes du coronavirus (…) Collectivement, les constituants de A. annua peuvent empêcher la fixation, la fusion membranaire et l’internalisation du SRAS-CoV-2 dans les cellules hôtes, et entraver la réplication virale et le processus de transcription. (…) La combinaison des propriétés biologiques de Artemisia annua, de son action sur différentes voies de signalisation et protéines cibles, et d’une approche thérapeutique combinant plusieurs médicaments peut inhiber de manière synergique le SRAS-CoV-2 et contribuer au traitement du COVID-19. En outre, Artemisia annua peut moduler la réponse immunitaire de l’hôte pour mieux combattre l’infection.

 

3 ) https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7470522/
Les extraits d’Artemisia annua ont inhibé de façon significative la cytopathie causée par la souche BJ00125 du SRAS-CoV et ont montré une activité contre le SRAS-CoV-2 dans le cadre d’un dépistage de l’effet cytopathique sur des cellules (…) Alors que le monde cherche désespérément de nouveaux traitements pour réduire les taux de morbidité et de mortalité graves dus au COVID-19, la promotion de la découverte de nouveaux médicaments à partir d’extraits de plantes médicinales traditionnelles doit être encouragée.

 

4 ) https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7276816/
Le chercheur a testé in vitro les activités antivirales de la préparation de plantes entières d’Artemisia annua en extrait éthanolique contre le SARS-CoV (…) Le résultat apporte un fort soutien à l’utilisation de A. annua pour traiter les maladies infectieuses SARS-CoV (Li et al., 2005). En Chine, les composés naturels ont été fréquemment utilisés en combinaison avec la médecine conventionnelle pour traiter le SRAS. Certaines preuves ont démontré que la médecine traditionnelle à base de plantes est efficace contre les maladies infectieuses liées au SRAS-CoV (Lin, Han et Yang, 2003). (…) Les produits naturels trouvés dans A. annua comme des armes chimiques pour protéger contre les infections par des virus, spécifiquement le virus de l’herpès simplex de type 1, le virus de l’hépatite B, le virus de l’hépatite C, le virus de la diarrhée virale bovine, et le virus d’Epstein-Barr (Efferth et al., 2008). En attendant, cette plante A. annua est bon marché et largement disponible (…) L’étude expérimentale sur l’A. annua peut contribuer à l’identification de composés anti-coronavirus qui pourraient être des antiviraux sûrs et efficaces dans le traitement du COVID-19. Nous demandons à la communauté scientifique internationale de se concentrer sur l’efficacité de l’agent proposé contre la pandémie actuelle.

 

5 ) https://virologyj.biomedcentral.com/articles/10.1186/s12985-021-01651-8
Différents extraits d’A. annua et d’A. afra et la boisson Covid-Organics produite à Madagascar inhibent l’infection par le SARS-CoV-2 et le coronavirus félin (FCoV) in vitro à des concentrations qui n’ont pas affecté la viabilité cellulaire.

 

6 ) https://www.proquest.com/docview/2486308593
Artemisia sp. (Artemisia absinthium) : la plante entière réduit la réplication du coronavirus ; antibactérien, anti-inflammatoire.

 

7 ) https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34496903/
Méthodes : Les extraits de plantes et la boisson Covid-Organics produits à Madagascar ont été testés pour la réduction des plaques en utilisant le coronavirus félin et le SARS-CoV-2 in vitro. Leurs cytotoxicités ont également été étudiées.
Résultats : Plusieurs extraits ainsi que la boisson Covid-Organics ont inhibé l’infection par le SARS-CoV-2 et le FCoV à des concentrations qui n’ont pas affecté la viabilité cellulaire.
Conclusions : Certains extraits de plantes présentent une activité inhibitrice contre le FCoV et le SARS-CoV-2. Cependant, on ne sait pas encore si les concentrations plasmatiques maximales chez l’homme peuvent atteindre les niveaux nécessaires pour inhiber l’infection virale après la consommation de thés ou de Covid-Organics.

 

8 ) https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33716085/
Artemisia annua L. est utilisée depuis des millénaires en Asie du Sud-Est pour traiter la “fièvre”. Il a été démontré que de nombreuses maladies infectieuses microbiennes et virales réagissent à A. annua et les communautés du monde entier utilisent la plante comme thé médicinal, notamment pour traiter le paludisme. (…)
Résultats : (…) L’efficacité antivirale n’était pas corrélée avec les teneurs en artémisinine ou en flavonoïdes totaux des extraits. Un échantillon de feuille séchée avait plus de 12 ans, mais son extrait à l’eau chaude était toujours actif. (…) Si tous les extraits d’eau chaude étaient efficaces, les concentrations d’artémisinine et de flavonoïdes totaux variaient de près de 100 fois dans les extraits. (…)
Conclusions : Les extraits de A. annua inhibent l’infection par le SARS-CoV-2, et le(s) composant(s) actif(s) des extraits est(sont) probablement autre(s) que l’artémisinine ou une combinaison de composants qui bloquent l’infection virale à une étape en aval de l’entrée du virus.

 

9 ) https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34737005/
Résultats : En plus d’être efficaces contre le type sauvage original (WT) WA1, les cultivars A3, BUR, MED et SAM de A. annua ont également été efficaces contre les cinq variantes. (…) La toxicité cellulaire était insignifiante à un poids sec des feuilles de ≤50 μg dans l’extrait de n’importe quel cultivar.
Conclusions : Les résultats suggèrent que la consommation orale d’extraits d’eau chaude d’A. annua (infusions de thé) pourrait potentiellement fournir une thérapie rentable pour aider à retarder la propagation mondiale rapide de ces variantes (…).

Xelnaga

**Note** Certains liens ne s’ouvrent pas Voir ici ==> https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/

xelnaga

44 Commentaires

  1. Ciao amici 🙂
    Trop bon l’absinthe !
    C’est un alcool que j’aime bien consommer l’hiver justement, même Orné qui ne bois plus, ne crache pas sur un p’tit verre tranquille après une dure journée !

    On aime beaucoup celle là qui vient de France, à Fougerolles :

    Akasha.

  2. A noter que la photo ne représente pas de l’artémisia annua. Je pense que c’est l’absinthe mais je ne sais pas quelle espèce.
    Comme toutes les plantes médicinales, il ne faut probablement pas en abuser. En cas de problème de santé, une surdose de 3 jours ne devrait pas poser de problème. Pas plus qu’une infusion de temps à autre. A vérifier, bien entendu.
    Je crois que c’est 5 gr de la plante sèche dans un litre d’eau, à boire dans la journée.

    • Artemisia absinthium herbe blanche. grande absinthe décorative

    • Bonjour vous avez tout à fait raison, l’artemisia annua est celle-ci : https://fr.wikipedia.org/wiki/Armoise_annuelle. A ma décharge, toutes les artemisia semblent pareillement efficaces dans le cas qui nous occupe.

      • oops j’ai cliqué sur “signaler ce commentaire” au lieu de “répondre” dans un moment de n’importequoi. Veuillez m’en excuser.

        Toutes les artemisias dites-vous, y compris l’Estragon, Artemisia dracunculus ?
        Comme c’est une plante extrêmement facile à obtenir sous nos climats ….. ce serait une formidable aubaine.

        • ” Cette étude vise à dérépliquer les composés chimiques de l’extrait méthanolique de Salvia officinalis et d’Artemisia dracunculus, et à évaluer l’effet inhibiteur de ces composés ainsi que des composants précédemment dérépliqués de Zingiber officinale contre le SRAS-CoV-2 dans une étude in-silico.” https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34565804/ Le reste du résumé c’est malheureusement du chinois même traduit en français mais j’en ai tiré que oui, il y a de bons indices que c’est efficace.

      • – Attention quand même !
        Toutes plantes du type absinthe ne sont pas toutes “chargées ” pareil, loin s’en faut.
        Ce n’est pas pour rien qu’au début du XX° siècle, la consommation de l’hydrolat alcoolat fut carrément interdite. Elle rendait fou !
        – Depuis sa consommation et sa vente est de nouveau autorisée, sous condition d’analyse confortant un seuil inférieur au taux maximum autorisé des produits intégrés classés nocifs.

        • Ciao bello 🙂
          Sauf que, c’est fameux seuil autorisés permettent de fabriquer des absinthe bien meilleurs que à l’époque ! Car celle de la grande époque étaient bien loin d’avoir de taux de thuyone aussi élevé ! Et oui paradoxe quand tu nous tiens !

          De plus c’était un prétexte lancé par les lobby du vin qui voyait d’un mauvais œil leur commerce supplanté par celui de l’absinthe ! Au fait le vrai responsable de ses folies, fut simplement l’éthanol qui était bien trop haute dans les absinthes frelatées que les ouvriers consommaient en grande quantités car les absinthes vendue en brasserie étaient trop cher !

          Voilà la vraie histoire frère !

          Akasha.

          • Oui, merci je savais ça.

            – Quand tu remanies un texte, tache au moins de ne pas faire une catastrophique et mortelle erreur de transcription, qui fout tout ton beau travail parterre.https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_negative.gif

            – “L’éthanol” n’a jamais été responsable de folie incurable, ni d’empoisonnement. Elle ne provoque qu’ivresse et les maux qui s’y rattachent.

            Par contre le méthanol alors là…
            Mais le méthanol n’est en aucune façon propre à la distillation de l’absinthe !
            Il apparait toujours au début de toute distillation quelque soit le produit distillé, à charge au distilleur de le soustraire.

            • Je ne remanie jamais de texte, j’écris de mémoire monsieur !

              Akasha.

              • Bien sûr Madame,
                alors, quand vous voulez reprendre les gens, évite de mémoire d’écrire des trucs mortellement faux.

                …”Thuyone”, sacré nom de dieu, vous avez vraiment une très bonne mémoire, madame !https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_scratch.gifhttps://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_good.gif

                • Je me souvenais du nom mais pas de l’orthographe exacte ! Et je peux aller plus loin dans l’absinthe on utilise aussi souvent l’anis étoilée qui est plus fine que la bête anis verte. Et celle si contient aussi un principe quelque peu actif, appelée Fanchone !

                  Bon faut que je commence à bosser, fini les bêtises LOL Bise frère !

                  Akasha.

                  • Moi tu vois, c’est parce que tout petit, j’ai travaillé au prés d’un vieux bouilleur de cru.

                    • En toute honnêteté de mémoire j’aurai dis éthanol aussi, comme de quoi (sourires).

                      Si on est au courant, c’est parce qu’au tout début qu’on avait appris que l’absinthe était de nouveau autorisée on avait fait quelques recherches pour justement savoir si elle valait toujours le coup dans le sens où elle aurait été trop dénaturée pour pouvoir être commercialisée.

                      Ce que certains affirmaient justement, or d’après mes recherches il n’en était rien. Au fait ils se sont inspiré des absinthes originelles des grandes familles de l’époque: Pernod Fils, Berger, Vichet, et etc… Et en faisant des tests on c’est aperçu que la plupart des absinthes d’époque étaient loin d’atteindre les taux de thuyone acceptée à notre époque ce qui paradoxalement permet de distiller des absinthes d’encore meilleure qualité !

                      Orné

                    • Bienvenue au club, j’en ai acheté il a 4 ans.
                      …J’aime très moyennement.

        • C’est surtout l’alcool mal distillé en méthanol plutôt qu’en éthanol qui rendait fou.

          • Dans un reportage passé sur la distillation, le premier litre ou 1/2 litre sorti de l’alambic est jeté, car nocif (concentration trop élevée en méthanol). C’est la raison des accidents par empoisonnement, quand cette mesure n’est pas prise, par ceux qui distillent clandestinement.

            • Tout dépend du volume de la cuvée.https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_whistle3.gif
              Plus rigoureusement(et surtout, bien plus sûr !), tu le constates grace à la différence de température inférieur d’évaporation pour le méthanol. L’évaporation de la cuvée va présenter deux plateaux de températures constantes, séparés de quelques degrés chacune.
              Mais faut-il encore avoir un thermomètre précis en sa possession.

          • Oui et c’est bien pour cela que j’ai corrigé Akacha, car le méthanol est un poison mortel, même à faible dose !

            – Ceci dit, faudrait pas me prendre pour un lapin de 6 semaines.
            Quoi que vous en disiez, toi, Akacha et Orne,
            certaines absinthes de la fin XIX° étaient des poisons !
            Car elle étaient chargées à plus de 50gr voir plus de 100gr d’absinthe au litres !

            – La prohibition venue la plante se fit rare et chère, car surveillée.
            Et surtout, les distilleurs clandestins, ne voulant surtout pas se faire repérer avec des morts (dans ce temps là, c’était la guillotinehttps://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_cool.gif), ils diminuèrent d’abord fortement, puis progressivement les doses d’absinthe.
            ..Et les clients furent heureux de ce changement de gout. Car pour eux, la trouille de mourir(effet Covidhttps://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wink.gif) fut bien plus forte que l’habitude gustative.
            Ainsi une chaîne de rétroactivité se mit en place. Au point où les absinthes de contrebande furent moins dosées que celles autorisées à la levée de la prohibition (début2000).

            Moralité :
            – Faut pas prendre la fin pour le début.
            – Et c’est la dose qui différencie poison et remède.
            Des morts dus à un absinthe trop dosée, il y en a eu.

      • Armoise annuelle…( Wiki )

        ” En août 2021, une prépublication observe les effets inhibiteurs de l’infusion sur les hypnozoïtes, partie des parasites demeurant dans le foie et qui peut y rester “dormante” un an ou plus…”

        Action de Fer…
        ” La fonction peroxyde de la molécule qui peut libérer des espèces réactives de l’oxygène ou radicaux oxydants délétères pour les parasites. La présence de fer dans l’hémoglobine des globules rouges favoriserait cette action.”
        – “radicaux oxydants délétères pour les parasites”…

        Contradictions avec les AntiOxydants… (c’est complexe n’est ce pas )
        https://123dok.net/article/les-radicaux-libres-dans-les-systèmes-biologiques.nzww1rgz

        Donc faut des “”radicaux oxydants délétères pour les parasites”…mais qui sont malsains….alors faut des antioxydants ?
        https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wacko.gif

        http://als.univ-lorraine.fr/files/Seances/2020/20-10-15/Resume%20Amatore%20pour%20Nancy.pdf

        Interessant… mais troublant aussi.

        Autant essayer le peroxyde d’azote/ hydrogéne…hein !
        https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_unsure.gif

        • En fait, de mémoire, c’est assez simple : ) Les cellules du système immunitaire, en cas d’infection ou de cancer, produisent des oxydants pour bruler les indésirables (microbes ou cellules malignes). Du coup l’action des antioxydants peut contrecarrer cette action. En temps normal, les antioxydants naturels (produits par le corps ou provenant de l’alimentation) nous protègent des oxydants qui proviennent de l’extérieur (radiations notamment).

          Après, dans votre 1er lien, ils parlent également d’antioxydants de labo, ce qui change la donne car le raisonnement concernant les molécules naturelles incluses dans un substrat organique est difficilement extrapolable aux molécules de synthèse sous forme pure, lesquelles ont souvent des effets imprévisibles et contradictoires.

          • Tu dis :
            – “Les cellules du système immunitaire, en cas d’infection ou de cancer, produisent des OXYDANTS POUR BRULER les indésirables (microbes ou cellules malignes)”

            – En clair, tu dis que le stress oxydatif permet la destruction des indésirables.
            ——
            Puis tu dis :
            – “Du coup l’action des ANTIOXYDANTS peut CONTRCARRER cette action.”

            – En clair, tu dis que les antioxydants empêchent la destruction des indésirables (microbes, cellules malignes).
            ——
            J’en conclus que les antioxydants ,comme la vitamine C, sont très mauvais pour notre défense immunitaire et donc, pour notre santé.https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wacko.gif

            …Y aurait-il pas un petit bug mémoriel la dedans ?

            • Pas de bug si l’on ne sort pas les phrases de leur contexte ; ). Les antioxydants sont bons pour la santé en médecine préventive ; ils peuvent dans certains cas devenir contre-productifs à trop fortes doses pour la médecine curative. Tout est question d’un équilibre entre les deux. La vitamine C à très fortes doses peut par ailleurs ailleurs devenir oxydante et tuer les pathogènes.

        • Ha bein votre 2e lien explique ce que je viens de dire je crois : )

        • Zut, toutcet Oxygéne en “excés” sa me rapelle la plante en touffe de feuilles larges
          au sol…j’ai oublier le nom…

          Trés amére au gout mais trés riche en Vit C et TriOxyde de Calcium !

          Que de bons Boost anti-viraux sa…

          Je crois que 4 a 5 feuilles a machonner suffisent par jour… d’aprés mes
          derniers “brouttages dans les prés” quand je tondais a l’ancienne
          avec coups de pompe…vite revitalisé
          Meuhhhh ! …et Miamm.

          https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_yahoo.gif

    • L’étude 6) porte bien sur l’absinthe : )

    • On peut se faire une infusion quotidiennement en cure préventive ou curative contre les infection. Pour qu’une plante pose éventuellement problème en infusion, il faut la consommer à de doses de brute durant des mois voire des années : )

      • Pour qu’une plante pose éventuellement problème en infusion, il faut la consommer à de doses de brute durant des mois voire des années

        Tout dépend de la plante utilisée ! J’ai dans mon jardin des plantes dont une seule tisane vous garantie un grand voyage en aller simple 😉

        M.G.

  3. Les liens ne s’ouvrent pas j’ignore pourquoi. Pour accéder aux études correspondantes, copier coller l’adresse du lien dans un moteur de recherche et ça vous trouvera l’étude correspondante.

  4. J’ai la forte impression qu’Amazon ( Jeff B. ) utilise des générateurs automatiques de Domaines…

    Ses sites aux Noms byzarres de lettres mélangées…sa pullulent partout(presque) comme des “variants”…et sa fout le boxon en bande passante… ( lags )
    https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wacko.gif

    Qu’en pensent les experts ici ?

  5. Me concernant, je n’ai pas de difficulté à concevoir une sorte de régulation dans les rapports oxydants/ antioxydants. Et, effectivement, les molécules de synthèse même copiées à des extraits de plante sont rarement garantes d’un contrôle parfait au niveau régulation des rapports et encore moins du zéro effet secondaire.
    Concernant la vit C, dès qu’elle est de synthèse, il faut savoir déjà si elle est dextrogyre ou lévogyre avant toute autre chose. Réductrice, ok, acidifiante aussi mais…….

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