Sincèrement, à chaque nouvelle annonce concernant cette pandémie, je pense que nous avons atteint le fond du trou, seul moyen d’espérer imaginer un rebond des consciences, mais non. A chaque fois, l’on s’enfonce un peu plus alors que l’édifice se fissure de partout et menace de s’effondrer. Sur France Inter, c’est notre Jean-François Delfraissy national qui évoquait les limites de la vaccination en termes de transmission du virus, d’infection et de protection. Des limites très éloignées des belles promesses des laboratoires et aussi et surtout des médecins de toutes sortes qui fleurissent sur les plateaux de télévision. Que les laboratoires surestiment leurs produits n’a rien d’étonnant, même si certains y croyaient dur comme fer, mais que des médecins et spécialistes se relaient pour en faire la promotion sans avoir le moindre doute ni le moindre recul est plutôt criminel.
Lorsqu’une bêtise est lancée, surtout si elle rassure ceux qui ont peur, il est presque impossible de faire marche arrière, le mal est fait. Certains s’accrochent encore à l’idée que le vaccin protège de la transmission du virus et empêche d’être contaminé alors que l’on sait aujourd’hui que c’est totalement faux. De vous à moi, j’aurais préféré. Un vaccin miracle, sans danger, qui terrasse le virus, quelle idée merveilleuse. Mais dans la vraie vie, cela n’arrive pas, la science n’est pas toute puissante et il ne faut jamais lui faire confiance aveuglément. Alors aujourd’hui, l’ennemi n’est plus le virus, c’est le non-vacciné.
Selon un sondage Elabe pour BFM TV et L’Express, ce sont près de 60% des Français qui sont favorables à un confinement des seules personnes non-vaccinées. Cela vient-il du sentiment de s’être sacrifiés pour les autres pour les vaccinés, comme l’évoquent certains ? Cela vient-il de cette peur irrationnelle entretenue depuis deux ans ? Cela vient-il du niveau d’information relayé par les médias ? Un peu de tout cela sans doute mais ce sondage est une belle illustration de la décadence de ce pays et de quelques autres sur le même chemin. Une décadence intellectuelle qui ne touche pas que ce domaine d’ailleurs, mais qui fait s’enfoncer des pays dans un totalitarisme bon teint qui ne veut pas dire son nom. Un vrai totalitarisme sur fond de « bons sentiments » qui empêcherait toute comparaison avec des régimes existants ou ayant existé mais dont les mécanismes restent en tous points similaires. Décidément, il faudra encore s’enfoncer beaucoup plus avant d’espérer un improbable sursaut.
Sylvain Devaux
C’est quand tout semblera perdu que tout sera sauvé.
La lutte du Bien et du Mal, c’est-à-dire de l’Esprit contre la Force, dure depuis la jeunesse de l’humanité.
Depuis plusieurs milliers d’années le monde lutte, l’humanité souffre, le Mal règne et grandit, le Bien est vaincu et s’affaiblit ; le Droit est sacrifié à la Force.
Mais cet état de choses ne doit pas toujours durer. La progression dans le mal a un terme fatal ; le terme même de la vie, puisque l’invasion du mal, dans l’homme, détruit peu à peu son existence ; l’invasion du mal dans les sociétés détruit peu à peu les sociétés : par la guerre, par le meurtre, par le suicide, par l’assassinat, par la misère, par la stérilité voulue de la femme.
Il faut donc que le Mal ait un terme ou, sinon, que l’humanité disparaisse.
Ce terme c’est la Rédemption.
C’est le renversement de la marche actuelle des choses.
C’est le triomphe de l’Esprit sur la Force, ramenant l’humanité dans la voie du Bien, la voie de l’Evolution progressive.
Ce grand événement qui doit, tout d’un coup, renverser l’œuvre de destruction du passé, a été prévu et annoncé depuis longtemps. C’est ce « redressement », dont parle René Guénon, ce « renversement des pôles » qui doit s’opérer lorsque « le point le plus bas aura été atteint ». Et c’est là, pourrait-on dire en se référant au sens cosmologique du symbolisme biblique, « la revanche finale d’Abel sur Caïn ».
L’antiquité a aperçu ce grand évènement comme un phare brillant dans un avenir lointain, et ce n’est pas là une vision surnaturelle, la marche forcée des choses devait amener ce résultat. Il pouvait même être calculé avec une précision mathématique.
Nous sommes arrivés à ce terme fatal. Le Mal a pris des proportions telles dans le monde, qu’il ne semble pas qu’il puisse progresser encore sans briser tous les rouages de l’organisme physiologique et moral de l’humanité.
Le vol est dans les lois, dans les administrations, dans le commerce, dans les mœurs, le crime est de tous côtés autour de nous, l’injustice est partout, l’hypocrisie triomphe.
Mais, pendant que le Mal est arrivé à ces proportions effrayantes, le Bien, quoique moins bruyant que son terrible adversaire, a progressé dans la même mesure.
Aujourd’hui, la lutte est décisive : ou l’effondrement des nations dans la dégénérescence des masses, ou la brillante renaissance depuis si longtemps annoncée !
Blog : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/
Des scientifiques disent la même chose que vous dans cette conférence très revigorante:
https://anthropo-logiques.org/covid-19-anthropologie-dialogue-avec-philippe-bobola/
https://pgibertie.com/2021/11/19/mortalite-covid-les-deux-doses-moins-proteges-que-les-non-vaccines-six-mois-apres-linjection/#Pfizergate
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Il n’y a pas pire sourd que celui qui ne veut pas entendre. Que les gens ne croient pas en Dieu je peux comprendre, mais que les gens ne croient pas les faits…on peut dire qu’ils ont une solide foi dans la bonté et l’intégrité du gouvernement: c’est de l’imbécilité.
@Étirév Anwen, je partage tes idées. Nous sommes à la fin et nous allons boire la coupe amère de nos conneries avant de connaître une nouvelle ère. Petite note pour les allergiques à la religion: il y a aussi de bonnes choses à prendre même si certains abusent de leur pouvoir et mentent. Je ne connais pas un métier qui ne comporte ce genre de personnes. N’oublions pas qu’à la base, la religion enseigne à aimer Dieu et son prochain. C’est comme internet, ce n’est ni bon ni mauvais, c’est ce que les gens en font qui l’est.