Billet du vendredi : Tucker Carlson a semé la panique dans ce fragile monde occidental avec son interview de Poutine

Par Karine Bechet-Golovko

Une tragédie vient de se dérouler dans notre monde occidental, si apaisé au xanax, si endormi grâce à des doses massives et quotidiennes de téléxomil, si apathique par déni de vie. Une véritable tragédie : Tucker Carlson a pris une interview de Poutine. Ô mon Dieu, il risquerait de réveiller nos masses confortablement somnolentes ! Après tant d’années d’efforts pour les écraser ! Il risquerait de montrer que le Roi occidental … est complètement à poil. Panique à bord !

Vous trouvez que j’exagère, qu’il n’y a pas de panique ? Ecoutez cet extrait de TF1. L’interview de Poutine n’est pas même sortie, qu’une véritable hystérie règne sur les plateaux. L’intervenante crachouille du « Tucker Carlson » avec tant d’émotion … qu’au début j’entendais Carcassonne. La pauvre, elle a dû doubler ses doses de Xanax pour se remettre !

Au début, on lui reprochait un crime de lèse-majesté : il ne révère pas les dogmes globalistes. Et cela lui a d’ailleurs coûté sa place. Il est blanc et n’en a pas honte (c’est une honte), il est hétéro et ne supporte pas le culte LGBT (encore pire), et pour couronner le tout, il ne se couche pas devant les prêtres No Borders. Bref, ce type est à liquider. Ce n’est pas faute d’essayer, mais ils n’y arrivent pas : la demande d’une autre information est de plus en plus forte.

Ne s’alignant pas, il a décidé de donner la parole à Poutine, celui qui est accusé de tous les maux du monde global par la seule existence de la Russie. La Russie, qui n’a pas laissé les Atlantistes s’emparer de l’Ukraine avec le coup d’Etat du Maïdan de 2014 (après la tentative plus douce de 2004 avec la révolution orange). Et cela, ne lui a pas été pardonné : de quoi se mêle-t-elle ? Pourquoi ne s’écrase-t-elle pas, comme tous les pays occidentaux ? L’intérêt national, c’est de l’ancien monde, de celui des Etats, il n’a pas sa place dans la globalisation.

Et cette nuit, l’interview est sortie sur Twitter. Vous pouvez la voir ici. En quelques heures, il y a déjà 68 millions de vues. 68 millions de personnes ont pu avoir accès à un autre discours, que le discours primaire, qui est leur servi sur toutes les plateformes depuis des années.

Ils peuvent ainsi replacer ce conflit dans l’histoire. Se souvenir, ou apprendre, que l’Ukraine d’aujourd’hui est un pays artificiel, composite, qui a toujours été dans la Russie depuis un millénaire et, lors des vagues périodes d’autonomie, a été instrumentalisé contre la Russie :

« Le dirigeant est ainsi revenu sur l’histoire de l’Ukraine, faisant remarquer notamment que l’«ukrainisation» des terres du sud de la Russie avaient été activement promues par l’état-major autrichien avant la Première Guerre mondiale, pour «affaiblir un ennemi potentiel», et que le nom «Ukraine» avait été inventé par les Polonais, voyant les terres du sud de la Russie comme une «frontière» et non «comme appartenant à un groupe ethnique». »

Tout y est passé : la violation par l’OTAN de sa promesse de non-extension vers les frontières russes, la déstabilisation volontaire de la situation en Ukraine et l’agression atlantiste, la guerre économique et l’inutilité des sanctions, etc.

Ce qui choque les médias français, et notamment Le Point, est le lien indéfectible affirmé et réel entre l’Ukraine et la Russie. Car le discours atlantiste veut imposer dans les esprits une fantasmagorique existence historique de l’Ukraine. Et de reprendre une plaisanterie de Poutine, qu’ils n’ont évidemment pas appréciée, mais pas du tout :

« Le président russe a terminé avec une anecdote prétendument tirée du front. « Des soldats ukrainiens ont été encerclés. On leur a proposé de se rendre, mais ils ont répondu en russe que les soldats russes ne se rendent pas », affirme-t-il. Une manière de nier une dernière fois l’existence même de l’Ukraine en parlant du conflit comme d’une « guerre civile ». »

Les Atlantistes ont effectivement provoqué une guerre civile, en lançant les Ukrainiens contre les Russes. Un millénaire d’histoire ne s’efface pas ainsi. Et si l’on veut une illustration, il suffit de s’intéresser à la personne, qui a remplacé Zaloujny à la tête de l’état-major ukrainien, Alexandre Syrovsky. Il est Russe, né dans la région de Vladimir en Russie, où vivent toujours ses parents et son frère. Son père est d’ailleurs colonel de l’armée russe à la retraite. Sa famille publie régulièrement des photos patriotiques sur les réseaux sociaux, des photos du Régiment Immortel, avec le ruban de Saint George (interdit en Ukraine). Le frère se distancie de nouveau chef de l’état-major ukrainien, déclarant qu’ils n’ont plus de contact depuis des années.

Oui, c’est bien une guerre civile, car l’Ukraine c’est la Russie. Cette guerre passe à travers les familles et c’est bien pour cela que les Atlantistes ont agressé l’Ukraine, pour toucher le coeur de la Russie. Pour ce qui est du discours de la guerre « nationale » ukrainienne, il faudrait déjà savoir ce qu’est cette « nation » ukrainienne, quand il a fallu trouver un Russe pour diriger sous le commandement de l’OTAN l’armée dite ukrainienne … contre la Russie.

Tout cela va radicalement à l’encontre de la propagande déversée en continu par les médias atlantistes. Maintenant, les gens ont le choix : ils peuvent s’informer ou continuer de dormir. Lorsque l’on voit l’inquiétude réellement provoquée par cette interview, on comprend à quel point ce monde global est faible. Sa force est notre faiblesse, elle n’est qu’une illusion. Il suffirait d’un réveil des masses, pour qu’il s’écroule.

Karine Bechet-Golovko

13 Commentaires

  1. Bonjour,
    merci Volti pour le partage. Très bon résumé et analyse.
    Bon dimanche

  2. Bonjour,

    Bien que je n’ai pas eu le temps d’écouter l’intégralité de l’interview, et quoique converti, c’est un régal d’entendre poutine clore le bec des occidentaux corrompus, menteurs, sans honneur, et comme on dit vulgairement  » à la parole de p…. » le tout sans aucune note!

    La presse stipendiée comme les spécialistes auto-proclamés s’égosillent de se voir mis à nu, il n’était que d’entendre un certain général de blindés apparement compétent à graisser les barbotins d’AMX 13 au musé de SAUMUR mais à la patte bien graissée sans aucun doute, un autre spéciliste en brosse à reluire, de Science po, s’il vous plaît appelant pratiquement à la 3éme guerre mondiale, rien que ça !

    C’est la panique des médias du système habitués à prendre leurs ordres au bureau de la propagande macrotanesque …

    Et toutes ces ignobles canailles d’appeler au massacre des jeunes ukrainiens comme des russes !

    On rappellera que plus de cinq millions d’euros sont versés à la « presse » de pays …

    Vae victis !

  3. J’ai commencé aussi à la regarder. Poutine parle vite et c’est super intéressant. Il faut suivre, surtout la partie historique.
    Il faut vraiment être faible, en effet, pour s’attaquer à un journaliste qui fait son boulot, tout simplement, l’accuser de soutenir le KKK … La folie ! Crises de panique, du grand n’importe quoi !
    Quelle période passionnante nous vivons !

    • Non non, ce n’est absolument pas ça
      Ils ne l’accusent pas de soutenir le KKK. Ils l’accusent d’être aimé par des membres du KKK.

      ..En clair ils font un sous-entendu sans aucune relation, espérant l’amalgame simpliste.
      …Et cela marche, la preuve !https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wacko.gif

  4. Moi je demande que les élus répondent publiquement a diverses questions sur l’histoire de France, sa géographie et les dates précises de certains faits historiques concernant le pays, et sans notes ni prompteur.
    A la suite de cela le candidat est évalué et accepté a l’essai ou bien il passe en justice pour tentative d’escroquerie a l’encontre du peuple français..

  5. C’est du délire, ils sont tous au bout de leur vie parce que monsieur Tucker à été interviewé tonton Vlad ?
    Ils ont peur à ce point de ce prendre une disquette ou quoi ?

    Ils ont qu’à faire les choses bien et arrêter de jouer les Serge le mytho !

    C’est normal d’être à cran, quand on ment, triche, affabule, dissimule, encule ? Euh oui mais rien a voir ici… Bref, font toutes le pires saloperies possible là ou tonton est droit dans ces bottes !

    Monsieur Florian fait un tour d’horizon de l’hystérie ambiante qu’inspire les atlantistes !
    https://www.youtube.com/watch?v=_yTX_bTxid4
    > Les incroyables suites de l’interview de Poutine par Tucker Carlson : ça craque partout !

    J’vous dit pas comment ça doit sentir le vieux prout dans les instances, on vis une époque formidable !

    Akasha.

  6. Bonjour. Tucker Carlson, X, Trump, Robert K Jr, Chomsky et Co, tout comme tous les partis politiques français, incluant Dupont-Aignan et l’UPR (malgré toutes les paroles de vérité et de bon sens émises), sont de l’opposition sous contrôle. Même la verte petite Greta Thunberg, fondée financièrement et génétiquement par les Rothschilds se veut anti-sioniste.
    Bref, je reste un fan de Poutine. Ça oui.
    Le reste, côté Ouest, c’est de la poudre aux yeux pour justifier «honorablement », « en toute dignité » la fin de l’empire et expier des mensonges trop gros tout en même temps consolider la bulle d’illusion, LE mega mensonge. Bon, pis que perdure les intouchables de la finance.
    Bref, les héros véritables sont soit sous les verrous, soit morts, soit véritablement harcelés et ramenés dans le giron, soit incognitos (ce qui remet en question le statut même de héro. Héro inconnu?), soit faisant partie de la petite touche de vrai qui rehausse la vraie semblance du monolithe de faux semblants. Bref.
    Même héro mis à part, le rôle de vrai journaliste est récupéré pour nous faire croire à la liberté d’expression, la quête de vérité, tout en masquant « l’éléphant dans la pièce ». Qui battent la monnaie?
    PS: je viens d’écouter 5 minutes de Trump qui explique vite fait bien fait qu’il aime zelensky, déplore tant de morts et de milliards dépensés et que s’il était président il ne ferait que prêter l’argent et que l’obligé ne pourrait pas se tourner vers l’autre camp juste après…
    Faire faire la guerre aux autres, tout à leurs frais.
    Quel inspiration. Du Rothschilds tout craché.
    Rien de nouveau sous le soleil.
    Et pourtant, on vit des temps « de bascule » comme on dit.
    De «l’encule » entre soi, à défaut d’un reste du monde qui s’y prête.
    Allez, bonne journée.
    Le soleil brille.

  7. Retour PingTucker Carlson a semé la panique dans ce fragile monde occidental avec son interview de Poutine – Les moutons enragés – Monde25

  8. Vladimir Poutine, le Roi du Mond…ialisme.
    Back to the future :
    Tout comme lors de la Guerre de 1914-1918, qui a permis au communisme de prendre le pouvoir en Russie, la deuxième Guerre mondiale permettra au communisme (de Staline) d’étendre son emprise, avec l’approbation (et le soutien) de la haute finance. Puis, après Khrouchtchev, qui succèdera à Staline et qui sera l’artisan d’une « déstalinisation » de l’URSS et d’une « Détente » avec les USA, une nouvelle phase débutera au milieu des années 1980 avec l’arrivée, à la Direction du Parti Communiste, de Mikhail Gorbatchev, futur prix Nobel de la Paix (comme Barack Obama) qui, de 1985 à 1987, mettra en œuvre un programme de « réformes » économique et politique, appelé « Perestroïka » (Restructuration), et qui aboutira à la désintégration de l’URSS, conséquence indispensable à la mise œuvre d’une plus grande « efficacité économique » et d’une « démocratisation des institutions » ; une sorte de test, à grande échelle (régionale) du « Grand Reset » avant l’heure ; « Pour faire une révolution, disait Julian Huxley, l’alternative démocratique est la plus désirable et la plus permanente ; la méthode totalitaire s’autodétruit à la longue. » (« Tempo dì Rivoluzione », Mondadori, 1949, p.16 ).
    Ainsi, l’économie soviétique gorbatchévienne se libéralisera grâce aux injections massives de la Haute Finance, et, dans le même temps, l’économie occidentale poursuiva à rythme soutenu sa socialisation. Relevons que la prolifération du rock en Russie est un sous-produit de la « Perestroïka ». À ce sujet, Jacques Delacroix nous rapporte que « Jusqu’en 1981, la musique rock était encore décrite dans la Grande Encyclopédie soviétique comme monotone, banale et esthétiquement scabreuse et attribuée à l’influence pernicieuse de la culture bourgeoise et à l’imitation aveugle des modes occidentales. » (« Maitreya : le nouveau Messie ? Du dévoilement du plan du chaos planétaire à l’émergence de ” l’Instructeur mondial ” »).
    Mikhail Gorbatchev, qui démissionnera en décembre 1991, laissera place à Boris Eltsine, évidente « marionnette » intérimaire et fortement alcoolisée, qui sera élu, dorénavant au suffrage universel, Président de la nouvelle « République Fédérative de Russie » (afin de se donner une image de sobriété, Boris Eltsine inaugura son mandat avec une campagne musclée contre la consommation de vodka qui, d’ailleurs, fut l’une de ses mesures les plus controversées). Il tiendra ce rôle jusqu’en décembre 1999, lorsqu’il démissionnera à son tour. Son incapacité pour raison de « santé » (Eltsine sombrait de plus en plus dans l’alcoolisme) et son incompétence, qui seront mises à la disposition des projets des mondialistes, permettront de préparer l’avènement et le long règne d’un nouvel acteur politique majeur, et plus « moderne » : Vladimir Poutine.
    C’est ainsi que le 31 décembre 1999, au moment où la guerre en Tchétchénie interdisait tout débat sérieux, quelques oligarques organisèrent une discrète passation des pouvoirs d’Eltsine à Poutine, sans élections à la clé. Pour beaucoup aujourd’hui, Vladimir Poutine est devenu une sorte de « Superhéros » luttant contre le « Nouvel Ordre Mondial », à l’instar de son ex-homologue étasunien et milliardaire, Donald Trump, tant vanté et glorifié, lui aussi, par une dissidence peut-être un peu trop naïve.
    Ancien Officier du KGB, les Services de renseignements soviétiques, et donc issu du « système » (Poutine a passé 17 ans au KGB avant que Boris Eltsine fasse de lui, en 1998, le directeur du FSB, ex-KGB), rappelons que le premier geste de Vladimir Poutine en tant que président fut de signer la loi qui mettait son prédécesseur à l’abri de toute poursuite judiciaire, que ce fût pour des actes de corruption ou pour les assassinats de manifestants en faveur de la « démocratie » commis par l’armée pendant qu’il était au pouvoir. De plus, bien que figure centrale de l’exécutif de la nation Russe depuis 1999, rappelons qu’une commission parlementaire britannique a publié en mai 2018 un rapport alertant sur le fait que la « City » serait devenue un centre de blanchiment d’argent pour les hommes d’affaires russes et pour Vladimir Poutine et son entourage, ce qui a valu à la capitale britannique le surnom de « Londongrad ».
    Enfin, rappelons également, et en parallèle, qu’en hâtant l’effondrement de l’empire américain, Donald Trump (à l’instar de M. Gorbatchev en URSS) agit comme un allié objectif des intérêts globalistes de la « City » dont le seul objectif est l’avènement d’un gouvernement mondial. Car précisément, le gouvernement mondial ne pourra voir le jour que sur les décombres des États, tout empires soient-ils.
    NB : Coincidence, Fake news, Conspiracy ?
    Dans une lettre datée du 15 août 1871, et connue depuis déjà pas mal de temps par de nombreux et « vilains » complotistes, l’écrivain maçonnique américain, Albert Pike, faisait part au révolutionnaire et patriote italien, Giuseppe Mazzini, d’un plan des « Illuminés de Bavière », ou « Illuminati », qui avaient en vue de conquérir le monde par trois guerres mondiales dans le but d’ériger un gouvernement mondial unique.
    Première guerre mondiale : Elle devait être mise en scène pour que les « Illuminati » aient un contrôle direct sur la Russie des Tsars ; des divergences suscitées entre l’Empire Britannique et l’Empire Allemand, par des agents des « Illuminati », devaient être le « coup d’envoi » de cette guerre. Ainsi, en détruisant le régime Tsariste, les « Illuminati » permettraient l’avènement du communisme.
    En obtenant le contrôle d’un gigantesque territoire à l’Est, ils pourraient y tester à fond leurs théories totalitaires (qui allaient coûter des millions de vies humaines) afin d’en corriger les défauts.
    Les « Illuminati » souhaitaient utiliser la Russie comme la « bête noire » pour leur plan à l’échelle mondiale, c’est-à-dire comme un « outil » au service de la destruction d’autres gouvernements et de l’affaiblissement de la religion : la FAUCILLE, arme tranchante qui égalise, nivelle tout, provoque la mort ; le MARTEAU, devient ici l’objet des puissances d’« En-Bas », l’image du mal et de la force brutale, pour écraser toujours plus ; c’est aussi l’industrie ou la métallurgie qui rappelle les « génies infernaux » armés de marteaux, à l’époque où l’homme commence à travailler les métaux, et qui les faisaient servir à des arts abominables, à des crimes.
    Deuxième guerre mondiale : Elle aurait été créée de toutes pièces en manipulant les divergences d’opinions régnant, cette fois-ci, entre les nationalistes allemands et les sionistes politiquement engagés… Cette seconde guerre mondiale (nouvelle hécatombe en vies humaines, bientôt suivie d’une immigration de masse en Europe qui en effacera progressivement le visage et peut-être l’histoire) aurait également permis à la Russie d’étendre sa zone d’influence, en particulier grâce à la constitution d’une « Internationale Communiste ». De plus, et selon la progression du Plan, en devenant le « pire ennemi » du monde « libre », à l’Ouest, « l’épouvantail Communiste » (URSS), à l’Est, obligerait les peuples Occidentaux (dans une prétendue « Guerre Froide ») à accepter la création d’alliances globalistes supranationales qui n’auraient pas pu voir le jour sans cela, du moins jamais aussi rapidement et surement, telles que l’OTAN et l’ONU (autre versant du sinistre « Projet Manhattan », plus subtil mais tout aussi meurtrier).
    Cette rivalité (de façade), inaugurée en août 1945 avec le double crime « atomique » contre l’humanité commis par le gouvernement étasunien (véritable démonstration de force des « Illuminati » destinée à faire de la menace nucléaire l’instrument d’un nouvel ordre du monde fondé sur la terreur), entretenue avec la complicité des soviétiques et leur premier essai atomique au plutonium en août 1949 (qui marque le début d’une nouvelle « course à l’armement »), devait surtout avoir pour but de provoquer un regain de vitalité du commerce (voire du trafic) international des armes…
    Troisième guerre mondiale…
    Lien : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/introduction-livres-de-femmes.html/

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