Par Nicolas Bonnal via Le Saker Francophone
Le dément gouvernement Scholz a pris un tour dictatorial : d’une part il achève de liquider l’industrie allemande sur ordre des mondialistes (le rôle de Larry Fink et de BlackRock semble éminent). D’autre part pour justifier la fin définitive (je dis bien définitive) du gaz russe et la désindustrialisation génocidaire qui va l’accompagner (plan Morgenthau de 1944 approuvé par Churchill), il met en place une tyrannie sanitaire sans égale, sous l’égide du ministre de la santé Lauterbach, lui-même un simple agent américain depuis son passage à Harvard. En fonction de son nombre de vaccins, on aura le droit de faire ou de ne pas faire telle chose, et tout cela sera affiché sur le smartphone qui est l’instrument de la mort dans cette mondialisation écologique.
Nous saurons bientôt si le peuple allemand a envie de résister ou même de réagir ou s’il est désireux de se laisser totalement liquider, aussi soumis à l’élite mondialiste que sa classe politique. Le parlement avait quand même refusé de voter la vaccination obligatoire il y a quelques trimestres. Ce vote ne ralentit en rien – et ce sera pareil en France – un pouvoir totalitaire et fou qui a un agenda mondialiste et cabalistique à remplir : une désintégration à la fois démographique (avortement en roue libre, immigration folle, dénatalité, vaccin, etc.), culturelle (anéantissement et effacement de tout passé culturel et spirituel) et économique : en effet l’économie n’importe plus depuis que la bourse monte comme un folle sans elle. C’est ainsi que Peugeot pèse en bourse 0,5% d’Apple (vous avez bien lu). L’économie matérielle est liquidée sur ordre, au nom bien sûr du climat et de Dame Greta, de Davos et des oligarques américains. On ne garde comme source de richesse que l’inflation folle des valorisations boursières de certaines sociétés (les technologiques, le luxe pour la France par exemple) et l’inflation des services financiers et des valeurs immobilières (Paris vaut dix fois plus au mètre qu’il y a une génération).
Les gouvernements européens sont de bons élèves : voir Madrid sans air conditionné et sans lumière (par 34° nocturnes) en ce moment. Ils ont été sélectionnés et l’extrême-droite comme l’extrême-gauche fournissent des oppositions contrôlées particulièrement risibles, notamment en France. On peut voter centre-droit ou centre-gauche, on aura les mêmes effets : le contrôle total et totalitaire de l’élite américaine et anglo-saxonne sur une Europe en perdition. On fait confiance à la presse et à la télé pour maintenir une population infantile, vieillie, avilie et abrutie sous l’éteignoir. Debord ou Baudrillard ont écrit à ce sujet des pages plus brillantes que nous. La mince résistance de certains réseaux ne remet rien en cause, on a fini enfin parfois par s’en rendre compte – sinon elle ne serait pas tolérée. Là elle est utilisée : « ce sera nous ou les complotistes ».
J’ajouterai cette observation : le plan Morgenthau, déjà réalisé en France (pays qui ne produit plus rien) s’applique enfin à l’Allemagne.
Je sais plus ou j’ai vu ça, si c’est à la télé en passant ou dans une vidéo (qui vient peut-être d’ici), mais en France, certaines personnes dans les médias et peut-être aussi des politiques commencent à dire qu’un écologisme extrémiste, radical, serait plutôt bon, voire même nécessaire.
Le retour du totalitarisme sous couvert d’écologie, ça ne va pas tarder à passer au premier plan dans toute l’Europe.