Source INSOLENTIAE
Les procès en fascisme, en anti-LGBTQI+ ou autre racisme concernant Trump et Vance n’en finissent plus de finir tant ils sont nombreux.
Les “fragiles” et les “ouins-ouins” hurlent à ce “rejet” et revendiquent leurs “valeurs”.
Sun Tzu, 600 avant JC… avant d’aller affronter ton ennemi et de te jeter dans la gueule du loup et te faire manger tout cru dans d’horribles souffrances… apprends à connaître ton ennemi pour mieux l’affronter et le battre. C’est ainsi que devraient raisonner les anti-Trump, mais non. Ils restent dans l’émotion et au niveau 0 de l’analyse.
Comme vous pourrez le voir le secrétaire d’Etat au Trésor américain, ce qui est notre ministre de l’économie, est ouvertement homosexuel.
Mais il y a une grande différence !
Ce monsieur n’a pas été nommé par Trump parce qu’il était homosexuel.
Ce monsieur a été nommé par Trump parce que Trump pense qu’il était le plus qualifié pour ce poste.
Lorsque l’on accuse Vance de racisme alors qu’il est marié à une femme d’origine indienne et que ses enfants sont “métissés” c’est un mensonge, un mensonge que j’ai entendu également proféré contre l’AFD et sa présidente qui est une lesbienne mariée à une autre femme d’origine sri-lankaise avec laquelle elle a eu deux enfants, portés par sa femme de deux donneurs différents… on ne peut pas dire qu’a priori le problème soit la sexualité ou le racisme de ces leaders.
Le problème c’est qu’ils mettent en avant non pas le genre ou la sexualité de la personne mais sa compétence.
Trump et Vance remettent donc au cœur… la notion de compétence et c’est une excellente chose.
Charles SANNAT
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Ces gens sont-ils vraiment compétents ou ne seraient-ils pas justement recrutés à ces fonctions par pitié ou pour donner des gages aux LGBT ?
Le fonds du problème demeure l’acceptation sociale des comportements homosexuels en Occident et la promotion de ce type de comportements.
On fait comme s’il n’y avait pas de problème, comme si tout allait bien, alors que l’homosexualité est un manque d’amour propre ou une haine de l’autre.
Ne perdons pas notre temps à combattre l’homosexualité, mais elle n’a pas sa place dans les institutions.