La Chine signale la découverte d’un nouveau coronavirus au potentiel pandémique

Source AubeDigitale

Les actions ont soudainement chuté peu après le déjeuner et les bureaux de négociation s’efforcent de trouver un catalyseur. Avec l’expiration aujourd’hui d’options d’une valeur de 2 700 milliards de dollars, le marché est plus libre de ses mouvements, mais beaucoup citent un rapport du Daily Mail affirmant qu’un nouveau coronavirus a été découvert à l’état sauvage en Chine et qu’il est susceptible de provoquer une nouvelle pandémie.

Oui, vous avez bien entendu.

Voici ce que rapporte le Daily Mail :

Un autre coronavirus dont on craint qu’il soit suffisamment puissant pour se propager chez l’homme a été découvert en Chine.

Dans des scènes qui rappellent étrangement les débuts du Covid, des chercheurs du tristement célèbre Institut de virologie de Wuhan ont détecté la nouvelle souche vivant dans les chauves-souris.

Le HKU5-CoV-2 présente des similitudes frappantes avec le virus pandémique, ce qui fait craindre que l’histoire ne se répète deux ans seulement après la fin du pire.

Le nouveau virus est encore plus proche du MERS, un type de coronavirus plus mortel qui tue jusqu’à un tiers des personnes qu’il infecte. La virologue Shi Zhengli, surnommée « Batwoman » pour ses travaux sur les coronavirus, est à l’origine de cette découverte, publiée dans une revue scientifique de premier plan.

Le nouveau HKU5-CoV-2 est un coronavirus appartenant à la famille des merbecovirus. Les merbecovirus ont été détectés chez les visons et les pangolins, l’animal considéré comme l’intermédiaire du Covid entre les chauves-souris et les humains. Les scientifiques écrivent que cela « suggère une transmission fréquente de ces virus entre les chauves-souris et d’autres espèces animales ».

Ils ajoutent : « Cette étude révèle une lignée distincte de HKU5-CoV chez les chauves-souris qui utilisent efficacement les [cellules] humaines et souligne leur risque zoonotique potentiel. Les virus HKU5-CoV ont été détectés pour la première fois chez les chauves-souris en 2006, mais les nouvelles données suggèrent que le HKU5-CoV-2 a un « potentiel d’infection inter-espèces » plus élevé que les autres. Toutefois, le potentiel de propagation du HKU5-CoV-2 à l’homme « reste à étudier ».

Les recherches ont été menées par l’Institut de virologie de Wuhan, qui est au centre de la théorie de la fuite de laboratoire, selon laquelle le Covid-19 aurait été fabriqué dans un laboratoire chinois et aurait accidentellement été divulgué au public.

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Alors que les actions ont été globalement dévaluées à la suite de ce rapport…

Capture d’écran

Les fabricants de médicaments, comme Moderna et Pfizer, ont décollé à la suite de cette annonce …

Capture d’écran

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2 Commentaires

  1. Concernant la Chine, précisons en passant que la position qu’elle occupe à l’heure actuelle en matière de technoscience est le fruit d’une volonté politique internationale. Des partenariats d’ampleur unissent l’Europe et la Chine. Ils sont si conséquents que le narratif d’une Chine, ennemie ou concurrente mortelle de l’Occident, est une fake news.
    Notons qu’actuellement le réseau 5G utilise les mêmes ondes électromagnétiques (EMF) que le « système de contrôle de foule » du Pentagone, c’est-à-dire le système d’armes non létales à énergie dirigée – Active Denial System – développé pour l’armée américaine, mais pas que…
    Rappelons que le mouvement des « Gilets Jaunes » a été interrompu (tout comme l’affaire « Epstein » qui commençait sérieusement à inquiéter) suite à l’apparition soudaine du « CORONA virus ». Coïncidence, le « CORONA virus », lui, a commencé au moment du lancement officiel de la 5G dans le monde, c’est-à-dire début 2020, alors que les discussions préalables autour de cette technologie faisaient déjà l’objet de nombreuses contestations et notamment concernant l’effet sanitaire des ondes électromagnétiques et l’impact environnemental de cette technologie.
    Relevons, en passant, quelques autres « coïncidences » qui eurent lieu peu de temps avant le début du « blockbuster dystopique » sur la pandémie du « CORONA virus », qu’il est difficile d’expliquer par le hasard :
    1- Septembre 2019 : soudaine accélération de l’effondrement financier (débuté en 2008), malgré la « perfusion » de centaines de milliards de Dollars, dans le but de maintenir en vie la « Pieuvre » financière.
    2- Octobre 2019 : exercice de simulations d’une pandémie dans laquelle étaient également simulés le confinement, les réactions face au « complotisme », aux rumeurs et aux fake news, ainsi que les « conflits » des médias, etc.
    3- Décembre 2019 : en France, alors que le « CORONA virus » n’est toujours pas là, un projet de loi est déposé en catimini au Sénat pour autoriser les mesures de confinement.
    L’Active Denial System (ADS) a été développé en secret et son existence a été révélée en 2001, mais la plupart des détails sur les effets de l’ADS sur les humains restent classifiés : en 2012, un centre de recherche en Russie indiquait travailler sur cette technologie ; en novembre 2014, une entreprise chinoise a présenté un système utilisant cette technologie.
    Le déploiement mondial, à grande échelle, de cette technologie permet aussi de constater que le retour de l’existence d’un monde multipolaire suite au déclin de l’empire des USA n’est qu’une illusion. Du reste, l’oligarchie ne contrôle-t-elle pas, par le biais de la B.R.I. (Banque des Règlements Internationaux), les finances de toutes les banques centrales, dont la banque centrale de la Fédération de Russie et celles de la Banque Populaire de Chine ?
    À propos des relations France-Chine qui ont débouché sur la construction du labo P4 de Wuhan, avec transfert de compétences à travers l’Institut Pasteur, elles font suite à un partenariat UE-Chine qui remonte à 1998; C’est au cours de cette même année 1998 que fut fondée une institution qui a joué un rôle-clé dans la crise du « Covid-19 ». Cette institution est le « Center for health security ». Il est située à l’Université Johns Hopkins, dans l’État du Maryland (USA). C’est dans cette institution que, dès le début de la « pandémie », ont été collectées, compilées et diffusées toutes les informations « Covid » de la planète. À toutes fins utiles, précisons que c’est dans cette même Université « Johns Hopkins » qu’une simulation de pandémie avait été organisée en octobre 2019, c’est-à-dire 1 mois avant « l’apparition » du Covid-19 à Wuhan, et 3 mois avant l’officialisation d’une « pandémie » mondiale par l’Organisation mondiale de la Santé – OMS. Précisons encore que cette simulation était financée par Microsoft, l’entreprise de Bill Gates, qui contrôle l’OMS ainsi que l’association GAVI – l’alliance du vaccin. Enfin, est-ce une coïncidence si le 17 juillet 2014, 298 passagers trouvèrent la mort dans le crash du Boeing 777 de la Malaysia Airlines, en Ukraine. Cet avion, abattu par un missile de longue portée « Sol air » lancé par des « séparatistes » selon les médias de masse, transportait 108 virologues à destination du Japon, au Forum de la Santé, organisé par Bill Gates. D’aucuns pourraient encore y voir un énième complot relatif au « coup d’envoi » qui aurait été donné pour la mise en œuvre d’un projet concernant une pandémie fictive, désormais débarrassé des virologues sérieux et intègres, c’est-à-dire des « obstacles » qui auraient pu gêner ledit projet.
    Rappelons également que Kary Bank Mullis, ce scientifique et « père » du procédé « PCR » a toujours été clair sur le fait que sa découverte n’était pas destinée au diagnostic. Néanmoins, récupéré par l’institut de virologie de la Charité de Berlin par le professeur Christian Drosten (fervent promoteur du masque obligatoire), ce procédé « test PCR », mis en place pour diagnostiquer le Covid, est devenu l’argument principal de l’augmentation artificielle des chiffres du Covid. Rappelons enfin que Kary Bank Mullis est décédé le 7 août 2019 de complications de… pneumonie, la veille de l’Evènement qui simulait une pandémie de coronavirus (« Event 201 »). Il faut dire que Kary Bank Mullis avait eu cette phrase terrible : « Les scientifiques font énormément de tort au monde au nom de l’aide qu’ils pensent lui apporter. Cela ne me dérange pas d’attaquer ma propre fraternité parce que j’en ai honte. ».
    Quelle aurait été la réaction de Kary Bank Mullis si, lui aussi, avait été encore en vie en janvier 2020 ?
    Dans son très intéressant « rapport/enquête » intitulé « CIA, Vaccins, Médecine militaire expérimentale, Cristaux liquides », et paru en mai 1994, deux ans avant « Les Protocoles de Toronto » et son décès soudain d’une crise cardiaque, Serge Monast écrivait : « Dans un projet de recherche top-secret financé par l’administration Reagan, au nom de code « Opération Black Beauty », Le Dr Michael Persinger, un physiologiste américain qui dirige le laboratoire de Psychophysiologie Environnementale à la Laurentian University de Sudbury, Ontario, fut chargé de développer une arme qui puisse être utilisée pour calmer rapidement les foules en colère. Il développa un appareil électromagnétique qui employait des champs de basse-intensité à variation de temps pulsés à des registres de Fréquences Extrêmement Basses, à des fréquences entre 1 et 10 Hertz. Apparemment une personne se trouvant dans le champ de cet appareil trouvera un endroit spécifique de son cerveau inondé d’histamines, provoquant des crises incontrôlables de vomissements. »
    Notons, en parallèle de l’évolution technologique et chronologique de la « 5G », les crises sanitaires liées au Syndrome Respiratoire Aigu Sévère (SRAS) de 2003, à la pandémie grippale associée au virus A (H1N1) de 2009, ou à l’épidémie du virus Ebola de 2014, entre autres.
    Tom Wheeler, président de la FCC sous l’administration Obama, dans son discours tenu au National Press Club de Washington en 2016, disait, au sujet de la technologie 5G « qui doit arriver quelles qu’en soient les conséquences » : « La 5G rapportera des dizaines de milliards de dollars pour ses propriétaires à travers des conséquences « imprévues et involontaires. ».
    Par conséquent, la cinquième Génération des standards pour la téléphonie mobile (associée à un empoisonnement médical « scientifiquement correct » organisé lors d’une campagne de vaccinations dans le cadre d’une pandémie factice) pourrait donc être une arme de guerre, testée et déployée, cette fois-ci, à l’échelle planétaire afin de prendre le contrôle de tous les aspects de ce qui est vivant sur Terre.
    Et tout cela sans parler des éventuelles manipulations génétiques de certains produits alimentaires, susceptibles de transformer une nourriture naturelle indispensable à la vie en une alimentation riche en certains éléments et appauvrie en d’autres, afin d’être adaptée au même projet.
    Rappelons que l’industrie pharmaceutique est liée aux géants de l’agroalimentaires dans le monde (Nestlé, Kellogs, Proctor and Gamble, Monsanto, etc.), et grâce à ce vaste réseau planétaire, l’oligarchie peut orchestrer des attaques concertées sur le corps humain et ses facultés mentales et psychologiques par le biais de drogues, de vaccins et d’additifs alimentaires.
    Suite : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/introduction-livres-de-femmes.html
    Blog : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/

  2. Merci pour le rappel . « Par conséquent, la cinquième Génération des standards pour la téléphonie mobile (associée à un empoisonnement médical « scientifiquement correct » organisé lors d’une campagne de vaccinations dans le cadre d’une pandémie factice) pourrait donc être une arme de guerre, testée et déployée, cette fois-ci, à l’échelle planétaire afin de prendre le contrôle de tous les aspects de ce qui est vivant sur Terre. »

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