La Grande Histoire, la plupart du temps, est faite de milliers de petites histoires qui ont de l’importance, ou pas.
Récemment je me suis amusé à retrouver dans ma tête certaines de ces histoires, qui me sont arrivées, ou que ma famille m’a racontées.
Souvent, revient le thème de la Grande Histoire, où se greffent de menus détails, parfois si anodins. Il faut dire que depuis plus d’un siècle, selon ce que JE pense, il n’y a eu qu’une seule guerre, avec de multiples rebondissements ici et là. Quel en est le FIL ROUGE ? Si l’on creuse un peu, il s’avère que, derrière ces multiples situations parfois atroces, se profile un même maître d’œuvre, dont le but est, sans doute par frustration indélébile, de « faire de l’argent » pour exercer le Pouvoir le plus souvent en sous-main. D’où cette idée qui peut paraître incongrue de fournir les armes servant à des ressortissants de deux ou plusieurs pays pour s’entre-tuer sans se connaître. Je prends l’exemple de mon grand-oncle : avec son régiment local (il était basé à Parthenay dans les Deux-Sèvres), dès le début de la guerre de 1914 il est tombé en Belgique flamande ; mais les années suivantes, sur la même terre périrent Canadiens, Australiens….. par CENTAINES DE MILLIERS, face à des Allemands qu’on les avait forcés au moins à affronter, sinon à haïr. Quel « gâchis » d’humanité !
C’est pourquoi selon mes réflexions, LA guerre mondiale actuelle a réellement commencé en 1910, quand une quinzaine de banquiers internationaux (comme toujours) se sont réunis par un froid novembre sur la bien nommée île Jekyll, en Géorgie (USA). De là est partie la volonté de créer une Banque privée, mais censée favoriser le développement des States.
Ceux qui étaient réticents ont fait, sur invitation de l’un de ceux qui étaient pour, le voyage inaugural du Titanic : on sait ce qui est advenu. En décembre 1913 la banque, en réalité fille d’une autre banque privée, la Banque d’Angleterre, était créée sous le nom de Réserve Fédérale, ce qui donnait une impression d’indépendance au projet.
Sept mois plus tard, le financement a commencé, sous le prétexte fallacieux de l’assassinat d’un obscur archiduc autrichien falot. Il fonctionne toujours, on le voit tous les jours du côté de Lvov et de Beer Sheba.
D’où l’idée de rédiger un petit cahier pour noter mes réflexions.
Je me suis inspiré de données intéressantes et abondantes dans cette étude de Réseau International :
Ce dossier de plus de deux cents pages est divisé en articles, ce qui l’allège.
Quant à mon cahier, j’en ai envoyé un exemplaire papier au Ministère des Armées (qui hélas n’est plus le Ministère de la Défense, et la nuance est énorme).
JClaude
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Ces armes c’est vraiment une saloperie.
Cela peut rester en terre pendant des années.
Et puis un enfant passe à coté et touche l’objet et pfouuu.
Plus de bras, plus de jambe.
Et c’est la france qui a fait cela.
Et elle le fait toujours, et c’est là où le problème.
Et le pire c’est c’était les enfants qui étaient le plus ‘touché’ par ces mini-explosifs à retardement.
Ce sont les usa qui ont balancé ces trucs là mais c’est la france qui les fabriquait.
Une sorte de ‘vengeance’ d’avoir perdu la guerre d’Indochine.
Mais à quel prix ?
Celui de la vie d’enfants.
Car les adultes sont au courant et font attention à ne pas marcher n’importe où.
A l’heure actuel, il y a toujours des milliers de ces trucs en sommeillent.
J’ai étudié leur conception et c’est du costaud.
Elles peuvent rester un siècle en sommeil.
Et après toutes ces horreurs une charte internationale a interdit ces armes.
Et que fait la france, elle en produit encore plus…