« Ces mensonges d’Etat qui vous font prendre de mauvaises décisions ! ». L’édito de Charles SANNAT

Source Insolentiae

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Nous allons parler de ces mensonges d’Etat.

Le mensonge est-il grave?

Oui.

Pourquoi ?

Parce qu’il vous empêche de prendre les bonnes décisions en tant qu’agent économique au sens large. Comme parents au sens particulier. Comme épargnant. Comme investisseur. Comme employé etc.

Je peux multiplier les exemples.

Les mensonges d’Etat ruinent des vies. En termes de santé bien évidemment et l’on peut par exemple penser à quelques scandales sanitaires comme le Médiator, le sang contaminé ou… à un futur scandale qui commence à émerger.

Les mensonges d’Etat ruinent des « avenirs » ceux de vos enfants, de nos enfants à tous. Nous faisons de mauvais choix pour eux parce que ce le système veut orienter nos comportements en fonction de ce qui l’arrange lui, pas vous…

Les mensonges d’Etat vous coûtent chers financièrement car, bien évidemment, l’Etat ne veut pas votre bien, il veut VOS biens… et évidemment ce n’est pas bien… pour vous !

Alors, oui, il faut avoir le courage de voir ce qui doit être vu. Vous n’êtes pas obligé de le dire quand cela n’est pas « dicible », soit parce que les « autres » ne veulent pas entendre ces vérités qui dérangent, soit parce que la loi, vous l’interdit. La loi vous interdit de dire certaines choses parce que l’Etat refuse que vous nommiez certaines réalités. Il faut que la fiction l’emporte. Quand le réel est plus puissant que le récit gouvernemental, il ne reste plus qu’à interdire les récits alternatifs.

C’est ainsi, que bien que nous soyons très loin de la Corée du Nord, nous sommes devenus tout de même une véritable Corée de l’Ouest sous le leadership de notre bien-aimé leader Macroncescu.

Plus important encore, l’égalité devant l’information. 

Un monde de concurrence pure et parfaite, nécessite une équité devant l’information.

L’accès à une information libre, plurielle, non faussée, est évidemment un marqueur de démocratie et de société libérale.

Quand les Etats mentent, alors cela signifie toujours, que l’économie, que la vie, est « administrée ».

Dès lors repérer les mensonges, les identifier, est une des seules façons de pouvoir prendre les bonnes décisions pour vous et ceux que vous aimez.

Surtout ne croyez pas ce que je dis, contestez-le, réfléchissez, et pensez beaucoup, encore et encore !

Vive la liberté.

Si vous entendez ce message, alors, vous êtes la résistance.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

Tous les articles, la tribune libre et commentaires sont sous la responsabilité de leurs auteurs. Les Moutons Enragés ne sauraient être tenus responsables de leur contenu ou orientation.

2 Commentaires

  1. « Un monde de concurrence pure et parfaite, nécessite une équité devant l’information.
    L’accès à une information libre, plurielle, non faussée, est évidemment un marqueur de démocratie et de société libérale. »

    Deux point significatifs. Un, ce discours ne veut rien dire. Tout le monde sait depuis les premiers économistes hétérodoxes que la « concurrence pure et parfaite » n’existe pas, vu que personne n’a les mêmes moyens financiers, ni les mêmes moyens intellectuels – scolarité, intelligence – ni les mêmes moyens sociaux – position sociale, réseaux de connaissances.
    Deux, la concurrence, pure et parfaite, ou pas, n’est pas un marqueur de démocratie mais de lutte entre prédateurs qui s’arrangent entre eux pour minorer leur concurrence, on se partage les territoires. Et la concurrence on le voit est le meilleur instrument idéologique pour diviser le peuple, parcelliser ses intérêts collectifs, donc détruire la démocratie.
    Mais Sannat, encore une fois, montre là, dans ces positions idéologiques de quel côté il est..

    « Si vous entendez ce message, alors, vous êtes la résistance. »…Si vous croyez cette formule de com’, alors vous êtes vaincus.

  2. « Si vous entendez ce message, alors, vous êtes la résistance. »
    John Connor – Termintanor Renaissance.

    Dans le film, c’est une évidence. Si t’es pas une machine, tu es la résistance, que tu entendes le message ou pas. Cependant, entre être la résistance et se mettre au service d’un groupe de résistants, il y a une grosse différence.

    On sent bien dans le texte la détestation de l’état, son rejet total et absolu. Pourtant, le problème n’est pas l’état, mais cet état. Sannat essaye encore de vendre l’idéologie de merde de l’autre taré de Milei. Sauf que son « anarco-capitalisme libertarien », c’est très exactement le monde de rêve de ceux qui dirigent l’état. Un monde sans aucune entrave pour les plus riches, et sans aucun espoir pour les autres. Un monde ou tu te vends « librement » corps et âme aux riches pour pouvoir espérer survivre.

    L’état en lui-même n’est ni l’ennemi, ni même mauvais. C’est juste un outil. C’est ceux qui le composent et les objectifs qu’ils lui font servir le problème. L’état est une arme. Pointée sur ta tête pour t’obliger à creuser jusqu’à en crever pour enrichir celui qui la tient, c’est le mal. Pointée sur le lion qui s’apprête à te dévorer pour te sauver la vie, c’est le bien. L’outil n’est ni bon ni mauvais, c’est l’utilisation qui en est faite qui l’est.

Les commentaires sont clos.