Source Lediazec
Que peut-on souhaiter pour la nouvelle année qui n’ait pas été déjà mille fois formulé, sans éprouver comme un sentiment de redondance et de frustration ? Comme si chaque vœu exprimé mécaniquement accélérait une chute interminable, où le sol sur lequel nous marchons n’était qu’un vide sans fin et nos vies une illusion d’optique.
Consciemment ou non, nous nous souhaitons le « moins mauvais » du pire qui s’intensifie de vie en vie, espérant que le nouveau désastre soit moindre, en comparaison du naufrage auquel les « dieux » et les hommes, se servant les uns des autres, nous ont habitué pour perpétuer pouvoir et privilèges, misère et soumission.
À croire que pour des raisons « ignorées », le paradis, si bien décrit dans les oracles, nous est définitivement refusé, Hadès étant devenu le Maître absolu du jeu.
Ici, j’ai une pensée solidaire pour le peuple de Palestine qu’on extermine clés en main, avec des rhétoriques aussi foireuses que criminelles !
Comme on le voit (ou pas), Hadès a décidé de la jouer en solo, un seul choix en rayon : l’enfer et rien d’autre. Sauf que parfois, son plan diabolique sans cesse actualisé échoue et on le renvoie à la case départ…
Le moins mauvais donc et le plus joyeux en cette année 2024 qui est déjà là.
La Bise aux frangines, la franche accolade aux frangins, courage et persévérance à nous tous !
Sous l’Casque d’Erby
Bonne année.
Bonne annééééée ! Wou wou wou !
Je vous souhaite le meilleurs, une bonne santé et pleins de belles surprises !
Spéciale dédicace à Volti, monsieur La Hache et mon David ^^
Et festoyez bien, soyez fou !
La bise !
Joie, joie, mettez les tonneaux en perce ! LOL
Akasha.
Akasha, n’oublions pas le rôle ingrat tenu par le webmaster technique* du site ! Bonne année, à lui aussi !
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* mais là-dessus, mon fils s’y connaît bien mieux que moi ! Une partie de son master pro y était consacrée….
Ô putain, t’as raison, j’ai oubliée Will, c’est im-par-do-na-ble ! Je suis rougie de honte !
Force à Will qui sans lui l’aventure moutonesque ne serait pas possible !
Bisous et belle année Will !
Akasha.
Beau message, Rhod. Merci. Oui, au vu des événements, on ne peut que se souhaiter le moins pire. Mais quand même …
On peut aussi se souhaiter de voir, au travers du brouillard actuel, les moindres petits bonheurs, les rires de tout et de rien, le plaisir d’une rencontre, la santé, bien sûr, à tous les étages, le psychisme entraînant le corps et parfois l’inverse, du soleil dans le cœur…
Et comme tu le dis si justement: courage et persévérance pour nous toutes et tous. Car après ces presque 4 ans de galères, les cœurs sont fatigués, les corps sont usés sous la pression médiatico-politico-économico … Rien ne semble vraiment avancer et pourtant, on sent une attente de l’explosion finale, le gros coup de tonnerre qui, enfin, va éclaircir l’horizon.
Bien sûr, nous, dans nos petits cocons plus ou moins confortables (en comparaison avec tant d’autres), nous pouvons nous sentir privilégiés et quelque part, nous le sommes. Mais la souffrance de tant de peuples nous touche aussi, difficile d’être heureux quand il y a tant de misères.
Et pourtant, n’ajoutons pas du négatif au négatif, gardons les yeux fixés sur la Lumière qui s’en vient, et envoyons du positif +++++++ à tous ceux qui soufrent, où qu’ils soient sur notre si belle planète.
Que cette année nous montre enfin le bout du tunnel, la Lumière qui pointe, qu’elle nous apporte là encore force et courage, santé et paix à tous les niveaux.
Prenez soin de vous et de vos proches.
Briquette tu dis:
« Car après ces presque 4 ans de galères, les cœurs sont fatigués, les corps sont usés sous la pression médiatico-politico-économico … Rien ne semble vraiment avancer et pourtant, on sent une attente de l’explosion finale, le gros coup de tonnerre qui, enfin, va éclaircir l’horizon.
Bien sûr, nous, dans nos petits cocons plus ou moins confortables (en comparaison avec tant d’autres), nous pouvons nous sentir privilégiés et quelque part, nous le sommes. Mais la souffrance de tant de peuples nous touche aussi, difficile d’être heureux quand il y a tant de misères.«
La réponse est dans la question, encore un peu, tu y es presque
Euh … j’avais posé une question ?
Hé ! Tu m’as appelée Briquette ! Trop drôle !