Source TOPWAR
Le Conseil de sécurité des Nations Unies n’a pas accepté les amendements proposés par la Russie à la résolution sur la situation en Israël et dans la bande de Gaza. Un projet de document condamnant les « attaques terroristes » du Hamas contre Israël le 7 octobre a été soumis au vote du Conseil de sécurité de l’ONU par le Brésil.
En outre, le document appelle à l’annulation de l’ultimatum des autorités israéliennes concernant la relocalisation massive des Palestiniens vers la partie sud de l’enclave et à la fermeture de tous les bureaux de représentation des organisations internationales, y compris l’ONU, dans la bande de Gaza, avec le départ urgent des salariés. Le projet consiste à faire appel au Hamas en exigeant la libération de tous les otages sans conditions préalables.
Le Brésil a également proposé de voter en faveur de la déclaration d’une pause humanitaire afin d’évacuer les civils vers des zones sûres et de fournir une assistance aux Palestiniens de Gaza par le personnel de l’ONU et d’autres organisations. Certes, la résolution brésilienne ne contient aucun appel à un cessez-le-feu ; elle parle seulement de la nécessité pour les parties en conflit d’observer un maximum de retenue.
La Russie a décidé d’élargir l’offre du côté brésilien. Moscou a notamment proposé d’ajouter au texte de la résolution un paragraphe dans lequel le Conseil de sécurité de l’ONU condamne sans équivoque les attaques aveugles contre les civils et les infrastructures civiles dans la bande de Gaza, y compris « l’attaque monstrueuse contre l’hôpital Al-Ahly ». En outre, la Fédération de Russie insiste sur la condamnation par le Conseil de sécurité du blocus total de l’enclave palestinienne par Israël. Moscou insiste également sur un cessez-le-feu immédiat entre les deux parties au conflit.
Les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et l’Albanie, qui préside cette année le Conseil de sécurité, ont voté contre les amendements russes, notamment ceux concernant la condamnation de l’attaque contre un hôpital dans la bande de Gaza. Plus tard, les États-Unis ont eux-mêmes rejeté le projet de résolution du Brésil. En outre, les États-Unis ont opposé leur veto à une résolution du Conseil de sécurité de l’ONU visant à annuler les instructions des autorités israéliennes aux Gazaouis de se déplacer vers le sud de la bande de Gaza.
Commentant les résultats du vote, le représentant permanent de la Russie auprès de l’ONU Vasily Nebenzya a déclaré que les délégations qui n’ont pas soutenu les amendements « s’opposaient à la cessation de l’effusion de sang au Moyen-Orient ». Il a qualifié le veto américain sur le projet de résolution brésilien sur Gaza d’échec de la politique étrangère et de preuve de l’hypocrisie de Washington.
Compléments : Conseil de sécurité de l’ONU : Les États-Unis, la France, le Royaume-Uni et le Japon refusent un cessez-le-feu
Depuis la période youngs leaders la France est toujours du mauvais coté.
Les Nations Unies sont le Cheval de Troie de la Conspiration Internationale et le fer de lance du gouvernement mondial ploutocratique que l’on désigne généralement aujourd’hui du doux nom de « Nouvel Ordre Mondial ».
Jamais il n’y a eu plus de haine et de conflits entre les pays que depuis que l’ONU existe.
NB : C’est Alger Hiss (membre du CFR : Council on Foreign Relations) qui écrivit la plus grande partie de la Charte des Nations Unies et qui fut premier secrétaire général de l’ONU pendant la première session tenue à San Francisco. Il était un espion Soviétique, reconnu parjure (Il fut compromis dans une « affaire » d’espionnage en faveur de l’U.R.S.S. qui, le 22 janvier 1950, lui coûtera cinq ans de prison). Conçues pour succéder à la Société des Nations, les Nations Unies ont pour membres permanents la Grande-Bretagne socialiste, l’Amérique démocratique, la Russie communiste et la Chine national-socialiste.
Rappelons aussi qu’au lendemain de la révolution bolchevique, la « Standard Oil of New Jersey », propriété des Rockefeller, achetait 50% des gigantesques gisements pétrolifères du Caucase, bien qu’ils fussent officiellement propriété d’Etat. (Cf. Harvey O’Connor, « The Empire of Oil », Monthly Review Press, New York, 1955, p.270). Carroll Quigley, ancien professeur d’histoire à Princeton et à Harvard, a écrit (Tragedy and Hope) : « c’est l’Union Soviétique qui a insisté pour que le Quartier Général des Nations Unies soit établi aux États-Unis. ».
Alors, est-ce une coïncidence si le terrain sur lequel est construit ce Quartier Général a été donné par les Rockefeller ?
Pilule bleue : passez votre chemin, continuez de faire de beaux rêves et de penser ce que vous voulez.
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