Par [Auteur inconnu]
Besoin de laisser une trace écrite de tout ce que je ressens, la suspension du pass approchant…
Je n’oublie pas…
La date du 12 juillet 2021 qui a marqué ma vie à jamais, qui a détruit ma confiance en mon pays, ma confiance en la démocratie.
Je n’oublie pas que la devise de la France « liberté égalité fraternité » s’est transformée en « quoi qu’il en coûte » oui, quoi qu’il en coûte des dégâts collatéraux…
Je n’oublie pas que la fin aura justifié tous les moyens, même les plus ignobles.
Je n’oublie pas que la « liberté » est devenue « condition »,
que « l’égalité » a disparu pour laisser place à la « discrimination »,
que la « fraternité » a volé en éclat et est devenue « division ».
Je n’oublie pas la fracture du peuple, les discussions houleuses, les amitiés brisées…
Je n’oublie pas les victimes du covid, je n’oublie pas non plus les victimes collatérales de certaines mesures : les suicides, les faillites, les enfants à qui on a volé l’insouciance et qu’on a culpabilisé les citoyens vaccinés sous la contrainte, dès 12 ans, contre leur volonté profonde.
Je n’oublie pas ma cousine, dans son centre de rééducation depuis 7 mois qui se bat pour tout réapprendre suite à sa deuxième injection Pfizer. J’espère la justice pour elle et les autres victimes des injections expérimentales qui sont trop nombreuses et qui sont les oubliées de cette crise, réduites au silence.
Je n’oublie pas les personnes âgées mortes de solitude pendant les confinements, enfermées pour certaines dans leur chambre en EPADH, les obsèques en comité restreint, l’impossibilité des proches de dire adieu à un défunt
Je n’oublie pas les soignants suspendus SANS SALAIRES depuis le 15 septembre 2021, avec la complicité des syndicats et des institutions, à qui on a même retiré le droit de démissionner, qu’on refuse de licencier, laissés SANS RESSOURCE, dans le mépris le plus total et l’indifférence générale, alors même qu’on les applaudissait tous les soirs pendant la première vague.
Ils sont 15 000 soignants et 5000 pompiers. En pleine crise sanitaire, comment accepter de se passer d’eux quand des soignants vaccinés positifs au covid, eux, peuvent exercer ?
Je n’oublie pas le masque sur le visage de mes enfants, 10 heures par jour, en intérieur comme en extérieur, y compris en cours de sport, dans l’indifférence des adultes, au mépris de leur santé mentale et de leur bien-être.
Je n’oublie pas les réprimandes subies par mon fils au collège, les mots dans le cahier de liaison, la punition qu’il a reçue pour avoir osé baisser son masque en classe pour respirer convenablement, le devoir de 3 pages qu’il a dû remplir pour démontrer « les bienfaits du port du masque » et la culpabilisation induite dans ce travail de vouloir contaminer ses petits camarades. Depuis, il ne baisse plus jamais son masque par peur de sanctions. Il est rentré dans le moule, il a abdiqué. Je ne peux pas m’en réjouir.
Je n’oublie pas la complicité des enseignants, des directeurs d’école, des institutions au détriment de l’intérêt supérieur de l’enfant. Non, respirer 10 heures par jour dans un masque n’est pas normal et n’a jamais empêché un virus de circuler, virus qui ne concerne d’ailleurs pas nos enfants…
Je n’oublie pas d’avoir été interdite d’accompagner mon fils à ses matchs de foot, même en extérieur, d’avoir été interdite de l’accompagner au guichet du cinéma pour acheter sa place pour qu’il profite d’un film avec un copain. Je n’oublie pas l’humiliation ressentie ce jour-là d’avoir dû rester dehors et veiller à ce qu’il achète bien son billet à travers la vitre.
Je n’oublie pas les médecins, soignants qui ont bafoué leur serment d’Hippocrate en Hypocrite en conditionnant l’accès aux soins, les refus d’opérer ou de prendre en charge des patients non injectés, la maltraitance physique et verbale (vécue par un proche avant une intervention chirurgicale, parce que non vacciné).
Je n’oublie pas que les riches se sont enrichis, les pauvres appauvris, les profits des labos, la corruption des États, les conflits d’intérêts, la censure des discours scientifiques contraires à la parole officielle, les traitements efficaces interdits encore aujourd’hui.
Je n’oublie pas la pression sociale, le mépris que j’ai ressenti, les regards accusateurs, les phrases assassines. Je n’oublie pas d’avoir été considérée comme une sous-citoyenne, irresponsable, égoïste et inconsciente, d’avoir été désignée comme une ennemie, un danger.
Je n’oublie pas qu’on m’a culpabilisée de réfléchir par moi-même, de douter, d’exercer mon libre arbitre et de faire appel à mon sens critique.
Je n’oublie pas d’avoir été traitée de complotiste.
Je n’oublie pas le pass sanitaire, le pass vaccinal, de constater avec désolation l’acceptation de la majorité, comme hypnotisée. Je n’oublie pas d’avoir été, moi et mes enfants, empêchés de vivre normalement, d’avoir été mis à l’isolement social.
Je n’oublie pas d’avoir été insultée par le président : « les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder… Et donc, on va continuer de le faire, jusqu’au bout » « Un irresponsable n’est plus un citoyen ».
Je n’oublie pas la guerre psychologique faite dans les médias, la manipulation par la peur, les propos honteux, les insultes de médecins, philosophes, politiques, journalistes, célébrités, dont voici quelques exemples : « il faut confiner les non -vaccinés », « les non -vaccinés ont du sang sur les mains », « faut-il soigner les non-vaccinés ? », « vu le nombre de gens qui se sont fait vacciner, même si on doit tous crever, je préfère, plutôt que de rester sur terre avec les pauvres connards qui ne se sont pas fait vacciner », « dites à vos amis non vaccinés qu’ils commencent à nous saouler ».
Je n’oublie pas que plus rien ne sera jamais comme avant, que la société est abimée, que je suis abimée, que ça m’a profondément changée.
Je n’oublie pas que le QR code a laissé place au bon sens et fera partie de nos vies. Une nouvelle vague, un nouveau virus, une guerre, une crise écologique… justifiera son retour.
Enfin, et je veux garder surtout ça au fond de moi : je n’oublie pas les manifestations dans la joie et la bonne humeur, les nouvelles amitiés, les valeurs partagées, le convoi de la liberté, les associations, la solidarité, les groupes d’entraide et tous les résistants ❤️.
Auteur inconnu
Si tout le monde s’était levé dés le début de la pandémie, tout ça n’aurait pas eu lieu mais ils ont choisi d’écouter les médias, les poli-tiques qui ne sont pas scientifiques, ni médecins et alors que leur rôle est de diriger un pays et de laisser les décisions aux médecins, aux spécialistes de prescrire mais ils se sont fait avoir, soumis, qu’ils ne viennent pas le reprocher aux autres.
Pour ma pars je n’ai pas été impacté par tout ça, je fais partie de ceux qui ont résisté à tout ça, aux masques, aux vaxxins, aux pass, aux regards accusateurs, aux phrases assassines, ils peuvent bien dire ce qu’ils veulent, ils peuvent bien proférer tous les mensonges qu’ils veulent et continuer de se voiler la face, d’accuser le monde entier de leur paresser de penser, ils ne sont en colère que contre eux de s’être fait avoir, et moi j’ai la conscience pour moi et l’avenir nous le dira.
Personne n’a à nous dire ce qu’on doit faire de notre vie et de notre corps, personne ! nous sommes seul maitre et seul juge, la responsabilité incombe à ceux qui ont abandonner leur mission d’âme pour être dans leur sous-mission. Ils est temps que l’homme grandisse et reprenne sa souveraineté, qu’il soit digne de l’être divin, libre et spirituel qu’il est. Chacun est responsable de ça aujourd’hui et celui qui ne le fait pas, n’a plus aucune excuse !
Idem.
Je n’oublie pas que j’ai mené un combat contre l’ennemi et que moi et mes enfants avons gagné la première bataille.
Personne ne nous a masqué, contraint à la piquouse, aux masque 10h pour les gosses etc… Ceux qui s’en souviennent sont ceux qui ont cédé.
Mais par contre je n’oublie pas les parents qui ont laissé leurs gosses se faire maltraiter. Qui les ont piquousé.
Je n’oublie pas les enfants ignobles qui laissent leurs parents mourir dans des ephad qui coûtent la peau du cul.
J’oublie pas les collabos qui aujourd’hui viennent nous chanter qu’ils ont resisté.
Mais ça je le vois depuis toujours, l’abandon, la soumission à la piquouse, les ephad mouroirs etc…
La dictature est là depuis trop longtemps mais les conformistes de premières heures n’ont jamais eu à subir le courroux du système parce qu’ils décidaient par eux-mêmes.
Chez moi aussi. Mon père a été d’abors résistant, puis il s’est engagé avec Leclerc jusqu’à la fin. Je suppose que je tiens de lui.
Mais il faut comprendre. Dans notre pays il y a plus de 75% des gens qui croient ce que raconte la télé.
Moi j’ai arrêté et jeté ma télé lors de la Guerre du Golfe, parce que toutes les informations étaient déjà trafiquées. Et puis je ne me sentait pas l’âme d’un voyeur, comme tous ces gens qui se repaissaient de la vision de cadavres irakiens. Comme ceux qui créent des bouchons pour « voir » lorsqu’il y a un accident routier.
Notre pays est pourri par la dégradation de notre système d’éducation. Les gens ne sont plus capables de réfléchir, ils réagissent instinctivement aux images. Pourtant on pourrait les éduquer beaucoup mieux, comme ça se faisait avant-guerre, comme le font aussi d’autres pays (la Russie par exemple !). Mais en France le rôle de l’EN a été modifié, car nos industriels n’ont pas besoin de gens intelligents, ils veulent des robots prêts à consommer…
Madame
N’oublie pas Que les 3 p’tits points de suspension c’est plus qu’ils n’en Faux .
parait que l’on danse à Versailles .. pensez vous Que l’on puisse s’y Introduire ?
Merci pour ce texte, si beau. Je me souviens en avoir écrit un également, en tant que soignante, il y a peu de temps. Je me retrouve dans cet écrit, je me revois le 12 juillet, sentant une fissure en moi qui n’a fait que grandir.
C’est tellement bien dit, c’est tellement vrai. Que dire, qu’attendre? Je partage pleinement tous ces mots/maux.