Il y a des terres partout nous disait Sylvain Rochex dans cet article, c’est sûrement vrai mais, les meilleures sont vampirisées par les grosses exploitations agricoles, de par la facilité (complicité) qui leur est donnée de s’agrandir toujours plus. On ne sera pas étonnés que ces exploitations soient très demandeuses, vu leur système d’agriculture intensive et chimique dévastateur qui tue les terres, il leur en faut toujours davantage. Le notaire qui a déclaré les terres « libres » malgré les preuves ne devrait-il pas être sanctionné ? Comment lutter contre ces géants ? C’est le combat de Bastien que nous raconte BastaMag, en souhaitant que la solidarité lui permette de récupérer ses terres. Partagez ! Volti
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Par Sophie Chapelle pour BastaMag
L’histoire de Bastien résonne comme un symbole : agriculteur depuis quinze ans dans le Finistère, il y a patiemment développé une agriculture bio, diversifiée, ancrée localement. Mais à cause d’un problème foncier, ses terres ont été rachetées par de grosses exploitations agricoles, dont l’une possède déjà plus de 1000 hectares ! Sur place, un mouvement de soutien s’organise. Un nouveau combat de David contre Goliath.
« Cela met en péril tout ce que j’ai réalisé depuis quinze ans. » Bastien Moysan est « pêcheur-paysan » à Doualas, une commune de 1800 habitants dans le Finistère. Il a repris, il y a quinze ans, la ferme familiale du Guerniec, qui donne sur la baie de Daoulas, dans la rade de Brest. Il commence par ramasser huîtres et palourdes : « Je n’avais pas beaucoup de moyens et je me suis d’abord installé comme pêcheur à pieds. » Puis il défriche peu à peu ses terres et développe une ferme en polyculture-élevage. Préoccupé par le maintien de la biodiversité, Bastien élève des races locales de vaches, comme la canadienne et la bretonne Pie-noir, ainsi que des porcs blancs de l’ouest, une race rustique de cochon qui a bien failli disparaitre parce qu’inadaptée à l’élevage industriel [1]. Pour les céréales, il fait de même, avec des variétés anciennes de seigle, d’avoine et de blé (voir la vidéo). C’était sans compter des spéculateurs fonciers, en embuscade pour récupérer des terres.
En conflit avec sa famille, Bastien est resté sans bail durant toutes ces années. Il y a quelques mois, le pêcheur paysan décide d’acheter les terres qu’il occupe pour clarifier sa situation. Une procédure judiciaire est lancée. Bastien Moysan a de multiples preuves de son activité de paysan : il est affilié à la Mutualité sociale agricole (MSA), a une inscription administrative à la PAC (Politique agricole commune), a la preuve de sa conversion en bio et une demande d’autorisation d’exploiter. Mais le notaire considère les terres comme « libres » et procède, en mai 2019, à la mise en vente de 30 hectares pour 40 000 euros aux enchères publiques. « Je me suis rendu à la vente aux enchères sans trop me faire de souci », raconte-t-il. « Mes voisins qui sont agriculteurs et que je connais, m’avaient dit qu’ils ne se positionneraient pas pour acheter mes terrains. » Cependant, les représentants d’autres exploitations agricoles des alentours se rendent à la vente et enchérissent trois fois le prix de base. Deux d’entre elles remportent la mise, récupérant chacune un lot de terres.
« Bastien fait face à un groupement agricole mangeur de terres »
L’affaire suscite localement un grand émoi. Car les deux exploitations agricoles en question possèdent déjà plusieurs centaines d’hectares chacune, l’une d’elle exploitant même plus de 1000 hectares ! « Cette histoire, c’est celle de David contre Goliath », souligne Jules Hermelin, chercheur en sciences sociales et soutien local. « Bastien fait face à un groupement agricole mangeur de terres. Tout cela est rendu possible par un système qui offre des facilités aux grandes fermes pour s’agrandir [2]. » En France, l’accaparement de terres relève d’abord de grandes exploitations qui monopolisent le marché foncier en s’engouffrant dans des failles juridiques (notre enquête). Elles s’agrandissent progressivement en rachetant des parts dans des fermes en difficulté ou dont l’exploitant est proche de la retraite, ce qui leur évite le contrôle des structures.
« Pour eux c’est un investissement minime, alors que pour nous c’est la vie d’un paysan et de sa famille qui est en jeu », dénonce le comité de soutien qui s’est constitué autour de Bastien et a lancé une pétition ayant déjà recueilli plus de 75 000 signatures. « Ces spéculateurs fonciers interdisent à des personnes comme Bastien, plus soucieuses de bien faire leur travail que de faire du profit, d’exercer leur métier », appuient plusieurs organisations dans une lettre commune [3]. Sur les 22 hectares de surface agricole utile cultivés par Bastien Moysan, 15 hectares lui échapperaient, dont les terres les plus proches de sa ferme.
« Ils tuent la terre et ont régulièrement besoin de terres neuves » …/…
« C’est fou qu’on nous empêche de développer une autre agriculture ! » …/….
Lire l’article complet et voir les liens
Source BastaMag
Sur le sujet :
Quelle agriculture pour demain ?
Le mouvement des Coquelicots, un « lobby heureux » pour un monde débarrassé des pesticides
Des communes tentent d’interdire localement des pesticides, malgré l’opposition de l’Etat
»
– Là, vous touchez l’une des causes de la disparition de la petite paysannerie française…depuis les années 60.
– Le syndrome de Mr frime en pick-up :
« Toujours plus grand, toujours plus gros, toujours plus de fric ».
…Sans oubliez, le plus gros tracteur accouplé à la plus belle remorque, de bientôt 40 tonnes.
– Savez vous, que si pour nous automobilistes, la vitesse maxi sur route à diminuée à 80 km/h.
Pour tous les engins agricoles et forestiers, l’Europe l’augmente à plus de 60 km/h*.
Et savez-vous que ces monstres d’engins peuvent être conduits légalement (sur route ouverte),par des gosses de 16 ans, ou par des gus sans permis et sans aucune qualification préalable**.
*) https://www.terre-net.fr/materiel-agricole/tracteur-quad/article/tracteurs-a-plus-de-60-km-h-ca-va-decoiffer-207-128250.html
**) https://www.terre-net.fr/observatoire-technique-culturale/reglementation-social-juridique-fiscal/article/conduite-d-engins-agricoles-les-regles-ont-change-220-114045.html
Sécurité sécurité…mon cul!
je ne vois pas le rapport avec le sujet
Moi si.
Le gars de l’article qui fait du bio, tu crois que lui il coure après le gros tracteur qui va plus vite, avec son gros arbre de transmission….plus gros que celui du voisin ?
…C’est l’état d’esprit que je dénonçais.
Les faits sont tristes, mais légalement, c’est correct. C’est toujours le plus pauvre qui se fait léser…
Et l’Etat se fout bien de savoir qu’un paysan veut bien faire, il est pour le commerce et le capitalisme. C’est le NOM ! « Et nul ne pourra y échapper », a dit le petit nain !
il n y a qu une question qui me vient à l esprit ,et dont on a du volontaire évité le sujet ……,est ce que le paysan en place est à jour des locations qu il doit sur sur le bien familial ?
de toutes façons avant d accuser le propriétaire du plus gros tracteur du village ,il faut bien savoir que le premier responsable du bordel ambiant c est le vendeur ,qui en général veut profiter de l occasion pour régler quelques différents avec la famille ou les voisins ,pour bien les faire » chier »….et de ces imbéciles de vendeurs j en rencontre réguliérement …..
C’est pas faux, …aussi.
» vu leur système d’agriculture intensive et chimique dévastateur qui tue les terres »ah tu en es encore là ,volti
il est prévu une hausse de 8,5 %,en france, de la production de blé 2019 par rapport à 2018 , pour des terres mortes c est pas si mal que ça ….à force de rabâcher toujours les mêmes inepties ,je me demande si ça ne serait pas plutôt la connerie qui tue
Les terres sont mortes. Si le blé pousse c’est à coup d’engrais. Tu devrais te faire expliquer la vie du sol par Claude bourguignon (ingénieur agronome sans langue de bois) …
M.G.
oh tu sais moins les gourous c est pas mon truc ,on s habitue vite à la fin du monde programmé ici tout les quinze jours …..ça fait sensation chez les moutons de bergerie ,mais faut voir sur place ce qu il en est vraiment, de cette terre morte ,j ai tout de même une vague expérience dans ce domaine …..
T’as de l’expérience pour tuer la terre et tu penses que ça impressionne.
Ce qui m’impressionnerais c’est que tu saches ce qu’est une terre vivante et que tu sois capable de la conserver ainsi en l’exploitant.
Un agronome qui ne mange pas dans la main de l’industrie mais dénonce les aberrations c’est un gourou/danger pour toi ?
je n ai aucune intention d impressionner
à part vous appuyer sur les propos d un gourou vous n argumentez strictement rien ….
on m avez baratiné sur le pâturage dynamique basé sur l expérience que quelques uns avaient ramené de NZ ,bien obligé de constaté qu en période de sécheresse ,chez ces gens la le silo de maîs est la principale source d alimentation de leurs vls laitières et pas du maïs bio ….comme chez les producteurs qui ont toujours conduit leurs troupeaux en méthode traditionnelle , rotation sur paddock avec pâturage sur plusieurs jours, ou avancée au fils électrique ….
Bourguignon n’est pas le seul à dénoncer les pratiques sauvages/destructrices de l’agriculture industrielle.
Ses propos/arguments sont inattaquables et c’est pour cette raison que tu évites de les confronter et essaies de le décrédibiliser avec ton étiquette de « gourou ».
c est le paradoxe des pays occidentaux de gaspiller la bouffe,dont nous disposons à volonté et de dire que notre systhéme n est pas bon
les pays où les gens mourraient de faim à l époque des trente glorieuses pour l agriculture française ,étaient des pays dont l utilisation de pesticides était anecdotique
Vu le degré de la tienne, tu risque de mourir avant moi, tu n’as encore rien compris à la culture du blé ou autre..tu ne connais pas les quantités de pesticides qu’emploient les « exploitants » agricole ? Oui ils tuent les terres, pour produire toujours plus. Ils ne connaissent pas l’assolement, la rotation des cultures etc… Les analyses du pain, montrent des résidus de pesticides..
ça doit être en gros là la limite de tes connaissances ,glanées sur les cites à sensations fortes sur le net …c est d ailleurs pour ça que je pense que le ceta et le mercosur sont une bonne chose pour les petits français détracteurs de l agriculture française ….quand je lis alaska qui croit dur comme faire à la qualité des produits made in belgique je me marre …..pourquoi des produits phytosanitaire interdits en france sont utilisés en belgique???voir aussi en france illégalement
https://www.lopinion.fr/edition/economie/concurrence-deloyale-a-frontiere-franco-belge-on-se-frite-patates-180862
Prédateur,
Non mais, faudrait pas prendre tous les M.E pour des lapins de six semaines !
http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/pdf/2019_097inforapgdescultures.pdf
…Le titre était sûrement trop long, alors t’as zapper la fin.
– C’est ça ?
De plus,
Le graphique « blé tendre » indique que le rendement(courbe bleu) 2019 est sensiblement dans la moyenne des 20 dernières années.
bin mon lapin , il y a des moments faut chercher les explications ….c est vrai que c est plus facile de parler de terre morte que de se renseigner à bon escient ….alors au lieu de faire de l agribashing je vais t apporter quelques explications en guise de carotte
Agreste, le service statistique du ministère de l’agriculture, a publié le 9 juillet dernier 2019, ses estimations de rendements et de surfaces en colza mises à jour la récolte 2019. Ces chiffres sont basés sur des données du 1er juillet 2019.
Pour cette campagne 2019, la production de colza pourrait s’établir à 3,6 Mt, soit un recul de 26,9 % sur un an et de 28,4 % par rapport à la moyenne quinquennale 2014-2018. « C’est le plus bas niveau depuis 2003 », note Agreste. Cela s’explique par une baisse du rendement national de 1,6 % (30,3 q/ha) et surtout par la chute des surfaces : – 25,7 % sur un an. « Les conditions météorologiques (gel et sécheresse) ainsi que les attaques d’insectes ont conduit à d’importants retournements de champs de colza ».
c est ballot en forçant sur les pesticides ils auraient pu sauver quelques quintaux
Tu ne sais pas ce qu’est une terre vivante.
Sais-tu à quel point les aliments perdent de leur nutritivité quand ils sont forcés à pousser sur une terre morte ?
T’as beau produire plus, si ça prend 3 à 7 fois plus de légumes/grains/fruits (toxiques) pour atteindre le même niveau nutritionnel que les aliments (sains) que nos ancêtres produisaient, quel est l’intérêt ?
($?)
je crois que tu devrais envisager de faire un stage dans une ferme expérimentale dans ma région ,ça t éviterait de balancer les clichés habituels recassés à longueur de post ,tu verrais surement que la technologie et la génétique ont bien fait évoluer les choses ……
T’aurais pu répondre facilement sur ce qu’est une terre vivante mais t’as esquiver.
Donc j’en conclu que tu ignores la réponse.
Une ferme expérimentale ce n’est pas ce qui se pratique en général. (Encore une esquive).
c est plutôt votre définition d une terre morte qui serait interessante à connaître ….quand il se fait des recherches actuellement sur la quantité de vers de terres en culture conventionnelle par rapport à l agriculture de conservation on s aperçoie qu il y a peu de différence ,suite à la disparition de certains pesticides à une époque trés toxiques ….
le secret ,si secret il y a c est d avoir un bon équilibre avec un ph neutre 7,humus , apport azoté dans la plupart des cultures
T’as déjà vu de l’humus toi sur des terres de cultures conventionnelles labourées ? Sais-tu au moins ce qu’est la couche d’humus et comment elle se forme ? Va faire un tour en forêt et tu comprendras de quoi il s’agit.
Quant aux vers de terre, il n’y a pas que ça dans une terre vivante. Explique-moi par exemple où sont les Mycorhize dans ta terre labourée et traitée aux produits chimiques.
Pour répondre simplement à ta question : une terre morte, c’est une terre dépourvue de vie qui ne se suffit plus à elle-même pour nourrir un plant. C’est un substrat devenu dépendant des intrants pour nourrir les plants.
M.G.
oui oui c est ça …..je te remets un lien trés instructif pour les gens comme toi https://www.sciencesetavenir.fr/videos/a-new-york-les-salades-high-tech-des-fermes-verticales_mfsszl
et pi faut pas me raconter des salades je vois quelques parcelles de prairie qui n ont pas vu d animaux n y de fertilisant depuis au moins dix ans ,il n y pousse pas grand chose , quand je les traversais en voiture à la mi juin un nuage de poussière se soulevait chose qui ne se produisait pas en
lisière de la fôret ,partie qui reçoit à l automne les feuilles qui venaient se composter sur les premiers mètres des dites parcelles, d ailleurs l herbe y est plus drue et de meilleure qualité
pour la partie humus,azote ( le labour et l humus ce n est pas un antagonisme) comme j ai l impression que tu n y piges que dalle je te mets un exemple …..le jardin c est bien mais l agriculture c est un métier à priori pas à ta portée ….rassure toi en jardinage j y connais rien
https://www.terre-net.fr/observatoire-technique-culturale/strategie-technique-culturale/article/ajuster-la-dose-d-engrais-azote-a-la-parcelle-217-137556.html
Libre à toi de croire les doctrines de l’agro-business. Je te le dis tout net : ce sont des menteurs qui basent leurs mensonges uniquement sur la rentabilité financière, sans se préoccuper de l’état des sols qu’ils laisseront aux générations futures.
Si tu veux poursuivre cette conversation, commence par répondre honnêtement avec tes propres connaissances à ces simples questions (sans faire du copier coller Wikipédia) :
1) Qu’est-ce qui différencie les bactéries aérobies et anaérobies ?
2) Quels sont les rôles respectifs de ces 3 vers présents dans un sol vivant : épigés, endogés, anéciques ?
3) que sont les Mycorhize et quel rôle jouent-elles dans un sol ?
4) De quoi se compose principalement l’humus (formé en aérobie) ?
5) Techniquement parlant, pourquoi ne peut-il y avoir formation d’humus sur la plupart des parcelles exploitées en conventionnel ?
Après ça on pourra parler sérieusement de sols vivants versus sols morts …
M.G.
« Libre à toi de croire les doctrines de l’agro-business. Je te le dis tout net : ce sont des menteurs qui basent leurs mensonges uniquement sur la rentabilité financière, sans se préoccuper de l’état des sols qu’ils laisseront aux générations futures. »
ça n engage que toi … il suffit de faire des analyses de sol pour savoir si humus il y a ou pas ,pas besoin de tergiverser sur agro business et évitons le fameux » que va ton laisser à nos enfants ??? »
on va leurs acheter le dernier i phone à la mode ,ça les occupera quelques temps ….et ça nous permettra de nous faire absoudre de nos pêchés
pour ton interrogation écrite, révise déjà les bases que tu sembles occulter ,tel que le labour et l humus qui sont associable s ….
et comme le dit le proverbe ,c est au pieds du mur que l on voit le maçon …pas dans une pseudo connaissance pompée sur le net ,d ailleurs je suis loin de penser que ceux sont les agris les plus instruits les plus compétents ,ça doit être valable dans d autres professions …..
Tu bottes en touche, j’en étais sûr.
J’arrête de perdre mon temps.
M.G.
je te cite mouton gâteux « T’as déjà vu de l’humus toi sur des terres de cultures conventionnelles labourées ? »
il n y a rien à t expliquer n y à te répondre , tout est dit dans ta réponse sur l étendue du bourrage de crâne que tu (ou vous ) voulez inculquer à vos lecteurs …une contre vérité ,comme base à votre raisonnement ,aprés tu peux toujours essayer de jongler sur la forme ça ne fera pas de toi un érudit en agriculture …..il est certain que tu perds ton temps avec moi , je ne rentrerai pas dans ton jeu de dupe
« Quand on veut pas et b’hein, on veut pas! »
Ti parles de la production de blé.
j’ti réponds que chti mens par ommission.
…Alors ti mi parles de Colza.
…Chti prends moi pour lapineau ?
Pour ton histoire de colza, je me garderai de tout commentaire sans étude préalable.
Car oui, peut-être que nous sommes en présence de cultivateurs avares(pléonasme?).
Vilains rétrogrades cultivateurs qui n’ont pas utilisé la dose prescrite par le visiteur technico-commerciaux de la firme de pesticide.
.OU bien, les insectes sont devenus encore plus résistants que prévu.
….Et là, chapeau !!!
Comme quoi, des fois…
les insectes sont devenus résistants …..de toutes façons le colza c est une culture à éviter peu de volume produit pour bcp de pesticides, avec les années humides le problème des limaces pour la culture suivante
Je suis entièrement d’accord.
De plus, c’est une plante fortement allergène qui vous fout des particules collantes partout … y compris dans ma maison toute propre .
Ps: Un paysan ça devrait se lever le matin en regardant la météo et pas le cours du blé
…et les décisions ineptes des technocrates!
Fort dommage, car c’est un magnifique et noble métier.
Bien à toi.
C’est surtout un métier essentiel.
http://www.francesoir.fr/actualites-france/en-loire-atlantique-un-projet-de-surf-park-pres-de-locean-fait-polemique
« Nous sommes contre un projet qui consommera à la fois beaucoup d’énergie et des millions de litres d’eau par an dans un contexte de sécheresse et de restriction hydrique, qui participera à la destruction toujours plus grandissante de notre autonomie alimentaire, de la biodiversité, du climat et de la vie sociale du territoire », a déclaré le collectif Terres communes.
Un rassemblement est prévu à Saint-Père-en-Retz, samedi à 14h30.
Un truc m’échappes « Mais le notaire considère les terres comme « libres » », si j’ai bien compris les terres étaient en indivision. Mais ce tournant de l’histoire est du au notaire ou au reste de la famille ?
Si c’est le notaire, j’aimerais bien comprendre comment c’est possible.
Si quelqu’un sait expliqué je suis preneur.
faut pas trop rentrer dans les détails ,ça risque de faire moins sensationnel
J’irais voir si je trouves une législation, j’ai survolé hier mais j’ai pas trouvé.
C’est pas la safer le pare-feu ?