Tout ce qui se dit et s’écrit depuis des années, n’a eu aucune influence sur notre mode de vie et de consommation, aucun parti politique digne de ce nom, n’a osé prendre des mesures drastiques et fédérer les gens, comme si la défense de l’environnement était dévolue à un seul parti « verdoyant » de façade et incompétent, pour protéger ce qui pouvait l’être et, c’est pareil dans tous les pays. Il est impensable de s’opposer aux lobbies, qui ont les moyens de faire taire les consciences.
Le pillage de la planète continue, le consommer/jeter/remplacer a encore de beaux jours, les méthodes de culture intensives et polluantes épuisent les sols, l’élevage concentrationnaire idem. C’est la course au toujours plus, pas forcément mieux et certainement pire avec l’uniformité des produits.
Que l’on soit pour ou contre la thèse du réchauffement climatique, n’a plus aucune importance si on franchit le cap du non retour. Il est évident qu’il y a un changement, avec des épisodes météorologiques extrêmes. On constate, sans plus.Si personne ne se bouge, à commencer par les peuples, cette auto-destruction mènera à la disparition de l’humain. La planète s’en remettra, elle a encore des milliards d’années devant elle pour cela. Avoir fait autant de progrès technologiques pour en arriver là. À quoi cela sert-il d’acheter de puissantes voitures, si la vitesse est limitée à 80Km/h ? En un peu plus de 200 ans, nous avons tout saccagé et vivre à crédit n’a rien arrangé. Nos anciens faisaient des économies pour acheter l’indispensable, nous, nous faisons des crédits pour acheter souvent l’inutile.
Les animaux disparaissent en masse, les forêts dépérissent, des maladies incurables touchent de plus en plus de monde, la misère, la précarité en recrudescence planent sur tout le monde. Triste constat, qui ne fait dévier personne de ce système suicidaire, si ce n’est, quelques irréductibles conscients, souvent pris pour des « punks à chien » qui ne pourront rien changer, s’ils sont et restent isolés. On constate, sans plus.
Mammon règne en maître absolu, on pille, on tue, on écrase, on détruit, on « esclavagise », on fait des guerres en son Nom, sans nous demander notre avis et, avec notre argent. Le temps passe très vite, quel héritage sera laissé aux générations à venir ? Une énième alerte qui comme les autres, sera enterrée dans les arcanes, pour le profit de quelques uns, au détriment du bien être de tous. Pessimiste mon intro ? Le Titanic coule et l’orchestre joue de la musique, comme un dernier adieu à ceux qui avaient tout pour réussir et, ont tout gâché par égoïsme, pour l’argent ou par « jemenfoutisme ». Partagez ! Volti
***********
Auteur Christophe Magdelaine pour Notre-Planète-Info
40 ans d’alerte sur le changement climatique n’auront finalement rien changé : le scénario du pire, celui du « business as usual » s’esquisse maintenant clairement avec des conséquences qui seront irréversibles pour l’humanité. Une nouvelle étude scientifique examine les différentes rétroactions qui conduiront probablement notre planète à devenir invivable pour l’humanité.
Rien n’y fait : ni les alertes scientifiques, ni les mobilisations citoyennes, ni les messages vus des milliards de fois sur les réseaux sociaux : nos civilisations restent prisonnières d’un modèle de développement destructeur qui n’a aucun avenir tandis que la très grande majorité des citoyens en restent les esclaves, plus ou moins consentants.
Les conséquences planétaires du réchauffement climatique en cours ont maintes fois été évoquées, sans véritablement susciter de décisions responsables et sérieuses. Et pourtant, il ne s’agira pas de vivre dans un monde un peu plus chaud (certains disent même plus agréable en se croyant déjà à la plage), mais sur une planète invivable pour l’humanité ! C’est la nouvelle alerte publiée dans le journal Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS).
Cette nouvelle étude internationale s’intéresse aux boucles de rétroactions positives ou conséquences en chaîne du réchauffement de notre planète induit par nos rejets massifs et continus de gaz à effet de serre. Ainsi, les auteurs examinent 10 rétroactions naturelles qui contribuent également à accentuer le phénomène de réchauffement :
- les régions polaires voient le permafrost (ou pergélisol) fondre ;
- la banquise, les glaciers de montagne et polaires disparaissent ;
- la couverture neigeuse diminue ;
- les puits naturels de carbone (océan, sols, végétation) sont de moins en moins efficaces ;
- la plus grande forêt du monde, l’Amazonie dépérit ;
- la forêt boréale dépérit également ;
- la respiration bactérienne augmente et émet du méthane, un gaz à effet de serre ;
- les hydrates de méthane piégés dans les fonds marins fondent…
Cet ensemble de conséquences risque de provoquer l’emballement du système terrestre, un effet « domino » qui va alors devenir incontrôlable jusqu’au point de rupture qui va faire basculer la Terre dans un nouvel état. Si celui-ci sera de nouveau stable à moyen terme, il sera radicalement différent des conditions propices qui ont bénéficié à l’émancipation de nos civilisations. Les températures sur Terre devraient alors augmenter en moyenne de 4 à 5°C, par rapport aux températures de l’ère pré-industrielle et le niveau de la mer gagner de 10 à 60 mètres par rapport à aujourd’hui… Notre planète ne sera alors plus aussi accueillante pour de nombreuses espèces dont les 9,6 milliards d’humains à venir.
Ce scénario effrayant n’est pas de la science-fiction mais bien celui qui nous attend alors que nos activités ont déjà profondément modifié notre support de vie au point que l’on parle aujourd’hui d’une nouvelle ère géologique : l’Anthropocène. Rappelons que la température moyenne mondiale a déjà augmenté de près de 1°C et continue de croître de 0,17°C par décennie.
En effet, même si les émissions de dioxyde de carbone venaient à diminuer dans le cadre de l’Accord de Paris conclu en 2016 sur le climat (ce qui est improbable), il existe tout de même un risque pour que la Terre entre dans des conditions de chaleur insupportable (« Hothouse Earth' » dans le jargon scientifique). « Les lieux sur Terre deviendront inhabitables si “Hothouse Earth” devient une réalité » alerte le co-auteur Johan Rockström, ancien directeur exécutif du Stockholm Resilience Centre et co-directeur du Potsdam Institute for Climate Impact Research.
© Trajectories of the Earth System in the Anthropocene ; Will Steffen et al. – PNAS August 6, 2018 – Licence : Tous droits réservés
Cette figure illustre le chemin que peut emprunter notre planète : elle sort actuellement du cycle pluri-millénaire glaciaire / interglaciaire pour l’Anthropocène, bien plus chaud. Deux trajectoires sont alors possibles : celle d’une Terre plus chaude, mais supportable car « stabilisée » par des mesures massives et drastiques de nos sociétés ; ou celle d’une Terre qui a basculé dans un état bien trop chaud, c’est la voie que nous suivons actuellement. Notons que les systèmes dans un état très stable (en fond de vallée) ont une énergie potentielle faible et une énergie considérable est nécessaire pour les sortir de cet état stable. Les systèmes dans un état instable (sommet d’une colline) ont une énergie potentielle élevée et il ne faut qu’un peu d’énergie supplémentaire pour les pousser hors de la colline et vers une vallée où l’énergie potentielle est plus faible.
Réduire les émissions de gaz à effet de serre ne suffit pas
Maximiser les chances d’éviter une terre inhabitable implique non seulement de réduire drastiquement les émissions de gaz à effet de serre mais aussi d’améliorer ou de créer de nouveaux pièges biologiques de carbone par exemple en gérant bien mieux les forêts, la biodiversité, les sols et en optant pour une agriculture beaucoup moins polluante. Les technologies capable de capter le dioxyde de carbone de l’atmosphère devront être également utilisées, indique l’étude.
De manière critique, l’étude souligne que ces mesures doivent être soutenues par des changements sociétaux fondamentaux nécessaires pour maintenir une « Terre stabilisée » où les températures sont ~ 2 ° C plus chaudes que les températures préindustrielles.
Ce changement de paradigme devrait être de la responsabilité de tous, sans attendre un éventuel sursaut de lucidité et de courage de la part de nos élus, bien mal choisis.Références:
Steffen, W., Rockström, J., Richardson, K., Lenton, T.M., Folke, C., Liverman, D., Summerhayes, C.P., Barnosky, A.D, Cornell, S.E., Crucifix, M., Donges, J.F., Fetzer, I., Lade, S.J., Scheffer, M., Winkelmann, R., and Schellnhuber, H.J. (2018) Trajectories of the Earth System in the Anthropocene. Proceedings of the National Academy of Sciences (USA), DOI: 10.1073/pnas.1810141115
Publié par Christophe Magdelaine pour Notre-Planète-Info
Article CC BY-NC-SA (Attribution – Pas d’Utilisation Commerciale – Partage dans les Mêmes Conditions)
Voir aussi:
Pourquoi près de 90 % de la plus grande colonie de manchots royaux au monde a disparu ?
« Il est déjà trop tard » : l’espèce humaine devrait s’éteindre ce siècle
Bon, eh bien puisque nous avons déjà percuté l’iceberg, le mieux que nous ayons à faire maintenant, c’est reprendre du Champagne.
j’ai repris deux fois des moules
Enfin une bonne nouvelle.
Et comme je ne serai plus là pour voir ça, je vais aussi remonter la clim, et reprendre un verre bien frais 🙂
Bon barbecue a tous !
C’est exactement l’idée. Autant en profiter.
t’es gentille volti quand tu dits 200ans moi je dirais dans les 70 ans .
Je pense à partir du moment où tout s’est mis en marche fin 18ème. De plus, la modernité en accéléré depuis les 50 dernières années, au point où on te vend un truc super, qui a déjà son remplaçant trois mois après, avec encore plus de super machins inutiles, dont tu t’es passé jusque là, n’arrange rien. 🙁
Très exact
La technologie de la nature sera plus puissante que les autres.
Je ne crois pas dans le réchauffement mais plus à un trie et une élimination sélective des humains par la nature. Qui ne sera pas au fur et à mesure mais violente et planétaire . Il n’y a pas de point de non retour, la nature reprendra le dessus un jours, comme d’habitudes.
Nous les humains voyons les choses comme on nous les a apprise. Sans l’espace temps, 3000 ans ce n’est rien à l’echelle de la planète, je pense que d’autres civilisations sont allés beaucoup plus loin que nous et ce sont fait remettre en place, la terre, notre matrix a toujours survécu . la balance est juste trop déséquilibrée et nous arrivons dans une époque d’inversement des consciences et des comportements aussi Grace ou à cause de cette période sombre de notre petite histoire ( espace temps) .Donc c’est bien c’est mal, là n’est pas la question . La question est qu’est ce que nous faisons chaque jours, à notre échelle de ce qui nous sembles bien ou meilleur, pour donner envie aux autres de faire pareil?
Toute est une histoire de masse critique et de conscience collective. Chacun sa route, chacun son chemin, passe le message à ton voisin
https://lesmoutonsenrages.fr/2018/08/10/vos-infos-liens-news-et-autres-du-10-aout-2018/#comment-621566
Que pourrait faire un parti politique de toute façon ayant en face de lui des centaines, que dis-je des milliers d’inconscients qui ne veulent pas voir leur vie changer d’un iota ? il pourrait prendre des décisions mais qui le suivrait sinon une poignée d’individus ayant autre chose dans la tête qu’un petit pois ?
Nous allons droit dans le mur, il n’est plus qu’à quelques centimètres, la marche arrière ne fonctionne plus, c’est trop tard parce que c’est mondial et non à l’échelle d’un seul pays.
La marche arrière fonctionne toujours, elle est là, à portée de main. Sauf qu’avant de passer la marche arrière il faudrait pouvoir s’arrêter, malheureusement le constat est sans appel : les freins ont lâché …
M.G.
c’est surtout un sabotage,pour et par des traites
(en bande organisée impunis)
Pollution par le souffre:20 cargos polluent plus que toutes les autos du monde, et 60 000 naviguent pour nous livrer des produits fabriqués par les nouveaux esclaves d Asie .Le souffre en réaction avec le chlore sur l ozone contribue au réchauffement climatique contrairement a l escroquerie du réchauffement par le CO2 .L influence du soleil et des rayons cosmiques sont de loin plus importants dans le changement climatique , qui suit des cycles. Le réchauffement a commencé plusieurs centaines d’années avant l’ère industrielle.Selon Jean-Pierre Chalon, l’impact des nuages sur le bilan radiatif de la Terre est 40 fois supérieur à celui attribué aux variations des teneurs en gaz à effet de serre enregistré au cours de ces dix dernières années.
Selon les auteurs, les rayons cosmiques produisent une chaîne de réactions qui fait grandir de minuscules agglomérats d’acide sulfurique et de molécules d’eau présents naturellement dans l’atmosphère (les aérosols) jusqu’à leur permettre d’atteindre la taille nécessaire à la formation de nuages : ce processus peut aller jusqu’à augmenter la couverture nuageuse de 50%
, Une forte activité solaire entraînerait une diminution du flux des rayons cosmiques d’origine galactique, réduisant l’ionisation de l’atmosphère et entraînant une moindre formation des noyaux de condensation. La couverture nuageuse se réduirait, diminuant l’albédo de la planète provoquant ainsi son réchauffement
Lire le blog ; le pouvoir de la connaissance.
il est plus facile de tromper les gens que de les convaincre qu’ils ont été trompés
lie aussi …Le livre Des changements dans le climat de la France : histoire de ses révolutions météorologiques, du Dr Fuster, sorti en 1845,
Bonjour Faguet,
Qu’elle est ta source de l’affirmation : « 20 cargos polluent plus que toutes les autos du monde » ?
« Une forte activité solaire entraînerait …. » Oui, le problème c’est que le cycle 24 actuel est le plus faible (et le plus court) depuis 150ans même si les 4 précédents étaient assez importants. Les effets du cycle 23 doivent commencer à se tasser pratiquement 10 ans après sa fin.
http://www.solarham.net/index.htm (merveilleux site pour les amoureux du soleil)
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1364682612000417
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2090123212001002
Pourquoi nous n’avons jamais d’articles qui citent ce genre de source ? pourquoi ? pas un journaleux, pas un mouton, pas un politicard, rien ?
bonjour
le reportage complet n’est plus dispo
https://www.youtube.com/watch?v=R4TbnLZ_3yc
et on vient nous faire chier,avec le diesel et chaudière fioul,un beau foutage de gueule organisé
Documentaire diffusé hier ou avant hier sur Arte.
PS : les cargos et autre bateaux de croisières sont des usines à bruler les combustibles les plus pourris que les hommes produisent.
Il y a toujours moyens de trouver, faut allez chez les russes (sourires). Tenez le voici en intégrale, ne me dites pas merci, c’est de bon cœur (rires).
Clique sur l’image pour visionner le reportage
Orné
Donc vos sources c’est un documentaire ?? hmm comment dire…
Eaglefeather tu me déçois… le mec découvre que les cycles sont numérotés depuis leur découverte (CF. « Selon l’avant dernière nous sommes encore dans le cycle 23 et non déjà dans le 24e ») et il se permet de critiquer solarham, la meilleure source d’info sur le soleil relayant les données brutes du NOAA, SDO, ACE, EVE, etc…
Et non nous sommes bien à la fin du n°24, il n’est écrit nulle part que le n°23 se termine en 2020 puisqu’il est fini depuis 2009.
Preuve que tu n’as pas bien lu. Et tout ce que tu raconte sur la température de couleur à 5900K c’est de la foutaise… ou alors donne une source.
Les lignes copier coller de solarham que tu dénigrent sont juste une vulgarisation des données du NOAA et du SDO donc tu en fais ce que tu veux mais c’est juste ce que l’humain fait de mieux en science du soleil.
Bonjour,
Je viens de lire avec attention les références citées dans le commentaire de fp4earth et…
Selon l’avant dernière nous sommes encore dans le cycle 23 et non déjà dans le 24e et ce jusqu’en 2020 et devrions perdre minimum 1° d’ici la fin du 24e ! De plus, toujours selon cette même source il est parfaitement spécifié qu’il a été obtenu (que) pour 3 stations (déjà) je cite « … une contribution solaire de 63 à 72% » de un ! De deux et là cela vient corroborer ce dont j’ai déjà fait part, la présence d’anomalies thermiques « …Cela indique que les courants atlantiques renforcent un signal solaire. » ! Mais pas seulement eux, l’accroissement de l’activité volcanique et sismique y a sa part (voir plus bas).
– L’avant-dernière ligne est plus qu’interpellante « L’activité solaire a peut-être contribué pour 40% ou plus à l’augmentation de température du siècle dernier. » 40% ou plus !
Pour ce qui est de la première référence ben je crois qu’une remise en question s’impose pour certain puisqu’on ne peut que constater soit une méconnaissance soit de l’amateurisme et une masse incalculable d’incertitudes et de contradictions, voyez plutôt :
10 juin 19:10
Le disque visible a été débarrassé des taches solaires pendant six jours d’affilée. Il n’y a actuellement aucune chance pour les éruptions solaires remarquables sur le côté face à la terre du soleil. Des conditions calmes sont attendues dans les prochains jours.
22 juin 17:00
Les deux zones de taches solaires visibles (2713 + 2715) sont actuellement stables et resteront une menace pour les éruptions solaires mineures de classe C. L’activité géomagnétique au cours des prochains jours devrait également être calme. Restez à l’écoute de SolarHam.com pour obtenir les dernières données et images de Spaceweather.
25 juin 17:00
Bonsoir. Le trou Coronal # 04 se transforme maintenant en position face à la Terre. Un courant de vent solaire provenant de cette zone devrait atteindre la Terre avant le 27 juin et pourrait entraîner des orages géomagnétiques mineurs (G1) à de plus hautes latitudes. Plus de mises à jour dans les prochains jours. Image ci-dessous avec l’aimable autorisation de SDO / AIA.
26 juin 03:00
Observation de tempêtes géomagnétiques mineures observées
Un courant de vent solaire amélioré génère maintenant des orages géomagnétiques mineurs (G1) à de plus hautes latitudes. Les observateurs du ciel doivent être attentifs aux aurores visibles si les conditions météorologiques et les conditions de luminosité le permettent.
ALERTE: Indice K géomagnétique de 5
Seuil atteint: 2018 juin 26 0239 UTC
Période synoptique: 0000-0300 UTC
Avertissement actif: oui
Échelle NOAA: G1 – Mineure
08 juillet 18:50
Une région potentiellement active commencera à se transformer en vue de la Terre au cours des prochains jours. L’activité solaire a été bloquée à des niveaux calmes tout au long de l’année 2018, de sorte que la moindre augmentation de l’activité des torches serait la bienvenue. Plus de mises à jour dans les prochains jours. Image par SDO / AIA.
MISE À JOUR: La région potentiellement active semble maintenant être une plage améliorée à mesure qu’elle se transforme en vue. Pas de taches solaires visibles à signaler. L’activité solaire devrait se poursuivre à des niveaux inférieurs.
20 juillet 00:50
Bonsoir. L’activité solaire est très calme et devrait le rester au cours des prochains jours. Le disque visible est vide de taches solaires pendant 23 jours d’affilée. Attendez-vous à plus de la même chose pour le reste de 2018 lorsque nous traverserons la partie basse du cycle solaire actuel, mieux connu sous le nom de minimum solaire.
23juillet 11:15
On s’attend à ce qu’un trou coronal faisant face à la terre fournisse un courant de vent solaire à grande vitesse au-delà de notre planète dans les prochaines 24 à 48 heures. Des orages géomagnétiques mineurs (G1) seront possibles aux latitudes plus élevées. Les observateurs de ciel de haute latitude doivent être attentifs aux aurores visibles si la lumière et les conditions météorologiques le permettent.
04 aout 14:55
À l’exception d’une tache solaire minuscule et de courte durée, le disque visible a continué d’être sans tache, ce qui indique que le minimum solaire est sur nous. L’activité solaire devrait rester à des niveaux très calmes au cours des prochains jours.
Autre chose afin d’être le plus complet possible, la lumière solaire s’exprimant en °K (degré Kelvin) est généralement au environ de 5600 à 5800 °K, or depuis plus de 20 ans il est apparu que la blancheur solaire s’est accentuée par oscillations, allant jusqu’à près de 5900 °K durant cet été. Cette situation empirique a fait que certains ont commencé à craindre que le soleil s’orientait vers une naine blanche.
Rien jusqu’ici ne permet de le confirmer ou l’infirmer, l’état de nos connaissances de notre étoile est plus qu’insuffisant, il reste qu’une telle hausse de température de la lumière solaire en est un signe.
Mais encore, l’activité solaire peut être au minimum, il n’empêche que le flux électromagnétique qui s’en dégage est devenu plus constant, et plus seulement lors d’EMC. Et ses effets contribuent à l’augmentation non seulement de notre atmosphère, mais aussi et n’est pas pris en compte, accentue aussi l’activité interne de notre planète, accélération des mouvements de convection dans les deux manteaux et donc de ce fait entraîne une élévation de la température de la croûte terrestre. (hausse de l’activité volcanique, et de fait, sismique aussi). Quelques centièmes de degré suffisent pour faire fondre la glace par dessous (constaté par plusieurs stations scientifiques (Arctiques et Antarctiques)). Preuve en est, la température moyenne de plusieurs grottes à augmenté de 4 centième de degré de par le monde (Rapport déposé à la NOAA en juin 2018).
Inutile de mettre des commentaires quels qui soient je ne viens sur le blog que très rarement et n’y reste plus ! Bien à vous et t’embrasse très fort Voltige, congratulations à toi !
Ben oui, j’en mets un quand même: toujours aussi intéressant, Eaglefeather ! Merci.
Merci d’être passé EagleFaether et bisous à toi 🙂
Certes on a beaucoup à faire sur ce sujet de la pollution.
Mais ce n’est pas en répétant des sornettes sur le réchauffement climatique et le CO2 responsable de tout que cela changera quelque chose.
Pire, ça risque de détourner nombre de gens du sujet, constatant qu’on se moque d’eux avec ces histoires qui ne servent qu’à ajouter des taxes.
Il n’y a pas de réchauffement climatique dû à l’activité humaine, c’est une escroquerie.
Intéressez-vous plutôt aux vraies sources de pollution, vrais rejets de poussières et de produits chimiques, non traitement des ordures, plastiques qui polluent les océans, etc. … sachant que la majorité de cette pollution vient d’Asie et d’Afrique.
Eaglefeather : Merci quand même pour les renseignements en bon français et non en anglais. Ta présence et tes commentaires manquent ici ! Viens si possible un peu plus souvent.
Bonjour,
Changement climatique : les 8 apocalypses à venir
Orné
Toujours le même tissus d’âneries qu’on entend depuis plus de 20 ans, contredit par les faits et les vrais scientifiques. Et puis le NYM n’est pas vraiment un exemple d’objectivité !
Pfff…
Non mais allô, quoi…
Non mais, tu veux une patate ? (rires)
Clique sur l’image pour visionner la vidéo
Orné
Arrêtez avec le CO2 : https://lesmoutonsenrages.fr/2018/07/26/climat-de-temps-en-temps/
Exactement !
La terre se réchauffe, (ou s’est réchauffée ) mais ce n’est pas a cause le CO2 ! mais du soleil tout comme els autres planètes.
Depuis toujours le climat change, le niveau des mers change, etc etc…
Le CO2 est suiveur de la température, il n’est PAS la cause.
Mais c’est un bon moyen de faire payer une taxe carbone a tout le monde, et a quelques une se s’enrichir !!! HAHA
Qui nous a fait une campagne électorale sur le réchauffement climatique et le CO2 ?? AL GORE
Qui est a la tête du système d’échange de CO2 mondiale ? AL GORE
Qui paye la taxe carbone ? les populations
Qui n’en paye pas et reçoit des quotas de CO2 bien au dela de leurs propres émissions de CO2 et les revende du CO2 a prix d’OR ? les multinationales
Et le tout avec le consentement des populations, c’est magistral !
Ils sont très très fort !
https://www.agoravox.fr/actualites/environnement/article/al-gore-ou-comment-faire-du-fric-67611
https://www.francetvinfo.fr/replay-magazine/france-2/cash-investigation/cash-investigation-du-mardi-24-mai-2016_1454987.html
http://multinationales.org/Aubaine-pour-les-multinationales-le-marche-europeen-du-carbone-est-il
Chez nous, on a notre Jancovici…
Je crois que nous avons fini par comprendre que les activités humaines entrent très peu dans ce réchauffement. Les autres planètes se réchauffent aussi. La Terre pourrait bien basculer sur son axe, et nous vivons une période de grands dangers, à la limite extrême du déclenchement.
Bon, ceci dit…
Rien ne nous empêche d’agir à notre niveau. Mais pour cela, il nous faudrait retrouver l’Amour de notre Terre-Mère, la gratitude pour tout ce qu’elle nous offre, tout ce qu’elle fait pour nous permettre de vivre cette expérience terrestre. Si nous pouvions comprendre qu’elle est une entité à part entière, qu’elle est en pleine mutation, et que nous devons, par amour pour elle, l’accompagner, mais aussi qu’en mutant, elle nous aide aussi à grandir.
Si seulement nous pouvions ouvrir nos cœurs !!
Que la paix vous accompagne.
Franchement, la propagande « réchauffement de du fion du monde » est insupportable. Il n’y a pas un jour où les moutons enragés ne relayent pas un article sur ça….
Tu as toujours le choix de regarder autre chose. 🙂
C’est comme la propagande avec Dieu ou Asselineau. Deux personnages à ne pas confondre, même si l’un d’eux se prend pour l’autre
M.G.
https://www.causeur.fr/revision-constitutionnelle-alarmisme-climatique-153552
Une vérité qui dérange: le réchauffement climatique ralentit
L’alarmisme climatique ne doit pas être inscrit dans la Constitution
ou ça :
https://resistanceauthentique.net/2018/08/12/vers-une-nouvelle-ere-glaciaire/
Un article de Richard Heinberg, qui me semble intéressant. Je n’ai pas tout traduit. Et parfois j’ai laissé le mot « overshoot » non traduit.
http://richardheinberg.com/museletter-303-climate-change-isnt-our-biggest-environmental-problem-and-why-technology-wont-save-us
===
Notre principal problème écologique n’est pas le changement climatique.
(…)
Les bonnes nouvelles concernant le changement climatique que je peux citer (comme je l’ai fait dans un essai publié en juin) sont que les réserves de combustibles fossiles économiquement récupérables ne sont cohérentes qu’avec des scénarios de changement climatique à faibles émissions. Comme l’indiquent BP et d’autres sources crédibles pour les réserves de charbon, de pétrole et de gaz naturel, et comme de plus en plus de chercheurs le soulignent, les scénarios climatiques les plus défavorables associés aux niveaux d’émissions de carbone «business as usual» sont irréalistes.
Maintenant, les mauvaises nouvelles.
Alors que nous pourrions vivre parfaitement bien avec moins d’énergie, ce n’est pas ce que veulent les gestionnaires de notre économie. Ils veulent de la croissance. Toute notre économie est structurée de manière à exiger une croissance constante du PIB et, dans la pratique, augmenter le PIB signifie utiliser plus d’énergie. Alors que des économistes marginaux et des écologistes proposent depuis des années des moyens de se défaire de notre dépendance à la croissance (par exemple, en utilisant des indices économiques alternatifs tels que le Bonheur National Brut), aucune de ces propositions n’a été généralisée. Dans l’état actuel des choses, si la croissance faiblit, l’économie s’effondre.
Il y a aussi de mauvaises nouvelles sur le climat: même avec les niveaux actuels de gaz à effet de serre dans l’atmosphère, nous constatons des effets inacceptables et de plus en plus graves – incendies qui font rage, élévation du niveau de chaleur et fonte des calottes glaciaires. Et il y a des indices que des rétroactions autorenforcées pourraient être mises en place: un exemple est la libération de grandes quantités de méthane provenant de la décongélation de la toundra et des hydrates océaniques, ce qui pourrait entraîner un réchauffement à court terme mais abrupt.
Mais prenons du recul. Si nous sommes intéressés par les signes d’une crise mondiale imminente, il n’y a pas besoin de s’arrêter à ces deux défis mondiaux. Le monde perd 25 milliards de tonnes de terre végétale par an en raison des pratiques agricoles industrielles actuelles. Si nous ne traitons pas de cette question, la civilisation continuera de tomber, même si nous réussissons à faire notre test énergétique et climatique. L’humanité utilise aussi trop d’eau douce: les anciens aquifères sont en train de s’épuiser, tandis que d’autres sources d’eau sont polluées. Si nous ne traitons pas notre crise de l’eau, nous allons quand même droit au mur. Les espèces disparaissent mille fois plus vite qu’avant la révolution industrielle. Si nous ne traitons pas le dilemme de la biodiversité, nous allons aussi droit au mur. Il y a ensuite des problèmes sociaux et économiques qui pourraient faire s’effondrer les nations même si nous parvenons à protéger l’environnement; cette catégorie de menaces comprend les menaces de dépendance excessive à l’égard de la dette et l’accroissement des inégalités économiques.
Si nous attaquons chacun de ces problèmes au fur et à mesure avec des solutions technologiques (par exemple, la technologie de désalinisation pour résoudre la crise de l’eau ou la géo-ingénierie pour stabiliser le climat), nous risquons de provoquer des conséquences inattendues, car c’est ce que font les interventions technologiques. Quoi qu’il en soit, la probabilité d’identifier et de déployer avec succès tous les correctifs nécessaires dans le temps est infime.
De nombreux problèmes convergent à la fois parce que la société est un système complexe et les défis dont nous avons discuté sont des aspects d’une crise systémique. Une façon utile d’encadrer une compréhension intégrée du défi de la survie au XXIe siècle est la suivante: nous, humains, avons dépassé la capacité de charge à long terme de la Terre pour notre espèce. Nous avons pu le faire grâce à une subvention temporaire d’énergie bon marché et abondante provenant des combustibles fossiles, qui nous a permis d’étirer les limites de la nature et de soutenir une population globale beaucoup plus grande que ce qui aurait été possible autrement. Mais maintenant nous commençons à voir des contraintes d’approvisionnement pour ces carburants, et les effets secondaires de la combustion d’énormes quantités de charbon, de pétrole et de gaz naturel sont également en vue. Parallèlement, l’utilisation d’énergie bon marché pour développer les processus économiques extractifs et générateurs de déchets entraîne une perte de biodiversité; l’épuisement du sol, de l’eau et des minéraux; et la pollution de l’environnement. Juste décarboniser l’énergie, bien que nécessaire, ne traite pas adéquatement l’overshoot systémique. Seule une réduction de la population et de la consommation globale de ressources, ainsi qu’une réduction rapide de notre dépendance aux combustibles fossiles et une refonte des systèmes industriels, peuvent le faire.
Les inégalités économiques sont également un problème systémique. Au fur et à mesure que nous avons développé notre économie, ceux qui étaient en mesure d’investir dans l’expansion industrielle ou de prêter de l’argent à d’autres ont récolté la majorité des récompenses, tandis que ceux qui ont survécu en vendant leur temps et leur travail (ou dont l’héritage culturel a simplement appropriés par les industriels) sont à la traîne. Il n’y a pas de solution technologique pour les inégalités. Pour y faire face, il faudra revoir notre système économique et redistribuer les richesses. Ceux des pays riches devraient, en moyenne, ajuster leur niveau de vie à la baisse.
Maintenant, pouvons-nous faire tout cela sans crash? Probablement pas. En effet, de nombreux économistes considèrent que les médicaments (réduction de la population, diminution de la consommation d’énergie par habitant et redistribution économique) sont plus graves que tous les aspects de la maladie qu’ils sont prêts à reconnaître. Les défenseurs de l’environnement et des droits de l’homme seraient en désaccord. Ce qui veut dire qu’il n’y a vraiment aucun moyen de s’en sortir. Que l’on s’en tienne au statu quo ou qu’on tente une intervention à plusieurs volets, notre mode de vie «normal» est foutu.
Accepter qu’un crash soit plus ou moins inévitable est un grand pas, psychologiquement parlant. J’appelle cela une connaissance toxique: on ne peut pas « ignorer » que le système mondial actuel soit suspendu par un fil, et cette compréhension peut conduire à la dépression. À certains égards, la crise systémique à laquelle nous sommes confrontés est analogue à la crise existentielle individuelle de la vie et de la mort, que nous devons tous affronter par la suite. Certains ignorent volontairement leur propre mortalité aussi longtemps que possible; d’autres tentent de s’agripper à une croyance dans l’au-delà. D’autres encore cherchent à créer un sens et un but en faisant une différence positive dans la vie de ceux qui les entourent avec le temps dont ils disposent. De tels efforts ne modifient pas l’inévitabilité de la mort. Cependant, contribuer à sa communauté semble améliorer le bien-être de bien des façons, au-delà de la simple prolongation de la vie.
Mais est-ce qu’un crash est la même chose qu’un destin tragique?
Pas nécessairement. Notre meilleur espoir à ce stade semble être un crash contrôlé qui permette une récupération partielle à un niveau inférieur d’utilisation de la population et des ressources, et qui ne mène donc pas à l’oubli total (extinction humaine ou proche). Parmi ceux qui comprennent la nature systémique de nos problèmes, l’option d’écrasement contrôlé est le sujet de ce qui pourrait être la conversation la plus intéressante et la plus importante qui se déroule sur la planète en ce moment. Mais seules les personnes informées qui ont surmonté le déni et l’auto-illusion en font partie.
===
Je pense aussi que l’effondrement est inévitable et que la seule stratégie possible consiste à préparer la « Renaissance » (après effondrement). Tenter de bricoler cette civilisation pour qu’elle survive (ou fasse sa petite transition peinarde) est une pure perte de temps, d’argent et d’énergie (primaire). A ce sujet, j’ai trouvé beaucoup d’apaisement grâce à la formule proposée par John Michael Greer: « Collapse Now, Avoid the Rush », formule qui suggère d’acquérir maintenant les outils et les compétences nécessaires pour satisfaire les besoins de base (durant l’effondrement et après, l’accès à ces outils et compétences sera limité voire inexistant).
C’est long.