A qui appartient le monde ?

Par Peter Koenig via GlobalResearch

Que signifie « Posséder le monde » ? Est-ce que n’importe qui, même l’individu le plus riche ou l’institution la plus riche – riche défini comme beaucoup d’argent – ​​peut posséder le monde ? Cela inclurait, « posséder » la nature dans toute sa multitude infinie, les plantes, les insectes, les mammifères, toutes les mers, l’eau sous et au-dessus du sol et l’air que nous respirons – tout, arbres, herbe, fleurs, abeilles, summa-summarum, le monde.

Ce n’est pas possible. Et j’espère que ce ne sera jamais possible. Mais, comme dirait Klaus Schwab

« Nous – l’humanité – avons maintenant une occasion unique de mettre fin à l’ambition et à la volonté de quelques esprits dystopiques de poursuivre cet objectif qui, s’il est atteint, pourrait détruire la planète, notre Terre Mère. Nous devons nous unir maintenant et avec une conscience éveillée sortir de cette matrice malade jusqu’à l’os.

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Cette vidéo d’une heure fournit une image complète de qui contrôle tout ce que nous achetons, mangeons, lisons, voyageons, habillons, comment et à propos de quoi nous communiquons les uns avec les autres – et, oui, ils contrôlent également le climat.

Veuillez regarder le documentaire et le diffuser aussi loin que possible. Cliquez sur l’image ci-dessous pour regarder.

Enfin, ils contrôlent aussi notre système bancaire. Les « contrôleurs », ceux qui nous asservissent avec des menottes monétaires – inflation, taux d’intérêt, dette, crédit, monnaie numérique, contrôle des dépenses numériques – finissent par nous faire ou nous briser. Ou en un meilleur terme : ils souhaitent pouvoir nous faire ou nous défaire. Nous pouvons l’arrêter. Et nous le devons.

Pour la sécurité de la Terre Mère et pour notre propre salut.

Dans l’état actuel des choses, la majorité du monde – la nourriture que nous mangeons, les moyens de transport que nous utilisons, les informations que nous lisons – appartient aux mêmes personnes. Combinés, ils sont comme une pieuvre étendant ses tentacules autour du monde.

Leur agenda est presque sans fin, mais complet ; bien pensé depuis au moins cent ans. Ils peuvent provoquer des pandémies, provoquer des guerres, le changement climatique, provoquer des perturbations de la chaîne d’approvisionnement, des famines et des décès massifs.

Le terme « pandémie » est utilisé à la place de pandémie, afin que tous comprennent que la pandémie était planifiée.

« Ils » sont les leviers et les mains, l’Intelligence Artificielle (IA) et les outils algorithmiques de certaines sociétés financières extrêmement puissantes, dont les noms sont désormais presque familiers – BlackRock, Vanguard et State Street – sont partout. Il y en a d’autres, comme Morgan-Stanley, Bank of America, Chase, etc. Ils possèdent également une petite part du gâteau.

Black Rock et Vanguard et, dans une certaine mesure, State Street, sont entrelacés, liés par des participations mutuelles, des échanges de gestion et, par conséquent, des décisions politiques conjointes.

Leurs actifs individuels comptent comme un seul pouvoir de levier cumulé, actuellement estimé entre 20 et 25 billions de dollars américains, par rapport au PIB américain de quelque 23 billions de dollars en 2021, ou au PIB mondial de 95 billions de dollars américains équivalent (2021 statistictimes.com ). La force de levier combinée de 25 000 milliards de dollars représente au moins 1,5 fois la valeur du PIB mondial.

Ainsi, chaque pays du monde, chaque gouvernement fait ce qu’il veut. Toute exception était « neutralisée ».

C’est ce que nous vivons depuis deux ans. L’approche mondiale, généralisée et verrouillée de la gestion des covid, des mesures, des restrictions, des tests et enfin, de la tyrannie vaxxante – tout cela fait partie d’une oppression publique massive ; contrôle de 7,9 milliards de personnes.

Déplacement des actifs des 20 % inférieurs à 30 % vers les 1 % supérieurs. Selon Oxfam, les 1% du monde obtiennent 82% de la richesse mondiale.

Forbes affirme qu’en mars 2020, il y avait quelque 2075 milliardaires dans le monde. Selon Oxford, les deux tiers d’entre eux ont fait fortune grâce à l’héritage et aux monopoles.

Bill Gates à lui seul a fait passer sa fortune pré-pandémique de 96,5 milliards de dollars d’environ 33 milliards à 129 milliards en 2022 (Forbes). Augmenter sa fortune d’un tiers (34 %) pendant une pandémie qu’il a contribué à créer, qui a décimé les revenus et les moyens de subsistance de milliards de personnes et causé des dizaines de millions de morts, est tout un « exploit ». Peut-être qu’un jour ce sera mûr pour Nuremberg 2.0.

Ainsi, les puissants deviennent encore plus puissants.

Ils peuvent acheter d’immenses superficies de terres agricoles de première qualité, dictant que la production de viande est mauvaise pour l’environnement, que nous, les humains, devrions manger de la viande artificielle faite de plantes, des insectes, des légumes OGM, et laisser les riches terres agricoles à la nature et à la des oligarques, bien sûr.

A qui appartient la nouvelle production alimentaire ? Bill Gates, les Rockefeller, la Soros Open Society Foundation et les mêmes institutions financières géantes que nous avons déjà vues, opérant par le biais de petites sociétés, entreprises et banques.

Les mêmes grandes sociétés financières, BlackRock, Vanguard, Sate Street,  etc. , sont également l’épine dorsale financière du Forum économique mondial, ou WEF.

Deux mois avant que la plandémie corona n’éclate, en janvier 2020, la Fondation Bill et Melinda Gates, le WEF et le Johns Hopkins Center for Health Security ont organisé l’ Event 201, une simulation d’une plandémie de virus corona .

Par hasard, une pandémie de virus corona a éclaté au début de 2020, simultanément, dans le monde entier. Tous les gouvernements du monde ont appliqué les mêmes mesures sévères – en parallèle – verrouillages, port de masque, distanciation sociale, isolement ; un scénario déjà illustré dans le rapport Rockefeller de 2010 , en tant que chapitre I « Le scénario Lockstep ».

Des injections d’ARNm dites modificatrices de gènes, appelées à tort vaccins, ont été préparées à l’avance, mais elles n’ont été déployées qu’en décembre 2020.

Ils ont été immédiatement « approuvés en urgence » par toutes les agences sanitaires du monde. Les injections de ces vaxx ont provoqué immédiatement un grand nombre d' »effets secondaires », de blessures et de décès. Personne n’était responsable. Toutes les entreprises vaxx transféraient la responsabilité des blessures vaxx aux gouvernements, qui achetaient – ​​étaient obligés d’acheter – leurs vaxx.

Klaus Schwab, le fondateur et PDG du WEF, a déclaré à propos de l’épidémie de corona, Covid-19, qu’il s’agissait d’une opportunité historique de réinitialiser le monde – ce qui s’est traduit par le slogan qui était dans la bouche de tous les politiciens,  » nous allons reconstruire mieux ».

Enfin, Schwab affirme dans son livre, The Great Reset, que d’ici 2030, nous ne posséderons plus rien mais nous serons heureux . Cela signifie que nous, les survivants de la fin de la décennie des années 2020, vivrons dans un monde entièrement numérisé en tant que transhumains, ne possédant rien, mais pucé et contrôlé mentalement par la 5G, à croire que nous sommes heureux.

Heureuse Humanité !

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Il y a de l’espoir. Nous pouvons nous réveiller et nous détacher de cette matrice. Nous sommes nombreux. Ils sont peu nombreux.

VIDÉO DANS L’ARTICLE où https://www.kla.tv/index.php?a=showlanguage&lang=fr&id=22641&date=2022-05-27