L’Occident abandonne Julian Assange (Consortium News)

Au cas où, vous m’enverrez des oranges ? Ouais, vous avez raison, point trop n’en faut dans l’implication. Criez en silence et démerde toi Volti !!  Doucement le matin, pas trop vite l’après midi et tranquillement le soir..

Question trahison, les beaux perroquets encravatés qui dirigent où ont dirigé le pays sont en première ligne. Si vous êtes témoins de malversations, de trahisons, de magouilles, de la part de ceux qui écrivent les lois et, sont censés les faire respecter, mais, qui sont les premiers à les transgresser, vous avez le choix, DÉNONCER! Et, vous abandonnez votre liberté aux chacals que vous dénoncez, qui vont s’employer à vous démolir, vous décrédibiliser, vous serez un paria, après avoir fait œuvre utile envers la société, qui sera sourde à vos appels à l’aide comme présentement.. Où vous acceptez le système corrompu avec la lâcheté qui va avec et, tout ira bien pour vous. N’oublions pas que c’est Julien qui nous a informé de la surveillance des présidents Chirac, Sarkozy et Hollande par la NSA. Vu que les carpettes actuelles, sont toutes acquises à l’oncle Sam, même s’il y a des frictions, ce n’est pas « Macron de Rothschild » qui fera un geste envers celui qui a dévoilé la main mise US sur notre pays, avec leurs crimes de guerre et tout le reste, quant aux autres, s’il y a une « instance » éthérée au dessus (??) ils paieront en temps et en heure…..

Pour Julien Assange, il en est comme pour tous ceux qui se sont insurgés contre la corruption, les petites et grosses combines entre « amis », les crimes, il est déclaré « ennemi public numéro 1 ». L’ambassade de l’Équateur, qui a accepté de l’accueillir, se trouve devant un gros problème, dû certainement, à la pression de ceux qui ont tout intérêt à ce que Julien se taise. Nous avons tous profité de ses talents de hacker pour connaître les magouilles des Panama papers, la surveillance de « nos » chefs des tas » alors que la France a refusé d’accueillir Assange.en 2015, des crimes de guerres commis par l’Amérique. Ça ne vous concerne pas ? Demain vous pourriez bien être à sa place, abandonné, malade, persécuté par les élites qui veulent bien continuer à enfumer le monde, à le pressurer, alors que nous tous, servons de faire valoir à leurs méfaits, en cautionnant qu’un lanceur d’alerte soit persécuté. ( Manning, Assange, Snowden, il reste encore des couillus..)

Un petit coup de pouce pour Julien, pour mettre au pied du mur nos « représentants » dont on sait qu’ils représentent l’élite pourrie mais, le nombre pourrait faire la différence. Vous ne trouvez pas bizarre et, je m’adresse à ceux qui sont férus d’histoire, qu’aucun gouvernement n’ait trouvé un moyen (plus ou moins légal et discret) d’exfiltrer cet empêcheur de magouiller en rond, qui doit représenter un danger pour ceux impliqués dans « ces affaires » ?? Combien de dissidents ont été soustraits aux velléités de certains états, en catimini, sans qu’on en fasse les unes de nos « médias ».  Ils sont tous minables mais, nous le sommes et le serons encore plus, si nous ignorons cet appel à l’aide. Partagez ! Volti

*******

Source Le Grand Soir

La crucifixion de Julian Assange – Ce qui arrive à Assange devrait terrifier la presse (Truth Dig) Commençons par le chat. Qui aurait pensé qu’un de ces félins bien-aimés jouerait un rôle crucial dans l’affaire Julian Assange ? Et pourtant, voyez les derniers articles parus dans la presse. Les gros titres des médias grand public ne parlent pas d’un homme confiné dans un minuscule bâtiment au cœur de l’Europe depuis six ans sans aucune issue en vue, mais plutôt d’instructions venues de Quito lui demandant de nourrir son chat. Voilà un homme qui court le risque grave d’être arrêté par les autorités britanniques puis extradé vers les États-Unis et poursuivi pour ses publications. Un homme qui a été coupé de tout contact humain, à l’exception de ses avocats, et dont la santé se dégrade sérieusement en raison d’un confinement prolongé sans même une heure à l’air libre. Avec tout ça, n’y avait-il rien de plus important à couvrir que le chat ?

Mais il y a une histoire à raconter sur le chat d’Assange. Une des dernières fois que j’ai été autorisée à rendre visite à Julian Assange à l’ambassade de l’Equateur à Londres, avant que le gouvernement actuel de Lenin Moreno ne coupe tous ses contacts sociaux et professionnels, j’ai demandé au fondateur de WikiLeaks si son chat avait déjà essayé de s’échapper de l’ambassade puisque, contrairement à son compagnon humain, il pouvait facilement s’échapper du bâtiment sans risque d’être arrêté par Scotland Yard.

Assange n’a pas pris ma question avec la même légèreté que je l’avais posée et, au contraire, il s’est légèrement ému et m’a dit que lorsque le chat était petit, il avait effectivement tenté de s’échapper du bâtiment, mais en grandissant, il s’était tellement habitué au confinement que chaque fois qu’Assange avait essayé de donner le chat à des amis proches pour que l’animal profite de sa liberté, l’animal manifestait une peur des espaces ouverts. Le confinement a un impact profond sur le comportement et la santé de toutes les créatures, animaux comme humains.

La force

J’ai travaillé en tant que partenaire média de WikiLeaks pendant les neuf dernières années, et au cours de ces neuf années, j’ai rencontré Assange à de très nombreuses reprises, mais je ne l’ai rencontré qu’une seule fois en homme libre : c’était en septembre 2010, le jour même où la procureure suédoise a émis un mandat d’arrêt pour des allégations de viol [affaire qui avait déjà fait l’objet d’une enquête et d’un non lieu par un procureur suédois – NdT]. D’abord assigné à résidence avec un bracelet électronique autour de la cheville, il est entré à l’ambassade de l’Equateur à Londres le 19 juin 2012. Depuis, il est enfermé dans cette petite ambassade : un bâtiment déprimant, très petit, sans soleil, sans air frais, sans sorties l’air libre. Dans mon pays, l’Italie, même les chefs mafieux qui ont étranglé un enfant et dissous son cadavre dans un baril d’acide passent une heure par jour à l’extérieur. Pas Assange.

Au cours de ces huit dernières années, je n’ai jamais entendu Julian Assange se plaindre : au moins en ma présence, il a toujours réagi avec force à l’énorme stress qu’il subit et chaque fois que j’ai contacté sa mère, Christine Assange, elle n’a jamais voulu discuter de ses sentiments personnels et des préoccupations quant à l’état de santé de son fils.

Mais malgré sa force, cette situation difficile mine gravement la santé physique et mentale d’Assange. Dans un éditorial paru dans The Guardian en janvier dernier, trois médecins respectés, Sondra S. Crosby, Chris Chisholm et Sean Love, ont tenté d’attirer l’attention sur ce problème, mais rien n’a changé. Assange reste enterré à l’ambassade dans des conditions extrêmement précaires en raison de l’absence totale de coopération des autorités britanniques qui ont toujours refusé de lui garantir un passage pour bénéficier de son asile en Equateur.

Ce manque de coopération de la part des autorités britanniques – qui peut être raisonnablement interprété comme un effort délibéré pour pousser Assange au désespoir, pour le détruire, pour qu’il sorte de l’ambassade et qu’ils puissent l’arrêter – a contribué à créer cette situation inextricable, où l’Équateur a essayé de trouver une solution avec diverses options, comme accorder à Assange un statut diplomatique pour qu’il puisse quitter l’ambassade protégé par une immunité diplomatique [statut refusé par les autorités britanniques – NdT]. Mais en fin de compte, un petit pays comme l’Equateur ne peut pas faire grand-chose, et avec Lenin Moreno au pouvoir, l’intérêt de l’Equateur pour la protection d’Assange semble s’estomper au point que l’Equateur envisage de retirer à Assange sa citoyenneté équatorienne, l’un des plus importants boucliers qui protège le fondateur de Wikileaks d’une extradition vers les Etats-Unis.

L’intérêt particulier du Royaume-Uni

Ayant passé les trois dernières années à me battre dans quatre pays – la Suède, le Royaume-Uni, l’Australie et les États-Unis – pour avoir accès à toute la documentation sur l’affaire Assange et WikiLeaks, obtenue sous FOIA [Freedom Of Information Act – loi sur la liberté d’accès à l’information – NdT], j’ai obtenu quelques documents qui ne laissent aucun doute sur le rôle joué par les autorités britanniques dans la création de ce bourbier juridique et diplomatique. Pourquoi les autorités britanniques ont-elles fait cela ? Quel intérêt particulier, le cas échéant, ont-elles dans l’affaire Assange ?

J’emploie l’expression « intérêt particulier » parce que les documents révèlent que dès le début de l’affaire suédoise, les autorités britanniques ont mis en garde les procureurs suédois contre la seule stratégie d’enquête qui aurait pu aboutir à une solution rapide de l’enquête préliminaire : interroger le fondateur de WikiLeaks à Londres plutôt que de l’extrader vers Stockholm. C’est cette décision d’insister à tout prix sur l’extradition qui a conduit l’Australien à se réfugier à l’ambassade d’Équateur, en se battant bec et ongles, convaincu que s’il était extradé vers la Suède, il pourrait finir par être extradé vers les États-Unis.

Des documents révèlent que dès le début, les autorités britanniques ont qualifié l’affaire Assange d’inhabituelle. « Croyez-le, cette affaire n’est pas traitée comme une simple demande d’extradition « , ont-ils écrit le 13 janvier 2011 aux procureurs suédois. Quelques mois plus tard, un fonctionnaire britannique ajoutait : « Je crois qu’on n’a jamais rien vu de tel, que ce soit en termes de rapidité ou dans le caractère informel des procédures. Je suppose que cette affaire ne cessera d’étonner. » Quelle est donc la particularité de cette affaire ? Et pourquoi les autorités britanniques n’ont-elles pas cessé d’insister sur une extradition à tout prix ?

A un moment donné, même les procureurs suédois ont semblé exprimer des doutes quant à la stratégie juridique préconisée par leurs homologues britanniques. Les courriers électroniques que j’ai obtenus dans le cadre de la FOIA, courriers échangés entre les autorités britanniques et suédoises, montrent qu’en 2013, la Suède était prête à retirer le mandat d’arrêt européen en raison de la paralysie judiciaire et diplomatique que la demande d’extradition avait créée. Mais le Royaume-Uni n’était pas d’accord avec la levée du mandat d’arrêt : l’affaire a traîné en longueur pendant encore quatre ans, lorsque finalement le 19 mai 2017, la Suède a abandonné son enquête après que les procureurs suédois eurent interrogé Assange à Londres, comme celui-ci l’avait toujours demandé.

L’enquête suédoise est désormais close mais Assange reste confiné. Peu importe que le Groupe de travail des Nations Unies sur la détention arbitraire ait établi que le fondateur de WikiLeaks est détenu arbitrairement depuis 2010, et qu’il devrait être libéré et indemnisé. Le Royaume-Uni, qui encourage les autres Etats à respecter le droit international, se moque de la décision de cet organe des Nations Unies dont les avis sont respectés par la Cour européenne des droits de l’homme. Après avoir essayé d’en appeler de la décision de l’ONU et perdu l’appel, la Grande-Bretagne l’ignore, tout simplement. La détention arbitraire d’Assange n’est pas près de prendre fin.

Silences et soupçons

Il y a deux autres éléments troublants : le fait que les autorités britanniques ont détruit les courriels concernant l’affaire Assange, comme elles l’ont admis lors de mon litige devant le tribunal britannique, et le fait qu’elles ont toujours refusé de me fournir toute information sur d’éventuelles communications avec les autorités américaines sur l’affaire Assange, car elles soutiennent que confirmer ou nier de telles communications permettrait à Assange de savoir s’il existe ou non une demande d’extradition de la part des États-Unis.

Dans l’éventualité d’une demande d’extradition des États-Unis, les autorités britanniques veulent pouvoir extrader Julian Assange comme un criminel.

Le fait qu’un rédacteur en chef ou un éditeur puisse être extradé pour ses publications devrait déclencher des signaux d’alarme et un débat public dans nos sociétés démocratiques, mais on n’assiste à rien de tel.

La situation de Julian Assange est très précaire. Ses conditions de vie à l’ambassade sont devenues insoutenables, et ses amis parlent comme s’il n’y avait plus d’espoir : « Lorsque les États-Unis mettront la main sur Julian« , disent-ils, comme s’il était acquis que les États-Unis l’auront un jour et qu’aucun journaliste, aucun média, aucune ONG, aucune association de presse ne fera quoi que ce soit pour l’empêcher.

Depuis six ans qu’Assange languit dans l’ambassade, pas un seul grand média occidental n’a osé dire : on ne peut maintenir un individu enfermé pour une durée indéterminée. Ce traitement infligé à Julian Assange par le Royaume-Uni – et, plus généralement, par l’Occident – est non seulement inhumain, mais contre-productif.

Au cours de ces années, le média RT, financé par l’État russe, a largement couvert l’affaire Assange. Il n’est pas difficile de comprendre pourquoi la Russie est si extatique au sujet de l’affaire Assange. L’affaire fournit à la Russie la preuve qu’alors que l’Occident prêche sans cesse la liberté de la presse et le journalisme agressif, en réalité il écrase les journalistes et leurs sources qui dénoncent les crimes d’État aux plus hauts niveaux. Chelsea Manning a passé sept ans en prison, Edward Snowden a été contraint de quitter son pays et de demander l’asile à la Russie, Julian Assange a passé les six dernières années confiné dans un minuscule bâtiment et avec une santé qui se détériore gravement.
Il est temps d’arrêter cette persécution.

Stefania Maurizi

Traduction « vous ai-je déjà dit combien cette affaire révèle toute la veulerie de la profession ? » par VD pour le Grand Soir avec probablement toutes les fautes et coquilles habituelles.

»» https://consortiumnews.com/2018/11/06/the-west-is-failing-julian-assange/
Voir les articles complets pour savoir et comprendre:
suite..
 Articles associés

 

40 Commentaires

  1. Pas de bol.

    Moi ça va.

    • Je voulais faire un article là-dessus, merci de l’avoir fait, c’est très important. J’avais publié sur mon site un article là-dessus ici : http://modernite-totalitarisme.eklablog.com/unity4j-christine-assange-lance-un-appel-d-urgence-a149401942

      « Gros », c’est quoi ce commentaire? On peut avoir plus de précision?

      • Donc je suis pétainiste, maintenant… C’est intéressant, il va falloir que je l’ajoute à mon CV.
        Il paraît que je suis aussi un troll payé par l’UE.
        Si si, c’est ce qu’il se dit.

        Décidément, ce blog est très divertissant.

        EDIT : je répondais au qualificatif que Christophe007 m’attribuait avant qu’il modifie son message.

        • « c’est ce qui se dit » Gros, enfin, un peu de tenu!

          Pour C007, Gros, c’est un clown, une posture, un pince sans rire, il est souvent follement drôle, tu as changé ton com. en effet, ce n’est pas l’esprit Coubertin.
          .
          Au fait Gros, à l’UE, avez vous les tickets restau. ? Le 16 ième mois ?

          • On a des chèques vacances à volonté, des prêts de jet privé gratuits (voire d’hélico, si besoin), un service de conciergerie 24h/24, des masseuses « expertes » à la demande.
            Les notes de frais ne sont jamais contrôlées, c’est du délire (donc pas de chèques resto : c’est pour les gueux, ça).
            Et c’est vrai qu’on est super bien payé.
            Merci les contribuables.

          • Thibaultraa, d’accord!!! C’est ça « Gros ». Ok ok.
            Une question quand même. Pourquoi n’est-ce pas très « Coubertin » d’avoir changé mon commentaire? Les commentaires doivent être fait en un jet? Sans pouvoir se reprendre? En fait, j’ai mis ça suite à ses commentaires sur l’article consacré à Pétain. Après je me suis dit que ça allait trop compliqué à démontrer, que ça prendrait trop de temps; du coup, je l’ai enlevé. D’ailleurs, il n’a pas répondu à la réponse que lui ai fait dans l’article sur Pétain.

            • En fait C007, au plus tu alimentes ses com, au plus il continuera.
              Bel exemple de trollage d’article. On s’en fout de vos états d’âme vis a vis de Gros.

            • Ben, les réponses aux com. corresponde au commentaire d’origine, donc si tu le changes après, ça fausse l’échange.

              Ton commentaire me laisse pensé que tu as un esprit de mousquetaire, chevalresque. T’as l’air de quelqu’un de droit.

              PS : j’ai mis un de tes lien dans les infos, etc, d’ailleurs, comment se fait-il que tu ne l’as pas fait toi ?

              • Parce que je ne connais pas le site, je ne savais pas que c’était possible.
                Par ailleurs, je précise que j’ai enlevé mon commentaire sur le pétainisme de « Gros » avant sa réponse! Sinon, je ne l’aurais pas fait. Enfin en tout cas, sur mon ordi ça s’est passé comme ça! Sinon toutes mes excuses à Gros.

      • Personne n’est indispensable Marabout, la plupart d’entre nous peut disparaitre, la vie continuera, c’est comme ça.

        • Eh oui, Marabout, tu peux disparaitre, la vie continuera.

          • Gros est aussi cynique et méchant, c’est ce qu’on peut lui reprocher, c’est là qu’il dérape mais t’inquiète Marabout, la vie va lui montrer ce que c’est une volé de bois vert.

            • Que de chochoteries.
              J’ai dit Marabout parce que c’était l’interlocuteur.
              Mais c’est pareil avec tout le monde, comme tu l’indiques.

              J’aurais tout aussi pu dire, pour abonder dans le sens de ton propos, que Assange peut disparaitre, la vie continuera, c’est comme ça.
              (faudrait pas trop dévier du sujet du billet, non plus, sinon je vais croire que vous trollez)

  2. Je n’ai pas pu trouver le moindre article ou la moindre traduction en français de sa dernière interview avant qu’on lui coupe tout moyen de communication il y a environ 2 mois.
    https://www.youtube.com/watch?v=J98ed6oML2A

    Pourtant il balance du lourd:

    « La poussière maléfique intelligente, elle est partout dans tout, […] de la poussière maléfique intelligente éparpillée partout comme des confettis.
    […] La génération qui naît aujourd’hui est la dernière à être libre. »

    Pour ceux qui ne connaissent pas le sujet, Assange parle de smart dust pulvérisées à très grande échelle dans l’environnement (chemtrails?).
    Un aperçu de l’état d’avancement (version publique) de ce type de technologies il y a plus de 15 ans:
    https://www.lesechos.fr/11/04/2003/LesEchos/18886-134-ECH_–smart-dust—-des-poussieres-intelligentes-qui-revolutionnent-l-observation.htm

  3. Levée de boucliers pour Khashoggi: Mais rien pour Assange !
    http://www.perspectivesmed.ma/levee-de-boucliers-pour-khashoggi-mais-rien-pour-assange/

    Beaucoup de médias de réinformation, on fait leur boulot. Reste à voir, si cela servira à quelque chose.

    • J’ai bien peur de connaître la réponse à l’avance… Ca ne servira à rien. Assange est perdu, il est une sorte de Sacco et Vanzetti de notre époque. La question est alors de savoir comment le venger, et là, c’est compliqué puisque nous sommes tous isolés dans nos foyers. C’est à se taper la tête contre les murs.

      • Disons que parfois, ils peuvent être moins trash qu’avec Coluche ou Balavoine, ou qu’avec tous les gendarmes et policiers suicidés …

        Enfin moins trash, je ne sais guère s’il ne vaut pas mieux se faire suicider, parce que arrivé à ce stade …

        C’est une démonstration …
        Messieurs – Dames qui avez des envies de mobilisations populaires à notre encontre, regardez bien ce qu’on peut lui faire à Mr Wikileaks, en outre-passant toutes les lois internationales, sans même se cacher…

        D’accord? Allez allez, cou-couche panier maintenant !

  4. Le temps est-il écoulé pour Julian Assange? Des signes pointent vers une extradition imminente
    Il semble de plus en plus probable que le fondateur et éditeur de Wikileaks, Julian Assange, finira par se retrouver entre les mains du gouvernement américain.
    https://www.mintpressnews.com/has-time-run-out-for-julian-assange-signs-point-to-imminent-extradition/251837/

  5. Foutage de gueule qui continue.
    Enquête sur la très mystérieuse disparition d’un hacker néerlandais
    « Tous assurent qu’Arjen Kamphuis n’est pas un proche de Julian Assange. Même si il l’a déjà rencontré. Son activité secrète (puisqu’il en a bien une), c’est d’aider, former des journalistes qui en ont besoin à sécuriser leur données. Notamment sur les terrains de guerre. Il part régulièrement en mission secrète.  »
    https://www.rtbf.be/info/dossier/toute-l-info-de-la-prem1ere/detail_enquete-sur-la-tres-mysterieuse-disparition-d-un-hacker-neerlandais?id=10057217

  6. D’aprés l’appel de la mére de Julian,
    je pense que les terroristes sont mieux traités que lui…
    On vois donc que certains (…) considére la Vérité comme du terrorisme.

    (puisque certains se donne pas la peine de cliquer les liens et juste survoler l’article)
     » Voici les faits : Julian est détenu depuis près de huit ans sans inculpation. Vous avez bien lu : sans inculpation.

    Au cours des six dernières années, le gouvernement britannique a refusé ses demandes d’accès aux soins de santé de base : air frais, exercice, soleil pour la vitamine D et accès à des soins médicaux et dentaires appropriés. En conséquence, sa santé s’est sérieusement détériorée et les médecins qui l’examinent mettent en garde contre ces conditions de détention qui mettent sa vie en danger. Un assassinat lent et cruel se déroule sous nos yeux à l’ambassade de Londres. »

    Rappel: ( Canard)  » Benala a été vue a londres avec un fiché S »

Les commentaires sont clos.