« Aucune justification » : un groupe sud-africain de défense des victimes des vaccins met en garde contre le vaccin Mpox

Il faut savoir que, la variole a été déclarée éradiqué dans les années 1980, grâce à la vaccination. C’est donc une bonne chose quand ce sont des autorités responsables qui ont à cœur, la santé de leurs semblables. Pourquoi conserver des souches de ces maladies ? On peut se demander, pourquoi cette urgence mondiale, alors que les cas recensés sont minimes et les causes de décès, n’ont pas été confirmées par autopsie.

Va-t-on de nouveau utiliser les mêmes moyens de peur que pour le Covid19, avec les ravages connus et répertoriés, sur ceux qui ont accepté une injection qui n’était en rien protectrice et c’est avérée au pire, mortelle pour pas mal de gens ? Avec cette propagande, il est évident que la majorité de la population n’est pas informée correctement et ne peut dans ce cas, donner son consentement libre et éclairé. Ce Mpox se transmet par les fluides corporels, issus des lésions purulentes en cas de contact rapproché. Merci à Françoise G. Partagez !

Source Children’s Health Defense

Le groupe d’étude médico-légal sur les blessures causées par les vaccins en Afrique du Sud a publié cette semaine une déclaration critiquant les responsables de la santé publique pour avoir déclaré le mpox comme une urgence sanitaire mondiale et mis en garde contre les vaccins mpox « expérimentaux ».

par communiqué de presse

Nous sommes profondément préoccupés par les récentes annonces faites par le directeur général des Centres africains de contrôle et de prévention des maladies (CDC), Jean Kaseya, le 13 août, et par le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Tedros Adhanom Ghebreyesus, le 14 août. adresser ces annonces ouvertement au public.

Dans ses déclarations, Kaseya a déclaré à propos des vaccins contre la variole du singe :

« Nous avons un plan clair pour obtenir plus de 10 millions de doses en Afrique, en commençant par 3 millions de doses en 2024. »

Au Groupe d’étude médico-légal sur les blessures causées par les vaccins en Afrique du Sud (SAVIMS), nous souhaitons souligner des faits pertinents aux institutions et autres organismes d’intérêt concernés :

1. Il n’existe aucun vaccin prescrit doté de preuves scientifiques documentées de niveau 1 pour la variole du singe. Les vaccins à virus vivants actuellement recommandés par l’OMS , Jynneos et ACAM2000 , sont :

a) destinés à la variole et sont donc expérimentaux pour la variole du singe ;

(b) ont signalé des effets indésirables graves, et ;

(c) contiennent des souches virales vivantes susceptibles de provoquer une résurgence du virus de la variole éradiqué.

2. L’utilisation potentielle des vaccins à ARNm. Il n’existe aucune preuve scientifique soutenant l’utilisation d’un vaccin à ARNm pour prévenir ou atténuer une maladie infectieuse. Les données observées sur les effets indésirables des vaccins expérimentaux à ARNm dépassent de loin tout bénéfice.

3. Le consentement éclairé est une notion éthique codifiée dans la loi et appliquée quotidiennement dans chaque établissement de santé. Trois critères fondamentaux sont nécessaires au consentement clinique éclairé : le patient doit être compétent, suffisamment informé et non contraint.

Il n’est pas possible pour tout receveur de ces vaccins d’obtenir un consentement éclairé légitime sur la base des recherches actuelles.

4. L’article d’Allan-Blitz et al., « A position Statement on Mpox as a Sexually Transmissed Disease », concluait que la variole du singe est une « maladie sexuellement transmissible ». Les mesures préventives pour ce scénario devraient nécessiter et provoquer des initiatives cliniques, de soins de santé primaires et d’éducation pertinentes destinées au groupe à haut risque.

Il n’y a aucun mérite à recommander des vaccins expérimentaux à la population générale.

5. Les statistiques et analyses concernant les données recueillies sur la variole du singe en République démocratique du Congo et dans d’autres pays d’Afrique par l’OMS justifient une enquête plus approfondie et doivent être auditées de manière indépendante.

Les domaines dans lesquels les statistiques les plus élevées ont été collectées doivent détailler les critères de test , les procédures de test, la sensibilité et la spécificité de l’équipement, les compétences du personnel, les scénarios cliniques et la provocation pour tester ces communautés spécifiques. Quels tests ont été effectués pour rechercher et exclure d’autres maladies, y compris les maladies transmissibles ?

6. Aucun rapport d’autopsie n’a été publié sur les décès liés à la variole du singe. L’absence d’autopsie formelle documentée, le manque d’informations sur les sensibilités et les spécificités des tests d’équipement, et le manque d’informations sur les procédures validant la collecte aléatoire de données, réduisent et invalident encore davantage l’authenticité des statistiques.

Déclaration de position du SAVIMS concernant le déploiement d’urgence du vaccin contre la variole du singe en Afrique

Nous avons passé en revue la littérature et analysé les données sur la variole du singe, ainsi que son étiopathogénie. D’après notre compréhension de cette maladie :

1. Nous ne soutenons pas la déclaration du CDC africain et de l’OMS d’une urgence sanitaire mondiale liée à la variole du singe.

2. Il est établi que la variole du singe est essentiellement une maladie spontanément résolutive. Cela ne justifie pas une intervention vaccinale.

3. Nous nous opposons fermement, sur la base des preuves scientifiques, au déploiement « d’urgence » de vaccins contre la variole réutilisés ou de tout autre vaccin proposé contre la variole du singe auprès des populations africaines.

4. Nous remettons en question l’authenticité du nombre de décès associés à la variole du singe, tel que rapporté par le CDC Afrique, à moins qu’il ne puisse être vérifié par autopsie.

5. Nous avertissons le public des risques inhérents à la prise de tout vaccin, y compris ceux proposés contre le mpox , dont l’efficacité et l’innocuité n’ont pas été déterminées de manière fiable par des essais cliniques de niveau 1 . Rien ne peut justifier un vaccin dont les effets indésirables sont inconnus.

6. Nous exhortons le public à exercer ses droits humains inhérents et à refuser de donner son consentement à toute intervention médicale qu’il ne se sent pas à l’aise.

Nous sommes ouverts au dialogue et à la discussion avec le CDC Afrique sur les questions soulevées ci-dessus et sur toutes les questions de santé et de bien-être concernant la population africaine.

Publié à l’origine par SAVIMS .

SAVIMS est une association volontaire multidisciplinaire de droit commun régie par ses membres conformément à la Constitution de la République d’Afrique du Sud. Le but de SAVIMS est de suivre les preuves pour acquérir et communiquer des connaissances sur les blessures causées par les vaccins. Ces connaissances sont nécessaires pour le traitement et le conseil des patients présentant des lésions vaccinales ; ainsi que pour la rédaction de rapports médico-légaux et la fourniture de preuves concernant les victimes de blessures causées par le vaccin et dans d’autres litiges liés aux vaccins. Les objectifs du SAVIMS sont de promouvoir la santé humaine et les droits de l’homme, tels qu’ils sont inscrits dans la Déclaration des droits de la Constitution sud-africaine.

Les points de vue et opinions exprimés dans cet article sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement les points de vue de Children’s Health Defense.

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3 Commentaires

  1. Trois fois j’ai tenté de partager ce message sur ma messagerie, et 3 fois il est revenu. Thunderbird ferait-il de la censure ? J’ai pourtant changé l’objet. https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_unsure.gif

  2. Vont-ils recommencer d’interdire en France la vente des médicaments efficaces et peu chers comme le sont l’hydroxychloroquine ( plaquenil) et l’ivermectine contre le Covid19 pour éviter l’injection ô combien lucrative pour les labos Pfizer , Moderna , Pasteur etc … de produits expérimentaux meurtriers prétendus « vaccins » , cette fois contre une variole du singe qui n’affecte pas grand monde pour l’instant . Le Professeur Raoult dit que le médicament japonais Rizaben ( molécule « tranilast ») est efficace contre la variole du singe . A suivre .
    A moins que la véritable pandémie qu’ils nous préparent via les chemtrails et l’infection des réservoirs d’eau potable soit en fait la grippe aviaire .
    Quand les gouvernements ne veulent plus le bien de leur peuple mais cherchent à tuer les peuples qu’ils représentent en leur imposant l’injection d’un poison par la coercition afin de satisfaire l’idéal de dépopulation mondiale de Schwab , Gates etc …, il faut être d’une extrême vigilance .

    • Bravo Mianne ! Je n’ai rien à ajouter. Simplement dire que le vaccin contre la variole est efficace parce qu’en fait il inocule UNE AUTRE MALADIE, bénigne pour les humains. Pour tous les autres « vaccins », méfiance.

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