Source Aube-Digitale
La société qui définissait autrefois le divertissement familial est en train de passer du statut de géant des médias à celui d’échec épique, subissant des pertes de plus de 1,4 milliard de dollars en flux continu et une chute des actions d’environ 39 % pour l’année. Et, il semblerait que ces déclins financiers conduisent inévitablement à des licenciements d’employés.
Disney a gelé les embauches, limité les déplacements des employés et examiné l’efficacité des travailleurs en prévoyant des réductions de personnel afin de rendre l’entreprise « plus agile ». Le PDG Bob Chapek a noté dans une note de service aux cadres supérieurs qui a fuité :
« Dans le cadre de ce processus d’évaluation, nous examinerons tous les aspects des opérations et de la main-d’œuvre pour faire des économies, et nous prévoyons certaines réductions de personnel dans le cadre de cet examen.
…Je suis pleinement conscient que ce processus sera difficile pour beaucoup d’entre vous et vos équipes. Nous allons devoir prendre des décisions difficiles et inconfortables. »
Chapek mentionne dans le même mémo le problème des « facteurs macroéconomiques » hors du contrôle de Disney. Il ne mentionne cependant pas son habitude de plier le genou et de ramper devant les activistes woke, de tenter de saboter la législation de Floride contre le grooming dans les écoles publiques, ou l’approvisionnement régulier de la société en contenu qui favorise les récits de l’extrême gauche.
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Ce ne sont pas tant les « facteurs macroéconomiques hors du contrôle de Disney » qui provoquent la chute du conglomérat. Ce sont plutôt tous les facteurs qu’il contrôle, y compris son refus de produire un contenu que les consommateurs veulent vraiment. Le public américain en a fini avec la propagande gauchiste dans ses films et à la télévision et recherche activement et évite tout contenu qui promeut l’idéologie woke et les points de discussion sur la justice sociale. Après environ cinq ans pendant lesquels les consommateurs ont retenu leur argent, Disney commence enfin à ressentir la douleur.
C’est ce qui arrive lorsqu’une entreprise commercialise ses produits auprès d’une infime minorité de militants de gauche et de fanatiques LGBT, dont la plupart ont de toute façon très peu d’argent à dépenser. Plus précisément, les parents s’inquiètent du fait que le « divertissement familial » de Disney évolue pour se concentrer sur les personnages LGBT, étant donné que les concepts LGBT sont de nature purement sexuelle et bien au-delà de la compréhension de l’enfant moyen. Mettre en avant la sexualité obscure de personnages dans une production pour enfants est une notion étrange.
En outre, l’hostilité de la société à l’égard du projet de loi de Floride sur les droits des parents en matière d’éducation, qui interdit aux enseignants des écoles publiques d’inculquer aux jeunes enfants des concepts sexualisés et une idéologie du genre, soulève des questions chez les consommateurs quant à l’agenda de Disney en matière de divertissement.
Il n’est donc pas surprenant que l’entreprise soit aujourd’hui en difficulté, avec un large éventail de films politiquement motivés qui font un flop au box-office et des désastres en streaming qui peinent à attirer un public même modéré. Même s’il ne l’admettra jamais ouvertement, Disney prouve une fois de plus que devenir woke signifie aussi se ruiner.
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C’est curieux, comme cette société a toujours fait dans le pervers coûte que coûte. Avant c’était la mièvrerie liée à un certain suprémacisme, « à la Republicans » en somme, mais la bascule s’est faite en direction d’un sociétal appuyé, mais toujours selon une volonté dure et anti-souplesse, du genre « NOUS décidons ce que VOUS devez penser ».
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La société s’écroule ? Elle l’aura cherché…. mais n’admettra pas ses torts.
Quelle bonne nouvelle ce matin.
Vivement la déchéance de ces tarés de wokistes.
Disney a une longue tradition de perversion subliminale ou …pas.