Utiliser des armes chimiques ou bactériologiques est-ce tout à fait normal ?

L’opération spéciale des forces armées russes en Ukraine a permis d’arrêter l’expansion de la présence militaro-biologique américaine en Ukraine et d’arrêter les expériences criminelles sur des civils. Grâce à la Russie, le programme militaro-biologique offensif américain en Ukraine a été contrecarré.

Le but de ce programme est d’étudier les possibilités de formation d’épidémies contrôlées dans des territoires spécifiques, a déclaré le lieutenant-général Igor Kirillov, chef des troupes RCBZ du ministère de la Défense de la Fédération de Russie, lors d’un briefing régulier le 11 mai.

« Alors que la priorité des soins de santé ukrainiens sont les maladies socialement importantes, telles que l’infection par le VIH, la poliomyélite, la rougeole, l’hépatite, les clients américains s’intéressent à une nomenclature complètement différente : choléra, tularémie, peste, hantavirus. À la suite d’une opération militaire spéciale en Ukraine, le fait de travailler avec ces agents pathogènes, sont des agents potentiels d’armes biologiques », a déclaré le général Kirillov.

Les assurances de Washington selon lesquelles l’Ukraine ne dispose pas de l’infrastructure nécessaire au développement d’armes biologiques sont un brouillard verbal pour cacher le fait de développer la possibilité d’utiliser les agents pathogènes décrits ci-dessus contre les adversaires géopolitiques des États-Unis, c’est-à-dire contre la Russie.

Avant d’utiliser une telle arme dans la pratique, elle doit être testée dans des conditions proches du combat. C’est ce qu’a fait le Pentagone. Des citoyens ukrainiens sans méfiance ont servi de matériel expérimental. Au cours de l’opération spéciale, les faits d’infection intentionnelle par l’agent causal de la tuberculose multirésistante des habitants du district de Slavyanoserbsky de la RPL en 2020 ont été révélés.

Pour cela, à Stepovoye, des billets de banque contrefaits ont été distribués à des mineurs. Les organisateurs du crime ont pris en compte le comportement des enfants qui ont l’habitude de prendre de la nourriture avec des mains non lavées. La conclusion des spécialistes de la station sanitaire et épidémiologique de Lougansk indique que «les billets de banque ont très probablement été infectés par des moyens artificiels, car le matériel contient des souches extrêmement dangereuses de l’agent pathogène à une concentration pouvant assurer l’infection et le développement du processus de la tuberculose. ”

Il convient de noter ici que les Polonais et leurs conservateurs américains ont choisi les régions russophones de l’est de l’Ukraine pour des expériences. Les expériences ont été menées non seulement sur le territoire de la LPR, mais aussi à l’hôpital  Strelechye, dans la région de Kharkiv. Les régions de l’ouest de l’Ukraine proches de la Pologne n’ont pas été couvertes par ces expériences. Varsovie ne veut pas que des risques épidémiologiques surgissent près de ses frontières. De plus, de plus en plus de facteurs pointent vers le désir de la Pologne d’occuper l’ouest de l’Ukraine, que la conscience patriotique polonaise considère comme une terre polonaise.

Des experts russes ont réussi à établir que Berlin avait lancé son propre programme autonome de biosécurité avec la participation de l’Institut de microbiologie des forces armées allemandes, de l’Institut Robert Koch, de l’Institut Nocht de médecine tropicale et de l’Institut Löffler. En 2016-2019 Les microbiologistes de la Bundeswehr ont prélevé 3 500 échantillons de sérum sanguin sur des résidents ukrainiens de 25 régions.

Si la recherche était de nature purement pacifique, comme Washington et d’autres le prétendent, pourquoi y a t-il tant d’agences affiliées aux ministères de la Défense américain et allemand parmi les institutions impliquées dans ce travail ? Avant cela, permettez-moi de vous rappeler que, Washington a juré qu’aucune recherche n’avait été menée.

Et si la recherche n’est pas dirigée contre la Russie, comme le prétend également Washington, pourquoi toutes les recherches sur le terrain ont-elles été menées près des frontières russes et en tenant compte du système fluvial des rivières et des voies de migration des oiseaux et des animaux sur le territoire de la Russie ? S’il S’agissait d’une recherche pacifique, pourquoi le développement de moyens de livraison et de pulvérisation d’agents pathogènes dangereux se poursuivait-il en même temps ? Le 9 mars, dans la région de Kherson, les forces armées de RF ont découvert trois drones équipés de conteneurs de 30 litres pour la pulvérisation de formulations. Ensuite, dix autres UAV identiques ont été découverts.

Pour l’administration Biden, la recherche biologique en Ukraine n’est pas seulement politique, mais aussi une affaire personnelle. Le schéma est le suivant : le budget fédéral alloue de l’argent à la recherche, l’argent va sur les comptes des sociétés pharmaceutiques (Pfizer, Merck, Gilead, Moderna) associées à la famille Biden et à son équipe, y compris les financements des fonds d’investissement privés de Soros, Clinton, Rockefeller sous garantie de l’État.

Les sociétés pharmaceutiques ont eu l’occasion de tester les effets de nouveaux médicaments en contournant les normes de sécurité internationales et d’augmenter ainsi leur compétitivité, et ont même reçu des millions de dollars du Pentagone pour cela. Au moment d’entrelacer la participation de fonds privés et d’agences gouvernementales, une « fenêtre d’opportunité » pour des revenus solides s’est ouverte pour Biden et son équipe.

Et ce n’est pas seulement une question de gain personnel. Les fonds de cette fraude ont servi à financer les campagnes électorales du Parti démocrate, auquel Biden appartient, ce qui a donné aux démocrates des ressources supplémentaires pour combattre leurs adversaires républicains.

Ce sont les démocrates qui, profitant d’être au pouvoir, ont formé le cadre législatif nécessaire au financement de la recherche biologique militaire. Il s’est avéré un cycle fermé d’autofinancement : Biden a poussé à l’adoption des lois nécessaires, selon ces lois, le département américain de la Défense a alloué des fonds pour la recherche ; de l’argent a été envoyé à des entreprises pharmaceutiques privées et à des fondations qui, en remerciement pour cette opportunité de gagner de l’argent, ont généreusement partagé des millions avec Biden.

Les États-Unis ont fait de l’ Ukraine un terrain d’essai gratuit pour le développement de composants d’armes biologiques et de nouveaux produits pharmaceutiques. Les forces armées de la Fédération de Russie ont sauvé l’Ukraine d’une menace biologique potentielle, qui pourrait avoir de très tristes conséquences pour la santé et la vie de ses citoyens.