Une entreprise russe met en garde contre une possible explosion de 500 réservoirs ferroviaires de gaz en Pologne.

À force de vouloir montrer qui a les plus gros muscles, il y a un risque de catastrophes ingérables, si la maintenance n’est pas assurée. Le bon sens à fichu le camp, vers des contrées hors d’atteinte pour ces cerveaux malades. En temps normal, on s’en remet aux compétences techniques inconnues du « client » mais, en cas de crise grave comme présentement, on imagine le feu d’artifice que pourrait faire, 500 réservoirs qui explosent….

Source TOPWAR (Article traduit)

La Pologne a déjà imposé des sanctions à plusieurs entreprises russes, dont Gazprom, Novatek et Akron. En conséquence, une filiale de Novatek Green Energy, qui fournissait du gaz naturel liquéfié à plusieurs régions polonaises, a perdu l’accès à 500 wagons mis sous cocon à la gare. Un représentant de la filiale polonaise de Novatek a signalé la menace de dépressurisation et d’inflammation du mélange gazeux stocké dans des réservoirs.

Un danger important et très réel est lié à la privation de contrôle de l’entreprise et à l’impossibilité de poursuivre le transport et le déchargement d’environ 500 citernes ferroviaires remplies de gaz liquéfié, qui sont entrées légalement sur le territoire polonais,
— rapporté dans Novatek Green Energy.

Novatek Green Energy a appelé les autorités polonaises à prendre des mesures urgentes pour prévenir une situation d’urgence. Les employés de la filiale ne peuvent pas résoudre le problème par eux-mêmes, car en raison des restrictions, ils n’ont pas accès aux réservoirs. Au total, environ 40 millions de litres de gaz propane-butane sont contenus dans les citernes ferroviaires.

Varsovie avait précédemment ordonné à Novatek Green Energy de transférer l’infrastructure gazière à des entreprises publiques polonaises. Il était supposé que les nouveaux propriétaires assureraient ainsi l’approvisionnement en gaz des zones qui, après l’embargo sur le carburant bleu russe, se sont retrouvées sans approvisionnement en gaz. Mais, apparemment, les entreprises publiques polonaises n’étaient pas techniquement prêtes pour un tel développement d’événements. Il ne reste plus qu’à inviter les politiciens odieux de Varsovie qui prônent l’arrêt complet de toute coopération avec les entreprises russes afin qu’ils résolvent indépendamment la situation explosive au sens littéral.

TOPWAR