Quand les moutons comprendront-ils que sans leur participation, pas de changement. Faire du Black Friday un cauchemar pour Amazon, ne dépend que de la volonté de ne pas se ruer sur des objets dont le besoin n’est pas essentiel. Vœu pieu vu la propension des moutons à con-sommer toujours plus OU LE GRAND RÉVEIL?? Qui ne tente rien, n’a rien ! Partagez ! Volti
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Source Stop-Amazon.fr
Le vendredi 29 novembre 2019, c’est le Black Friday.
Événement majeur d’un capitalisme féroce, cette ode aux prix cassés et aux achats compulsifs a des conséquences environnementales, sociales et fiscales dramatiques.
Ensemble, nous pouvons faire entendre une toute autre musique ce jour là…
Appel pour transformer le Black Friday 2019 en un « Vendredi Noir pour Amazon ».
La satisfaction du client, c’est l’obsession affichée de Jeff Bezos patron d’Amazon, le géant du e-commerce aux 180 millions de références. Sa stratégie : le « day one », soit maximiser les cadences de préparation des colis pour livrer en moins d’un jour, moins d’une heure et peut être moins d’une demi-heure grâce à des drones de livraison. Son ambition : créer un écosystème complet avec des maisons connectées, des e-books, de la musique, des séries, des films… pour générer toujours plus de commandes de ses produits à bas prix. Mais, derrière le héros du néolibéralisme 2.0, se cache une vision du monde que nous devons combattre.
Malgré les récentes promesses de Jeff Bezos sur les énergies renouvelables ou la compensation de ses émissions, le monde d’Amazon reste un désastre écologique. La multinationale a vendu plus de 11 milliards de produits l’année dernière. Ses prix bas, ses promotions quotidiennes poussent à la surconsommation et contribuent à la hausse des émissions de CO2 en démultipliant l’extraction des ressources, les transports par bateaux, avions ou camions. Amazon Web Services (AWS) est également numéro un mondial du cloud et ses data centers, ont généré autant de gaz à effet de serre que le Portugal en 2018. AWS fournit ses services à Palantir, une société sulfureuse qui aide Donald Trump à identifier et arrêter des migrants traversant illégalement la frontière.
Un monde sans emplois. On estime que pour un emploi créé par la firme de Jeff Bezos, deux emplois sont détruits dans le secteur commercial. Les salariés d’Amazon, dont de nombreux intérimaires, enchaînent des tâches cadencées par les algorithmes de leurs scanners. Dans ses nouveaux entrepôts, ils deviennent des auxiliaires de 100 000 robots de préparation des commandes. Et, bientôt, les livreurs, déjà nombreux à être ubérisés, pourront être remplacés par des drones.
Un monde sans fiscalité, ni démocratie. Échapper à l’impôt et aux contraintes légales est une véritable obsession pour le libertarien Jeff Bezos. En bonne multinationale, Amazon déclare artificiellement ses profits dans des paradis fiscaux comme le Luxembourg en Europe ou le Delaware aux Etats-Unis. En France, Amazon a annoncé unilatéralement qu’elle répercuterait la modique taxe GAFA sur ses fournisseurs. A Seattle, son siège, Amazon a fait annuler une taxe sur les multinationales en faveur des sans abris pourtant votée à l’unanimité par le conseil municipal.
Douze ans après l’ouverture de son premier entrepôt français à Saran (Loiret), Amazon a inauguré, en présence du secrétaire d’État au numérique Cédric O, un entrepôt géant équipé de 4 000 robots à Brétigny-sur-Orge dans l’Essonne. De nouveaux sites doivent voir le jour à Fournès dans le Gard et près de Metz en Moselle. Nous ne nous mobilisons pas contre les 7 500 salariés d’Amazon qui cible des bassins d’emploi sinistrés pour s’implanter à moindre frais. Mais les emplois promis par Amazon conduisent à l’aveuglement des élus et des membres du gouvernement qui préfèrent couper le ruban plutôt que de s’interroger sur la disparition de milliers de commerces de proximité pourvoyeurs d’emplois et de lien social partout en France.
Ce monde va une nouvelle fois s’incarner le vendredi 29 novembre prochain avec le Black Friday. Préparée à coups de publicités massives et de promotions extrêmes, cette journée incite les consommateurs à se ruer sur des millions de produits dont ils n’ont pas forcément besoin. Le Black Friday est un des vecteurs de la stratégie de prix cassés et de vente à perte qui a permis à Amazon de devenir le premier distributeur de textile et d’électronique en France. Cette vision du monde est en totale contradiction avec la profonde aspiration à une vie décente sur une planète vivable, exprimée notamment par les gilets jaunes ou les marcheurs pour le climat.
Il est urgent de stopper la construction des nouvelles infrastructures d’Amazon et des autres entreprises du e-commerce et de nous mobiliser pour le développement d’une économie locale créatrice d’emploi, génératrice de lien social tout en étant compatible avec les impératifs climatiques. Pour porter cette exigence et ne plus laisser Amazon balayer d’un revers de main les droits sociaux et environnementaux, nous appelons à transformer le Black Friday 2019 en un « Vendredi noir pour Amazon ». Le 29 novembre, nous mènerons des actions citoyennes partout en France pour perturber l’activité d’Amazon et promouvoir des alternatives afin de libérer toujours plus de monde de son emprise néfaste.
Consulter le consensus d’action #VendrediNoirpourAmazon
Le problème avec cette boite, c’est que, quoi qu’on cherche, on le trouve. Alors oui, c’est tentant. Au moins pour qui achète sur le net.
Le plus drôle, si je peux dire, serait de ne rien acheter du tout, où que ce soit, ce jour-là. Boycott total des magasins. Histoire de montrer qu’on n’est pas des pigeons !
le vrai problème c’est qu’elle est soutenue par la FED Amazon ne coulera jamais tant que la fed vivra
Amazon n’est pas une entreprise d’extraction de pétrole de schiste !
Elle n’a absolument pas besoin de la Fed pour survivre.
Bonjour
Je suis toujours impressionné par la grande quantité de commentaires sur ce site(Moutons Enragés) !!!
Étant donné que je suis le 2e à en laisser un, J’ai une petite chance d’être lu 😉
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XXX Écoute-moi Fils, car tant que tu chercheras à l' »extérieur » de Toi des réponses à tes légitimes questions, tu ne trouveras pas la Paix, celle qui te permettra de passer au ‘niveau’ où s’applique vraiment cette Paix XXX
… après cette publicité pirate faite par ‘#divinité’, en direct du Super Univers D’Orvonton, reprenons le cours de nos commentaires
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Je ne sais pas d’où me vient cette pensé: « tu es riche, si tu n’as besoin de rien, mais pas de quelqu’un ».
Moi, j’ai oublié la fin, alors je me retrouve seul … mais je n’ai pas à partager ma ‘richesse’ 🙂
Je fais parfois aussi cet essai. Devant la vitrine où se trouve quelque chose que l’on veut me vendre – en particulier si c’est un prix élevé – je reprend mon coeur d’enfant, et je rêve intérieurement; je ‘vis’ intensément le plaisir que j’aurais à l’utiliser, et cela pendant plusieurs minutes.
Ensuite, je vais me reposer de cet activité épuisante(en particulier de la planche à neige), en prenant un bon repas et en pensant à ce que je pourrais faire avec tout cet argent économisé 😉
Il y a quand même le plaisir de faire un cadeau à un enfant et de voir son visage pendant qu’il le déballe !!!
Ce que tu écris Mario m’amuse beaucoup car c’est ce que je faisais quand j’étais adolescente et même bien après. Je me plantais devant une vitrine là où se trouvait l’objet de ma convoitise et je rêvais que je le possédais, et puis je me disais » dès que j’aurai de l’argent je viendrai l’acheter » et je partais toute contente rêvant déjà de sa possession, le temps passait puis j’oubliais mais pendant quelques jours, voire quelques semaines j’étais remplie de bonheur.
Quand ce n’était pas trop cher et que par chance je recevais un peu d’argent, je filais pour me l’acheter, en vrai, mais après l’avoir examiné, je me disais qu’après tout ce n’était pas la peine. En fait le plaisir de la possession je l’avais déjà vécu alors l’objet ne m’attirait plus… Le cerveau ne fait pas la différence entre ce qui est réel ou imaginé, c’est une chance.
Bonjour Graine de piaf …
Comme toi, plus jeune je devais prendre le temps d’accumuler assez d’argent pour pouvoir acheter ma convoitise, mais maintenant avec la ’15e chance au crédit’ les tentations sont grandes et la jeunesse va probablement s’endetter toute sa vie.
Heureusement, le crédit ne m’intéresse pas.
Une autre astuce pour ne pas s’embarquer dans des dépenses folles:
– « UN » jouet à la fois, surtout adulte. ‘Use’ ta passion jusqu’à sa fin avant de passer à la prochaine.
Moins consommer ? peut être approuver, je me souviens dans mon jeune temps ,il y avait une boucherie, avec des poulets dehors, sur le trottoir, en cuissons ; je voyais un vielle homme pauvre,avec un morceau de pain à la main, s’approchant du four à
poulets, humant les odeurs, et vapeurs,qui sortaient du four, tout en mangeant le pain , je m’approche de lui, lui demande pourquoi il fait cela, » je n’ai pas le sous pour acheter un poulet » , , , là j’ai l’impression de manger du poulet .moralité , Pauvreté, quand tu nous tiens Une autre astuce pour ne pas s’embarquer dans des dépenses folles: (LREM)
Bonjour Carl54 …
Attention de ne pas donner des nouvelles idées pour une taxe à nos dirigeants, car sentir le poulet, c’est un peu le consommer 🙂
Pourquoi acheter sur Amazon ce qu’on ne trouve pas autour de chez soi ?
C’est souvent moitié prix sur Aliexpress, voire pire… pour les mêmes produits.
Et c’est même parfois plus rapide.
Aliexpress, le géant chinois qui va mettre Amazon à la rue ?
amazon boutique c’est la partie visible de l’iceberg … il y a toute la partie cloud, IA …….
Aliexpress on va pas être naïfs niveau éthique c’est guerre mieux et là aussi derrière le géants chinois il n’y a pas que la partie boutique et un gros soutient du gouvernement chinois …
Après c’est plus cohérent d’acheter sur aliexpress des produits fabriquer en chine que de les acheter chez amazom
Pourquoi payer le meme produit plus cher chez celui qui fout la merde dans le monde?
les codes barres que je boycotte.
000 et 060 les États-Unis
et 729 la Palestine Occupée.
En même temps, je suis pas trop dans la conso excessive (des années de bonheur à dormir sur une natte par terre et à manger que du riz…) du coup je réfléchis à tout ce que j’achète ce qui me fait dire merci Amazon.
Là, je retape une vieille maison à la campagne et pour plein de matos, il y a 15 ans sans eux, bin financièrement, ça aurait été galère (sauf si chaque semaine, lidl avait eu l’outil dont j’avais besoin).
Perso, je me suis mis à acheter sur Amazon, il y a 4 ans quand j’ai dû acheter un bon smartphone, nécessaire pour mon taff. Je savais la marque et modèle qu’il me fallait (je vous écrit avec présentement) et après avoir fait 30 km pour aller à la petite Fnac du coin, il n’y avait pas le modèle et les prix étaient abusés. Même en allant à 40km plus loin, j’étais pas certain de le trouver. Du coup, j’ai cliqué.
Et pour plein de trucs c’est la même chose dans ma situation.
Si certaines enseignes ou commerçants n’avaient pas pris les consommateurs pour des c… , ben j’aurais pas cliqué. Et pour le futur, le modèle d’amazon pourrait inspirer une distribution plus local, équitable et systématique.