« Comment se préparer à la crise financière et placer son argent en 2022 ? » L’édito de Charles SANNAT

Je relaie Charles Sannat depuis des années, à l’époque « Le Contrarien ». Tout évolue et la communication idem. Si vous êtes concernés, faites profit des conseils sinon, merci de vous abstenir de critiques inutiles. Il est évident que ces infos économiques s’adressent à ceux qui ont les moyens, nous, pauvres gueux fauchés ne sommes pas concernés mais, ça contribue à connaître le fonctionnement de l’économie. Au cas où, nous n’avons jamais rien gagner à relayer.

Par Charles Sannat pour Insolentiae

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

La semaine dernière j’évoquais la possibilité d’une fin de crise sanitaire qui aurait pour conséquence l’augmentation du risque de crise financière.

Une crise financière n’est pas forcément la fin du monde.

Les marchés peuvent perdre 50 % sans que le commun des mortels ne se sente particulièrement ruiné en France, surtout si s’il ne détient aucune action et ne possède pas de PEA.

Les obligations peuvent nous faire un aimable krach, sans que cela n’entraîne des pénuries dans votre supermarché.

Enfin, l’immobilier peut aussi baisser sans que cela n’émeuve particulièrement les citoyens de ce pays qui pourraient se loger pour moins cher.

Ce que je veux vous dire ici, c’est que lorsque je vous parle de la crise financière qui arrive, je suis à peu près convaincu que nous aurons à y faire face en 2022 où elle devrait commencer et peut-être encore en 2023.

Si je suis certain que nous allons affronter une crise financière, je ne peux pas vous dire quelle en sera la gravité.

Nous pouvons raisonnablement penser que les autorités monétaires et politiques, sauf accident toujours possible, préfèreront rattraper la situation en injectant autant que nécessaire de monnaie, plutôt que de prendre le risque d’un effondrement global, généralisé et systémique.

Si cette hypothèse se révèle juste, alors il faut se préparer à une crise financière qui ne sera pas LA dernière crise mais juste une crise parmi d’autres.

Cela implique que ce ne sera pas la fin du monde.

Si ce n’est pas la fin du monde, alors les affaires reprendront après, et surtout cette crise sera une opportunité pour vous, pour racheter des actifs bradés ou en nette baisse.

Il convient donc de se préparer professionnellement et en termes de ressources, mais aussi également en tant qu’épargnant, en prenant les meilleures décisions.

Vous pourrez donc lire dans le dossier STRATEGIES du mois de janvier, mes conseils pratiques pour vous préparer à affronter cette nouvelle étape, qui est la suite logique de la crise sanitaire.

Le monde économique a été gelé par la pandémie.

Nous avons accumulé des déséquilibres majeurs, nous avons additionné les dettes, nous avons fait du quoi qu’il en coûte. Il est temps de passer à la caisse désormais et de rembourser, de payer les coûts de la crise sanitaire. C’est le dégel, c’est-à-dire la fin de crise sanitaire qui est le marqueur du début de la crise économique et financière.

Nous y sommes.

Ne vous faites pas prendre comme le petit lapin dans les phares d’une voiture et tel un épargnant de Madoff en 2007 !

Je vous dis tout dans le dossier STRATEGIES du mois de janvier 2022 intitulé « Comment se préparer à la crise financière et placer son argent en 2022 ». Pour télécharger le dossier c’est ici dans vos espaces lecteurs. Pour vous abonner et en savoir plus, tous les renseignements sont là. (A noter que tout abonnement ouvre droit à l’accès à l’ensemble des des archives et dossiers déjà édités soit des centaines de pages et d’analyse et plus de 75 documents!)

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

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2 Commentaires

  1. Merci pour l’intro, qui espérons le, nous évitera les propos des habituels frustrés et autres jaloux.https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_good.gif

  2. D’autant plus que beaucoup d’entre nous pourraient devenir héritiers, même d’une petite somme qu’il ne fera pas bon laisser en banque.
    C’est pour cela que je ne suis pas tout à fait d’accord avec Charles quand il dit de garder son cash. Les banques garantissent jusqu’à 100 000 € mais le fond de garantie n’a pas l’argent pour ça. Donc c’est du pipeau !
    Il a de plus oublié un point: les terrains non constructibles. Bien sûr, ils ne rapportent rien. Mais ils peuvent faire une base de refuge en cas de problème. Les anciens, en dehors de cet usage, ne vendent pas les terres. C’est un bien précieux.

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