Avec tout ce qui se passe à tous les niveaux, rien n’est du au hasard. Nous sommes entrain de vivre un gigantesque hold-up planétaire, sur tout ce qui fait notre existence. On pourrait comparer avec l’époque des soldes où, « tout doit disparaître » pour renouveler les stocks. Sauf qu’il ne s’agit pas de marchandises, mais de nos vies et valeurs, de nos habitudes, de nos rapports familiaux et sociétaux, de nos libertés. C’est la refonte totale d’un « système jugé obsolète », pour ceux qui désirent diriger un troupeau qui n’aura plus de repères autres, que ceux imposés par ce Nouvel Ordre Mondial, dont un président français a dit et a même insisté sur : « Personne ! Je dis bien personne ! Ne pourra y échapper ». Tout sera liquidé, l’argent, le travail, la famille, la santé, la nourriture tels que nous les connaissons. Vous pensiez que le Grand Reset concernait la remise à plat de la finance folle ? Bienvenus dans l’ère « technotronique ». Ils ont déjà tout, il leur manque nos corps, nos esprits et ils seront fin prêts pour le dernier acte. Quid des « inutiles », des rebelles dans leur équation ? Bienvenus à Gattaca !!
Ce que propose le forum de Davos The Great Reset | Launch session 3 June 2020 » «La grande réinitialisation» sera le thème d’un double sommet unique qui sera convoqué par le Forum économique mondial en janvier 2021. Des dialogues en personne et virtuels aborderont la nécessité d‘un avenir plus juste, durable et résilient, et d’un nouveau contrat social centré sur la dignité humaine, la justice sociale et où le progrès de la société ne prend pas le pas sur le développement économique. Le Forum économique mondial est l’Organisation internationale de coopération public-privé. Le Forum engage les principaux dirigeants politiques, commerciaux, culturels et autres de la société à façonner les agendas mondiaux, régionaux et industriels. Nous croyons que le progrès se fait en rassemblant des personnes de tous les horizons qui ont la volonté et l’influence nécessaires pour apporter des changements positifs. » Présenté de cette façon, que du bonheur non ? Mais en fait, qui seront les réels bénéficiaires de ce » grand reset ? » Partagez ! Volti
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Le concept de spirale dynamique a été développé par Don Beck et Chris Cowan sur la base des théories de Clare W. Graves et présenté en 1996 dans un livre du même nom (dernière édition 2014). Le modèle a été initialement conçu pour communiquer les idées de Graves à un public de managers, mais, de par la facilité avec laquelle le modèle permet d’appréhender la culture et la psyché des groupes humains, il a également trouvé d’autres promoteurs et cibles.(Wikipédia)
L’année 2020 brille par ce que l’on pourrait décrire comme un chaos organisationnel mis en place en direct par les élus politiques. Pourtant, rien n’est plus faux. Nous arrivons au terme d’une période de transition qui devait au lendemain de la 2ème guerre restructurer non seulement les pays en profondeur, mais aussi les mener du point A au point B. Et dans cette mutation, TOUS les aspects de la vie sur terre devaient être revus et modifiés. C’est le grand RESET. Prenez le temps d’écouter M Klaus Schwaab, le patron du World Economic Forum. Il y dit tout. (**En Anglais, s’il vous trouvez une version traduite merci de la proposer**)
En juin 2015, je vous annonçais le phénomène, bien que n’ayant de loin pas toutes les données que je peux détenir aujourd’hui. Mais un certain nombre de constats m’avaient amenée à poser cette analyse.
https://lilianeheldkhawam.com/2015/06/21/la-grande-mue-de-letat-nation-a-un-etat-transnational-par-liliane-held-khawam/
Une grande mue a frappé la planète. La nouvelle création est en train d’émerger et d’être imposée à tout un chacun. Et ce n’est pas forcément un papillon.
Toute la politique des banques centrales annonçait une espèce de liquidation générale des monnaies nationales, et de l’épargne des citoyens. L’élite émergente s’est construit un nouveau monde, doté de ses Frankenstein en herbe, avec les richesses des Etats ET des banques ET des entreprises non bancaires ET des citoyens. Une astuce fumeuse, précise, et d’une intelligence redoutable.
Le dernier acte de la mue se présente actuellement sous forme d’une révolution sociétale qui vise à mettre en place une « société » mathématique, dirigée supposément par la science.
Dans les faits, la société est en cours de liquidation. Les symboles se suivent et se complètent. Nous vivons une liquidation sociétale à l’image même de celle qui a frappé la planète finance, qui n’est autre qu’un pillage du vrai marché monétaro-financier par une poignée d’individus que nous nous abstiendrons de qualifier ici.
Le confinement par exemple est une manière de casser les liens sociaux qui cimentent une vie professionnelle. Les individus sont invités à se replier sur eux-mêmes. Et comble de perversion, certains sont payés malgré l’arrêt de l’activité. Pire que cela durant les semaines de confinement, en tout cas en Suisse, il a fait excessivement beau, donnant l’impression d’être en congés payés. La réalité est que cet arrêt des activités économiques débouchera tôt ou tard sur les faillites de ceux qui avaient échappé aux griffes des phagocyteurs de la planète finance. La probabilité de la perte de votre autonomie financière et professionnelle devient importante, pour ne pas dire quasiment assurée. A terme, la dépendance, y compris alimentaire, face à des tiers augmentera jusqu’à devenir existentielle.
https://www.businessinsider.fr/us/social-distancing-in-africa-could-contribute-to-food-shortages-2020-4
La distanciation sociale doublé de traçage comme un paquet de DHL a généré une double peur face à l’autre. D’abord, celle de contracter ce virus dont on ne comprend rien à cause d’un enfumage médiatico-politique quasi continu. Ensuite, il y a cette peur d’être contacté à tout moment pour être soumis aux procédures d’une Task force, dont certains membres influents sont proches du business de Big pharma, et qui a tous les pouvoirs pour vous infliger le traitement réservé autrefois aux pestiférés. Ainsi la distanciation sociale va vous isoler physiquement, mais aussi psychiquement au fur et à mesure que la peur de l’autre grandit.
Le masque enfin, qui est un outil bénéfique quand il est utilisé à propos, devient une arme de destruction sociétale. Le masque va tendre à désidentifier physiquement l’individu qui est plus difficilement reconnaissable par son réseau social. De plus, le masque va fausser la voix, autre signe d’identification. Bref, le masque participe à une perte d’identité, à l’image du traitement qui a été administré aux Etats, aux territoires et aux entreprises.
Souvenez-vous, il a fallu débarrasser ces entités de leur identité. Pourquoi? Parce qu’une identité forte rend difficile la domination de l’organisme qu’elle caractérise, qu’il s’agisse d’une entreprise ou d’un individu.
Nous aurions pu multiplier les observations. Mais ces simples trois aspects permettent d’anonymiser les humains. Pourquoi? Pour mieux les globaliser? Peut-être… Pour mieux les dominer? Sûrement.
Alors beaucoup de questions se posent à ce stade. Ce sont les mêmes que je pose depuis de nombreuses années. Que vont devenir les personnes vulnérables: âgées, handicapées, malades, ou affamées? Que va devenir le concept familial? Va-t-il passer à la trappe? Il y a des risques qu’il ne soit pas du goût du Nouveau Monde. La famille étant un référent identitaire, elle peut être éradiquée.
Au sortir de la crise du Covid, que restera-t-il de la société telle que nous l’avons connue? Que restera-t-il de la famille? Que restera-t-il du couple? Il est urgent de projeter les exigences tyranniques imposées à l’humanité entière au nom d’un virus qui n’arrive pas pour l’heure à justifier de la mise à mort de la vie de la société.
Je me permets de vous mettre ci-dessous l’introduction de mon livre Coup d’Etat planétaire. Il est impératif que le plus grand nombre comprenne les dangers potentiels qui menacent l’humanité.
LHK
Introduction de Coup d’Etat planétaire
Un monde s’en va, un autre arrive. Entre les deux, sept décennies ont déployé une transition qui s’est présentée sous la forme d’une mondialisation, menée par une économie de marché, sur fond de peur du dragon chinois. La réalité est autre, et peut être résumée par une mise en garde : « Le fil d’Ariane, à travers le dédale de nos problèmes actuels, c’est le phénomène de leur mondialisation. Ou nous accepterons les arbitrages globaux tels qu’ils résultent des calculs de la raison humaine épaulée par l’ordinateur, ou nous nous perdrons tous dans la poursuite égoïste de nos intérêts nationaux et régionaux.[1] » Cette affirmation est extraite du rapport du Club de Rome, un puissant think-tank associant un nombre important d’industriels, d’économistes, de scientifiques, de hauts fonctionnaires nationaux et internationaux, y compris des rois et reines. Son président fondateur était Aurelio Peccei, le patron de Fiat.
L’actuelle restructuration spectaculaire de la planète dérive de la croyance vantée par un certain milieu que la gestion du monde est une affaire collective, qui doit être gérée de manière globale, au-delà des Etats et des citoyens. Pour ce faire, un management calqué sur celui de l’entreprise serait nécessaire. De plus, il devrait être centré sur une ingénierie que permet l’ordinateur, ou plus globalement la machine informationnelle. Or, toujours selon cette croyance, pour arriver à rationaliser au maximum les processus de prises de décisions, il faut procéder à une collectivisation des ressources planétaires. On a donné à cette doctrine le nom de développement durable, fil rouge du nouveau monde.
Ainsi, depuis la chute du mur de Berlin et l’avènement du marché financier global, deux processus cohabitent. Le premier est celui qui précipite au fond des océans le concept de l’Etat, sa Constitution, ses législations, sa démocratie, ainsi que le statut de citoyen. Le second qui émerge simultanément des ordinateurs des technocrates supranationaux est celui d’un système qui se donne à travers des contrats un territoire planétaire unifié, toutefois virtualisé et tissé par une infinité d’interrelations, et d’interdépendances. L’humanité est priée de s’y « enraciner » pour le meilleur et le pire.
Le projet du nouveau monde, jamais présenté au public dans sa version finale, a forcément dû acter la fin des Etats, de leurs possessions, de leur souveraineté territoriale, de leur puissance publique, ainsi que de la chose publique en général. Toutefois, avant d’y mettre un terme définitif, il a fallu veiller à faire transférer les attributs et les richesses des Etats vers l’oligarchie supranationale, garante du nouveau monde.
A la tête de cette oligarchie, se trouvent les bénéficiaires finaux de l’endettement mortifère de la planète. Ces individus sont inconnus. Grâce au mutisme des médias d’investigation, et à une barrière infranchissable constituée d’une infinité de structures, à la fois supra et infranationales, dotées de personnalités juridiques, parfaitement anonymes, ces conquérants du monde demeurent dans l’ombre. Bien que leur identité soit inaccessible, il n’en demeure pas moins que ces individus existent forcément, et bénéficient de l’élément central qui leur permet de conquérir le monde : le seigneuriage de la monnaie. De fait, les bénéfices de la confiscation de la création monétaire de la planète par les nouveaux seigneurs sont incalculables. Notre hypothèse de travail de fond est qu’ils ont pu, grâce à ce privilège régalien transmis par l’ensemble des pays, s’approprier la planète et ses ressources, y compris humaines. Dotés d’un pouvoir holistique, global, ces maîtres d’un genre inédit vont imposer un nouveau paradigme, ou reset, dans tous les domaines du globe. Au plus tard en 2030, le nouveau monde devra être opérationnel.
…/…
Leur but actuel est de faire de nous des moutons mais ils savent que les brebis galeuses vont faire éclater le troupeau. Quand l’éclatement arrivera ils brandiront une police robotisée qui ne fera pas de quartiers, ce sera le début d’une 1ère vague d’extermination.
Nous n’en sommes qu’au tout début.
A présent c’est les uns contre les autres et créer des groupes de rebelles comme ils le font avec les terroristes.
Bonne guerre à tous
04/08/2020 – https://wp.me/p4Im0Q-3R1
– La Liberté est-elle un privilège ou une obligation d’état ? L’assignation à résidence d’un peuple avec utilisation d’ausweis est-elle un privilège d’état ou une obligation d’un Peuple ? Le port d’un masque est-il privilège de femmes musulmanes ou islamisation d’état par ses banlieues interdites ? Il paraît que demain, à l’aube, il n’y aura plus aucun privilège… Vous y croyez ?
Des privilèges ont été abolies avec la Révolution de 1789 pour être remplacés par…d’autres privilèges.
Oui il y aura toujours des privilèges.
L’immense crise des besoins humains a pour point de départ le besoin de vérité.
Avant de pouvoir dire : Voilà ce qu’il faut, il faut pouvoir dire : Voilà ce qui est.
Il est des gens naïfs qui croient que l’histoire est le récit exact des faits du passé. Ils semblent ignorer que le monde est, depuis longtemps, régi par le mensonge et que le désordre de la société actuelle en est la conséquence.
La langue des oiseaux pour avoir un aperçu de l’origine du mensonge.
L’histoire est un tissu de mensonge, une « père-version ».
À l’aurore du mensonge était ce Ram celtique, le « rejeté des nations » que les Hindous appellent Râma, c’est lui que le Tibet, la Chine, le Japon et les immenses régions du Nord de l’Asie honorent sous le nom de Lama. Il est connu sous le nom de « Fo », de « Pa », de « Pa-pa » (monarque paternel) ou de « Pa-si-pa » (Père des pères). C’est lui qu’en Perse on a appelé Giam-Shyd (ou Djamchid) et dont on a fait le premier monarque du monde.
Le nom de « Ram » signifiait un bélier, symbole de force brutale.
De Ram on fit « lam » (c’est mal retourné), qui signifie agneau. Ce nom lui resta, et le voilà devenu l’agneau, l’être doux, comme la frêle jeune fille. C’est le commencement de la comédie, mais les suites furent si terribles que de lam on fit les mots lamenter, lamentable, lamentations.
N’est-ce pas de « mal » que l’on fit « mâle » ?
Chez les Etrusques, les hommes séparés des tribus régulières sont « perdus ». On les appelle des mânes (d’où man). Ce sont des êtres déchus vivant dans les limbes, c’est-à-dire dans un monde sans lumière. (…) Dans le « Li-Ki » des Chinois, il est dit des hommes : « Ceux qui avaient perdu le sentiment du devoir étaient considérés comme des hommes morts ».
(…)
Le Don Quichote n’est pas une parodie des romans de chevalerie, contrairement à l’opinion admise. Le chevalier errant est un cabalier, celui qui connait la cabale, la langue des oiseaux ; il est aussi un pèlerin en quête. L’araméen « Q’chot » signifie « vérité », ce qui nous renseigne quant à l’objet des pérégrinations du chevalier à la triste figure.
En grec, Âne se dit « onos » et l’anagramme de ce mot, noos, désigne l’esprit. Cet esprit, il est nécessaire de le capter, encore faut-il savoir quelle en est la source. La réponse tient dans le personnage de Dulcinée, la Dame…
(…)
Dans toutes les représentations alchimiques, et même symboliques au sens le plus large, le vert est la couleur du secret, de la connaissance cachée, de l’envers des choses : facile à retenir, l’envers est ce qui est en vert ! La langue des oiseaux se régale des multiples homophonies de cette couleur : dans le vert on entend aussi le verre, qui symbolise la transparence, puisque la lumière passe « à tra-vert ». Tendez l’oreille : c’est la couleur du verbe, de la vertu et de la vérité. Ce qui est tout vert est ce qui est ouvert, c’est à dire l’inverse du verrou.
(…)
Depuis plusieurs milliers d’années le monde lutte, l’humanité souffre, le Mal règne et grandit, le Bien est vaincu et s’affaiblit ; le Droit est sacrifié à la Force.
Mais cet état de choses ne doit pas toujours durer. La progression dans le mal a un terme fatal ; le terme même de la vie, puisque l’invasion du mal, dans l’homme, détruit peu à peu son existence ; l’invasion du mal dans les sociétés détruit peu à peu les sociétés : par la guerre, par le meurtre, par le suicide, par l’assassinat, par la misère, par la stérilité voulue de la femme.
Il faut donc que le Mal ait un terme ou, sinon, que l’humanité disparaisse.
Ce terme c’est la Rédemption.
C’est le renversement de la marche actuelle des choses.
C’est le triomphe de l’Esprit sur la Force, ramenant l’humanité dans la voie du Bien, la voie de l’Evolution progressive.
Ce grand événement qui doit, tout d’un coup, renverser l’œuvre de destruction du passé, a été prévu et annoncé depuis longtemps. L’antiquité l’a aperçu comme un phare brillant dans un avenir lointain, et ce n’est pas là une vision surnaturelle, la marche forcée des choses devait amener ce résultat. Il pouvait même être calculé avec une précision mathématique.
Lien : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/introduction.html
C’est sans doute que je suis vieux (72 ans) mais je ne comprends rien à des articles comme celui-ci, Et de plus je me méfie de ce que j’entends et de ce que je lis. Sans doute ai-je tort, mais je n’ai plus envie de vivre dans le monde tel qu’il est devenu.
Pourtant je n’ai pas de télévision. Je vis en retraite dans un village où mes voisins sont des amis. On est de moins en moins nombreux, mais on se retrouve le soit après les travaux des jardins pour boire une bière ou un rachiu (eau-de-vie).
Les jeunes sont tous partis tâcher de gagner leur vie en Europe de l’Ouest, ou même au Canada ou ailleurs. Ici on n’a pas encore eu de coronavirus, mais tout le monde a été bouclé chez soi.
Des amis en sont morts, mais tout le monde s’en fout puisque ce n’était pas le corona.
Sauf les veuves, bien sûr.
Et quand on doit aller en ville pour une ou deux courses, on a l’impression de se rendre chez les Martiens.
Et je suis sûr que ça va durer.
Pas le virus, mais la muselière obligatoire.
Je ne vais plus en ville, ça me déprime.
Si c’est ça le monde que vous voulez, je vous le laisse, je préfère me laisser mourir.
Bonjour Jean,
Je comprends l’impression que te donne la ville et ses écervelés masqués, moi non plus je ne peux plus les supporter et je suis heureuse de vivre dans mon village. Comme tu le dis on y trouve encore des amis et on y cultive le jardin, aussi bon pour entretenir le corps que l’esprit. On peut y travailler au chant des oiseaux entouré de verdure (ça c’est quand même pour la poésie car en ce moment c’est bien sec et la pluie serait bienvenue !)
La déprime ne doit être que passagère car c’est mauvais pour les défenses immunitaires ! A 72 ans (je ne les ai pas encore mais je n’en suis pas si loin non plus !) on n’est pas « vieux » et on ne se laisse pas mourir, on lutte avec les moyens que l’on a qui sont à minima de témoigner qu’un autre monde a été et peut encore exister du moins en partie. D’autres se sont battus pour nous par le passé dans d’autres combats, même si aujourd’hui dans la forme tout semble différent la petite étincelle qui nous fait résister ne doit pas s’éteindre.
Merci pour le message. Effectivement, chaque fois que je sors je vois ce spectacle des gens paniqués suite à la propagande anxiogène des médias, étouffant sous leur masque et prêts à agresser ceux qui ne sont pas masqués.
Je n’ai pas peur du virus, quel qu’il soit.
Je crains de me faire écharper par la foule, car leur panique est mauvaise conseillère.
Je crains surtout que notre société s’installe définitivement dans la peur et la haine de ceux qui ne se conforment pas aux directives. La délation sera pire que ce que nous avons connu (je vis dans un pays qui a connu la « dictature du prolétariat »).
Non, je ne veux pas revivre cela.
Même si les temps sont difficiles essayons de quand même garder l’espoir.