Ça mérite réflexion. Quand une certaine presse fait le jeu du pouvoir, déforme volontairement l’information, nous assistons à un rejet massif de l’information donnée, toujours sujette à caution tant on nous a fait avaler des couleuvres. C’est devenu une caste de journaleux, royalement payés pour déverser leur mépris sur le peuple, inculte, alcoolique. illettré, factieux, etc… selon les dires du locataire élyséen. Un entre-soi toxique, puisqu’ils ne font plus leur travail de contre pouvoir, et sont soumis aux riches propriétaires de leur outil de travail, ceux là même, qui protègent celui qu’ils ont mis en place pour leurs intérêts.
Pour rendre son indépendance et sa crédibilité à cette presse « chien de garde » du système et collabo des riches, il faudrait qu’elle soit propriétaire de son outil de travail et, interdire aux milliardaires et autres corporations puissantes, de s’approprier les médias.
Ceux qui contrôlent l’information, la santé, la nourriture et l’argent contrôlent le monde. Nous pouvons le constater tous les jours. On ne peut plus rien critiquer, sous peine d’être étiqueter, on ne peut plus s’exprimer, sans être accuser d’être d’affreux anti-tout. Et les lois répressives s’amoncellent.
Nous n’avons plus le droit à la parole, on stigmatise ceux qui ne s’alignent pas sur la pensée de l’exécutif et sans débat, les étiquettes fleurissent, on les vire des médias, c’est le meilleur des moyens pour faire taire les réfractaires et permettre la réflexion. S’il fallait donner un nom cette situation dangereuse, on pourrait parler de totalitarisme.
Quelle que soient les opinions, on doit pouvoir les exprimer, sans redouter les foudres de la loi. Partagez ! Volti
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Par Tim Keating pour Sott.net partagé avec Aphadolie
Il existe des lois qui protègent la liberté d’expression de la presse, mais aucune qui ne valent quelque chose pour protéger la population de la presse.
~ Mark Twain
Le cycle des nouvelles d’aujourd’hui est tel que nous sommes bombardés d’informations, dont une grande partie sont de fausses nouvelles et dont la plupart se font écho les unes les autres. Il y a d’excellents journalistes, blogueurs et universitaires, mais trop souvent ils ne sont pas entendus dans la nuée électronique de l’hystérie qui passe pour des « nouvelles ». Les médias grand public ont peu de journalistes dignes de ce nom, mais par contre beaucoup de la sorte de ceux qui sont prêts à se compromettre pour le « scoop exclusif ». L’opération Mockingbird de la CIA a révélé une collusion entre le gouvernement et les médias il y a des décennies. Et aujourd’hui, lorsque certains journalistes soumettent régulièrement leurs brouillons à des intérêts puissants avant de les publier, il est relativement facile d’attirer dans les médias « les bonnes personnes » qui s’en tiendront au scénario.
Publicare et Propagare
Le journalisme est aussi vieux que la civilisation. Ptah-hotep, vizir du pharaon égyptien Djedkare Isesi, écrivit quelque 2 200 ans avant Jésus-Christ sur la nécessité de « communiquer sincèrement, de répondre aux intérêts du public et d’agir d’une manière cohérente avec ce qui est dit ».
Jules César lança l’Acta Diurna, une gazette quotidienne « publiée dans des endroits bien en vue à Rome et dans les provinces dans le but de nourrir la population d’informations officielles ».
L’Acta Diurna a introduit l’expression « publicare et propagare », qui signifie « rendre public et propager« , et a été typiquement écrite comme une note de bas de page aux textes publiés dans la Diurna. La pratique de l’enregistrement des délibérations du Sénat a été maintenue après César, bien que son successeur ait refusé de les publier, par la suite elles n’ont souvent été publiées que sous une forme censurée.
Dangereux Média
Alors ainsi, maintenant, l’information est un métier. Qui fabrique l’information, contrôle le message et donc, ce que croit la population ? Bien que les fournisseurs d’informations puissent souhaiter faire savoir que l’information qu’ils communiquent a une valeur objective, exempte de partialité et qu’elle constitue simplement « l’information », tout ce qui est présenté en tant que tel est chargé d’hypothèses, toutes ces hypothèses visant en fin de compte à assurer la « continuité narrative » et donc le statu quo.
Mais un bon journalisme, tout en respectant les « règles du jeu », va remettre en question les récits officiels. Le journalisme n’est pas toujours une profession tranquille ; en fait, il peut être carrément dangereux. Selon la Press Emblem Campaign (PEC), « plus de 1 000 journalistes ont été tués au cours des neuf dernières années ».
En 2013,129 journalistes ont été tués. En 2014, 128 ont été tués. Rien qu’en Ukraine, pendant le seul coup d’État soutenu par les États-Unis en 2014, 9 d’entre eux ont été tués, dont Andrei Stenin, écrasé par les fascistes de Kiev soutenus par l’Occident. A Gaza, 16 journalistes ont été tués par les forces israéliennes lors de l’opération Protective Edge. En Syrie en 2017,13 sont morts, dont Serena Shim (photo à gauche), tuée juste de l’autre côté de la frontière avec la Turquie.
Il ne s’agissait pas de journalistes « incorporés », ni de journalistes déguisés pour dire la vérité, mais de journalistes et de photojournalistes qui risquaient leur vie pour raconter des événements que les médias mainstream rejettent.
Créances et serments
Le journaliste sérieux est censé défendre le « Credo du journaliste », qui contient cette déclaration :
« Je crois que la suppression de l’information, pour toute considération autre que le bien-être de la société, est indéfendable. »
Bien sûr, la tâche de décider ce qu’il y a dans le « bien-être de la société » ne revient pas au pigiste moyen, mais à ses patrons, qui à leur tour sont souvent liés aux dirigeants politiques et aux chefs d’entreprise. Donc, si jamais nous nous retrouvons dans une situation où une culture de la corruption et du copinage définit la politique et les affaires, avec cette définition de l' »éthique journalistique », il n’y a littéralement aucune chance que les médias grand public ne fassent jamais appel à la responsabilité des corrompus. Ils sont la « société » et leur bien-être serait menacé.
Il existe d’autres déclarations éthiques pour les journalistes d’aujourd’hui, comme celles de la Société des Journalistes Professionnels. Sans citer tous leurs « codes », leur directive principale est la suivante :
« Ne déformez jamais délibérément les faits. »
La déformation des faits est la « distorsion » délibérée des réalités auxquelles les gens sont confrontés chaque jour. A cet égard, lorsque des distorsions de faits sont diffusées ad infinitum, les gens commencent à croire à des demi-vérités et à des mensonges. L’histoire et les nouvelles sont pleines de cette approche délibérément trompeuse, qu’il s’agisse de permettre aux annonceurs publicitaires de manipuler les gens afin de gagner de l’argent, de rallier les auditeurs derrière les dirigeants politiques ou de pousser à la guerre. Ce n’est pas par accident. Les magnats des médias ont bien compris que les gens sont sujets à un « biais de confirmation ». Ce biais, essentiellement, s’enracine dans la déformation de croire ce que l’on veut croire plutôt que ce qui est la réalité.
En fin de compte, les journalistes des Masses Médias doivent sûrement savoir s’ils pratiquent ou non leur éthique, « déformer délibérément les faits » ou simplement les embellir. Soit c’est ça, soit ils ont une conscience d’eux-mêmes pas plus élevée que celle d’une huître. Pourquoi violeraient-ils leurs principes ? La plupart ont besoin d’un chèque de paie à la fin du mois, et presque tous ont besoin de reconnaissance. Et c’est beaucoup plus facile de suivre le troupeau que de pointer son nez avec une vérité dérangeante.
Les conglomérats
Aujourd’hui, dans un conglomérat de plus en plus uniforme, les médias transmettent un message unique au peuple : « Faites-nous confiance, quoi que nous disions ». Ce n’est pas nouveau. Dans les années 1930, la dynastie Krupp était célèbre pour sa production d’acier, d’artillerie, de munitions et d’autres armements. Ils possédaient aussi des journaux. Dans leur livre Les Marchands de la mort publié en 1934, H. C. Engelbrecht et F. C. Hanighen observent :
« Aucune méthode commerciale moderne n’était inconnue de Krupp. Le pouvoir de la presse était compris et apprécié. Krupp possédait ou contrôlait trois grands journaux, le Rheinisch-Westphaelische Zeitung, le Berlin Taegliche Rundschau et le Neuests Nachrichten. C’était une simple question de réveiller l’opinion publique à une frénésie patriotique à tout moment nécessaire, par peur de la guerre ou en donnant une place importante aux activités des autres pays qui s’armaient, en particulier pendant les années fébriles avant la guerre. »
Pour faire un exposé sur une période de temps, les auteurs soulignent de nombreux autres exemples couvrant la période entre la Première et la Seconde Guerre mondiale. Après 1945, les armuriers et la presse étaient à nouveau liés – les exemples pourraient remplir de nombreux volumes. Et depuis ce temps, les mêmes forces entrepreneuriales ont consolidé leur alliance et leur pouvoir dans une tentative de dominer complètement le marché de votre esprit.
Contrebalancer
Heureusement, il y a d’excellents journalistes qui essaient d’honorer leur conviction. Certains d’entre eux ont peut-être développé leur carrière en travaillant pour les Masses Médias et ont appris ses pièges, ses manipulations et son manque d’intégrité générale. Ceux qui ont fait ces observations et décidé de s’exclure, qui ont tracé leur propre voie en se fondant sur la conscience et la responsabilité de fournir des faits, sont tristement peu nombreux.
Mais cette espèce rare de journaliste a objectivement couvert les événements du Golfe du Tonkin (Bắc Kỳ), la guerre du Vietnam, les assassinats de JFK, RFK et MLK, l’Irak 1.0 et le 9/11, l’Irak 2.0 et la Libye, les rebelles modérés de Syrie et les Casques Blancs, le coup d’Etat en Ukraine avec la Russie en tant que bouc émissaire, les récentes élections américaines et ce qu’elles ont entrainé. Malheureusement, il est peu courant que le vrai journalisme atteigne le grand public. Au lieu de cela, nous avons des entreprises qui jouent le rôle de gardiennes des médias, comme Google et Facebook.
La « Constitution Society » écrit qu’un événement aurait eu lieu au New York Press Club en 1880. Un toast a été offert à l’honorable presse réunie autour du journaliste new-yorkais John Swinton. Swinton a répondu par la présente :
« Nous sommes les pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont la propriété d’autres hommes. Nous sommes des prostituées intellectuelles. »
Avec l’hystérie actuelle venant de la gauche qui domine l’actualité, peut-être quelques mots dans la presse par quelqu’un qui a su la transformer en arme – Joseph Goebbels, le ministre nazi de la propagande – pourraient faire passer le message :
« Pensez à la presse comme un grand clavier sur lequel le gouvernement peut jouer. »
Et en jouer, ils le font.
Tim Keating pour Sott.net partagé avec Aphadolie
Fillon-le-voleur n’est -il pas le mieux placé pour la ramener , cette à une tête a claque
Macron, c’est un petit joueur »: pour Fillon, la crise des gilets jaunes n’était « pas grand chose »arrogant le châtelain ,le Fillon , même le System a pas voulu de lui , lui s’était sans vaseline , aller en taule et vite !salop
https://www.bfmtv.com/politique/macron-c-est-un-petit-joueur-pour-fillon-la-crise-des-gilets-jaunes-n-etait-pas-grand-chose-1784451.html
Mettons fin aux privilèges fiscaux des journalistes,Les pantins embauchés par la presse
TOUS LES FRANÇAIS SONT CENSÉS ÊTRE « ÉGAUX » DEVANT L’IMPÔT. L’ARTICLE 13 DE LA DÉCLARATION UNIVERSELLE DES DROITS DE L’HOMME ET DU CITOYEN RAPPELLE QUE LES IMPÔTS « DOIVENT ÊTRE ÉGALEMENT RÉPARTIS ENTRE TOUS LES CITOYENS EN RAISON DE LEURS FACULTÉS ». VOILÀ, LE PRINCIPE INSCRIT DANS NOTRE CONSTITUTION, MAIS EN RÉALITÉ, CERTAINS BÉNÉFICIENT DE PASSE-DROITS TRÈS AVANTAGEUX, C’EST LE CAS DES JOURNALISTES. CES DERNIERS BÉNÉFICIENT ENCORE AUJOURD’HUI D’UNE « NICHE FISCALE » CRÉÉE EN 1934.
Une déduction d’impôt corporatiste coûteuse pour les contribuables !
Inscrite à l’article 81 du code général des impôts, cette disposition permet aux journalistes de déduire directement 7 650 euros de leur revenu imposable pour « les frais inhérents à leur fonction ». Peu importe que l’activité de journaliste soit exercée à temps plein ou à temps partiel ! Peu importe que le journaliste soit détenteur d’une carte de presse ou non !
Concrètement, un journaliste gagnant 3 000 euros par mois verra, grâce à ce dispositif, le montant de ses impôts être divisé par près de deux. Il ne paiera que 2125 € d’impôts par an, alors qu’un autre contribuable avec les mêmes revenus que lui sera imposé à hauteur de 4 153 euros. Le manque à gagner pour l’Etat est, dans cet exemple, de 2028 € par journaliste.
Un privilège qui n’a plus de justifications !
A l’origine, cette mesure se justifiait en raison de l’impossibilité pour la plupart des journaux français d’après guerre de disposer des ressources financières suffisantes pour rembourser l’intégralité des frais professionnels. Dans ce contexte, l’Etat a accepté d’assumer ces défraiements.
Cependant, depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, les conditions salariales des journalistes ont évolué. Désormais, les frais professionnels de la plupart d’entre-eux sont pris en charge par leurs journaux. Les journalistes peuvent donc cumuler les remboursements effectués par leur entreprise et celui de l’Etat !
Une garantie anti-contrôle fiscal
Ce double remboursement est d’autant plus scandaleux que l’article 81 du Code général des impôts précise que les frais professionnels des journalistes « sont toujours réputés utilisés conformément à leur objet et ne peuvent donner lieu à aucune vérification de la part de l’administration ». Cela veut donc dire que les défraiements de journalistes ne peuvent faire l’objet d’aucun contrôle fiscal !
Et les journalistes en veulent plus : -40% d’impôts pour usage de mascara !
Dernièrement, les journalistes de l’audiovisuel ont réclamé le droit à un abattement fiscal de 40 % de leur revenu, dont 10% au titre du remboursement des « frais esthétique ». Pour reprendre notre exemple d’un journaliste gagnant 3 000 euros par mois, si cette mesure était appliquée, il ne paierait plus que 1 180 euros d’impôts soit 2 973 euros de moins qu’un autre contribuable disposant des mêmes revenus…
Les stars du JT apprécieront cette attention. Les mieux payés de nos « stars du petit écran » profiteront d’un cadeau fiscal pouvant atteindre 80 000 euros.
celle là est trop belle pour la laisser passer.
Un journaliste sanctionné pour avoir fait sont travail chez France télévision.
https://fr.sputniknews.com/france/201910111042245124-france-televisions-convoque-un-journaliste-qui-avait-evoque-la-piste-dun-attentat-a-la-prefecture/
Et là ce n’est pas un attentat. C’est juste quelques blessures involontaires de la part d’une personne déséquilibrée sur certains imprudents qui se sont jetés sur un couteau.
Manchester: plusieurs blessés après une attaque au couteau, la police antiterroriste saisie – images
https://fr.sputniknews.com/international/201910111042244887-plusieurs-blesses-apres-une-agression-au-couteau-a-manchester/