LES MAÎTRES DU CHAOS – Introduction à l’Autopsie d’un Monde sous Hypnose

Bienvenue chez les Maîtres du Chaos !

En 2025, l’humanité a cessé de chuter et désormais elle creuse. Dans la glaise tiède du cynisme, elle a trouvé une veine d’or noir et de sang d’innocents, irrigant sans cesse celui du chaos organisé. La guerre n’est plus une défaite morale, mais une ligne de produit. Elle s’exporte, se médiatise, se vend, s’affiche et se valorise. Elle se décline en séries limitées, en stratégies de marché, en innovations technologiques où elle se donne des allures de progrès. Elle s’évalue en pourcentages de croissance et se déclenche par décret, sans colère ni haine. Juste avec un clic et en suivant un ordre bien précis où le sang est désormais une ressource. La souffrance, une variable. La mort, un dividende. Un monde où le chaos n’est plus une tragédie mais un business model. Elle est devenue une entreprise florissante dont les seuls coûts sont humains et les profits inimaginables pour le commun des mortels. Et comme toute entreprise, elle a ses conseils d’administration. Ses actionnaires planqués dans les tours de verre. Ses départements de communication qui repeignent les crimes en opérations de paix. Ses agences de notation qui évaluent le chaos selon sa « stabilité ».

L’Histoire, comme toujours, se répète comme un refrain usé, et il suffit d’ouvrir un temps soit peu les yeux pour voir que ce que l’on nous impose aujourd’hui n’est qu’un avatar déguisé des maux d’hier. Chaque mouvement de ce système, chaque action qu’il entreprend, est une version rajeunie d’un mal ancestral. Ce n’est pas à un simple accident de parcours que l’on assiste dans cette répétition des mêmes erreurs, mais un acte volontaire de ceux qui se nourrissent de cette stagnation, de cette inertie collective qui étouffe la pensée. Il est donc grand temps de faire tomber les rideaux, de pulvériser le décor, de briser, une bonne fois pour toutes, cette illusion tenace d’un monde gouverné par la raison, les lois, et la morale universelle. Ce monde-là, celui qu’on nous vend chaque soir aux journaux de 20h, n’existe pas ! Il n’a même jamais existé. Derrière le vernis diplomatique, les sourires en costume et les discours sucrés à la liberté, ne subsiste qu’un vaste théâtre de manipulations, une foire morbide où les puissants marchandent le chaos comme d’autres trafiquent des diamants, des enfants, des organes ou de la morphine. C’est une maladie incurable qui se nomme avidité !

Et comme toute maladie, la première étape pour l’éradiquer est de bien en diagnostiquer les symptômes, de nommer ses causes. Nous sommes face à un mal systémique, enraciné dans une conception surannée de la domination, de l’exploitation et de l’injustice. Tant que nous continuerons à fermer les yeux sur ces symptômes, à traiter le monde comme un simple produit de consommation, nous continuerons à réenfouir nos espoirs sous les décombres de cette illusion qu’on appelle civilisation. Or, la clef de notre évolution, si nous voulons réellement en sortir, c’est d’accepter d’affronter cette vérité crue et d’admettre que cet Ordre Mondial « nouveau » n’est qu’un simulacre, une caricature, une répétition bégayante de ce qui entraîne depuis toujours l’humanité vers sa perte.

Chaque épisode de cette série vous prendra à la gorge, car chaque vérité qu’on vous y sert est celle qu’on vous a toujours refusée. Vous n’en sortirez pas indemne et c’est le but recherché. Il n’est plus temps de comprendre mais il est temps d’accuser. De nommer, de pointer, de hurler. Car ce monde est sous hypnose. Et il ne se réveillera qu’à coups de vérité. Tranchante. Féroce. Irréversible. Et se libérer de cette dictature des apparences et des mensonges est la seule voie pour laisser place à un monde qui, enfin, soit véritablement digne de ce nom.

Ce que vous vous apprêtez à lire n’est pas une simple suite d’articles, mais bien une analyse incisive, un scalpel plongé dans les entrailles gangrenées d’un ordre prétendument neuf, mais qui, en vérité, n’est qu’un écho funeste d’une litanie déjà mille fois récitée à travers les âges. Ce monde que l’on nous vend comme une promesse de progrès n’est qu’un mirage, soutenu par les piliers de la guerre, de la dette et de la propagande, des instruments d’une manipulation archaïque que l’on persiste à vouloir appeler modernité. Il est grand temps de se débarrasser de ces carcans d’un autre temps, de briser ce cycle infernal qui ne fait que perpétuer une histoire millénaire d’oppression et de contrôle.

Alors asseyez-vous et regardez en face ce que les médias de propagande appartenant à des milliardaires subventionnés assoiffés de profits nous cachent. Ici, il n’y aura plus de demi-mesures, ni de gants blancs pour tourner les pages de cet album de ténèbres. Les États-Unis sont un pays de bluffeurs compulsifs, tête de liste d’un empire sénile, qui maquillent leur décadence en croisade humanitaire. L’OTAN n’est qu’une machine de guerre sous stéroïdes, déguisée de cap en pied en mission de paix qu’elle ne cesse de bafouer. Israël est un poste avancé d’un colonialisme sanguinaire et archaïque, travestie en démocratie assiégée, un bourreau qui veut faire croire qu’il est une victime. L’Europe n’est qu’une annexe docile, une illusion technocratique sans foi ni loi, avalée vivante par les think tanks putrides de Washington. Et partout ailleurs, les peuples sont saignés au nom de la liberté, mais qui meurent pour des pipelines, des bases militaires ou des équilibres boursiers.

Neuf foyers de conflit sont actuellement en cours dans ce monde. Neuf champs de ruines qu’on habille de nobles principes pour mieux dissimuler qu’ils ne sont, en vérité, que des laboratoires de domination, des vitrines pour armes et des tremplins géostratégiques. Partout, le même scénario où des pyromanes en costumes trois pièces et mains manucurées se posent en pompiers, où des victimes sont transformées en coupables, où des peuples entiers sont broyés sous le poids de jeux d’échecs auxquels ils n’ont jamais été invités. Des ruelles criblées de Gaza aux terres calcinées du Darfour, des ports étouffés du Yémen aux hauteurs minées du Haut-Karabagh, une logique traverse le globe comme une lame où les larmes et les malheurs des civils graissent la machinerie des puissants. Les bombes tombent où l’on a des intérêts. Les drones filment ce que les journaux ignoreront. Ce n’est plus une question d’éthique mais une question de flux logistiques. Les ONG pullulent et s’engraissent sur les désastres humains, pendant que les banquiers se frottent les mains.

Là, au Yémen, des enfants meurent de faim pendant que des industriels engrangent des milliards en deals de blindés. À Gaza, chaque immeuble pulvérisé est un message politique, chaque cadavre un chiffre dans un rapport qui n’émouvra personne. Au Cachemire, des drapeaux se disputent des montagnes tandis que les hommes gèlent dans des postes de contrôle oubliés. En Afrique, des conflits sont entretenus comme des feux de camp : ni trop forts pour alerter, ni trop faibles pour s’éteindre. L’instabilité, aujourd’hui, c’est la stabilité des marchés.

Ce que nous appelons encore « communauté internationale » n’est qu’une foire aux monstres, une farce où l’on brade la paix à la découpe tout en distribuant des armes avec le sourire. C’est un club privé où les bouchers se présentent en juges. L’ONU, cette carcasse creuse, n’ose plus même hausser le ton sans l’aval de ses sponsors. La morale s’est suicidée dans des résolutions creuses et non contraignantes. Les Droits de l’Homme sont devenus un slogan estampillé « exportation contrôlée ». Les conflits ne sont plus gérés mais sont dorénavant cultivés. Washington, Moscou, Paris, Pékin, Tel-Aviv, Londres, etc. à chacun sa vitrine, chacun ses slogans, chacun ses marchés cibles. Le carnage, aujourd’hui, n’est plus un échec diplomatique, c’est un succès stratégique. Ce n’est plus une tragédie, c’est une affaire juteuse.

Des cadavres par milliers, des villes rasées, des enfants disloqués sont les bilans trimestriels du Nouvel Ordre Mondial. Les larmes des innocents huilent les engrenages. Elles lubrifient la mécanique des profits, elles font tourner les turbines de l’indifférence. Ce ne sont plus des drames, ce sont des variables opérationnelles. Gérées à distance, capitalisées, monétisées. Ce n’est pas un scandale mais un business model. On tue donc, non pas parce qu’on le doit, mais parce qu’on le peut. Et surtout, parce que ça rapporte ! Et comme toute affaire, elle a ses actionnaires, ses clients fidèles, ses campagnes de communication, ses bénéfices nets. Et derrière chaque guerre, on retrouve toujours les mêmes acteurs :

– Les banquiers sans drapeau,

– Les fabricants d’armes aux catalogues bien garnis,

– Les services secrets dont les opérations puent le pétrole, le fanatisme et l’absence d’âme,

– Les multinationales au-dessus des lois, pilotant les conflits comme des fusions-acquisitions,

– Les États, enfin, qui jouent les pompiers pyromanes tout en dictant les termes du marché de la mort.

L’humanité a franchi un nouveau seuil d’infamie. Elle ne se contente plus de s’entretuer, elle s’optimise, s’externalise, se valorise. On ne tue plus pour des raisons, pour des idées mais pour des indices et parce que ça paie. La guerre n’est plus un fléau, c’est un produit dérivé. Une commodité. Une variable d’ajustement sur les marchés globaux. Le sang des enfants et des innocents, jadis tragédie collective, est devenu liquide d’investissement. Les bombes pleuvent et les dividendes tombent.

L’époque n’est pas dominée par un excès de haine, elle est gouvernée par un excès de calcul. De stratégie. De rationalité froide. Ce ne sont plus les peuples qui s’affrontent, ce sont les élites qui les manipulent. Les bombes ne tombent plus au hasard mais là où c’est rentable. Elles ciblent ce qui gêne, ce qui résiste, ce qui coûte plus qu’il ne rapporte. Et pendant qu’un hôpital croule sous les frappes « chirurgicales », que des familles s’effondrent sous des pluies de phosphore, des financiers misent sur la volatilité des matières premières. Pendant qu’un village brûle, que des corps fondent dans les gravats, des dirigeants se congratulent dans des salons climatisés, s’échangeant des contrats enrobés de mots creux comme « coopération », « stabilité », « sécurité renforcée ». Tout le monde le sait et tout leur monde en profite.

Alors oui, l’humanité tue encore. Mais elle le fait proprement. Sans émotion. Avec des drones programmés et des tableurs Excel. Le raffinement ultime de la barbarie, c’est le meurtre à distance, sans douleur apparente, sans culpabilité résiduelle. On tue par procuration. On tue pour « stabiliser ». On tue en silence. C’est peut-être ça, la victoire définitive des maîtres du chaos : rendre la fin du monde confortable, presque normale. Une routine. Un flux continu de tragédies digérées en 15 secondes.

Et pendant ce temps, le citoyen scrolle. Il « like » la dernière photo d’un charnier, commente entre deux émojis, partage l’horreur avec une désinvolture hypnotique. Il commente entre deux pubs pour des baskets éthiques ou une série Netflix sur le « vivre ensemble ». Il se croit éveillé, mais il dort debout. Il regarde l’horreur comme on regarde la météo avec lassitude et sans impact. L’apocalypse est devenue un bruit de fond. Un cliquetis discret derrière les stories Instagram et les débats vides de plateau télé. Il croit participer à la révolution depuis son canapé, en partageant son indignation variable sur des réseaux sociaux frelatés, d’amis virtuels assemblés en communauté du vide. Il n’a même plus une once de capacité de s’émouvoir tant il est abreuvé de divertissements et de publicité. Il ne vit plus, ne réfléchit plus, ne vibre plus, ne comprends plus… il consomme. Le carnage est devenu contenu et la barbarie, un bruit de fond. Une notification de plus dans le grand bruit numérique qui l’environne où le chaos n’est plus un accident mais notre régime de croisière.

Regardez bien cette carte, que je vous propose là, en fin d’article. Non pas comme un document d’analyse, mais comme un mémorial silencieux, une fresque morbide, une mosaïque d’armées en marche, de frontières qui suintent la peur, de peuples réduits à des pions dans une partie qu’ils ne comprennent pas. Et pour cause, puisqu’elle est truquée dès le départ. Chaque couleur criarde, chaque ligne brisée, chaque point clignotant est une cicatrice ouverte sur le corps malade de notre planète. Un rappel que la guerre est devenue notre état naturel, que la paix est vue comme une anomalie, presque une faute de goût dans le grand récit des dominations contemporaines.

On vous dira que ce ne sont que des zones de tension. Que tout cela est sous contrôle et que des « discussions sont en cours ». Regardez mieux et vous verrez que ce ne sont pas des tensions, ce sont des hémorragies. Ce ne sont pas des différends, mais des tranchées invisibles creusées par les puissants, entretenues par les médias, arrosées par les marchands d’armes et financées par des banquiers machiavéliques protégés par des gouvernants tyranniques. Le monde, vu d’ici, n’est pas un terrain diplomatique, c’est un abattoir à ciel ouvert, compartimenté, organisé avec rigueur et rationalisé avec soin. Ils prétendent apporter la Lumière et ne laissent derrière eux que des ténèbres. Leur morale est celle du prédateur qui s’invente une légitimité sacrée. Et leur expertise, ce n’est jamais la paix mais bien le chaos maîtrisé. Un chaos qu’ils sèment comme on sème des graines d’influence, puis qu’ils monétisent, qu’ils exploitent, qu’ils recyclent dans les discours sur la « reconstruction ». Ils ne rebâtissent rien, n’arrangent rien, ils entretiennent la plaie pour vendre les pansements.

Et quand on prend du recul, quand on regarde cette carte dans son ensemble, un vertige s’installe. Car ce qu’elle dit en silence, c’est que le monde est devenu un terrain de jeu pour nécrophages géopolitiques. Un gigantesque Monopoly impérial, où les dés sont pipés, où les cases « paix » sont rares, et les cartes « sortie de crise » introuvables. La paix n’est pas un objectif, c’est un alibi. Un mot qu’on brandit entre deux livraisons de missiles. Prenez un instant encore pour regarder les États-Unis, par exemple. Ce phare de la démocratie, cette nation autoproclamée « leader du monde libre ». Partout où ils passent, la liberté recule, les cimetières débordent, les espoirs s’effondrent. Afghanistan, Irak, Libye, Syrie sont une litanie de ruines maquillées en « victoires », des sociétés broyées au nom de concepts aussi mensongers que le « changement de régime », « l’apport de la démocratie » ou la « guerre préventive ». Derrière chaque intervention humanitaire, il y a des pipelines à construire, des bases militaires à imposer, des esclaves à nomadiser et exploiter, des marchés à conquérir. Et tout le reste n’est plus que des dommages collatéraux.

Alors oui, regardez cette carte des conflits en 2025. Mais regardez-la pour ce qu’elle est vraiment, c’est à dire le tableau de bord d’un monde cannibale. Un monde où l’ordre est un simulacre, la paix un luxe réservé, et la guerre… une sale habitude pour engraisser des assassins qui ne salissent jamais les mains. Une routine quotidienne dont on ne s’indigne plus, sauf quand elle gêne nos vacances ou interrompt nos séries. Bref, un tableau aussi réjouissant qu’une réunion de famille chez un tyran, avec champagne pour les généraux. Sous les sourires figés des diplomates, dans les coulisses, persiste le hurlement étouffé des peuples en feu.

Et ce sont toujours et uniquement les peuples qui paient cette infamie.  Ceux que l’on n’invite jamais aux négociations. Ceux dont les voix ne comptent pas, sauf quand il faut pleurer à la caméra ou nourrir la machine médiatique. Ceux qui fuient, qui enterrent, qui reconstruisent pour voir tout s’effondrer à nouveau. Les sacrifiés. Les oubliés. Car pour eux, la paix est un luxe réservé aux zones sans intérêt stratégique. Un idéal vidé de sens, un mot creux, qu’on sort comme une cuillère de sucre avant d’administrer le poison. Oui, nous vivons dans un monde cannibale. Un monde où la souffrance est cotée en bourse, où les idéaux sont des alibis, où la justice est pilotée par ceux qu’elle devrait juger. Le chaos n’est plus un accident, c’est notre régime de croisière. Une forme d’organisation. Un équilibre instable parfaitement entretenu.

Et ce n’est surement pas un hasard, car ce chaos a des maîtres, des architectes, des planificateurs, des stratèges, et surtout des profiteurs. Des entités sans visage, sans nationalité, sans scrupules dont il est temps de faire tomber les masques et de braquer la lumière crue là où elle dérange. Comme il est temps de briser, une bonne fois pour toutes, cette illusion tenace d’un monde gouverné par le droit, la justice, ou la paix. Car le désordre mondial n’est pas un accident de parcours, ni la conséquence malheureuse d’ambitions mal coordonnées. Il est un système, une méthode et une doctrine.

Ce que vous vous apprêtez à lire n’est pas une série d’articles mais une autopsie, un acte de dénonciation, comme un scalpel enfoncé dans les viscères d’un ordre mondial gangrené où l’on teste les nouvelles armes de la domination globale. Et chaque article pointera un nom, une tête, un levier utilisé par ceux qui vendent la guerre comme on vend des téléphones. Ceux qui fabriquent les conflits comme on fabrique du storytelling. Ceux qui planifient la misère comme d’autres préparent leur budget. Ceux qui n’élisent personne mais dictent tout. Ceux qui financent et arment, orientent et déstabilisent. Ce sont eux, les Maîtres du Chaos.

Et parmi ces grands ordonnateurs, un acteur domine sans partage depuis des siècle sous le nom d’Empire. Dans le prochain épisode de cette série intitulée « Les Maîtres du Chaos », nous allons dépecer cette entité tentaculaire. Explorer les rouages d’un empire qui ne recule devant rien pour maintenir sa suprématie déclinante. Les États-Unis d’Amérique, flanqués de leur bras armé, l’OTAN, ont élevé l’hypocrisie au rang d’art diplomatique et le mensonge stratégique en dogme. Ils promettent la paix à coups de drones, exportent la démocratie dans des cercueils et imposent l’ordre en semant la ruine. Ce n’est pas une dérive, c’est leur projet. Bluffeurs compulsifs d’un monde qu’ils ont eux-mêmes déséquilibré, les USA et l’OTAN ne défendent pas la liberté mais ils défendent leur rente. Et chaque guerre qu’ils déclenchent est une extension logique de leur mode de gouvernance brutale, cynique et inavouable. Jusqu’à aujourd’hui…

Voilà pour cette introduction, certes acerbe mais sincère. La suite, avec les prochains épisodes, sera surement un électrochoc salutaire pour ceux qui n’ont pas voulu voir et savoir jusque là. Mais aussi une confirmation, pour ceux qui savent déjà tout cela, qu’ils ne sont pas seuls, qu’ils ne sont pas fous, mais qu’ils sont seulement isolés…

Et n’oubliez jamais que « Seule la vérité nous libérera ! »

Phil BROQ.

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Un Commentaire

  1. Salut, ça me rappel starwars avec l’empire et la résistance…

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