Source Insolentiae
C’est Zemmour qui a remis au goût du jour la très belle phrase de Saint Augustin : ” On ne peut pas faire le bien jusqu’au mal”.
Il faut effectivement se garder de vouloir faire le bien jusqu’au mal.
L’une des manières de faire le bien jusqu’au mal, c’est de vouloir imposer sa manière de voir et de vivre. C’est même de vouloir sauver les autres malgré eux. C’est vous l’avez compris le chemin du totalitarisme.
Les totalitarismes sont toujours emprunts de bons sentiments à la base.
L’écologie et l’anxiété climatique qu’elle génère chez notre jeunesse, cette désespérance aussi bien professionnelle que culinaire transforme nos enfants non pas en « bon-vivants » mais en « morts-vivants de l’écologie.
L’écologie actuelle nous zombifie.
Elle rend tout triste.
Tout.
Elle est moche en réalité.
Dépressive.
Vous reprendrez bien un peu de tofu au quinoa… .
Fade.
Sans lipide, mais insipide.
Une vie sans goût et sans saveur.
Une vie triste.
Une vie sous prozac et sous anti-dépresseurs.
Une vie de culpabilité et de repentance, une vie où l’échec est permanent puisque l’objectif, sauver la planète est tout simplement inatteignable et impossible à l’échelle individuelle.
Ce que vous ferez sera toujours trop peu, toujours trop tard, jamais assez.
Cela n’est pas neutre.
Cela pousse même à toujours en faire plus, à aller plus loin, à être extrême, et c’est en étant extrême que l’on devient extrémiste.
On peut sauver la planète sans punir l’homme.
Et c’est l’histoire de ce film de la sélection officielle du Festival de Canne.
« Club Zéro », la savoureuse et tragique chronique d’un endoctrinement pour la cause écologique
Dans son nouveau long métrage, Jessica Hausner filme des lycéens qui, sous l’emprise d’une enseignante, décident de modifier radicalement leur alimentation. Le résultat prend littéralement aux tripes.
Le film de Jessica Hausner s’ouvre sur une mise en garde contre les désordres alimentaires qu’il évoque. Club Zéro est une proposition dérangeante sur une thématique qui préoccupe désormais tout le monde ou presque, la protection de l’environnement. Dans son dernier long métrage, la réalisatrice l’associe à l’alimentation, la jeunesse et l’éducation.
Miss Novak, campée par une hallucinante Mia Wasikowska, débarque dans un lycée privé pour enseigner l’ »alimentation consciente ». Sa méthode prône, par exemple, de respirer avant de manger une tablette de chocolat. Prendre ainsi conscience de son alimentation serait, selon elle, un moyen de participer à la protection de l’environnement. Comme le montre la première scène du film, les jeunes qui s’inscrivent dans son cours ont des motivations diverses. Mais peu à peu, sous l’influence de leur enseignante, leur rapport à la nourriture va se radicaliser, sous les yeux des parents des lycéens. Deux d’entre eux sont interprétés par Elsa Zylberstein et Mathieu Demy. Sans éveiller la méfiance de la responsable de l’établissement d’excellence, incarnée par la Danoise Sidse Babett Knudsen affublée d’une garde-robe assez baroque, Miss Novak emmène ses adeptes aux portes de l’étrange Club Zéro, au régime drastique.
Un gourou dans leurs assiettes
Après Little Joe, Jessica Hausner démontre de nouveau sa capacité à mettre en image l’emprise, qu’elle soit d’origine végétale – c’était le cas dans son précédent film – ou humaine. D’abord, par le biais de l’organisation de l’espace, Miss Novak et ses élèves évoluent dans des décors parfaitement ordonnés et aseptisés qui transmettent un sentiment de vacuité, aussi bien dans le lycée que dans les domiciles de leurs majoritaires riches parents.
Ensuite, les salles à manger, lieu de l’exercice de l’alimentation consciente enseignée par Miss Novak, sont prépondérantes. L’aspect appétissant des mets que l’on y retrouve, contraste avec la façon dont les nouveaux adeptes de la méthode les accueillent, à savoir le plus souvent avec indifférence ou dégoût. Les contrastes se retrouvent d’ailleurs à d’autres niveaux. Par exemple, quand les dialogues déclenchent l’hilarité générale pour mieux replonger l’audience dans la spirale du drame auquel elle assiste. Tout comme la palette chatoyante du film contraste avec la noirceur du récit : le rouge et le vert, que l’on retrouve souvent dans les décors de Jessica Hausner, viennent ici s’ajouter à l’univers jaune et violet des uniformes des élèves.
Nourris par une liberté illusoire
Enfin, l’intrigue puise sa force dans la bulle léthargique dans laquelle les enfants et les parents évoluent pour des raisons tout à fait différentes. Chez les lycéens, elle rend compte de leur niveau d’adhésion aux théories de Mme Novak et de leur envie de résister aux diktats de la société de consommation. Quant aux parents, leur passivité est le reflet de leur impuissance à trouver la solution idoine au problème qui se pose désormais à eux. D’autant que pour certains de cette bande d’adolescents, l’endoctrinement dont ils sont victimes trouve un terreau plus que favorable dans un mal-être préexistant. Fred est négligé par ses parents qui ne jurent que par leur projet personnel au Ghana, Elsa est anorexique – un héritage familial semble-t-il – et Ragna est complexée par son apparence physique. »
Autant vous dire que c’est un film que j’irai voir et vous pouvez déjà avoir un avant-gout si j’ose dire vu la thématique du film, en visionnant la bande annonce.
Ce film doit renforcer chacun de nous dans la nécessité de douter.
Dans la nécessité de remettre en cause, y compris l’Education Nationale et l’école, même si les Rectorats envoient des mots méchants aux parents qui opposent une résistance qui doit toujours rester au maximum consensuelle et dans tous les cas non-violente. Entre instruction, propagande et endoctrinement les frontières sont toujours ténues et les dérives toujours trop rapide.
Soyez toujours vigilants pour vous et ceux que vous aimez.
D’ailleurs France Info conclu ainsi son excellent article sur ce film. « Néanmoins, ce choix renforce son propos qui interroge sur la capacité des adultes, parents et corps enseignant, à intervenir pour protéger des enfants dans une situation où tous les signaux sont au rouge . A une époque où les jeunes subissent des influences de toutes sortes et où leurs engagements sont souvent entiers, voire quelque peu radicaux, Club Zéro sonne comme un appel à la vigilance. Jessica Hausner signe un film percutant qui retourne l’estomac, au propre comme au figuré, de par le sujet qu’il aborde et ses choix de mise en scène radicaux ».
Si vous ne vous occupez pas de ceux que vous aimez (si vous ne les protégez pas) alors ceux que vous n’aimez pas s’occuperont d’eux.
Charles SANNAT
« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »
Source France Info ici
- « Immobilier, début du krach ou fin de la correction ? La réponse ! ». L’édito de Charles SANNAT
- L’idée géniale et novatrice du dernier rapport parlementaire ? Une taxe exceptionnelle sur les patrimoines !
- Les placements ESG « écolos compatibles » en pleine déroute.
- La chute de l’Allemagne. C’est la destruction d’une industrie construite durant 70 ans.
l’écologie , le cinquiéme cavalier de l’apocalysme
Georges Bernanos disait qu’on ne peut rien comprendre à la modernité si l’on ne comprend pas qu’elle est un vaste complot contre l’Intériorité.
Egalement, Louis Pauwels (dans les dernières chaînes) écrit : « Les découvertes post-coperniciennes montrent que les mouvements des astres ne s’opèrent pas selon des cercles parfaits. L’idée d’une perfection céleste, correspondant à la perfection de l’âme, s’évanouit. Avec Darwin, l’homme cesse d’être centre… Cet exilé de l’axe de l’Univers, ce seigneur déchu de la création, va se diviser et se déliter intérieurement en cet exil. Descartes réduit sa vie consciente à l’exercice de la raison. Kant lui retire le noyau de l’âme. Hegel le met sous la dépendance d’une dialectique de l’esprit inscrite dans l’histoire. Marx lui dénie toute autre réalité que sociale et économique. Freud le condamne à une obscure tragédie sous le fatum du sexe. Pavlov substitue au for intérieur le conditionnement. Les béhavioristes en font une simple mécanique des stimuli-réponses. Bref, il n’est plus le centre de rien, et rien ne l’autorise plus à se centrer lui-même. Ces catastrophes dégagent de la lumière. Elles font aussi de l’obscurité. Sous le couvert de connaissances, se développent des théodicées de l’anti-divin, des philosophies de l’anti-conscience, et des sciences humaines de l’homme-mort. »
La mise en œuvre de processus malfaisants tels que le « climarnaque », le « covid-19 », la vaccination « scientifiquement correctes », les guerres, le terrorisme, etc., n’est pas nouvelle, et a toujours été l’apanage de ce qu’on appelle l’« Antéchrist » ou l’« Imposteur » (c’est le sens du mot arabe « dajjâl ») : qu’on le conçoive comme un individu ou comme une collectivité, son ultime production doit consister en la « robotisation » ou plutôt la « zombification » systématique des masses asservies par des idéologies totalitaires.
Dans son livre « Le Règne de la quantité et les signes des temps », René Guénon brosse le tableau final de ce processus que nous résumons ainsi : la société « contre-traditionnelle », dénuée de toute spiritualité, portant partout la division, c’est-à-dire la « marque du diable », où la machine envahit tout, où l’être humain lui-même est réduit, dans toute son activité, à ressembler le plus possible à un automate, « cadavre psychique » constitué de « résidus » animés artificiellement et momentanément par une volonté infernale, donne l’idée la plus nette de ce qui arrivera aux confins mêmes de la « dissolution finale ».
Ces techniques totalitaires par excellence de la prise du pouvoir, entrent dans le cadre des événements apocalyptiques qui marquent la fin d’un cycle terrestre, c’est-à-dire la « fin d’un monde » qui n’est jamais, et ne peut jamais être autre chose, finalement, que la fin d’une illusion.
Les chiens aboient, la caravane passe.
Blog : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/
Le passage le plus important , à mon avis , est celui-ci : » La mise en œuvre de processus malfaisants tels que le « climarnaque », le « covid-19 », la vaccination « scientifiquement correctes », les guerres, le terrorisme, etc., n’est pas nouvelle, et a toujours été l’apanage de ce qu’on appelle l’« Antéchrist » ou l’« Imposteur » (c’est le sens du mot arabe « dajjâl ») : qu’on le conçoive comme un individu ou comme une collectivité, son ultime production doit consister en la « robotisation » ou plutôt la « zombification » systématique des masses asservies par des idéologies totalitaires. » Cette identification des processus malfaisants que vous énumérez nous appelle à réagir pour la liberté de tous , à résister à ces idéologies totalitaires comme l’injection imposée d’un produit toxique de laboratoires cupides pour faire partie des « bons » citoyens , l’obtention d’un pass discriminatoire ( une sorte d’étoile jaune en creux ) etc … , le soutien inconditionnel d’un clown assassin de son propre peuple exsangue et qui vampirise les économies occidentales . Fini tout ce cirque , un bon coupe de pied dans la fourmilière , la saine réaction d’une Alice au pays des Merveilles , agacée , qui disperse le jeu de cartes et qui en fait taire les personnages agressifs en leur rappelant qu’ils ne sont que de simples cartes à jouer sans importance . Merveilleux Lewis Carroll qui avait tout compris .
le problème n’est pas l’écologie qui est une science mais bien la récupération politique qui en faite! des gens qui n’y connaissent rien prennent des décisions pour d’autre et si vous n’y adhérer pas vous êtes punis on vit dans l’époque de l’écologie punitive…on est loin des écolos bobos qui refaisaient le monde en fumant des pétards….maintenant ils sont hargneux et les médias sont a leur soldes ils ni a qu’a voir comment ceux qui osent emmètre un avis différent sont éloigner…
Extrait de l’imposture écologiste de Christian Laurut
L’imposture des « écologistes » réside aujourd’hui dans la confiscation de l’écologie, science non exacte étudiant les conditions d’existence des êtres vivants et les rapports qui s’établissent entre eux et leur environnement, au profit d’une action politicienne opportuniste et mercantile, qui plus est totalement complaisante avec le capitalisme et sa dérive étatique. Les praticiens de cette science, les « écologues », se retrouvent ainsi dépossédés de leur expertise par des charlatans médiatiques dont l’influence auprès des masses est malhereusement proportionnelle à leur niveau d’incompétence. Le lecteur aura ainsi compris que le propos de «L’imposture écologiste» vise à bien distinguer l’écologie en tant que science objective neutre de l’écologisme en tant que doctrine politique souvent fâcheuse, comme on sépare le bon grain de l’ivraie.
Extrait de Climat investigation de Philippe Verdier (ex monsieur météo viré de France 2)
Dès sa parution, la grande presse internationale s’empare des révélations de Philippe Verdier. Le Canada, les États-Unis, la Russie, l’Iran, l’Italie, l’Espagne, la Scandinavie, le Japon et le Royaume-Uni se captivent pour Climat Investigation.
En France, une série de médias ( Rue89, Télérama, Le Monde, Canal+, Les Inrocks, Libération) désinforment et organisent le lynchage public de l’auteur pendant que France Télévisions l’interdit d’antenne. Lettres ouvertes, pétitions de soutiens internationales n’y feront rien. Le climat est aujourd’hui une guerre de religion.
Les Français sont maintenus dans la peur par un matraquage sans précédent. Au plus haut sommet de l’État, l’échec de la COP 21 est diagnostiqué depuis longtemps.
Le GIEC, ultra politisé, se délite sous les scandales et méthodes critiquables. Les Nations Unies plongées dans la corruption pataugent volontairement depuis une génération de pourparlers. Lobbies économiques, associations écologiques, gouvernements et religions tissent de dangereux liens.
La France, pays parmi les moins touchés par le changement climatique, bénéficie des avantages du réchauffement. Le développement des énergies renouvelables menace notre sécurité et ne compensera aucunement l’explosion démographique identifiée comme une cause principale du problème.
le GIEC fait des rapports avec des marges d’erreurs allant jusqu’à 300 %
la belle référence d’incultes
dixit François Gervais
Oui Lilith, écologie punitive . Totalitarisme , punition , amendes . Ras la casquette !!!
salute
ça viens nous gonfler avec leur écologie,tous zazimut
rien que pour les énergies » renouvelables »,c’est une catastrophe
pour l’environnement,de l’extraction à l’utilisation programmé obsolète..
les pompes à chaleur viennent de Chine( en partie)..pour tout le monde.. le réseau ne pourra fournir,c’est déjà le cas en Allemagne.
les batteries au lithium sont vendus à tous les sauces,sauf qu’il faut 2 MILLIONS de litre d’eau pour obtenir 1 tonne de lithium!
( allez peser vos batteries d’une simple batterie de visseuse)
l’eau bien sur est rejetée dans les océans..Fukushima mon amour!
ils nous prennent pour des cons,tellement la liste des aberrations est longue.
l’esclavage des petites mains (qui ne verront jamais les bancs d’école au passage) pour le cobalt et autres composant des smart phone,panneaux solaires,ce même esclavage pour les textiles avec la pollution;
pour un jean fabriqué « délavé »; 5000 litres d’eau gaspillée..et polluée
la liste est infinie..
continuons dans l’écologie,l’esclavage ne sera jamais abolit.
Les ressources en minerais sont déjà épuisé,cobalt cuivre nickel etc.
François Gervais nous parle du « Déraisonnement climatique »…
https://youtu.be/RMlXsPURqjs
vous comprenez pourquoi ils veulent taire les climato-sceptiques !?
interdit de réfléchir de penser de douter,bref obéissez, taisez vous et payez!
rions un peu
https://rigolotes.fr/39542/pour-le-corona-a-60-ans-t-es-vieux
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