À neuf mois c’est un accouchement, pas un avortement non ? Que deviennent les bébés avortés ? L’éducation sur la contraception devrait être obligatoire pour éviter ces extrémités.
Source France-Soir
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) appelle les gouvernements à supprimer la limite de temps légale pour l’avortement jusqu’à 24 semaines, comme le rapporte le Daily Mail. Elle déclare que les lois qui visent à empêcher l’interruption de grossesse à tout moment risquent de violer les droits des « femmes, des jeunes filles ou des autres personnes enceintes ». L’OMS propose donc l’avortement sans limitation de temps et sans obligation de justification médicale.
La pression de l’OMS en faveur de l’avortement sans condition
C’est un document de 210 pages que l’OMS publie. Il détaille de nouvelles consignes sur la prise en charge de l’avortement. Parmi la multitude de recommandations faites aux gouvernements, on peut notamment lire qu’elle préconise :
– d’autoriser l’avortement en toutes circonstances — en excluant les lois interdisant les interruptions de grossesse parce que le fœtus est du « mauvais » sexe.
– de cesser d’exiger que les femmes aient besoin de l’approbation d’un médecin ou d’une infirmière pour avoir une interruption de grossesse.
– d’établir des systèmes de « pilules par la poste » afin que les femmes puissent recevoir des médicaments abortifs après un appel téléphonique.
– de limiter le droit des professionnels de santé à refuser de participer à des avortements pour des raisons de conscience.
L’avis des Nations unies
Les Nations unies, qui supervisent l’OMS, se sont félicitées de la suppression suggérée de ce qu’elles ont appelé « des obstacles politiques inutiles à l’avortement sans risque », notamment « des limites quant au moment où un avortement peut avoir lieu ».
Le débat éthique sur la question de l’acception morale liée à suppression du fœtus après 22-24 semaines – alors qu’à partir de ce temps de gestation, le fœtus a de bonnes chances de survie s’il naît prématurément grâce aux progrès de la médecine – n’est pas posé dans ce document qui présente le seul point de vue de la femme enceinte. Le « droit de l’enfant à naitre » n’est pas évoqué.
Des recommandations destinées à favoriser un accès plus sûr aux femmes
Dans de nombreuses régions du monde, encore aujourd’hui, des obstacles peuvent entraîner des retards importants dans l’accès au traitement et exposer les femmes à un risque accru d’avortement dangereux, de stigmatisation et de complication de santé.
Encore aujourd’hui, plus de trois quarts des pays prévoient des sanctions légales contre l’avortement, qui peuvent aller jusqu’à de lourdes amendes pour les personnes qui le pratiquent. Une situation qui engendre de multiples avortements clandestins très risqués pour la santé des femmes.
Cette situation clandestine, la France l’a connue jusqu’à ce que la loi de Simone Veil y mette un terme. Le texte de loi du 17 janvier 1975 relatif à l’interruption volontaire de grossesse répondait à une situation d’urgence sanitaire, à savoir les 300 000 avortements clandestins pratiqués sur le territoire français.
Des avortements qui, la plupart du temps, étaient réalisés dans un cadre non médical avec des méthodes moyenâgeuses, comme l’utilisation de plantes, la prise de grosses quantités de médicaments comme l’aspirine ou certains antibiotiques, ou encore le percement de l’œuf par aiguilles à tricoter. Des pratiques risquées qui entraînaient régulièrement des complications graves comme des infections, septicémies, hémorragies utérines, ou déchirures des parois de l’utérus pouvant conduire au décès de la femme.
Encadrant la dépénalisation de l’avortement en France, le texte proposé par Simone Veil autorisait l’interruption volontaire de grossesse (IVG) jusqu’à 10 semaines dans un cadre hospitalier.
Depuis son vote, cette loi n’a cessé d’être modifiée. En 2001, sous le gouvernement de Lionel Jospin, le délai a été prolongé à 12 semaines et le 2 mars 2022, un texte porté par la députée Albane Gaillot a prolongé ce délai à 14 semaines.
Parallèlement à l’IVG, une loi du 6 août 2021 relative à la bioéthique prévoit un autre type d’avortement : l’interruption médicalisée de grossesse (IMG), aussi appelée avortement thérapeutique. Cette intervention ne peut être pratiquée seulement lorsqu’il existe un risque pour la santé de la femme enceinte ou « si la probabilité est forte que l’enfant à naître soit atteint d’une affection d’une particulière gravité reconnue comme incurable au moment du diagnostic ».
Aspect philosophique, aspect biologique et aspect juridique de l’avortement
Depuis des millénaires, l’homme s’est posé la question de la nature et du statut de l’embryon humain. De ces questions toujours en débat découlent des lois, des autorisations et des conditions à l’avortement.
Ceux qui se prononcent contre cette pratique défendent l’idée, qu’à n’importe quel stade de la grossesse, l’embryon est une personne humaine et que la vie doit être respectée dès la conception. À l’opposé de cette position, le fœtus serait un matériel biologique jusqu’à la naissance. Entre ces deux extrêmes, entre ceux que l’on appelle les « pro-vie » et les « pro-choix », il existe une diversité de positions nuancées.
Au cours des dernières années, les progrès scientifiques ont conduit à tenter d’identifier le moment où le fœtus deviendrait une personne. Pour certains, le début de l’activité cérébrale serait ce moment. Pour d’autres, il s’agirait de la viabilité (entre 22 et 24 semaines). Enfin, certaines personnes pensent qu’il est impossible de déterminer scientifiquement le moment exact où le fœtus devient une personne.
À partir de ces différentes attitudes, on comprend qu’il ne soit pas toujours aisé d’arbitrer et que les décisions varient en fonction des cultures, des religions ou de l’éthique.
En France, le débat autour de l’avortement hors délai avait déjà suscité une forte polémique au moment du projet de loi bioéthique. Un amendement adopté en août 2020 par l’Assemblée prévoyait qu’une interruption médicale de grossesse pouvait être réalisée jusqu’au terme dans les situations de détresse psychosociale. À cette occasion, Michel Onfray, qui s’intéresse à l’évolution nerveuse du fœtus, « pour pouvoir définir une distinction entre le vivant et l’humain, entre un être potentiel et un être réel », se demande ce qu’est cette notion de détresse psychosociale. Estimation complexe qui recouvre de multiples réalités allant selon lui de la perte d’un travail, à la rupture avec son compagnon ou un changement sur le désir d’enfant, des situations qui ne justifient pas que l’on commette un tel acte.
Penser toutes ces notions permet au philosophe de concevoir l’avortement comme une possibilité. En revanche, il insiste sur la nécessité d’en fixer les limites, au-delà desquelles cet acte deviendrait un infanticide.
Or, il semble que les nouvelles propositions de l’OMS oublient le fœtus, puisqu’il n’existe plus aucune limitation de temps ni d’obligation de justification médicale pour pratiquer un acte qui tend de plus en plus à être banalisé.
« Je le dis avec toute ma conviction : l’avortement doit rester l’exception, l’ultime recours pour des situations sans issue. » déclarait Simone Veil en présentant la loi relative à l’interruption volontaire de grossesse.
Poursuivant son discours, elle ajoutait : « Mais comment le tolérer sans qu’il perde ce caractère d’exception, sans que la société paraisse l’encourager ? Je voudrais tout d’abord vous faire partager une conviction de femme – je m’excuse de le faire partager une conviction de femme – je m’excuse de la faire devant cette assemblée presque exclusivement d’hommes : aucune femme ne recourt de gaité de cœur à l’avortement. Il suffit d’écouter les femmes ».
En France, qu’il s’agisse d’une IVG ou d’une IMG, les projets restent encadrés. Reste à savoir pour combien de temps.
Auteur(s): FranceSoir
Une phrase en introduction m’interpelle :
Hormis les femmes et les jeunes filles, qui sont ces « autres personnes enceintes » ?
M.G.
A tout ces violeurs de l’OMS on devrait les castrer.
Les autres sont ceux à qui on leur coupe les boules.
Bien sûr que tu le sais.
– Les hommes trans et autres, devenus père-porteur, ainsi que les utérus artificiels en labos/couveuses.
…Que c’est beau la science au service du satanisme.
J’ai réagi de la même façon? Qui sont ces « autres personnes enceintes » ? Dingue !!
Oui c’est satanique. On sait à qui vont servir les bébés qui n’auront pas eu le droit de naître.
Les russes demandent des comptes sur les enfants nés par gpa en Ukraine. Des journalistes disent que le compte n’y est pas. Ils soupçonnent un trafique d’organes.
Les labos d’apprentis sorciers bigpharma ont besoin de
Materiel Humain nommé « Foetus fully develloped »…
Pensiez vous qu’ils font sa SANS aucun interets particuliers ?
Encore un bel exemple d’inversion des valeurs. Banaliser le meurtre d’innocents sous prétexte de respect des droits de la femme…La valeur d’une société se reconnait au sort qu’elle réserve à ses plus faibles. Tout cela va se payer très cher.
Nous sommes en guerre, une guerre que nous n’avons pas voulu.
Dans cette guerre, dire « je ne savais pas » est devenu un crime.
A l’heure actuelle, il est impossible de « ne pas voir », de « ne pas savoir », tellement l’explosion de perversion en est devenue incroyable et universelle !!!.
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– Tout ceux qui nous définissent comme complotistes sont des satanistes.
Actifs ou passifs , mais malgré tout, plus ou moins, des satanistes(consciemment ou inconsciemment).
– Alors, avec la même énergie qu’ils ont fait preuve envers nous, il est temps de leur rendre la monnaie de leur pièce de théâtre EN AYANT LE COURAGE de les désigner pour ce qu’ils sont, à savoir « SATANISTES ».
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Les Bush père et fils avaient raison.
Nous sommes bien en guerre, « le bien contre le mal » !
Malheureusement à l’époque, nous n’avions pas compris que le diable détestait la lumière, préférant se cacher derrière le paravent de la vertu(le bien), plutôt que d’assumer sa noirceur mortifère.
…D’où l’inversion des valeurs que nous vivons.
C’est ça, les valeurs sont inversées. Le diable c’est le mensonge et la plupart des gens préfèrent ignorer la vérité pour garder leur petite sécurité et désirs illusoires même si ça fait du mal aux autres, il n’y a plus d’humanité là dedans, on le sait. Le monde est en train de se séparer en deux et le fait de ne pas chercher, ni regarder la vérité en face n’excuse rien car ceux là seront pourtant les premières victimes du mensonge.
Merci,
mais dois-je comprendre que dorénavant tu auras le courage de nommer ces gens par le qualificatif qui leur sied le mieux ?
Satanistes. Encore faut-il croire que le mal existe, que c’est une entité vivante, intelligente et agissante qui ne dort jamais qui cherche la destruction. Et donc que le bien existe pareillement. La plus grande victoire du mal est d’avoir réussi à nous faire croire qu’il n’existe pas. Cela lui laisse le champ libre pour nous mener à notre perte. De nos jours, qui croit encore en Dieu, en Satan… Fort peu et pourtant c’est une réalité que l’on peut au moins appréhender intuitivement et par l’état du monde. Jamais un arbre pourri ne donnera de bons fruits. Et oui il y a des satanistes actifs (qui on un culte, des sacrifices, des objectifs spirituels) et passifs (qui acceptent le mal sans lui opposer de résistance).
Peu importe les réligions, peu importe les croyances, peu importe que l’on croit en l’existence des entités du bien et du mal.
Au final, il suffit que certains puissants pensent que le mal existe et qu’en son nom ils le fassent pour que nous en subissions tous les conséquences.
Donc, autoriser un ‘meurtre’ pour soulager une autre personne ?
Cela ouvre une porte très dangereuse !!!
C’est pas vraiment nouveau.
D’après ta (juste)compréhension de la chose, cette porte fut entre ouverte par la loi (Simone)Veil* dans les années 70.
Le malin prend toujours son temps…
*) Veil avec un V …comme dans aVorteuse.
A ne surtout pas confondre avec l’autre avec un W (Simone Weil), qui elle fut vraiment une femme exceptionnelle, elle !
Bonjour …
Je suis contre l’avortement, sauf pour raison médicale(viol, etc.).
Mais ici, on parle de lever presque toutes les interdictions !
Si on saupoudre avec un peu de pensée ‘woke’, que quelqu’un a décrit comme la faillite de l’intelligence, on se retrouve avec des aberrations exponentielles !!!
On pourra ‘tuer’ les hommes blancs un peu trop masculin avant leur naissance ?
Combiné avec la destruction du Code de Nuremberg suggérée par Mme Von Der Leyen pour imposer la vaccination expérimentale …
… Mengele doit avoir une érection s’il peut nous observer !!!
Oui, la tentation de composante eugénique est évidente.
Re-bonjour …
La manipulation contre l’humain est à son maximum.
Même nos dirigeants, qui semblent tout gérer d’une main de maître,
sont probablement aussi des cobayes à leur niveau.
Tout cela semble cacher des idées bien ‘sombres’ pour notre avenir
L’idée est simple, prendre la place de Dieu.
…De toute façon c’est voué à l’echec, puisque c’est moi qui l’ait créé !
(…humour à la con dans un monde de cons)
Vous seriez surpris de la justesse de vos mots !
Quelqu’un n’a-t-il pas déjà dit que nous avons été créés à l »‘image » de Dieu ?
Qu’est-ce que cela veut ‘vraiment’ dire ???
C’est voulu.
« Quand le meurtre devient vertu, la vertu est morte ».
(de moi, toute orgueil bu)
L’âme peut s’incarner au moment de la conception, ou un peu plus tard, selon les êtres devenir.
On peut, par les régressions, revenir à la période de gestation pour revivre certains événements, certaines émotions.
Le foetus est un être vivant à part entière. Un avortement devrait se solder par un enterrement en bonne et due forme, et il faut donner un prénom au petit être qu’on a du sacrifier.
Quant à un avortement au temps de la naissance, pourquoi ne pas l’abandonner sous x ? Il pourrait alors être adopté, a minima. Même si c’est loin d’être une solution (vu comment ça se passe), au moins, ce n’est pas un sacrifice humain.
On voit bien que l’objectif est bien d’alimenter des satanistes !
Organisation Mondiale de Salopards !
Ou de Satanistes, pour qui préfère. C’est selon…
Des mois avant sa naissance, un bébé est viable. C’est donc littéralement un appel au meurtre. Je peux comprendre le recours à l’avortement dans certains cas (p.ex. viol, inceste, mise en danger de la vie de la mère)m et ce dans les toutes premières semaines, mais ça???? Encore un signe de la décadence de notre civilisation. L’effondrement est proche.